22 research outputs found

    Weibliches Leben und Leiden : ĂĽber Frauen in Frankfurt im 18. Jahrhundert

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    Rezension zu: Gisela Engel, Ursula Kern, Heide Wunder (Hrsg.) : Frauen in der Stadt – Frankfurt im 18. Jahrhundert, Ulrike Helmer Verlag , Königstein 2002, ISBN 3-89741-110-5, 240 Seiten, 19,90 Euro

    Historiographies humanistes : en regardant le passé, construire le présent

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    J’ai pris Alain Bouchart et sa Chronique comme point de départ en guise d’exemple d’une action de faire « voir le passé » comme partie du présent. Bouchart et l’édition d’Éginhard étaient des modèles pour des actions qui ne se sont pas contentées de la force imaginaire des textes pour établir une vision du passé, tandis que le texte de Paolo Giovio a profité des visions d’un passé de l’antiquité pour modeler sa vision du 16e siècle. Giovio, Cuspinian et Loisel livraient des exemples pour l’interaction des différents sens – voir, écouter, toucher (archéologie, ruines …) – dans l’écriture et la lecture. Voir le passé comme accès au passé favorise une expérience sensuelle assez précise qui demande certaines conditions pour pouvoir l’éprouver, donc des actions écrites qui visent cette expérience plutôt qu’une expérience « lectorale ». Bien sûr, les visions se distinguent les unes des autres : Une vision n’est pas forcément une expérience moins intellectuelle, tout au contraire, il est bien possible de lui assigner une perception ordonnée. En plus, les actions de produire des visions de passé obéissent à des règles et à des conventions culturelles (épistémologiques, esthétiques, …) qui demandent une réflexion de la vision. Pour le 16e siècle, il s’agit d’une production d’évidence par les images qui suggèrent être la seule vérité du passé.L’ensemble des exemples a montré comment les différents éléments d’un livre – la typographie, la mise en page – étaient utilisés conjointement pour renforcer une vision du passé. Toutes ces actions de faire voir du passé n’ont pas seulement laissé reconnaître les manipulations de la vision du passé, mais surtout des visions manipulées ou manipulatrices (au moins transformatrices) du présent. Le choix des extraits et des versions qu’on fait voir est aussi au 16e siècle une question de pouvoir, parce que, par eux, se décide la définition de ce qui fait partie du passé (comme dans le cas de la maison de Goethe).Du côté des lecteurs, ces exemples ont permis de réaliser le rapport entre expérience et vision : Comprendre ce qu’on regarde permet de voir ; ne pas comprendre ce qu’on regarde ou qu’on regarde quelque chose rend aveugle. Il y a des expériences indispensables pour comprendre quelque chose comme passé, pour découvrir une vision comme telle – et pour la bien juger

    Travailler avec le Grihl

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    Un anniversaire – c’est d’abord l’occasion de présenter des vœux. En Allemagne, l’anniversaire académique est l’occasion d’une « Festschrift » tristement conventionnelle que l’on peut traduire approximativement par « mélanges ». Pour le Grihl il faut le faire autrement, c’est sûr. Alors, je présente mes vœux, mais je les associe à une autre habitude allemande qui est en principe le privilège de celui qui fête son anniversaire, mais je la revendique pour moi : surtout pour Noël, mais parfois a..

    « De la nécessaire imitation des Français pour la conduite de sa vie »

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    Au « Zentrum zur Erforschung der Frühen Neuzeit » de Frankfurt/Main, pour ses dix ans d’existence, ainsi qu’à son fondateur et directeur, le professeur Klaus Reichert « Pensez donc ! Un programme en langue allemande affiché au tableau latin de l’honorable Université ! Une telle ignominie ne s’est jamais vue depuis que l’Université existe. Il s’en est fallu de peu que l’on ne vienne solemni processione asperger d’eau bénite l’honorable tableau d’affichage». C’est ainsi que, trente ans plus ta..

    Agir au futur - l’attente en mouvement

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    De quelle façon le futur fait-il partie de la réalité historique ? L'attente représente certainement une possibilité majeure de présence du futur puisqu'elle peut être comprise comme réflexion sur l’avenir. Mais pour percevoir l’attente dans l’histoire, il faut la mettre en mouvement, la discerner comme action, sinon elle reste immobile et donc trop vague pour devenir visible. En conséquence, nous analyserons ici des actions expectatives. Premièrement, c’est la raison pour laquelle nous avio..

    Wissenschaft und Traum: Legitimierung von Wissen in der FrĂĽhen Neuzeit

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    Traditionell wird in der Wahrnehmung der frühneuzeitlichen Wissenschaft die Nachprüfbarkeit von Wissen als grundlegendes Kriterium ihrer Neubegründung angenommen. Die experimentellen Praktiken erscheinen in den frühneuzeitlichen Naturwissenschaften als das rationale Verfahren, Wissenschaftlichkeit herzustellen. Diesen wird gemeinhin durch Inspiration erworbenes Wissen als konträr und dem Bereich der Künste zugehörig gegenübergestellt. Geträumte Äußerungen können jedoch durch die außergewöhnliche Wahrnehmungsform, auf die sie sich berufen, zwar zuweilen als subversiv, doch häufig gerade dadurch als rational erscheinen. Denn eine subversive Pose und von sozialen oder kulturellen Standards abweichende Positionierung kann sich durch die Berufung auf eine abweichende und exklusive Erkenntnisform ihrer Subversivität versichern und zugleich der Haltung eigene Autorität zuweisen. Dies kann, wie ich in meinem Beitrag zeigen möchte, gerade in Kontexten der frühneuzeitlichen Wissenschaftskonstituierung ein erfolgversprechender Weg sein, neue Erkenntnisse ebenso wie neue soziale und kulturelle Standards durchzusetzen. Durch die Präsentation einer Argumentation als Traum kann sowohl der Träumer seine eigene soziale und kulturelle (professionelle) Positionierung verschieben als auch dem Gegenstand seiner Argumentation eine andere Legitimität verleihen. Berührt ist damit also weniger der Bereich der Entdeckung von Wissen sondern vielmehr als Teil einer "Sozialgeschichte der Wahrheit" im Sinne Steven Shapins die Rechtfertigung und Legitimierung von Wissen und Wissensformen in der akademischen Konkurrenz. In das Zentrum meines Referates möchte ich astronomische Schriften Johannes Keplers stellen. Gegebene Kontexte des Themas sind die sozialen und kulturellen Beziehungen zwischen Wissenschaft und Kunst, zwischen Naturwissenschaft (insbesondere Astronomie) und Naturphilosophie und Theologie. Die Analyse wird sich deshalb an folgenden Fragenkomplexen orientieren: A. In welchen Bereichen der Wissenschaften und der gelehrten Welt werden Träume als eine Möglichkeit anerkannt, den Wissensstand zu verbessern? Wie sind daraufhin die Effekte auf das Wissen, wenn Träume anerkannt werden. Wie also verändern Träume die Qualität der Wissenschaft ? B. Wer träumt über welche Themen, wessen Träume werden von der wissenschaftlichen Disziplin anerkannt und wo finden sich soziale und kulturelle Grenzen? C. Wie verändern und beeinflussen die sozialen Orte des Wissens wie Hof, Universität, Akademie u.a. die Formen des Wissens? Naturwissenschaft und Literatur Seit ungefähr 1610 konzipierte Johannes Kepler seinen Somnium. Dieses erst posthum 1634 gedruckte Werk über die Mondastronomie erzählt in einer vielfachen Maskierung die Reise eines Dämons zum Mond. Kepler erzählt, er sei nach seiner Beobachtung von Mond und Sternen für außergewöhnliche Wahrnehmungen empfänglich gewesen. Dann habe er geträumt, er würde in einem Buch eine Geschichte lesen, erzählt von einem gewissen Duracato, Sohn einer Hexe aus Island. Duracato und seine Mutter Fiolxhilde habe der Dämon wiederum die Geschichte seiner Reise und die lunare Astronomie berichtet. Kepler weicht auf die literarische Form der Traumerzählung aus, um das anerkannte geozentrische Konzept anzugreifen. Durch den Traum kann er sich einerseits selbst vom Inhalt des Textes distanzieren und seine eigene Verantwortung für die Argumentation reduzieren. Paolo Rossi meint, die Verschleierung von Erkenntnis charakterisiere wissenschaftliche Verfahrensweisen im 17. Jahrhundert. An diesem Punkt verhelfe der Anspruch der Literatur, Wahrheit zu verkünden, den wissenschaftlichen Hypothesen zu Autorität. Paolo Rossi nennt als Beispiele für diese Methode Descartes und Galilei. Man kann auch auf die Diskussion des Traumgedichts von Petrus Lotichius Secundus über die Zerstörung Magdeburgs in Zedlers Universallexikon verweisen, in der das Für und Wider für die Annahme eines prophetischen Charakters abgewogen wird. Kepler nutzt als

    La Grande guerre qui n’a pas eu lieu – agir au futur dans l’historiographie

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    The great war who takes not place – acting on future in historiography. In a retrospective view, the years 1605-1610 build the last years of King Henry IV’s reign with the crisis of Jülich and Kleve as major element. The two sources taken in consideration in this contribution represent two possibilities of writing expectations, more nearby one to the other than it seems in first view. First, Pierre de l’Estoile’s Journal, who documents and constitutes the space of experiences for the whole family. The journal holds several temporal perspectives: One present for every day, who is expanded to a perspective of a short-time past but also to a future, formulating expectations – and finally a reflexive perspective, virtually out of all temporality.The second source, the « décade contenant la vie et les gestes de Henry le Grand, Roy de France et de Navarre IIII du nom » of Jean-Baptiste Legrain is a semi-official historiography. But before all, it is a historiography who reflects the distinct state of knowledge for the different actors and the different human and natural elements (as an eclipse of the sun or Siamese twins) who influence the events, the history.The possibilities to act with and on expectations appear as questions of a kind of rationality, but primarily as questions of power. The narrations of Pierre de l’Estoile and Jean-Baptiste Legrain show the power in the event. The king is the creator of the history and so the master of the expectations of his subjects – but also of his opponents. The passive expectations show on the other side the subordination of the subjects, the recognition of a complete dependence

    Autopsie und Convivium : Wissenskulturen des 16. Jahrhunderts als Beispiel fĂĽr kulturelle Transformationen

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    Ziel des Artikels ist es, die Produktivität der Transformationstheorie, die am Berliner SFB 644 "Transformationen der Antike" zur Analyse kulturellen Wandels entwickelt wurde, zu belegen. Zu diesem Zweck werden Phänomene des kulturellen Wandels in den Wissenskulturen des späten Mittelalters und der Frühen Neuzeit untersucht. Aus der Sicht der Berliner Transformationstheorie ist ein hervorstechendes Charakteristikum kulturellen Wandels seine allelopoietische Struktur: Jede kulturelle Transformation setzt sich aus bidirektionalen, interagierenden, reziproken Phänomenen des Wandels in einer Aufnahmekultur und einer oder mehreren Referenzkulturen zusammen. Der Artikel behandelt deshalb soziale, epistemische und lehrende Praktiken und bezieht sich dabei zuvorderst auf 'convivia' und Akademien, Autopsie als besondere wissenschaftliche Methode und Disputationen und Deklamationen als akademische, universitäre Praktiken im 16. Jahrhundert. In all diesen Bereichen werden die Transformationen in einem andauernden Kampf um kulturelle und soziale Geltung verwirklicht, die durch die 'agency' einer Vielzahl vielfältiger Akteure und Agenten (wie Medien, Gattungen usw.) beeinflusst werden
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