6 research outputs found

    Evaluating the skill level of health sector workers Alia Saleh Hospital - Tebessa

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    تسلط هذي الدراسة الضوء على موضوع غاية في الأهمية، يتعلق بجانب من عمل الموارد البشرية بأي منظمة مها كانت صناعية، تجارية أو غيرها، عامة كانت أو خاصة، بل يتعدى الموضوع جانب الموارد البشرية للمنظمة، ليؤكد البعد الإنساني أيضا، ألا وهو موضوع المهارة. فنهدف من خلال هذه الورقة البحثية إلى دراسة مستوى المهارة لدى العاملين بالقطاع الصحي وكانت دراسة الحالة بالمؤسسة الاستشفائية عاليا صالح بولاية تبسة. نركز في دراستنا هذه على اختبار فرضيتين الأولى مفاده وجود فروق ذات دلالة احصائية في مهارة العاملين بالقطاع الصحي بالمؤسسة الاستشفائية عاليا صالح، لصالح العاملين بالمؤسسة عند مستوى الدلالة (0.05 ≤α)، أما الثانية فتتمثل فاختبار إمكانية وجود فروق ذات دلالة إحصائية في مهارة العاملين بالقطاع الصحي بالمؤسسة الاستشفائية عاليا صالح بين الجنسين ذكور وإناث عند مستوى الدلالة (0.05 ≤α). وقد خلصت الدراسة لنتائج هامة أبرزها أن العاملين بالمؤسسة الاستشفائية عاليا صالح يمتلكون مهارة مرتفعة الى حد ما، كما أن الدراسة أثبت وجود فروق مهارية لصالح العاملين الذكور بالمؤسسة الاستشفائية.This study sheds light on a very important topic related to the aspect of human resources work in any organization, whether industrial or commercial, public or private, but the topic goes beyond the human resources aspect to confirm the human dimension as well, which is the subject of skill. We aim, through this research paper, to study the skill level of workers in the health sector. The case study at the hospital was “Alia Saleh - Tebessa”.   The study concluded important results, most notably that the workers possess a fairly high skill in the Alia Saleh-Tebessa Hospital. The study also demonstrated the existence of skill differences in favor of male workers in the hospital institution

    Pouvoir et opposition en Algérie : vers une transition prolongée ?

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    Dans le système politique algérien, l’opposition organisée et structurée demeure soumise aux évolutions, blocages, avancées et reculs du régime politique en place. L’ouverture amorcée entre 1989 et 1991 a permis l’émergence d’une opposition plurielle et dynamique, s’exprimant à travers une soixantaine de « formations à caractères politiques » et des dizaines de journaux privés et publics. Sur le terrain, les débats politiques souvent intenses et contradictoires sont relayés par des manifestations et des rassemblements permettant de prendre le pouls de la rue. Cependant, le radicalisme islamiste et l’explosion de la violence terroriste ont donné aux gouvernants la possibilité de revenir sur les avancées réalisées. Au nom d’une sécurité, l’opposition a vu sa marge de manœuvre réduite. Les activités concrètes des partis sont limitées et le débat politique se résume à une dichotomie réductrice de type « dialoguiste » contre « éradicateur ». En définitive, ce sont les émeutes ponctuelles et régulières qui sont révélatrices de la forme et de l’ampleur de la contestation. Enfermée dans un système hybride, l’Algérie est tombée dans la trappe de la transition permanente.In the Algerian political system, organized and structured opposition remains subject to the changes, obstacles, progress and setbacks of the governing political regime. The opening initiated by the authorities between 1989 and 1991 resulted in the emergence of a pluralistic and dynamic opposition, able to express itself through sixty “political associations” and dozens of private and public newspapers. In practice, often intense and conflicting political debates were conveyed through demonstrations and rallies, thus providing an assessment of public opinion. Radical Islamism and the eruption of terrorist violence have offered the governing elite an opportunity to renege on the progress that had been made. In the name of security, the opposition’s room for maneuver has been largely reduced. Consequently, actions on the ground have become limited and political debate boils down to a reductive dichotomy, as between “conciliators” and “eradicators”. Ultimately, the magnitude of the contestation is expressed through cyclical riots. Thus confined in a hybrid system, Algeria has fallen into the trap of the permanent transition.في النظام السياسي الجزائري، تبقى المعارضة السياسية المنظمة خاضعة للتطورات و التراجعات ة التغيرات التي تطرأ على هذا النظام. و قد سمح الانفتاح السياسي بين 1989 و 1991 بروز معارضة دينامكية و تعددية عبر ستين حزبا سياسيا و عشرات من الجرائد العامة و الخاصة.على أرض الميدان، توالت الحوارات المتناقضة و المظاهرات الحرة مبينة توجهات الرأي العام. غير أن انتعاش الإسلاموية المتطرفة و انفجار العنف الإرهابي دفعا المسؤولين الجزائريين إلى التراجع و إعادة النظر في الانجازات اللبرالية. باسم استرجاع الأمن و الاستقرار تم تضييق هامش حركة المعارضة في نشاطاتها الميدانية و في النقاشات السياسية التي تم اختزالها في نقاش ثنائي ضيق:" الحواري" ضد "الاستئصالي", في آخر المطاف، أصبح الاحتجاج يعبر عنه خارج الأحزاب السياسية، بل في الشوارع عبر مظاهرات عنيفة و أعمال شغب. الجزائر منغلقة في نظام سياسي مختلط و راحت المعارضة ضحية المرحلة الانتقالية الدائمة

    Dossier : Un printemps arabe ?

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    La période inaugurée par la chute du régime de Ben Ali constitue une rupture dans l’histoire des régimes autoritaires arabes. Le souffle des protestations sociales, qui est parti de Tunisie, a emporté le régime de Ben Ali le 14 janvier 2011, puis celui de Moubarak en Égypte un mois plus tard, et enfin celui du colonel Kadhafi, en Libye, le 20 octobre de la même année. Le départ du despote tunisien a ainsi ouvert la voie à un cycle protestataire sans précédent au Maghreb et au Moyen-Orient. L’Année du Maghreb ne pouvait ne pas s’intéresser au « printemps » ou aux « révolutions » arabes, d’autant plus que les dynamiques politique et sociale qui ont ébranlé les bases des régimes autoritaires de la région et ont remis « en cause un certain nombre de présupposés scientifiques sur le caractère inéluctable de l’autoritarisme ». Le dossier de recherche, coordonné par Vincent Geisser, s’attèle justement à déconstruire un certain discours des sciences sociales tout en montrant que le « processus de fissuration des régimes autoritaires n’a pas commencé avec le Printemps arabe de 2010-2011 ». Dans le même temps, les articles de ce numéro mettent l’accent sur le rôle joué par les divers acteurs dans les processus de mobilisation et fournissent aussi des éléments de compréhension des nouvelles réalités sociopolitiques qui émergent des mouvements protestataires et de leur gestion par les différents régimes autoritaires. Éric Gobe, Rédacteur en chef et responsable scientifique de L’Année du Maghre

    Dossier : S'opposer au Maghreb

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    Existe-t-il encore une opposition aux régimes maghrébins ? Qui sont les acteurs de cette opposition ? Comment sont-ils organisés ? Quelle est leur audience ? Quels sont leurs objectifs, leurs moyens d’action politique et leurs stratégies ? Le dossier coordonné par Thierry Desrues et Miguel Hernando de Larramendi s’attache à répondre à ces questionnements. Il montre combien il est difficile pour les acteurs politiques maghrébins de se mobiliser et par extension de s’opposer. Ne pouvant s’exprimer librement dans l’espace institutionnel officiel, l’opposition prend souvent des chemins de traverse et se réfugie à l’université, dans la mosquée ou encore aujourd’hui dans le cyberespace où des opposants de tout poil, islamistes, gauchistes, nationalistes arabes et libéraux critiquent quotidiennement les régimes politiques maghrébins. Un débat de recherche essentiel à côté duquel on retrouve les rubriques habituelles de L’Année du Maghreb : Chroniques politiques, Gros Plans, Études thématiques, ainsi que des sujets à la pointe de l’actualité portant sur la réforme financière au Maroc, l’Union pour la Méditerranée ou l’état du conflit du Sahara occidental. Éric Gobe, rédacteur en che
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