23 research outputs found

    Modified laminar bone in Ampelosaurus atacis and other titanosaurs (Sauropoda): Implications for life history and physiology

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    Background: Long bone histology of the most derived Sauropoda, the Titanosauria suggests that titanosaurian long bone histology differs from the uniform bone histology of basal Sauropoda. Here we describe the long bone histology of the titanosaur Ampelosaurus atacis and compare it to that of basal neosauropods and other titanosaurs to clarify if a special titanosaur bone histology exists. Methodology/Principal Findings: Ampelosaurus retains the laminar vascular organization of basal Sauropoda, but throughout most of cortical growth, the scaffolding of the fibrolamellar bone, which usually is laid down as matrix of woven bone, is laid down as parallel-fibered or lamellar bone matrix instead. The remodeling process by secondary osteons is very extensive and overruns the periosteal bone deposition before skeletal maturity is reached. Thus, no EFS is identifiable. Compared to the atypical bone histology of Ampelosaurus, the large titanosaur Alamosaurus shows typical laminar fibrolamellar bone. The titanosaurs Phuwiangosaurus, Lirainosaurus, and Magyarosaurus, although differing in certain features, all show this same low amount or absence of woven bone from the scaffolding of the fibrolamellar bone, indicating a clear reduction in growth rate resulting in a higher bone tissue organization. To describe the peculiar primary cortical bone tissue of Phuwiangosaurus, Ampelosaurus, Lirainosaurus, and Magyarosaurus, we here introduce a new term, "modified laminar bone" (MLB). Conclusions/Significance: Importantly, MLB is as yet not known from extant animals. At least in Lirainosaurus and Magyarosaurus the reduction of growth rate indicated by MLB is coupled with a drastic body size reduction and maybe also a reduction in metabolic rate, interpreted as a result of dwarfing on the European islands during the Late Cretaceous. Phuwiangosaurus and Ampelosaurus both show a similar reduction in growth rate but not in body size, possibly indicating also a reduced metabolic rate. The large titanosaur Alamosaurus, on the other hand, retained the plesiomorphic bone histology of basal neosauropods.Fil: Klein, Nicole. Universitat Bonn; AlemaniaFil: Sander, P. Martin. Universitat Bonn; AlemaniaFil: Stein, koen. Universitat Bonn; AlemaniaFil: Loeuff, L. Jean.. Musée Des Dinosaures; FranciaFil: Carballido, José Luis. Provincia del Chubut. Fundación Egidio Feruglio. Museo Paleontológico ; Argentina. Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas; ArgentinaFil: Buffetaut, Éric. Centre National de la Recherche Scientifique; Franci

    Spinosaurid teeth from the Late Jurassic of Tendaguru, Tanzania, with remarks on the evolutionary and biogeographical history of the Spinosauridae

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    Buffetaut Éric. Spinosaurid teeth from the Late Jurassic of Tendaguru, Tanzania, with remarks on the evolutionary and biogeographical history of the Spinosauridae. In: Documents des Laboratoires de Géologie, Lyon, n°164, 2008. Mid-Mesozoic life and environments. Cognac (France), June 24th-28th 2008. pp. 26-28

    Les Dyrosauridae (Crocodylia, Mesosuchia) des phosphates de l'Eocène inférieur de Tunisie : Dyrosaurus, Rhabdognatus, Phospliatosaurus

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    A revision of the crocodilians from the early Eocene (Ypresian) phosphates of southern Tunisia shows that they all belong to the family Dyrosauridae. Dyrosaurus choumowitchi Bergounioux and D. berneti Bergounioux are shown to be junior synonyms of D. phosphaticus (Thomas), while D. variabilis Bergounioux is considered as a nomen dubium. «Rhabdosaurus» acutirostris Bergounioux is referred to the genus Rhabdognathus Swinton. Phosphatosaurus gavialoides Bergounioux is a large dyrosaurid with a massive skull and a crushing dentition ; its cranial anatomy is described in detail. Dyrosaurus phosphaticus was doubtless a fish-eating form, as also possibly Rhabdognathus acutirostris, while Phosphatosaurus gavialoides may have fed on turtles.Une révision des Crocodiliens des phosphates de l'Eocène inférieur (Yprésien) du Sud tunisien montre qu'ils appartiennent tous à la famille des Dyrosauridae. Dyrosaurus choumowitchi Bergounioux et D. bemeti Bergounioux se révèlent être des synonymes plus récents de D. phosphalicus (Thomas), alors que D. variabilis Bergounioux est considéré comme un nomen dubium. «Rhabdosaurus» acutirostris Bergounioux est rapporté au genre Rhabdognathus Swinton. Phosphatosaurus gavia-loides Bergounioux est un grand Dyrosauridé au crâne massif et à la denture broyeuse ; son anatomie crânienne est décrite en détail. Dyrosaurus phosphaticus était sans doute ichthyophage, ainsi peut-être que Rhabdognathus acutirostris, alors que Phosphatosaurus gavialoides se nourissait peut-être de tortues.Buffetaut Éric. Les Dyrosauridae (Crocodylia, Mesosuchia) des phosphates de l'Eocène inférieur de Tunisie : Dyrosaurus, Rhabdognatus, Phospliatosaurus. In: Géologie Méditerranéenne. Tome 5, numéro 2, 1978. pp. 237-255

    Euthecodon arambourgi n. sp., et l'évolution du genre Euthecodon, Crocodilien du Néogène d'Afrique

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    Description of new species of the Crocodilian genus Euthecodon . E. arambourgi, from the Burdigalian of Libya. Considerations upon the evolution of the genus which is known from the Burdigalian to the Villafranchian in Africa. The genus seems to have its roots in the Crocodylinae rather than the Tomistominae.Description d'une nouvelle espèce du genre Euthecodon E. arambourgi du Burdigalien de Gebel Zelten en Cyrénaïque (Libye). Etude de l'évolution du genre, qui est connu du Burdigalien au Villafranchien d'Afrique. Le genre semble s'enraciner dans les Crocodylinae et non dans les Tomistominae.Ginsburg Léonard, Buffetaut Éric. Euthecodon arambourgi n. sp., et l'évolution du genre Euthecodon, Crocodilien du Néogène d'Afrique. In: Géologie Méditerranéenne. Tome 5, numéro 2, 1978. pp. 291-301

    Révision de <i>Brachyoxylon rotnaense</i> Mathiesen, description de <i>B. serrae</i> n. sp. et conséquences pour la stratigraphie du Crétacé inférieur d'Asie du Sud-Est

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    Les niveaux mésozoïques du bassin de Muang Phalan au Laos ont livré des restes d\u27organismes continentaux (vertébrés, mollusques, bois). Les bois avaient été rapprochés d\u27une espèce connue dans le Lias du Danemark, Brachyoxylon rotnaense Mathiesen, alors que les vertébrés indiquaient plutôt le milieu du Crétacé. Une révision du matériel type de B. rotnaense, de celui de son synonyme taxonomique supposé Simplicioxylon hungaricum Andreánszky, des échantillons lao et de matériel nouveau thaïlandais permet de confirmer la synonymie taxonomique, d\u27infirmer le rapprochement du matériel lao et de l\u27espèce européenne et enfin de reconnaître une nouvelle espèce regroupant le matériel lao et thaï, décrite ici sous le nom de B. serrae n. sp. Cette nouvelle espèce de Brachyoxylon est caractérisée par la présence, dans la ponctuation radiale, de groupes de ponctuations contiguës très aplaties et de paires de ponctuations opposées dans de longues files unisériées araucariennes. Notre révision permet de lever l\u27ambiguïté stratigraphique et confirme la singularité biogéographique de la Péninsule indosinienne au Crétacé inférieur.The Mesozoic strata of Muang Phalan in southern Laos yielded fossils of terrestrial organisms (vertebrates, molluscs, wood). The latter was assigned to a species known from the Liassic strata of Denmark, Brachyoxylon rotnaense Mathiesen, whereas vertebrates are indicative of a late Early Cretaceous age. A revision of the type material for B. rotnaense and for its putative taxonomical synonym Simplicioxylon hungaricum Andreánszky, of the Lao material and of new material from Thailand allowed to: 1) confirm the taxonomical synonymy; 2) reject the assignment of the Lao material to the European species; and finally 3) to recognize a new species, here described as B. serrae n. sp., encompassing the Lao and Thai materials. This new species of Brachyoxylon is characterized by the occurrence, in the radial pitting, of clusters of much flattened contiguous pits and of pairs of opposite pits in otherwise long araucarian uniseriate rows. Our revision removed the stratigraphical ambiguity and confirmed the biogeographical peculiarity of Indosinian terrestrial biomes during the Early Cretaceous.</p

    [delta]18 O de l'apatite de vertébrés continentaux du Crétacé (implications paléoclimatiques et thermophysiologiques)

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    Ce travail s inscrit dans l optique globale de recherche et d établissement d un indicateur paléoclimatique terrestre pour le Mésozoïque à partir de l enregistrement isotopique des faunes de reptiles. L étude proprement dite s est concentrée exclusivement sur l isolation des signaux thermométriques enregistrés dans la composition isotopique de l oxygène (18O) des groupements phosphates contenus dans les bioapatites des dinosaures. La méconnaissance de leur statut métabolique, ainsi que la disparition brutale de l essentiel du groupe à la fin du Crétacé nous a toutefois contraints à comparer leur enregistrement isotopique avec celui des chéloniens et crocodiliens associés, reptiles encore représentés actuellement. Une équation de fractionnement phosphate eau a été établie pour les crocodiles actuels et sa similitude avec celle déjà établie pour les tortues aquatiques indique un fractionnement isotopique comparable chez ces deux reptiles. Des mesures réalisées sur les restes dentaires de divers taxons de dinosaures crétacés ainsi que sur les restes de crocodiles et tortues associées montrent une différence significative entre ces deux groupes, différence observée actuellement entre les mammifères (endothermes) et les reptiles (ectothermes). Interprétées en termes d écarts de températures, ces différences suggèrent que les dinosaures étaient endothermes et conservaient une température constante de l ordre de 37C quelle que soient celles de leur environnement. A partir de ces mêmes mesures, un gradient latitudinal de températures moyennes de l air a été calculé pour l intervalle Campanien supérieur Maastrichtien moyen. Ce gradient est relativement faible (0,4/Lat.) mais suggère l existence de glaces aux pôles. Il est par ailleurs en bon accord avec les estimations déjà publiées. La validité de cette méthode ouvre de nouvelles perspectives pour l étude des climats antérieurs au Crétacé terminal, ainsi que pour l approche de la thermophysiologie des vertébrés terrestres plus anciens.LYON1-BU.Sciences (692662101) / SudocLYON1 - UFR Sciences de la terre (692662208) / SudocSudocFranceF

    Brachyoxylon serrae Philippe & Suteethorn & Buffetaut 2011, sp. nov.

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    &lt;i&gt;Brachyoxylon serrae&lt;/i&gt; &lt;p&gt;M. Philippe, V. Suteethorn &amp; &Eacute;. Buffetaut, sp. nov.&lt;/p&gt; &lt;p&gt; &lt;i&gt;Brachyoxylon rotnaense&lt;/i&gt; auct. non Mathiesen: Serra, p. 469; pls 1-3; text-figs 1,2,4,5 (1963).&lt;/p&gt; &lt;p&gt; &lt;i&gt;Brachyoxylon&lt;/i&gt; nov. sp. Philippe &lt;i&gt;et al.&lt;/i&gt;: 322, text-fig. 3 (2004).&lt;/p&gt; &lt;p&gt;HOLOTYPE. &mdash; Bois 738 dans la collection Serra au Laboratoire de Pal&eacute;obotanique de l&rsquo;Universit&eacute; Paris VI, ensemble constitu&eacute; de quatre lames minces, l&rsquo;une radiale, deux autres tangentielles et la derni&egrave;re transversale (Fig. 1).&lt;/p&gt; &lt;p&gt;&Eacute;TYMOLOGIE. &mdash; En hommage &agrave; Madame Colette Serra (aujourd&rsquo;hui Colette Vozenin-Serra), entre autres pionni&egrave;re des &eacute;tudes pal&eacute;oxylologiques en Asie du Sud-Est et auteur de remarquables synth&egrave;ses pal&eacute;obiog&eacute;ographiques sur la flore du Sud-Est asiatique.&lt;/p&gt; &lt;p&gt;MAT&Eacute;RIEL EXAMIN&Eacute;. &mdash; Bois 738 (Muang Phalan, Laos) dans la collection Serra au Laboratoire de Pal&eacute;obotanique de l&rsquo;Universit&eacute; Paris VI; bois MP1228, 1245, 1247, 1248 (Fm. Phu Kradung, Isaan, Tha&iuml;lande) et MP 1221, 1276, 1292 (Fm. Waritchaphum, Isaan, Tha&iuml;lande) dans la collection Philippe au Laboratoire de Pal&eacute;obotanique de l&rsquo;Universit&eacute; Lyon-1.&lt;/p&gt; &lt;p&gt; NIVEAU TYPE. &lt;i&gt;&mdash;&lt;/i&gt; D&eacute;p&ocirc;ts m&eacute;sozo&iuml;ques connus sous le nom informel de &laquo;Gr&egrave;s Sup&eacute;rieurs &raquo;.&lt;/p&gt; &lt;p&gt; LOCALIT&Eacute; TYPE. &lt;i&gt;&mdash;&lt;/i&gt; Bassin de Muang Phalan au Laos.&lt;/p&gt; &lt;p&gt; DIAGNOSE. &mdash; Trach&eacute;idoxyle du morphogenre &lt;i&gt;Brachyoxylon&lt;/i&gt;, &agrave; la ponctuation radiale de type mixte et aux champs araucario&iuml;des; cernes pr&eacute;sents, &agrave; bois final limit&eacute; et bois initial irr&eacute;gulier; rayons tr&egrave;s majoritairement unis&eacute;ri&eacute;s, de hauteur vari&eacute;e; ponctuation radiale essentiellement unis&eacute;ri&eacute;e araucarienne &agrave; faible aplatissement, r&eacute;guli&egrave;rement constitu&eacute;e de paires oppos&eacute;es sur un ou deux niveaux; ponctuations parfois nettement espac&eacute;es, dans le bois final notamment, parfois en paquet de 5-6 ponctuations tr&egrave;s aplaties, ou encore parfois en courte cha&icirc;ne araucarienne bis&eacute;ri&eacute;e alterne; champs araucario&iuml;des &agrave; 5-9 (jusqu&rsquo;&agrave; 16) oculipores dans le bois initial et 3-5 dans le bois final.&lt;/p&gt; &lt;p&gt; DIAGNOSIS. &mdash; Tracheidoxyl referable to morphogenus &lt;i&gt;Brachoxylon&lt;/i&gt;, with mixed type of radial pitting and araucarioid cross-fields; growth-rings present, late wood ill-developed, early wood cells irregular; rays overwhelmingly uniseriate, their height variable; radial pitting mostly uniseriate araucarian, locally on one or two levels biseriate opposite, rarely biseriate araucarian on a short length; pits mostly rounded, albeit short clusters of much flattened contiguous pits rarely occur; cross-fields araucarioid, with oculipores, 5-9 (up to 16) in the early wood and 3-5 in the late wood.&lt;/p&gt; &lt;p&gt;DESCRIPTION DE L&rsquo; HOLOTYPE&lt;/p&gt; &lt;p&gt; Cette description a d&eacute;j&agrave; &eacute;t&eacute; faite par C. Serra, de fa&ccedil;on d&eacute;taill&eacute;e, et nos observations concordent avec les siennes.N&eacute;anmoins,il semble que les ponctuations radiales soient r&eacute;guli&egrave;rement conserv&eacute;es en &laquo; &lt;i&gt;Steinkerne&lt;/i&gt; &raquo; (Gothan 1905), et ces ponctuations pourraient &ecirc;tre majoritairement contigu&euml;s, quoique rondes ou faiblement aplaties.Localement peuvent &ecirc;tre observ&eacute;es des files de ponctuations fortement aplaties, comme l&rsquo;illustre Serra (1963: pl. 2, fig. 3), proche de celles d&eacute;crites pour &lt;i&gt;Protopodocarpoxylon orientale&lt;/i&gt; Serra (Serra 1969: text-fig. 3), ainsi que de rares et courtes files bis&eacute;ri&eacute;es araucariennes alternes. Localement aussi, le bois initial est curieusement h&eacute;t&eacute;rog&egrave;ne (Fig.1, holotype). Les structures allong&eacute;es axialement &agrave; contenu brun&acirc;tre que l&rsquo;on rencontre dans le bois final &agrave; deux niveaux sont d&rsquo;interpr&eacute;tation d&eacute;licate. Comme le souligne et l&rsquo;illustre Serra, ces structures ne sont pas tapiss&eacute;es de cellules s&eacute;cr&eacute;trices et elles sont travers&eacute;es par des rayons.Elles&laquo;s&rsquo;ins&egrave;rent&raquo; entre les trach&eacute;ides en coupe transversale, avec parfois un contour tr&egrave;s aplati tangentiellement ou digit&eacute;. Leur allure est lysog&egrave;ne, mais il pourrait s&rsquo;agir aussi des d&eacute;g&acirc;ts d&rsquo;une pourriture blanche, qui souvent respecte ainsi les rayons (Anagnost 1998; S&uuml;&beta; &amp; Velitzelos 2001).Quoi qu&rsquo;il en soit, l&rsquo;existence de structures traumatiques peut difficilement &ecirc;tre consid&eacute;r&eacute;e comme diagnostique au niveau g&eacute;n&eacute;rique (Philippe 1993).&lt;/p&gt; &lt;p&gt;DESCRIPTION DES AUTRES &Eacute;CHANTILLONS.&lt;/p&gt; &lt;p&gt; Le mat&eacute;riel tha&iuml; correspond bien avec l&rsquo;&eacute;chantillon lao. Sa pr&eacute;servation, une silicification survenue &agrave; un stade de d&eacute;gradation d&eacute;j&agrave; assez avanc&eacute;, ne permet pas des observations tr&egrave;s fines et surtout rend difficile la pr&eacute;paration de clich&eacute;s. La ponctuation radiale est tr&egrave;s majoritairement faite de ponctuations unis&eacute;ri&eacute;es rondes, contigu&euml;s ou l&eacute;g&egrave;rement espac&eacute;es, l&agrave; encore la conservation en &lt;i&gt;Steinkern&lt;/i&gt; rend difficile l&rsquo;appr&eacute;ciation.Environ 25 % des ponctuations sont clairement espac&eacute;es (Fig. 2A). La bis&eacute;riation des ponctuations est peu commune, habituellement sous la forme de (1) 2-3 (4) paires de ponctuations oppos&eacute;es contigu&euml;s (Fig. 2D), ou plus rarement sous la forme de courtes cha&icirc;nettes de ponctuation bis&eacute;ri&eacute;es alternes peu compress&eacute;es (Fig.2C). Localement on rencontre de courtes cha&icirc;nettes unis&eacute;ri&eacute;es de ponctuations contigu&euml;s aplaties (Fig. 2F, G). Les champs sont de type araucario&iuml;de (Fig.2E), avec jusqu&rsquo;&agrave; 12 oculipores, parfois entour&eacute;s d&rsquo;un contour elliptique (bois de compression?). De rares ponctuations tangentielles ont &eacute;t&eacute; observ&eacute;es, les m&eacute;nisques r&eacute;sineux sont fr&eacute;quents. Les rayons sont bas, unis&eacute;ri&eacute;s et homog&egrave;nes (Fig. 2B).&lt;/p&gt;Published as part of &lt;i&gt;Philippe, Marc, Suteethorn, Varavudh &amp; Buffetaut, Éric, 2011, Révision de Brachyoxylon rotnaense Mathiesen, description de B. serrae n. sp. et conséquences pour la stratigraphie du Crétacé inférieur d'Asie du Sud-Est, pp. 25-32 in Geodiversitas 33 (1)&lt;/i&gt; on pages 28-30, DOI: 10.5252/g2011n1a2, &lt;a href="http://zenodo.org/record/4596889"&gt;http://zenodo.org/record/4596889&lt;/a&gt

    Simplicioxylon hungaricum Andreánszky

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    &lt;i&gt;Simplicioxylon hungaricum&lt;/i&gt; Andre&aacute;nszky &lt;p&gt; &lt;i&gt;F&ouml;ldtani K&ouml;zl&ouml;ny&lt;/i&gt; 79: 250, text-fig. 1-6 (1949).&lt;/p&gt; &lt;p&gt; &lt;i&gt;Brachyoxylon rotnaense&lt;/i&gt; Mathiesen, &lt;i&gt;Soertryk&lt;/i&gt; &lt;i&gt;of Meddelelser fra Dansk Geologisk Forening&lt;/i&gt; 13: 434 pls 5-9, text-figs 1-6 (1957); &lt;i&gt;non&lt;/i&gt; Serra, &lt;i&gt;Comptes rendus du 88e Congr&egrave;s des Soci&eacute;t&eacute;s savantes&lt;/i&gt; 2: 469, pls 1-3, text-figs 1, 2, 4, 5 (1963).&lt;/p&gt; &lt;p&gt; &lt;i&gt;Brachyoxylon urkutense&lt;/i&gt; Greguss, &lt;i&gt;Fossil GymnospermWoods&lt;/i&gt; &lt;i&gt;in Hungary&lt;/i&gt;: 31, pl. 20, figs 1-9 (1967).&lt;/p&gt; &lt;p&gt; &lt;i&gt;Pseudagathoxylon eplenyense&lt;/i&gt; Greguss, &lt;i&gt;Magyar Allami F&ouml;ldtani Int&eacute;zet&lt;/i&gt;: 167, pls 1-7 (1974).&lt;/p&gt; &lt;p&gt; &lt;i&gt;Protocupressinoxylon liasinum&lt;/i&gt; M&uuml;ller-Stoll &amp; SchultzeMotel, &lt;i&gt;Zeitschrifft der deutschen geologischen Gesellschaft&lt;/i&gt;: 255, pl. 2 figs 8-12, text-fig. 1b (&lt;i&gt;non&lt;/i&gt; 1a) (1989).&lt;/p&gt; &lt;p&gt; MAT&Eacute;RIEL TYPE. &mdash; Conserv&eacute; au Mus&eacute;e de g&eacute;ologie de l&rsquo;universit&eacute; de Copenhague, sous le num&eacute;ro MMH9371; 67 lames de bois sont r&eacute;unies sous ce num&eacute;ro, associ&eacute;es &agrave; 7 lames montrant des rameaux feuill&eacute;s de type &lt;i&gt;Pagiophyllum peregrinum&lt;/i&gt; (Pomel) Saporta; m&ecirc;me si certains des d&eacute;tails figur&eacute;s par Mathiesen ont &eacute;t&eacute; trouv&eacute;s sur ces lames (e.g., pl. 8, fig. D), il est impossible de savoir si elles proviennent toutes d&rsquo;un seul fossile, si toutes ont &eacute;t&eacute; utilis&eacute;es, etc.; ces lames ne sont pas num&eacute;rot&eacute;es et doivent donc &ecirc;tre consid&eacute;r&eacute;es collectivement comme des syntypes; d&rsquo;un point de vue taxonomique, l&rsquo;examen d&eacute;taill&eacute; des lames n&rsquo;a pas permis de rep&eacute;rer de diff&eacute;rences significatives entre elles et la description donn&eacute;e par Andre&aacute;nszky pour &lt;i&gt;S. hungaricum&lt;/i&gt; ou le lectotype de ce taxon (propos&eacute; par Philippe en 1995); par rapport &agrave; la description donn&eacute;e en danois par Mathiesen, ou sa diagnose en anglais, le mat&eacute;riel revu montre une ponctuation radiale en majorit&eacute; constitu&eacute;e de longues files de ponctuations rondes unis&eacute;ri&eacute;es contigu&euml;s.&lt;/p&gt; &lt;p&gt;REMARQUES&lt;/p&gt; &lt;p&gt; Un traitement syst&eacute;matique et nomenclatural de &lt;i&gt;S. hungaricum&lt;/i&gt; a &eacute;t&eacute; propos&eacute; en 1995 (Philippe 1995) puis compl&eacute;t&eacute; &agrave; diverses occasions (Bar-backa &amp; Philippe 1997; Philippe &lt;i&gt;et al.&lt;/i&gt; 2006). Dans le travail de 1995 le bois danois d&eacute;crit par Mathiesen comme &lt;i&gt;B. rotnaense&lt;/i&gt; est mis en synonymie taxonomique avec &lt;i&gt;S. hungaricum&lt;/i&gt; sur la base d&rsquo;une structure particuli&egrave;re et commune des rayons, dont les cellules ont des extr&eacute;mit&eacute;s effil&eacute;es. Dans ce m&ecirc;me travail, le bois du Laos rattach&eacute; par Serra en 1963 &agrave; &lt;i&gt;B. rotnaense&lt;/i&gt; &eacute;tait &eacute;cart&eacute; de &lt;i&gt;S. hungaricum&lt;/i&gt; sur la base d&rsquo;une structure diff&eacute;rente des rayons. Toutefois les mat&eacute;riels types n&rsquo;avaient pas alors &eacute;t&eacute; r&eacute;vis&eacute;s. Par la suite le mat&eacute;riel hongrois a &eacute;t&eacute; revu (Barbacka &amp; Philippe 1997) et le lectotype choisi en 1995 a &eacute;t&eacute; localis&eacute; (quatre lames num&eacute;rot&eacute;es 270/x-1 &agrave; 270/x-4 au Mus&eacute;um hongrois d&rsquo;Histoire naturelle de Budapest). Le mat&eacute;riel danois n&rsquo;avait jamais &agrave; notre connaissance fait l&rsquo;objet d&rsquo;une r&eacute;vision depuis sa description. Du fait de l&rsquo;ant&eacute;riorit&eacute; (ICBN, McNeill &lt;i&gt;et al&lt;/i&gt;. 2006: art. 11.4), si l&rsquo;on accepte la synonymie taxonomique, alors &lt;i&gt;S. hungaricum&lt;/i&gt; est le nom l&eacute;gitime du taxon regroupant les mat&eacute;riels hongrois et danois (mais pas le mat&eacute;riel lao).&lt;/p&gt;Published as part of &lt;i&gt;Philippe, Marc, Suteethorn, Varavudh &amp; Buffetaut, Éric, 2011, Révision de Brachyoxylon rotnaense Mathiesen, description de B. serrae n. sp. et conséquences pour la stratigraphie du Crétacé inférieur d'Asie du Sud-Est, pp. 25-32 in Geodiversitas 33 (1)&lt;/i&gt; on page 27, DOI: 10.5252/g2011n1a2, &lt;a href="http://zenodo.org/record/4596889"&gt;http://zenodo.org/record/4596889&lt;/a&gt

    Histoire de la paléontologie / Éric Buffetaut,...

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    Collection : Que sais-je ? ; 2190Contient une table des matièresAvec mode text
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