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Association between Socio economic Factors and Contraceptive Use among Married Women in Guinea and Mali: An Examination of the Demographic and Health Survey Data 2018
Introduction: Unintended pregnancies and unsafe abortions can seriously affect any sexually active women and have negative impacts on their personal and conjugal life, their families, and societies. unsafe abortions cause the death of thousands of women every year and lead millions more to suffer long-term reproductive problems, including infertility. Rarely any study has explored and compared the prevalence and associated factors of contraceptive use among married women in these two countries. AIM: Therefore, this study seeks to determine the association between socio economic factors and contraceptive use in two sub-Saharan African countries: Guinea and Mali. METHODS: Relevant data on contraceptive use among married women was extracted from the Guinean and Malian 2018 Demographic and Health Survey. Quantitative data was analyzed using the IBM SPSS STATISTICS version 28.0.1.1
RESULTS:89% of our respondents from Guinea and 85% of those from Mali were using no contraceptives. 35% of Malians had the intention to use it later against only 21% from Guinea and difference was statistically significant(p
contraceptives (OR=1.37; 95% CI 1.26-1.49) as compared to Mali and the difference was statistically significant at p \u3c 0.001. This is a critical finding compared to the univariate analysis. The poorest are more likely to use contraceptives than other classes; followed by the poorer and the difference was statistically significant. DISCUSSION: In Guinea and Mali, wealth and education have been consistently found to be positively associated with contraceptive use. These findings are constant with previous studies indicating that wealth and education have been reliably found to be completely correlated contraceptive use [Budu et al., 2022]. This may be due to the fact that rich people have more access to health facilities and health education. These results strongly advocate that educational programs should target the poor and those with low educational attainment to encourage family planning
Effets de la Covid-19 sur la distribution des revenus, la pauvreté et les inégalités : cas de la région de Dakar
L’objectif de cette étude est d’évaluer les effets des premières mesures restrictives liées à la pandémie de Covid-19 imposées par le gouvernement du Sénégal sur la distribution des revenus, la pauvreté et les inégalités sociales au sein des ménages dakarois. Nous avons recouru aux indicateurs FGT de pauvreté, aux mesures d’inégalités ainsi qu’à une régression logistique pour identifier les facteurs explicatifs de la pauvreté des ménages. Les résultats révèlent une baisse significative de 29% du revenu mensuel par tête des ménages et une hausse de l’incidence de pauvreté passant de 11% avant la Covid-19 à 23% durant la période restrictive de 2020. Si la taille du ménage et l’arrêt temporaire des activités augmentent le risque que le ménage bascule dans la pauvreté, toutefois, le niveau d’éducation joue un rôle important dans la réduction de ce risque de pauvreté. Par ailleurs, les restrictions de 2020 ont exacerbé les inégalités de revenu entre les ménages qui se sont davantage creusées même après la levée des mesures restrictives
Determinants of milk and meat yields of cattle in Senegal
L’objectif de cet article est d’identifier les déterminants du rendement de lait et de viande des bovins au Sénégal. Pour cela, nous avons utilisé un modèle à correction d’erreur de Johansen. Les résultats révèlent qu’à long terme l’alimentation est un déterminant significatif du rendement de lait et de viande des bovins. Le prix du lait et celui de la viande bovine agissent également positivement sur le rendement de lait et de viande de bovins. En revanche, le prix de la viande est négativement lié au rendement de lait des bovins.
Mots-clés: Bovins, Déterminants, Rendement, Lait, ViandeThe purpose of this article is to identify the determinants of the milk and meat yields of cattle in Senegal. To estimate our models, we used a Johansen error correction model. The results reveal that in the long term, feed is a significant determinant of the milk and meat yields of cattle. The price of milk and that of beef also have a positive effect on the yield of milk and beef. On the other hand, the price of meat is negatively linked to the milk yield of cattle.
Keywords: Cattle, Determinants, Yield, Milk, Mea
Solanum cultivar responses to arbuscular mycorrhizal fungi: growth and mineral status
A greenhouse experiment was carried out in a sandy soil with a low available phosphorus to evaluate responsiveness of four Solanum aethiopicum cultivars to indigenous arbuscular mycorrhizal fungi. Results showed clear interaction between genetic variability of cultivars and fungal isolates on shoot biomass and on mineral status. Arbuscular mycorrhizal fungi can be ranked as Glomus aggregatum > Glomus mosseae > Glomus versiforme for improving yield as well as nitrogen, phosphorus, and potassium acquisition of Solanum cultivars.
Key words: Arbuscular mycorrhizal fungi, Solanum aethiopicum, sterile soil, relative mycorrhizal dependency.
African Journal of Biotechnology Vol.2(11) 2003: 429-43
Impact d’une taxation à l’exportation de noix de cajou sur les revenus des ménages et de l’Etat au Sénégal : une application à l’aide d’un Modèle d’Equilibre Général Calculable
L’objectif de cet article est de mesurer l’impact d’une taxe à l’exportation de noix de cajou brutes sur les revenus des ménages et celui de l’Etat au Sénégal. En se basant sur le modèle PEP 1-1 de Decaluwé et al. (2010), nous avons utilisé le Modèle d’Equilibre Général Calculable (MEGC) statique pour simuler l’impact d’une taxe de 10% sur les exportations de noix de cajou sur les revenus des acteurs de la filière. Les résultats montrent qu’une taxe de 10% sur les exportations de noix de cajou aurait un impact négatif sur la valeur ajoutée de la branche anacarde. Cette politique aurait aussi un effet négatif sur le revenu et l’épargne des ménages urbains et ruraux. Néanmoins, une telle mesure permettrait au gouvernement d’avoir des ressources additionnelles dans le cadre de l’amélioration de sa politique commerciale
Rendements et pratiques des cultures maraîchères en agriculture biologique au Sénégal
Les rendements en agriculture biologique font l'objet de controverses et sont considérés comme plus faibles qu'en agriculture conventionnelle. En Afrique, l'agriculture biologique recouvre une grande diversité de pratiques et les rendements présentent de fortes incertitudes. Les analyses des rendements et des itinéraires techniques en agriculture biologique sont présentées pour trois cultures maraîchères au Sénégal. Les résultats sont ensuite comparés aux rendements usuels de l'agriculture conventionnelle. Deux types de données sont utilisés, provenant de parcelles d'agriculteurs : i) suivi de champs conduits selon des itinéraires techniques d'agriculture biologique vs. itinéraires techniques conventionnels ; ii) résultats issus des actions de l'organisation non gouvernementale ENDA-PRONAT, suivant un cahier des charges copié sur celui de l'agriculture biologique. Les suivis comparatifs de parcelles de chou pommé et de tomate en saison des pluies mettent en évidence des ratios de rendement agriculture biologique/conventionnelle de 74 et 40 % respectivement. Ces valeurs confirment la tendance générale des résultats de la littérature. Elles sont expliquées par une fertilisation azotée plus faible et l'absence de mesures de protection efficace contre les maladies et ravageurs des cultures. Les rendements en oignon des parcelles d'agriculture biologique chez les producteurs sont très variables : en moyenne de 19,4 t/ha à 11,0 t/ha suivant les années dans la zone des Niayes, 21,0 t/ha dans le Bassin arachidier et seulement 8,6 t/ha dans la vallée du fleuve Sénégal. Les rendements de la culture d'oignon au Sénégal observés dans la littérature varient aussi dans de grandes proportions, de 10,7 à 32 t/ha. Dans certains cas, les rendements en agriculture biologique sont supérieurs à ceux des itinéraires techniques de l'agriculture conventionnelle. Ce constat, déjà observé dans la littérature scientifique, montre que l'agriculture biologique est une voie de développement de l'agriculture à ne pas écarter en Afrique
Anesthesie au cours des ventriculocisternostomies au Mali : Une serie de 31 cas
Introduction La ventriculocisternostomie est une technique moderne du traitement des hydrocéphalies. Elle est peu fréquente en Afrique.
Objectif: Décrire la prise en charge anesthésique et l’évolution des patients opérés par ventriculocisternostomie.
Patients et Méthode: Etude de cohorte prospective de 15 mois de janvier 2014 au 31 mars 2015. La saisie et l’analyse des données ont été effectuées par Microsoft word 2010 Epi info 3.5.3.fr.
Résultats: Les nourrissons prédominaient avec un sexe ratio de 1,81 en faveur du sexe masculin. Un antécédent de méningite ou d’infection respiratoire à répétition a été retrouvé chez 10 patients (32,2%). L’indication de la ventriculocisternostomie était une hydrocéphalie chez 30 patients (96, 8%). La classe ASA était II chez 19 patients (61,3%). L’intubation était prévue difficile chez 28 patients (90,3%).Tous les patients ont été opérés sous anesthésie générale. Une antibioprophylaxie a été faite chez tous les patients. La tachycardie isolée a été le seul évènement indésirable per opératoire observé chez 13 patients (41,9%). La durée de la chirurgie était de 62, 25 ± 20,9 minutes celle de l’anesthésie était de 93,5 ± 25,4 minutes. En postopératoire, une complication a été observée chez 7 patients (22,6%). Il s’agissait d’une méningite chez 3 patients (42,9%), d’une souffrance cérébrale, d’une obstruction de la stomie, d’un abcès cérébral et une paralysie du nerf III dans 14,3% chacune (1 patient). L’évolution était favorable chez 29 patients (93,5%). La durée médiane d’hospitalisation était de 3 jours.
Conclusion: Au Mali, la prise en charge anesthésique au cours de la ventriculocisternostomie s’adresse à une population pédiatrique avec un terrain précaire.
English title: Anesthesia during endoscopic third ventriculostomy in Mali: A series of 31 cases
Introduction: Endoscopic Third Ventriculostomy (ETV) is a modern technique for the treatment of hydrocephalus. It is uncommon in Africa. Objective To describe ananesthesic management and the outcome of patients operated on by ETV. Patients and Methods Prospective cohort study over 15 months to January 2014 at 31 march 2015. The data entry and analysis were done by word office, Epi info 3.5.3.fr.
Results: Infants predominated with a sex ratio of 1.81 in favor of men. A history of meningitis or recurrent respiratory infection was found in 10 patients (32.2%). The indication of ETV was hydrocephalus in 30 patients (96.8%). The ASA class was II in 19 patients (61.3%). Intubation was expected to be difficult in 28 patients (90.3%). All patients were operated on under general anesthesia. Antibiotic prophylaxis was done in all patients. Isolated tachycardia was the only peroperative adverse event observed in 13 patients (41.9%). The duration of the surgery was 62.25 ± 20.9 minutes that of the anesthesia was 93.5 ± 25.4 minutes. Postoperatively, a complication was observed in 7 patients (22.6%). It was meningitis in 3 patients (42.9%), brain pain, obstruction of the stoma, brain abscess and nerve III paralysis in 14.3% each (1 patient). The outcome was favorable in 29 patients (93.5%). The median hospital stay was 3 days.
Conclusion: In Mali, anesthetic management during ETV is aimed at a pediatric population with precarious terrain
HIV Prevalence and Impact on Renutrition in Children Hospitalised for Severe Malnutrition in Niger: An Argument for More Systematic Screening
Background: In developing countries, malnutrition is a contributing factor in over 50 % of child deaths. Mortality rates are higher in underweight children, and HIV-infection is known to increase underweight. Our goals were to evaluate the prevalence of HIV among children hospitalised for severe malnutrition (SM) at the Niamey national hospital (Niger), and to compare renutrition and mortality by HIV-status. Methods: Retrospective study based on all children,5 years hospitalised for SM between January 1 st 2008 and July 1 st 2009. HIV-prevalence was the ratio of HIV+ children on the number of children tested. Duration of renutrition and mortality were described using survival curves. Results: During the study period, 477 children were hospitalised for SM. HIV testing was accepted in 470 (98.5%), of which 40 were HIV+ (HIV prevalence (95 % confidence interval) of 8.6 % (6.2–11.5)). Duration of renutrition was longer in HIV+ than HIV2 children (mean: 22 vs. 15 days; p = 0.003). During renutrition, 8 (20%) and 61 (14%) HIV+ and HIV2 children died, respectively (p = 0.81). Conclusion: Around 9 % of children hospitalised for severe malnutrition were HIV infected, while in Niger HIV prevalence i
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