5 research outputs found

    Giant squamous cell carcinoma of the cheek

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    A 60-year-old woman with a history of non-insulin-dependent diabetes reported a case of cutaneous swelling in her right cheek. The swelling had been evolving for 18 months while gradually increasing in size. The dermatologic examination revealed an ulcero-budding lesion, measuring 5cm at large diameter, rounded, with an ulcerated center and a fibrinous base. It was voluminous, sitting on the level of the right cheek pushing the right wing of the nose and causing an occlusion on right eyelid, but the ganglionic areas were free. A skin biopsy was carried out and histology indicated that a moderately differentiated squamous cell carcinoma was present. The patient was referred to the plastic surgery department for surgical removal of the tumor. The cutaneous squamous cell carcinoma is an invasive tumor that develops at the expense of epidermal keratinocytes or mucous membranes in oral, anal or genitals. The major risk factor is the solar exposure

    Métastases cutanées révélant un adénocarcinome bronchique

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    Nous rapportons le cas d’un cancer bronchique révélé par des nodules cutanés métastatiques du cuir chevelu. Ce mode de découverte assez fréquent est souvent associé à un mauvais pronostic. Cette observation souligne l’intérêt de rechercher un cancer primitif pulmonaire en cas de localisation secondaire cutanée.English abstractWe report the case of bronchial carcinoma revealed by metastatic skin nodules on the scalp. This fairly common mode of discovery is often associated with poor prognosis. This study aims to underline the importance of directing the search for a primary lung cancer in cases of secondary skin involvement.Key words: Cutaneous metastases, bronchial adenocarcinoma, excisional biops

    Apport de la scintigraphie osseuse au hmdp Tc 99m dans le diagnostic des complications osteoarticulaires de la drepanocytose A propos de 2 cas

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    Les manifestations ostéo-articulaires sont fréquentes au cours de la drépanocytose. Elles compliquent souvent son cours évolutif ou même parfois l’inaugurer, ce qui justifie dans la majorité des cas le recours à des techniques radiologiques pour l'exploration de ces complications. Au sein des techniques d’imagerie médicale, la scintigraphie osseuse, examen très sensible dans la détection des anomalies ostéo-articulaires, trouve une place privilégiée dans le diagnostic et le suivi des manifestations ostéo-articulaires qui accompagnent cette maladie. Afin de mettre la lumière sur l’intérêt réel de la scintigraphie osseuse dans le suivi des manifestations ostéo-articulaires de la drépanocytose, nous rapportons les observations de deux patientes drépanocytaires qui ont fait l’objet d'une exploration scintigraphique au HMDP-Tc99m au service de médecine nucléaire de l'hôpital militaire d'instruction Mohammed V de Rabat dans le cadre de l’exploration de diverses manifestations ostéo-articulaires. Chez la première patiente, la scintigraphie osseuse a permis de poser le diagnostic d'hyperactivité médullaire associée à de multiples infarctus osseux permettant de lier les signes cliniques à leur origine. Chez la deuxième patiente, l’examen scintigraphique a été d’un grand apport en faisant suspecter une hyperactivité médullaire que la biologie a bien rattachée à une drépanocytose SS. L'interprétation de ces données scintigraphiques prouve l'intérêt de la scintigraphie osseuse au HMDP-Tc99m comme outil incontournable dans l’exploration fonctionnelle du squelette, en particulier dans le diagnostic et le suivi des complications ostéo-articulaires au cours de la drépanocytose

    Nécroses cutanées multiples et extensives révélant un syndrome des anticorps anti phospholipides

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    Le syndrome des anticorps anti phospholipides (SAPL) est un état de thrombophilie acquise, du à l'action des auto-anticorps dirigés contre les phospholipides et/ou leurs cofacteurs. Il peut être primitif ou associé à diverses maladies, dont le lupus érythémateux systémique (LES), dont il représente un facteur potentiel de gravité. Nous rapportant un cas de multiples nécroses cutanées chez une jeune fille ayant révélé un SAPL dans le cadre d'un LES. Les lésions dermatologiques au cours du SAPL sont fréquentes, polymorphes parfois inaugurales et peuvent constituer le seul élément clinique du syndrome. Cependant, les nécroses cutanées sont rares, leur traitement repose sur les anticoagulants et les soins locaux appropriés. L'évolution ultérieure imprévisible et le pronostic réservé justifient un suivi rigoureux au long cours et une étroite collaboration entre le dermatologue et l’interniste. The Pan African Medical Journal 2016;2
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