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    Development of the Rental Housing Market in Latin America and the Caribbean

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    Experience in northern and developed countries suggests that a well functioning rental sector (potentially including both social and private renting) is an important component of a complete and effective housing system, offering more solutions to meet a full spectrum of demands and needs. As such, it is appropriate to explore the opportunities for the Bank to support the rental options alongside the traditional lending and program focus that has generally favored homeownership. This paper seeks to outline the existing tenure patterns across Latin American and Caribbean (LAC) countries, identify the prerequisite features of effective rental sectors- based on experience in developed OECD countries-, and outline the necessary steps to develop and expand the rental sector in LAC countries. This includes consideration of both the private (private investors) and community rental sector (community based nonprofit and cooperative ownership).Housing, Rental Housing Market; Latin America and the Caribbean; Latin America; Caribbean, LAC

    The Progressivity of Income Taxation: A Comparison between Quebec and Ontario

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    This study compares the progressivity of the income tax of Quebec and Ontario. After observing the predominance of income taxation in Quebec and Ontario, by way of international and interprovincial comparisons and illustrating the presence of progressivity in both provinces, progressivity indicators are described. Using these indicators, we measured the progressivity of the Quebec and Ontario tax systems for four different family situations and six levels of income. The results show that in certain situations, Quebec’s tax system is more progressive while in others, the reverse is true. More specifically, Quebec’s tax system is more progressive for changes in income at the lower end of the income scale while in general Ontario’s system is more progressive for higher incomes. These results confirm the greater concentration of Ontario’s income tax on high-income taxpayers that we have previously illustrated in the study. L’étude compare la progressivité des impôts sur le revenu du Québec et de l’Ontario. Après avoir constaté l’importance de l’imposition du revenu au Québec et en Ontario, par des comparaisons internationales et interprovinciales, et avoir illustré la présence de progressivité dans les deux cas, nous présentons des indicateurs de progressivité. À l’aide de ces indicateurs, nous avons mesuré la progressivité des régimes d’imposition québécois et ontarien pour quatre situations familiales différentes et pour six niveaux de revenus. Les résultats montrent que, dans certaines situations, la progressivité est plus grande au Québec alors que, dans d’autres cas, la progressivité est supérieure en Ontario. Plus précisément, la progressivité est plus grande au Québec pour les variations de revenus au bas de l’échelle des revenus tandis qu’elle est en général plus élevée en Ontario pour les revenus supérieurs. Ces résultats confirment la plus grande concentration de l’impôt ontarien sur le revenu auprès des contribuables à revenu élevé que nous avions précédemment illustrée dans l’étudeQuebec, Ontario, progressivity, income tax, tax policy, indicator, Québec, Ontario, progressivité, impôt sur le revenu, politique fiscale, indicateur

    Le secteur industriel traverse une crise : Les politiques gouvernementales ont-elles un rôle à jouer pour l’aider? Un survol

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    La récente flambée des prix du pétrole dope la valeur du dollar canadien et crée un choc asymétrique entre les différents secteurs d’activités économiques. Alors que le secteur pétrolier en sort gagnant, le secteur manufacturier est particulièrement frappé par la prise de valeur du dollar canadien. Étant donné la répartition très régionale des secteurs pétrolier et manufacturier, nous nous retrouvons devant un choc asymétrique des termes de l’échange qui affecte différemment les provinces canadiennes. Le choc pétrolier mondial a fait passer le prix du baril de pétrole de 45,4 dollars à 77,4 dollars entre janvier 2004 et janvier 2006, une hausse de 70,2 %. Cependant, ce même choc pétrolier a eu des effets sur la demande de dollars canadiens. Au cours de la même période, le dollar canadien est passé de 75,5 cents américains à 87,8 cents américains. La forte prise de valeur du dollar rend moins concurrentielles les exportations du secteur manufacturier. Sur le plan de l’emploi, notons qu’entre le 1er janvier 2005 et le 1er janvier 2006, il s’en est créé 414 300 hors du secteur de la fabrication au Canada. Toutefois, la création nette d’emplois s’élève à 269 300, puisqu’elle cache une perte de 145 000 emplois dans le secteur de la fabrication au cours des douze derniers mois. De ce nombre, 33 300 ont été perdus au Québec et 80 200 en Ontario. Au total, c’est 6,4 % des emplois du secteur de la fabrication qui a été éliminé

    Fiscalité comparée : Comparaison de l’importance des recettes fiscales par rapport au PIB – le Québec en regard du G7, de l’OCDE et de l’UE

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    L’étude compare le poids des recettes fiscales par rapport au PIB qui prévaut au Québec en regard de la moyenne du G7, de l’OCDE et de l’Union européenne. Pour y parvenir, les auteurs exposent la notion de prélèvements obligatoires et les éléments à prendre en compte dans sa composition. Par la suite, les limites de ce concept sont exposées. Après avoir constaté une disparité dans les prélèvements obligatoires au sein du G7, l’évolution du taux de pression fiscale montre une tendance à la baisse, sans pour autant réduire les disparités existantes. Enfin, les auteurs explorent l’évolution des modes de prélèvements pour les grands pays industrialisés (G7) selon différentes répartitions : prélèvements fiscaux versus sociaux; directs versus indirects; proportionnels versus progressifs; particuliers versus sociétés. Bien que le Québec suive la tendance observée, il se singularise par le maintien d’une forte utilisation de l’impôt sur le revenu permettant une plus faible utilisation de la taxation de la consommation et des prélèvements sociaux à un taux à moitié moindre que les taux moyens du G7, de l’OCDE et de l’UE

    L'imposition implicite des revenus additionnels : Comment se compare le Québec?

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    Dans certaines situations particulières, il arrive qu'un accroissement minime du revenu entraîne une forte hausse marginale de la charge fiscale, même lorsque les revenus demeurent modestes. Ce phénomène, appelé imposition marginale implicite, est bien connu et fréquemment illustré. Déjà en 1984, le Livre blanc sur la fiscalité des particuliers' exposait la problématique. L'imposition marginale implicite résulte de la coexistence de deux mécanismes distincts, les deux étant définis en fonction du revenu du contribuable : le régime fiscal définit un prélèvement sur une partie du revenu, déterminé en fonction de l'importance de ce revenu; les programmes de transferts, mis en place afin de verser un transfert financier complémentaire à certains citoyens, sont aussi calculés en fonction de l'importance du revenu (programmes sociaux ou allégements fiscaux). Ainsi donc, l'imposition marginale implicite vient du fait que ces deux régimes se relaient, voire se chevauchent, lorsque le revenu du contribuable concerné atteint ou dépasse un certain seuil. La transition est parfois étroite, avec pour résultat que, pour certains contribuables, une augmentation limitée des revenus entraîne simultanément une réduction des transferts dont ils bénéficiaient jusque-là et l'apparition — ou une augmentation — d'un impôt à payer. C'est dans ce contexte que l'addition de la réduction de transferts et de l'augmentation d'impôt accapare une fraction, parfois fort importante, du revenu additionnel que le citoyen vient d'obtenir. Ce taux d'imposition implicite prend donc en considération le montant des impôts et des cotisations à payer ainsi que les montants de crédits d'impôt et de programmes sociaux sacrifiés pour chaque dollar de revenu supplémentaire. Pourquoi accorder une importance particulière à l'imposition marginale implicite? Les contribuables réagissent aux gains marginaux de revenus. La théorie économique énonce souvent que l'incitation au travail sera inversement proportionnelle au taux d'imposition qui s'applique à un dollar de revenu additionnel2. L'incitation au travail serait donc plus faible en présence d'imposition marginale implicite élevée. En outre, pour de très bas revenus, une « trappe d'inactivité » peut se créer, rendant difficile le retour sur le marché du travail pour les bénéficiaires de programmes de sécurité du revenu. Il peut également exister une « trappe de pauvreté » lorsque les contribuables déjà sur le marché du travail sont entraînés, par un manque d'incitation, à ne pas augmenter la quantité de travail. Dans chaque cas, l'imposition marginale implicite élevée constitue un frein au travail. L'objectif de la présente étude est de mesurer cette imposition marginale implicite au Québec et de la comparer à celle prévalant en Ontario, dans les pays du G7 et dans certains pays scandinaves, et ce, pour quatre situations familiales

    À propos de la traduction d’un poème d’Auden

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    Le dernier mot

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    Mauvaises terres à dévorer : G.-A. Vachon, traducteur des Badlands

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    Compte rendu: Elodie Rousselot. Re-Writing Women into Canadian History : Margaret Atwood and Anne Hébert, Éditions L’instant même

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    Résumé non disponibl
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