22,138 research outputs found

    L'argent !...

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    Pas de deux: further thoughts on the syntax of sentential negation in French

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    This article supports earlier work by arguing that French negative pas functions as the specifier of NegP at S-structure (at the earliest) rather than at D-structure, as proposed in Pollock's (1989) original formulation of the NegP hypothesis. After reviewing the NegP hypothesis, the author offers additional syntactic evidence to support the refinement proposed in Rowlett (1993a). He goes on to investigate parallels between the revised model and work by Williams (1991) and Fillmore (1963). Finally, he explores theoretical avenues opened up by the refined hypothesis, considering, for example, whether the distinction drawn between constituent and sentential negation is as significant as has traditionally been assumed

    Ending resistance or resistance ending? Politics across the Fins de Siecle

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    1998-01-01

    In search of a third place: a telecollaborative model for languaculture learning

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    This thesis presents a five-year, global classroom project, in which French and American students study the same texts (literature, film remakes, works of sociology and anthropology), while corresponding using ICTs. Their reflections provide the basis for the development of conceptual and perceptual toolkits, containing consciousness-raising activities on individual and culturally-biased semantic and perceptual differences and similarities. Students compare home culture images and the corresponding images from the other culture(s), in an attempt to arrive at a "third place" (Kramsch 1993), as an intercultural speaker (Byraml995; 1997). Feedback and transcripts from participants are used to assess the effectiveness of this pedagogy of languaculture in broadening discourse options and educational opportunities, and of the role of telecollaboration in student motivation and engagement. The analytical framework draws on insights of Bakhtin, Vygotsky and Flarre and Gillet, focussing on the learner as agent, and language as fundamentally dialogic in nature. Telecollaboration provides access to multiple discursive perspectives and negotiation of meaning, whereby students, especially the more motivated, ask real questions and receive real answers. The global classroom leads to a change in the locus of control, increasing motivation and encouraging students to appropriate their own learning. Significant individual, group and cross-cultural differences emerge in the interpretation and degree of appropriation of the materials and opportunities for intercultural communication. This thesis provides research-informed, pedagogical guidelines for developing similar intercultural telecollaborative courses and makes a creative contribution, both to the dialogic teaching of language as culture and to the integration of new technologies into the curriculum

    Aantekeningen bij L'ARGENT

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    Bij het zien van l'ARGENT waren het de exaktheid, de strengheid van de beelden en geluiden en het ontbreken van enige vorm van psychologie, van enige vorm van verklaring van de gebeurtenissen die mij het meest gefascineerd hebben ..... 02 01 89 93

    Profitability of slave and long distance trading in context : the case of eightheenth century France.

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    This paper studies the characteristics of investment in the slave trade and other long distance trades in France during the eighteenth century. After justifying why the slave trade should be aggregated with other long distance trades for this study, the paper introduces French data. Information is available on a total of 238 ventures from seven French harbours from the 1710s to the 1780s. The paper then focuses on computing the internal rate of return of the portfolio of investment in 65 voyages owned by an investor from Nantes. Using the undiscounted benefit-cost ratio as a proxy, the paper shows that this was typical of French long distance trade investments. These investments compared favourably with domestic alternatives. They were more liquid, shorter and more profitable than private notarized credit without being more risky. They were less risky and had a shorter duration than government bonds, without being less liquid or less profitable. The paper conclude that investment in the slave trade and other long distance trade was preferable to domestic alternatives in France during the eighteenth century. This might be explained by the existence of barriers to entry.

    Colonialism's currency : a political history of First Nations money-use in Quebec and Ontario, 1820-1950

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    Cette étude analyse l'utilisation de l'argent dans le contexte du colonialisme canadien des XIXe et XXe siècles. Elle émet l’hypothèse que l'argent, en tant qu'objet et idée économique par excellence de la société occidentale, était au cœur des interactions entre les Premières Nations, l'État et le capital. À travers une analyse de l'utilisation de l'argent, tant en ce qui concerne son aspect matériel que son côté abstrait, cette thèse conclut que le rôle joué par l'argent dans le colonialisme canadien ne fut pas monolithique, fournissant à tout acteur historique un moyen d'exercer du pouvoir, parfois de manière étonnante. Elle affirme que le rôle incontournable qu'une grande partie de l'historiographie accorde à l'État (plus particulièrement au Département des affaires indiennes) et le carcan législatif qu'il a développé en ce qui concerne l'expérience vécue des Autochtones est, du moins au sujet des affaires monétaires, au mieux surfait et au pire caricatural. En effet, cette étude démontre qu'en dépit du discours musclé que certains bureaucrates et politiciens ont employé dans la correspondance, les rapports publiés et la législation, les conséquences de l'intervention monétaire de l'État dans des communautés amérindiennes n'a que rarement correspondu aux objectifs officiellement énoncés, allant même parfois jusqu'à contredire ces derniers. En s'appuyant sur l'analyse de l'expérience de trois Premières Nations distinctes sur les plans culturel, historique et géographique (au Québec, les Huron-Wendat de Wendake et les Innus de Mashteuiatsh et, en Ontario, les Cris de Moose Factory), cette étude affirme que les politiques nationales de l'État ont eu des effets différents selon le contexte dans lequel elles furent mises en œuvre. Ainsi, la présente thèse remet en question les interprétations de l'histoire du colonialisme de la première moitié du XXe siècle qui dresse trop facilement des parallèles entre les objectifs énoncés d'un État apparemment hostile et les difficultés socioéconomiques qu'expérimentent actuellement beaucoup de Premières Nations. Cette thèse affirme plutôt que l'interaction de la politique et de la pratique, en ce qui a trait à l'utilisation de l'argent aux XIXe et XXe siècles, a souvent produit des résultats inattendus, créant ainsi un nouvel espace permettant à la fois l'expression de l'« agency » autochtone et l'imposition de l'autorité étatique et capitaliste. Au cours des années 1820 et 1830, certains débats entre les autorités impériales et coloniales quant à la monétisation des présents amérindiens contribuaient à la réification discursive de l’« Indien imprévoyant ». Jusqu'au milieu du XXe siècle, cette figure influençait le discours étatique de deux façons. D'abord, elle permettait aux Affaires indiennes de légitimer le statut légal des Amérindiens en tant que pupille de l'État. Ensuite, elle offrait à cette même institution un moyen efficace de repousser les prétentions d'autres agences étatiques qui tentaient de fournir aux Premières Nations des services au même titre que les autres Canadiens, et ce, en affirmant posséder l'expertise nécessaire pour protéger cette population particulièrement vulnérable. Cette façon de dépeindre les Autochtones, profondément influencée par la conviction très répandue que les pauvres des régions urbaines étaient incapables de gérer l'argent liquide de manière judicieuse, amène à concevoir ceux-ci comme une masse indifférenciée qui, dans les termes employés par le discours de la politique indienne, devait être « protégée », « civilisée » et « assimilée ». Cependant, les actions concrètes des Affaires indiennes ont fréquemment influencé la société autochtone de manière à défier ce genre de représentations unitaires, notamment en ce qui concerne la création et l'entretien des divisions de classes, ceci révélant l'écart important entre le discours officiel et l'expérience vécue. Au même moment, les grandes corporations du commerce des fourrures (institutions qui dominaient l'activité économique dans la région subarctique jusqu'au milieu du XXe siècle) dépeignaient également les Amérindiens comme des êtres imprévoyants par nature, ce qui leur permettait de justifier à la fois leur politique de ne pas utiliser l'argent en espèces pour les paiements ainsi que leurs fréquents efforts pour diminuer les sommes qu'elles accordaient en crédit aux Amérindiens. Toutefois, en pratique, la concurrence et la place grandissante occupée dans le Nord québécois et ontarien par les Eurocanadiens qui n'étaient pas directement impliqués dans la traite de fourrures compliquaient l'utilisation de l'argent, faisant souvent en sorte que la Compagnie de la Baie d'Hudson et ses principaux rivaux, en dépit des souhaits de leurs dirigeants, étaient obligés d'employer davantage l'argent. Néanmoins, la politique corporative adoptée par ces compagnies à partir du XVIIe siècle, qui consistait à n'utiliser qu'une seule monnaie d'échange (le castor) avec les Premières Nations, facilitait l'implantation de l'argent étatique dans le subarctique aux XIXe et XXe siècles. Un symbole particulièrement visible de sa souveraineté sur un territoire grandissant est ainsi fourni à l'État-nation canadien en plein essor. Cette thèse cherche à démontrer trois principaux points. Premièrement, elle soutient que l'argent doit être analysé à la fois sur les plans économique et politique, puisque l'espace monétaire dans le contexte colonial servait à légitimer l'autorité responsable de son maintien (quelles soit corporative ou étatique) tout en facilitant les activités du marché. Deuxièmement, elle affirme qu'en tant que phénomène fondamentalement social, l'argent fournissait un moyen par lequel certains acteurs arrivaient à imposer leur domination coloniale et d'autres réussissaient à résister à celle-ci ou à l'esquiver, ce dernier résultat étant souvent créé par l'application de la domination elle-même. Troisièmement, cette thèse affirme que l'histoire des relations entre les Premières Nations et les Eurocanadiens doit être examinée en des termes discursifs et matériels, car la juxtaposition de ces deux registres d'analyse distincts révèle des inconsistances importantes qui seraient autrement demeurées invisibles. \ud ______________________________________________________________________________ \ud MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Amérindiens, Huron-Wendat, Innu, Cri, Monnaie, Impérialisme, Formation de l'État, Département des affaires indiennes, Compagnie de la baie d'Hudson, XIXe siècle, XXe siècl
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