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    La nécropole protohistorique du Grand Bassin II à Mailhac, Aude (VIe-Ve s. av. n. è.)

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    Fouillée au milieu du XXe siècle dans le cadre de sauvetages en milieu rural, la nécropole protohistorique éponyme du Grand Bassin‑II a livré 57 tombes et un bûcher funéraire datés entre le deuxième quart du VIe s. et le début du Ve s. av. n. è. L'étude du mobilier, de son mode de dépôt, de ses associations, mais aussi l'étude anthropologique et l'analyse de l'architecture, confirment ce qui avait été précédemment observé sur d'autres nécropoles contemporaines, en particulier l'évolution des pratiques funéraires à la fin du premier âge du Fer.Grand Bassin II was excavated during the mid twentieth century as part of a rural rescue excavation. The site produced 57 tombs and a funeral pyre dated to between the second quarter of VIth and beginning of Vth centuries BC. The study of the material culture, its mode of deposition and its associations, along with a physical anthropological analysis and a study of the architecture, confirms a series of trends identified on other contemporary necropoli, especially those relating to the development of funerary rites et the end of the early Iron Age

    Mobilier Ă©trusque en Languedoc occidental (VIe - Ve s. av. J.-C.)

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    This study considers the chronological and typological analysis of Etruscan material from early Iron Age sites in the Languedoc. The synthesis of the different classifications, especially those relating to Etruscan amphorae, permits the study of the typological differences of these objects based on the context of their utilisation ; within a domestic or funerary contexts. This study also allows us to consider the extent of the diffusion of these objects as well as their chronologies.Cette étude porte sur l'analyse et la répartition - chronologique et typographique - du mobilier étrusque présent sur les sites du Languedoc occidental au cours du premier âge du Fer. Elle permet, par une synthèse des différentes classifications, en particulier celles des amphores étrusques, de préciser les différences typologiques de ces objets selon leur contexte d'utilisation, en habitat ou en milieu funéraire, mais également leurs limites de diffusion et leurs différents schémas chronologiques.Hérubel Florence. Mobilier étrusque en Languedoc occidental (VIe - Ve s. av. J.-C.). In: Documents d'Archéologie Méridionale, vol. 23, 2000. pp. 87-112

    La nécropole protohistorique du Grand bassin II à Mailhac, Aude (VIe – Ve s. av. n. è.)

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    National audienceFouillée au milieu du XXe siècle dans le cadre de sauvetages en milieu rural, la nécropole protohistorique éponyme du Grand Basin II a livré 57 tombes et un bûcher funéraire datés entre le deuxième quart du VIe siècle et le début du Ve siècle av. n. è. L'étude du mobilier, de son mode de dépôt, de ses associations, mais aussi l'étude anthropologique et l'analyse de l'architecture, confirment ce qui avait été précédemment observé sur d'autres nécropoles contemporaines, en particulier l'évolution des pratiques funéraires à la fin du premier âge du Fer

    L'établissement côtier de Pech Maho (Sigean, Aude) aux VIe-Ve s. av. J.- C. (fouilles 1959-1979), Monographies d'Archéologie Méditerranéenne, 19

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    L'habitat protohistorique de Pech Maho (ou « Pech de Mau ») à Sigean, occupé entre le deuxième quart du VIe et les environs de 200 av. J.- C., a fait l'objet de fouilles désormais anciennes, initiées par Joseph Campardou puis développées par Yves Solier entre 1959 et 1979. Demeurés largement inédits, les résultats de ces campagnes successives ont fait l'objet d'un réexamen systématique qui permettent de dresser ici un bilan documentaire complet pour la phase I de l'oppidum, correspondant à la fin du premier Âge du Fer, soit l'intervalle milieu VIe-milieu Ve s. av. J.- C. Un nouveau regard est porté ici sur l'architecture et l'urbanisme correspondant aux premiers temps de l'occupation du site dont est rappelé le caractère fondamentalement indigène. Un certain nombre d'originalités sont relevées, qui traduisent l'assimilation précoce d'influences méditerranéennes. Celles-ci sont perceptibles à des degrés divers au travers de la complexité du système défensif, de l'utilisation de la brique crue ou encore de l'existence d'un urbanisme régulier. Concernant le faciès mobilier, Pech Maho se caractérise par un volume d'importations relativement élevé, signe d'une activité d'échange florissante pour laquelle on perçoit à la fois la multiplicité des intervenants et l'existence de réseaux bien établis où Marseille d'un côté, Ampurias de l'autre, jouent un rôle déterminant. Enfin, la mise en évidence de plusieurs phases d'occupation distinctes permet, au niveau du mobilier céramique, d'affiner une séquence chronologique durant laquelle des changements significatifs s'opèrent, tant au niveau statistique que typologique. Pech Maho est fondé au moment où se développent sur les rivages du Golfe du Lion les échanges commerciaux liés à la dynamique coloniale méditerranéenne. Celle-ci est largement à mettre au compte des Grecs, mais d'autres intervenants, notamment les Étrusques, jouent également un rôle essentiel. À l'interface entre les milieux terrestre et maritime, le site est en outre établi dans un secteur géographique privilégié, point d'articulation entre le bas-Languedoc occidental audois et le Roussillon. Dès le début de son histoire, il fait office de relais entre le monde indigène et la sphère méditerranéenne, au sens large du terme. Les relations avec la Péninsule Ibérique sont ainsi déterminantes, et permettent de replacer Pech Maho dans la dynamique culturelle qui aboutit au VIe s. à la constitution du faciès ibéro-languedocien
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