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    Atlas des migrations en Méditerranée. De l'Antiquité à nos jours

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    Au travers de deux cents cartes, des illustrations, des extraits de sources historiques et des textes de synthèse rédigés par plus de soixante-dix spécialistes, historiens, géographes, anthropologues ou politologues, l’Atlas des migrations en Méditerranée de l’Antiquité à nos jours montre comment les migrations ont façonné les sociétés et les cultures méditerranéennes sur la longue durée. Il évoque les territoires et structures qui encadrent, contrôlent ou accompagnent les migrations (routes, frontières, ports, lieux d’accueil, cadres politiques et juridiques), les différents acteurs des mobilités (marchands, travailleurs, esclaves, hommes d’État, exilés et bannis, religieux, intellectuels, touristes ou artistes), avant de porter attention aux modalités de contact entre les migrants et les sociétés d’arrivée (invasions, colonisations, transferts, cosmopolitismes, xénophobie). Dans chacun des seize chapitres, les doubles pages thématiques, où se croisent les époques, laissent le choix d’une lecture continue ou fractionnée. L’ouvrage s’adresse à un lectorat curieux de mettre en perspective le phénomène migratoire qui, sous les feux de l’actualité, suscite des discours aux formules lapidaires et parfois outrancières

    Chapitre III. Les mouvements nationalistes radicaux

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    Après l’extrême droite et la gauche révolutionnaire, la mouvance nationaliste radicale constitue le troisième type d’acteurs à exprimer par la violence sa contestation de la réforme. Les groupes qui la composent héritent d’une double filiation. D’un côté, ils placent au cœur de leur projet politique la nation, entendue comme communauté ethnique, linguistique et culturelle, dont ils réclament le droit à exister de façon autonome. De l’autre, ils s’inscrivent dans le mouvement contestataire de ..

    Chapitre II. La gauche révolutionnaire

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    Plusieurs appellations se partagent la désignation de ces groupes d’une grande pluralité idéologique apparus dans les années 1960 dans l’ensemble du monde occidental : en Espagne, on parle de la « nouvelle gauche », de la « gauche radicale », de la « gauche révolutionnaire » ou de « l’extrême gauche ». Au-delà des déclinaisons idéologiques presque infinies, ces termes, que j’utiliserai indifféremment, désignent un mouvement caractérisé par des traits communs générationnels, culturels et polit..

    Volver sobre la Inmaculada Transición. El mito de una transición pacífica en España

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     El consenso puesto a prueba del conflicto : nueva mirada a la transición española

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    International audienc

    Le mythe de la transition pacifique. Violence et politique en Espagne (1975-1982)

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    Texte remanié de la Thèse de doctorat en histoire à l'université Paris 1 soutenue en 2006 : Violence et politique dans la transition démocratique espagnole, 1975-1982International audienc

    Conclusion. L’interprétation du cycle protestataire

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    Au terme de cette première approche des violences politiques contestataires rencontrées entre les années 1975 et 1982, quelques grandes lignes interprétatives méritent d’être soulignées. Un premier constat réside dans l’extrême fragmentation et hétérogénéité des acteurs en présence. Ceux-ci sont nombreux, comme en témoigne la prolifération des sigles tant du côté de la nébuleuse ultra que de celui de la constellation révolutionnaire. L’infinie déclinaison idéologique et la tendance au dogmati..

    Introduction

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    « La transition politique a commencé en Espagne », titrait le 17 novembre 1975 l’hebdomadaire contestataire Cambio 16. Trois jours plus tard, Franco trépassait à l’âge de 83 ans des suites d’une longue maladie. Après presque quarante années d’une dictature sans partage, le flambeau du pouvoir était transmis au dauphin désigné, le prince Juan Carlos de Bourbon, ouvrant la voie à une nouvelle étape dans l’histoire de l’Espagne, qualifiée de « transition » vers la démocratie. La « Transition », ..

    Introduction

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    UNE TRANSITION NON VIOLENTE ? L’EFFONDREMENT D’UN MYTHE Une première constatation émerge comme une évidence du corpus constitué selon les modalités décrites dans le chapitre précédent : la violence politique constitue pendant la transition un phénomène massif. Plus de 3 000 actions violentes en sept ans, plus de 700 morts dont près de 540 provoquées par les seuls acteurs protestataires (tableau 4, p. 54), ces chiffres qui ne représentent qu’un minimum sont considérables. Un rapide aperçu comp..

    Vérité, justice, réparation : de l’usage en Espagne de principes internationaux

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    International audienceOver the last decade, the implementation of the internationally defined principles "Truth, justice, reparation" has become imperative within the Spanish movement for the recovery of historical memory in regards to the legitimate rights of the Republican victims of Francoism. The following paper aims to analyze this progressive diffusion of the transnational culture of Transitional justice in Spain with regard to the peculiarities of the history of the peninsula.Au cours de la dernière décennie, la formule « vérité, justice, réparation » s’est imposée au cœur du mouvement de récupération de la mémoire historique pour désigner les droits légitimes des victimes du franquisme, suivant en cela des principes définis à l’échelle internationale. L’article a pour objectif d’analyser cette insertion progressive de la culture transnationale de justice transitionnelle en Espagne au regard des enjeux propres à l’histoire de la péninsule
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