45 research outputs found

    De l'autre côté du miroir : la poésie de Ph. Jaccottet traduite en allemand /

    Get PDF

    Mahmoud Darwich, poète troyen : pour un éloge des vaincus

    No full text
    International audienc

    Traduire en langue française en 1830

    No full text
    International audienceL’année 1830 a marqué l’histoire de l’Europe et de la France : indépendance de la Grèce et de la Belgique, avènement d’un régime monarchique constitutionnel autour du roi Louis-Philippe (Monarchie de Juillet), prise d’Alger, bataille d’Hernani autour de V. Hugo à Paris, publication du roman de Stendhal Le Rouge et le Noir, etc. Cette riche actualité tant politique que littéraire, placée sous le signe du romantisme, va de pair, en France, avec une intense activité éditoriale (libéralisation des lois sur la presse) et une ouverture vers l’étranger qui se reflète tout particulièrement dans la publication de traductions. Que/qui traduit-on en langue française en 1830 ? Quelles sont les langues les mieux représentées ? Les traducteurs les plus actifs ? Incluant les pays francophones frontaliers (Suisse, Belgique) mais aussi les pays européens (voire extra-européens) ayant eu des liens linguistiques avec la France, ce sondage sur l’année 1830 effectué dans divers supports éditoriaux allant des revues aux anthologies en passant par les manuels scolaires, permet de dresser une première esquisse du paysage traductologique de langue française à un moment charnière du XIXe siècle

    La traduction de la poésie grecque moderne dans l’anthologie des Poésies européennes de Léon Halévy (1830)

    No full text
    En 1830 paraît chez l’éditeur Delaforest à Paris une anthologie de textes poétiques traduits de divers pays d’Europe intitulée Poésies européennes et signée par l’écrivain Léon Halévy. Il ne s’agit pas, à vrai dire, d’une première édition (cette dernière date de 1827). La republication très rapide du titre (en 1828, puis 1830, année qui nous occupera ici) témoigne de la réelle popularité de cet ouvrage, qui connaîtra par ailleurs une édition postérieure (en 1833). La particularité de ce recue..

    L’Afrique du Nord, un nouveau centre littéraire français entre 1940 et 1944 ? L’exemple de « Tunisie française littéraire » au miroir de la traduction

    No full text
    The German Occupation of France (starting in summer 1940) brought about a brutal reclassification of literary values and a redefinition of “center” and “periphery” in the French Republic of Letters. The outcome of this phenomenon is particularly interesting in North Africa between 1940–1944. Indeed, the periodical Fontaine (edited in Algiers by Max Pol Fouchet), as well as Tunisie française littéraire (edited in Tunis under the aegis of Armand Guibert and Jean Amrouche), express a strong desire to take over a Parisian “center” discredited by the Occupation and the Collaboration, and create new “literary capitals” on the fringes of the metropolis. This paper focuses on Tunisie française littéraire (a very influential publication in North Africa during the war, to which A. Camus and G. Stein contributed), analyses the role of cultural mediation played by literary journals geographically “peripheral” and their members in an attempt to redefine the contours of the “center” (Paris) and the “periphery” (the French colonial Empire) — an initiative where translations, particularly of indigenous authors, proved to be an important issue.The German Occupation of France (starting in summer 1940) brought about a brutal reclassification of literary values and a redefinition of “center” and “periphery” in the French Republic of Letters. The outcome of this phenomenon is particularly interesting in North Africa between 1940–1944. Indeed, the periodical Fontaine (edited in Algiers by Max Pol Fouchet), as well as Tunisie française littéraire (edited in Tunis under the aegis of Armand Guibert and Jean Amrouche), express a strong desire to take over a Parisian “center” discredited by the Occupation and the Collaboration, and create new “literary capitals” on the fringes of the metropolis. This paper focuses on Tunisie française littéraire (a very influential publication in North Africa during the war, to which A. Camus and G. Stein contributed), analyses the role of cultural mediation played by literary journals geographically “peripheral” and their members in an attempt to redefine the contours of the “center” (Paris) and the “periphery” (the French colonial Empire) — an initiative where translations, particularly of indigenous authors, proved to be an important issue.The German Occupation of France (starting in summer 1940) brought about a brutal reclassification of literary values and a redefinition of “center” and “periphery” in the French Republic of Letters. The outcome of this phenomenon is particularly interesting in North Africa between 1940–1944. Indeed, the periodical Fontaine (edited in Algiers by Max Pol Fouchet), as well as Tunisie française littéraire (edited in Tunis under the aegis of Armand Guibert and Jean Amrouche), express a strong desire to take over a Parisian “center” discredited by the Occupation and the Collaboration, and create new “literary capitals” on the fringes of the metropolis. This paper focuses on Tunisie française littéraire (a very influential publication in North Africa during the war, to which A. Camus and G. Stein contributed), analyses the role of cultural mediation played by literary journals geographically “peripheral” and their members in an attempt to redefine the contours of the “center” (Paris) and the “periphery” (the French colonial Empire) — an initiative where translations, particularly of indigenous authors, proved to be an important issue

    Poésie et autotraduction

    No full text
    International audienceDe tout temps, les poètes ont traduit ou se sont traduits. Cependant, la question du pourquoi de cette dernière pratique n'a encore jamais été vraiment posée. Qu'est-ce qui peut susciter chez un poète la vocation à l'autotraduction ? Une simple prédisposition linguistique ou bien le signe d'un rapport plus subtil au langage et à ce qu'est, pour eux, la poésie ? Cette étude se propose de formuler quelques hypothèses à partir des témoignages livrés par les poètes eux-mêmes, au plus près de leur øe uvre

    La Poésie moderne, courants et méthodes

    No full text
    International audienceCet ouvrage propose un parcours de l'histoire de la poésie française moderne depuis le tournant du XXe siècle jusqu'à nos jours.Menée au plus près de textes choisis parmi un éventail très large d'auteurs et accompagnée de nombreux repères historiques, l'analyse permet de suivre pas à pas l'évolution des courants et des poètes qui ont fait ce siècle. Le choix d'une double perspective chronologique et thématique permettra au lecteur d'apprécier la vitalité et le renouvellement constant du genre poétique, confirmant en cela les propos de Robert Desnos pour qui «il est significatif de constater qu'en dépit des époques et événements la poésie se perpétue».Une importante partie méthodologique composée d'un précis de versification, de modèles d'explication, de commentaire et de dissertation, ainsi que d'un glossaire, a pour but d'offrir aux étudiants de classes préparatoires, de 1er et 2e cycles universitaires et de concours, les outils indispensables à la compréhension puis à l'explication des textes poétiques français

    Traduire en langue française en

    No full text
    L’année 1830 a marqué l’histoire de l’Europe et de la France : indépendance de la Grèce et de la Belgique, avènement d’un régime monarchique constitutionnel autour du roi Louis-Philippe (Monarchie de Juillet), prise d’Alger, bataille d’Hernani autour de V. Hugo à Paris, publication du roman de Stendhal Le Rouge et le Noir, etc. Cette riche actualité tant politique que littéraire, placée sous le signe du romantisme, va de pair, en France, avec une intense activité éditoriale (libéralisation des lois sur la presse) et une ouverture vers l’étranger qui se reflète tout particulièrement dans la publication de traductions. Que/qui traduit-on en langue française en 1830 ? Quelles sont les langues les mieux représentées ? Les traducteurs les plus actifs ? Incluant les pays francophones frontaliers (Suisse, Belgique) mais aussi les pays européens (voire extra-européens) ayant eu des liens linguistiques avec la France, ce sondage sur l’année 1830 effectué dans divers supports éditoriaux allant des revues aux anthologies en passant par les manuels scolaires, permet de dresser une première esquisse du paysage traductologique de langue française à un moment charnière du XIXe siècle. Le colloque « Traduire en langue française en 1830 » a été organisé par Christine Lombez, Professeur de Littérature comparée à l’Université de Nantes, dans le cadre du projet HTLF (Histoire des Traductions en Langue française, à paraître aux éditions Verdier)
    corecore