7 research outputs found

    Age-Friendly Standards Around ICT

    Get PDF
    As the European population ages, there is an escalating need for age-friendly standards to support development of effective products and services involving information and communication technologies (ICT), thereby improving usability for all consumers, including older people. Co-production with users through inclusive and participatory processes provides several benefits to standardization, including enhanced understanding of market needs, clearer identification and mitigation of risks, and increased legitimacy of the standards developed. Ideally, co-production includes users from a range of backgrounds. However, older people, especially those aged over 80 years, are often the least likely in the population to be involved. This paper reports on barriers and challenges to inclusive co-production from the perspectives of a range of stakeholders participating in the European Commission-funded project PROGRESSIVE: Progressive Standards around ICT for Active and Healthy Ageing. It identifies potential ways to improve the participation of older people in the co-production of standards

    Guide - User Co-Production in Standardisation

    Get PDF
    Research within the H2020 PROGRESSIVE project has identified good practices in user co-production strategies and methodologies. Early findings from research in the PROGRESSIVE project were shared with relevant stakeholders outside the consortium for consultation and review. The outcomes of that initial investigation highlighted the need to focus on the objectives, processes, and methods used in user and older people co-production. This guide adapts these insights and makes them relevant specifically for standardisation in ICT for active and healthy ageing. This guide was approved by representatives of the PROGRESSIVE project on 22 February 2018. The consortium has requested comments from interested stakeholders in an enquiry from 1 March to 30 April 2018. The PROGRESSIVE guide was approved on 5 June 2018

    Age-Friendly Standards: The Challenge of Co-Production with Older People

    No full text
    As the European population ages, there is an escalating need for age-friendly standards to support development of effective products and services involving information and communication technologies (ICT), thereby improving usability for all consumers, including older people. Co-production with users through inclusive and participatory processes provides several benefits to standardization, including enhanced understanding of market needs, clearer identification and mitigation of risks, and increased legitimacy of the standards developed. Ideally, co-production includes users from a range of backgrounds. However, older people, especially those aged over 80 years, are often the least likely in the population to be involved. This paper reports on barriers and challenges to inclusive co-production from the perspectives of a range of stakeholders participating in the European Commission-funded project, PROGRESSIVE: Progressive Standards around ICT for Active and Healthy Ageing. It identifies potential ways to improve the participation of older people in the co-production of standards

    Validation of a predictive model coupling gas transfer and microbial growth in fresh food packed under modified atmosphere

    No full text
    Predicting microbial safety of fresh products in modified atmosphere packaging implies to take into account the dynamic of O2, CO2 and N2 exchanges in the system and its effect on microbial growth. In this paper a mechanistic model coupling gas transfer and predictive microbiology was validated using dedicated challenge-tests performed on poultry meat, fresh salmon and processed cheese, inoculated with either Listeria monocytogenes or Pseudomonas fluorescens and packed in commercially used packaging materials (tray + lid films). The model succeeded in predicting the relative variation of O2, CO2 and N2 partial pressure in headspace and the growth of the studied microorganisms without any parameter identification. This work highlighted that the respiration of the targeted microorganism itself and/or that of the naturally present microflora could not be neglected in most of the cases, and could, in the particular case of aerobic microbes contribute to limit the growth by removing all residual O2 in the package. This work also confirmed the low sensitivity of L. monocytogenes toward CO2 while that of P. fluorescens permitted to efficiently prevent its growth by choosing the right combination of packaging gas permeability value and initial % of CO2 initially flushed in the pack

    Le Moyen Âge en Amérique du Nord

    No full text
    En 1945, Gustave Cohen écrivait que le « De translatione studii [...] se prolonge vers l’Ouest dans le sens de la marche apparente du soleil », faisant référence à l’épanouissement des Mediaeval Studies outre-atlantique[1]. La fondation de la Mediaeval Academy of America à Harvard et de sa revue Speculum en 1925, ainsi que le don de John D. Rockfeller, la même année, qui permit l’acquisition de la collection et du bâtiment des Cloisters par le Metropolitan Museum, ont donné une impulsion à l’étude du Moyen Âge en Amérique du Nord qui n’est jamais retombée, et dont témoigne la création d’institutions qui ont joué un rôle majeur dans la diffusion de la médiévistique (le Pontifical Institute of Mediaeval Studies à Toronto ouvert en 1929 sous la houlette d’Étienne Gilson, l’Institut d’Études Médiévales d’Ottawa en 1930, l’Institut d’Études Médiévales de l’université de Notre Dame en 1946). Aujourd’hui, une grande partie de la recherche sur le Moyen Âge s’effectue au Canada et aux États-Unis. Universités, instituts, bibliothèques et musées contribuent largement à la production et à la diffusion des discours et des savoirs. Ce nouveau numéro de Perspectives médiévales a souhaité rouvrir le dossier des études médiévales en Amérique du Nord pour comprendre la spécificité de l’enseignement et de la recherche actuels sur le fait littéraire médiéval –, car il en est assurément une, liée à l’histoire des institutions, aux fonctionnements académiques propres au Nouveau Continent, mais aussi au développement des « studies » qui assurent à la création du savoir sur le Moyen Âge une assise théorique largement ignorée en France. La première partie du numéro, « Analyses », propose cinq contributions qui sont autant de réflexions qui permettent de cerner les modalités de cette transmission et de cette élaboration du savoir dans le champ de la médiévistique outre-Atlantique. Ce premier volet est accompagné de deux entretiens de Francis Gingras avec le Père Benoît Lacroix et Madeleine Jeay consacrés à l'Institut d'Études Médiévales de Montréal et qui éclairent ce développement au Canada. Le second volet reprend le premier sous l’aspect de la création littéraire aux États-Unis et propose des études de l’usage qui a été fait du Moyen Âge sur un continent qui ne l’a pas connu et qui entretient avec lui des relations ambiguës et ambivalentes, « entre fascination et répulsion » pour reprendre le titre donné par Delphine Louis-Dimitrov à la journée d’étude qu’elle a organisée le 10 avril 2015 et que nous publions ici. C’est ainsi l’esquisse des représentations littéraires et scientifiques du Moyen Âge européen en terre non-européenne, et pourtant si fortement et problématiquement liée à l’ancien continent, que propose ce nouveau numéro de Perspectives médiévales. Sébastien Douchet [1] Gustave Cohen, « Progrès des études médiévales aux Etats-Unis », Revue du Moyen Âge latin, 1945, p. 93

    Tendances actuelles de la critique en médiévistique

    No full text
    Pour ce nouveau numéro, Perspectives Médiévales a souhaité engager la réflexion sur les tendances actuelles de la pensée critique et de la recherche en médiévistique. Plusieurs axes ont été envisagés : la théorie littéraire, l'interdisciplinarité, la recherche à l'étranger. Nos lecteurs trouveront ici des coups de projecteur qui n'ont aucune prétention à l'exhaustivité. Mais nous espérons apporter quelques pierres destinées à construire la réflexion dans un débat qui n'est malheureusement pas encore assez au cœur de notre réflexion sur notre discipline : quelles relations la médiévistique entretient-elle avec la théorie littéraire ? On trouvera dans ce numéro des contributions qui brossent un passionnant panorama des rapports que la médiévistique a entretenu avec la théorie littéraire et de la façon dont elle s'est développée au XXe siècle (Patrick Moran et Alain Corbellari). Le développement récent des études de réception du fait littéraire médiéval vu au prisme du "médiévalisme" et de la "médiévalité" pose des questions cruciales d'ordre épistémologique que cernent avec acuité Michèle Gally et Vincent Ferré. Le point de vue de Mihaela Voicu et de Cătălina Gîrbea expose quant à lui une histoire de la médiévistique face aux vicissitudes politico-historiques d'un pays, la Roumanie, qui n'a jamais adbiqué sa passion pour l'étude du Moyen Âge. Marie Bouhaïk-Gironès et Estelle Doudet démontrent avec enthousiasme, précision et nuance l'apport d'une approche interdisciplinaire à notre connaissance du théâtre médiéval, non seulement genre littéraire, mais aussi pratique sociale et fait anthropologique. De même, Marion Uhlig apporte un éclairage essentiel sur la fécondité et les limites de la rencontre entre médiévistique et études post-coloniales, un domaine critique largement ignoré en France et largement frayé outre-atlantique. On trouvera enfin des contributions qui rouvrent les dossiers de champs critiques anciens et parfois délaissés pour discuter de leur actualité dans le champ littéraire médiéval : les approches junguienne (Leonardo Hincapié), griswardienne (Andrea Ghidoni) et l'anthropologie de Victor Turner (Teodoro Patera). Si l'on a pu parler à leur sujet d'effet de mode, quel bilan tirer de leur intérêt et de leur efficacité en terme d'analyse littéraire des dizaines d'années après leur élaboration ? Sébastien Douche
    corecore