140 research outputs found

    Development of a Base Station for a Control Center

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    In this thesis, the objective was to design a base station for a startup company as a compliment to their main product, a control center device. The thesis resulted in a prototype that worked as intended and it fulfilled all desired criteria; charging ability, mountable on walls and placeable on flat horizontal surfaces. The prototype is divided into two parts: One unit, the station, and one unit that is designed as a shell for the control center. The latter allows the control center to receive charging, be placed easily on the station and allow it to stand on a flat horizontal surface. The company is very pleased with the results and looks forward for further development. Before generating any concepts, customer needs were identified through interviews from potential customers and lead users. The interviews got interpreted and evaluated which resulted in six complete product concepts. One of the concepts was chosen the best with highest score and also received the most positive feedback from the company. A prototype was built to represent the winning concept as close to a real product as possible. It included enough working parts to be able to prove the concept and give a better understanding of the product. Tests were made during the development process to make sure that everything worked properly. The thesis was completed successfully and satisfied both the development team and the company.In this thesis, the objective was to design a base station for a startup company as a compliment to their main product, a control center device. The thesis resulted in a prototype that worked as intended and it fulfilled all desired criteria; charging ability, mountable on walls and placeable on flat horizontal surfaces. The prototype is divided into two parts: One unit, the station, and one unit that is designed as a shell for the control center. The latter allows the control center to receive charging, be placed easily on the station and allow it to stand on a flat horizontal surface. The company is very pleased with the results and looks forward for further development. Before generating any concepts, customer needs were identified through interviews from potential customers and lead users. The interviews got interpreted and evaluated which resulted in six complete product concepts. One of the concepts was chosen the best with highest score and also received the most positive feedback from the company. A prototype was built to represent the winning concept as close to a real product as possible. It included enough working parts to be able to prove the concept and give a better understanding of the product. Tests were made during the development process to make sure that everything worked properly. The thesis was completed successfully and satisfied both the development team and the company

    Reconstruire et valoriser les liens entre les arbres et les activités agricoles

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    Ce document est le fruit d'une rĂ©flexion sur la place des arbres dans les activitĂ©s agricoles conduite lors des projets CHAPAY (Changement d’utilisation agricole des terres et dynamique des paysages agri-forestiers de Midi-PyrĂ©nĂ©es) et Terafor (Territoire et agroforesterie). Les arbres font traditionnellement partie intĂ©grante de la plupart des paysages agricoles. Aujourd’hui, la recherche de pratiques plus durables et le besoin de diversification des productions des agriculteurs conduisent Ă  reconstruire et valoriser les liens Ă©troits entre les arbres et les activitĂ©s agricoles. Cela s'inscrit dans les principes de l’agro Ă©cologie qui conduisent Ă  favoriser les complĂ©mentaritĂ©s et la valorisation de l’ensemble des ressources d’un territoire, notamment celles des surfaces agricoles et arborĂ©es

    Vers un arbre à palabres agroforestier. Le modÚle Terafor d'évaluation multicritÚre qualitative pour considérer l'ensemble des fonctions des espaces arborés dans les territoires agricoles.

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    L'agroforesterie, au sens large, correspond aux associations entre des arbres et des productions agricoles qu'elle considÚre de l'échelle de la parcelle jusqu'à celle du territoire. Cette acception large est celle retenue dans la présente thÚse. Elle incite à prendre en compte i) tous les espaces arborés des territoires agricoles, ii) toutes les fonctions de ces espaces et iii) tous les acteurs concernés par ces espaces et leurs fonctions. Ces trois points constituent les trois défis que les travaux de thÚse s'attachent à relever, dans un contexte de développement récent de l'agroforesterie pour lequel des outils restent à inventer. Le positionnement de recherche de ces travaux articule développement territorial, démarches participatives et approche systémique. Ces notions ont été structurantes dans la définition de la finalité et de l'objectif de la thÚse. La finalité est un outil d'aide à la discussion entre les acteurs concernés sur les espaces arborés et leurs fonctions pour faciliter la construction de projets partagés de territoires agroforestiers. L'objectif est de préparer cet outil et, pour cela, le modÚle Terafor (Territoire et agroforesterie) a été conçu. Le modÚle Terafor est implémenté avec le logiciel DEXi qui combine une méthode d'analyse multicritÚre qualitative structurée hiérarchiquement et un systÚme expert d'évaluation. Il évalue qualitativement chacune des 77 fonctions des espaces arborés (production de bois, limitation de l'érosion, effet sur la qualité paysagÚre par exemple) qui ont été identifiées à partir de la littérature et de dires de quinze experts rencontrés. L'évaluation des fonctions mobilise des paramÚtres sélectionnés pour traduire les diverses caractéristiques des espaces arborés (forme, structure, composition, localisation) qui conditionnent ces fonctions. Les 77 fonctions sont regroupées par activité et par domaine d'activités (agroforesterie, agriculture, fonctionnement des écosystÚmes par exemple). Ces regroupements font ressortir 22 activités et organisent les informations afin de faciliter les discussions entre les acteurs. La transparence, l'intelligibilité et la flexibilité du fonctionnement de DEXi rendent le modÚle Terafor approprié à favoriser la participation en impliquant les acteurs dans les différentes phases de la construction de projets de territoires agroforestiers. L'opérationnalisation du modÚle Terafor en un outil participatif nécessite de poursuivre les tests de simulation, notamment de sensibilité, de développer des interfaçages avec des dispositifs de gestion de données (tableur, systÚme d'information géographique, représentation graphique) et de l'expérimenter en situations réelles. En l'état, le modÚle Terafor constitue toutefois une base (informations internes) et un producteur (informations en sortie) de connaissances homogÚnes et accessibles sur l'ensemble des fonctions des espaces arborés. Il peut donc d'ores et déjà servir de support pour la conception et l'accompagnement de projets agroforestiers ainsi que pour l'enseignement de l'agroforesterie, de la multifonctionnalité et de l'agroécologi

    TERAFOR: Dexi-based multicriteria model for considering all multiple fonctions of tree formations in temperate agroforestry areas

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    EURAF and INRA, the French National Institute of Agronomical Research are very pleased to welcome you in Montpellier for the Third European Agroforestry Conference. Montpellier is the core center in France for Agroforestry Research and demonstration. Both temperate zone and tropical zone agroforestry are targeted by Montpellier researchers. Montpellier is also the home of RAP, the most comprehensive agroforestry experiment in France, with 20 years of uninterrupted monitoring. You will have the opportunity to visit this outstanding site during the Conference (check the RAP leaflet here). Burning issues such as resilience to climate change or the assessment of ecosystems services of Agroforestry will be in the main light. Check the program for the wide range of topics that will be discussed, from the last research findings to the practical enforcement of new agroforestry regulations at national and European scales. New fields of research will also be thoroughly discussed, such as the selection of shade tolerant crops, the use of models to perform virtual agroforestry experiments, the labelling of agroforestry products or the revival of age-old practices such as tree pollarding. And many more. Farmers are welcome, with a session that will be focused on expertise sharing between European agroforesters

    Biodiversité dans les lisiÚres forestiÚres

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    Les lisiĂšres entre les milieux forestiers et les milieux ouverts (agricoles ou autres) sont trĂšs frĂ©quentes dans les paysages ruraux tempĂ©rĂ©s dans lesquels les forĂȘts sont fragmentĂ©es. Elles jouent des rĂŽles Ă©cologiques majeurs, notamment pour la biodiversitĂ©. Pourtant, les connaissances sur cette biodiversitĂ© et les services Ă©cosystĂ©miques associĂ©s restent trĂšs partielles et parfois contradictoires. Or, les gestionnaires forestiers et agricoles vont avoir de plus en plus besoin de ces informations pour adapter leur gestion dans un contexte oĂč les interactions entre les forĂȘts et l'agriculture seront plus importantes, notamment Ă  travers la valorisation des services Ă©cosystĂ©miques tels que la pollinisation et la rĂ©gulation des ravageurs. Les principales hypothĂšses expliquant la biodiversitĂ© dans les lisiĂšres forestiĂšres sont : i) le type de parcelle adjacente et la frĂ©quence des perturbations en son sein, ii) la structure de la lisiĂšre (Ă©tagĂ©e versus abrupt) et donc le mode de gestion qui y est conduit. Durant le printemps 2011, nous avons Ă©tudiĂ© 24 lisiĂšres, 8 Ă  proximitĂ© d'une parcelle de colza, et 16 Ă  proximitĂ© de prairies. Les papillons de jour et les oiseaux ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s comme indicateurs Ă©cologiques prĂ©sentant des traits de viediffĂ©rents et nous renseignant donc sur des aspects diffĂ©rents de la biodiversitĂ©. 52 espĂšces de papillons (N= 2127) et 54 espĂšces d'oiseaux ont Ă©tĂ© relevĂ©s (N=746). Les papillons sont significativement plus abondants dans les lisiĂšres, puis dans les prairies, les parcelles de colza et les bois prĂ©sentant les abondances les plus faibles. La richesse spĂ©cifique en papillons de jour est significativement plus Ă©levĂ©e dansles prairies et lisiĂšres (10.5 et 9.9 espĂšces en moyenne respectivement) que dans les parcelles de colza et les bois. Des espĂšces strictement liĂ©es aux lisiĂšres forestiĂšres ont Ă©tĂ© identifiĂ©es. Les oiseaux sont plus abondants et prĂ©sentent une richesse spĂ©cifique plus forte dans les bois. La largeur de la lisiĂšre semble la caractĂ©ristique structurale Ă  laquelle rĂ©pondent le mieux les indicateurs Ă©cologiques Ă©tudiĂ©s

    Edge contrast does not modulate edge effect on plants and pollinators

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    Edge contrast, is one of the main determinants of edge effects. This study examines the response of plant and pollinator diversity (bees and butterflies) to forest edge contrast, i.e. the difference between forests and adjacent open habitats with different disturbance regimes. We also investigated a potential cascading effect from plants to pollinators and whether edge structure and landscape composition mediate the relationship between edge contrast and beta diversity of pollinators. We sampled 51 lowcontrast edges where forests were adjacent to habitats showing low levels of disturbance (i.e. grey dunes, mowed fire-breaks, orchards, grasslands) and 29 high-contrast edges where forests were adjacent to more intensively disturbed habitats (i.e. tilled firebreaks, oilseed rape) in three regions of France. We showed that plant diversities were higher in edges than in adjacent open habitat, whatever the edge contrast. However, plant beta diversity did not differ significantly between low and highcontrast edges. While we observed higher pollinator diversities in adjacent habitats than in low-contrast edges, there were no significant differences in pollinator beta diversity depending on edge contrast. We did not observe a cascading effect from plants to pollinators. Plant and bee beta diversities were mainly explained by local factors (edge structure and flower cover) while butterfly beta diversity was explained by surrounding landscape characteristics (proportion of land cover in grassland)

    Les forĂȘts dans des territoires agricoles : nouveaux atouts d’une relation bĂ©nĂ©fique

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    Contexte et enjeux: Les espaces arborĂ©s peuvent prendre diffĂ©rentes formes dans les paysages Ă  dominante agricole en France et en Europe tempĂ©rĂ©e : bois, bosquets et plantations, mais aussi haies, alignements d’arbres et plantations agroforestiĂšres. Ils sont en interaction Ă©troite avec les activitĂ©s agricoles, de culture ou d’élevage dans dynamiques particuliĂšres. Il peut s’agir (1) d’interactions socio-techniques entre acteurs et ressources lorsque des agriculteurs possĂšdent, gĂšrent ou utilisent des portions de forĂȘt, (2) d’interactions biophysiques spatiales entre ressources quand l’activitĂ© agricole est influencĂ©e par la proximitĂ© des forĂȘts, mais aussi (3) d’interactions sociales entre acteurs agriculteurs et forestiers qui vont parfois dĂ©terminer certains modes de gestion forestiĂšre. Ces diffĂ©rents points de vue expliquent la difficultĂ© Ă  bien dĂ©limiter les forĂȘts des paysages ruraux agricoles, ainsi que le manque de connaissance Ă  leur Ă©gard. Ces espaces arborĂ©s sont dynamiques et, durant les 2 derniers siĂšcles, leur rĂ©partition spatiale a fortement changĂ©, avec des processus de fragmentation par endroits et de dĂ©fragmentation dans les zones de dĂ©prise agricole. NĂ©anmoins, comparativement aux espaces agricoles environnants soumis aux rotations de cultures, ils apparaissent relativement stables et constituent de ce fait ce qu’on appelle des infrastructures Ă©cologiques influant trĂšs significativement les caractĂ©ristiques des milieux voisins. Ils sont ainsi souvent vus comme des rĂ©servoirs de biodiversitĂ© dans les paysages agricoles. ProblĂ©matique: Etudier les relations entre ces espaces arborĂ©s des paysages et l’agriculture est crucial pour aider Ă  concevoir des territoires ruraux valorisant au mieux et de façon durable l’ensemble de leurs ressources, agricoles et forestiĂšres, et des services qui y sont liĂ©s. Cette problĂ©matique s’inscrit dans les prioritĂ©s nationales pour une agriculture plus agroĂ©cologique. MĂ©thodes: A partir de plusieurs exemples de travaux rĂ©cents en Ă©cologie, gĂ©ographie, agronomie et ethnologie, la prĂ©sentation montre les diffĂ©rents aspects de ces interactions entre espaces arborĂ©s et agriculture, comment elles influent sur des propriĂ©tĂ©s clĂ©s des territoires et comment elles pourraient ĂȘtre mieux valorisĂ©e. Ces exemples s’appuient sur des recherches interdisciplinaires et conduites en partenariat, combinant des approches Ă©cologiques avec des analyses socio-techniques. RĂ©sultats: De nombreux travaux ont largement montrĂ© les rĂŽles clĂ©s des espaces arborĂ©s dans la dynamique de population d’espĂšces contribuant Ă  des services Ă©cosystĂ©miques importants pour l’agriculture comme la rĂ©gulation des bioagresseurs ou la pollinisation. Ainsi des suivis spatialisĂ©s de la rĂ©partition des carabiques, prĂ©dateurs auxiliaires des cultures de part et d’autre de lisiĂšres forestiĂšres montrent clairement que les bois peuvent fournir un surcroit d’individus qui vont chasser dans les cultures adjacentes. De plus, plusieurs rĂ©sultats laissent penser que cet effet est crucial surtout quand des Ă©vĂšnements extrĂȘmes rĂ©duisent drastiquement les populations dĂ©jĂ  prĂ©sentes dans les champs. Les espaces arborĂ©s joueraient ainsi un rĂŽle de rĂ©servoir pour contribuer Ă  reconstituer les populations d’auxiliaires. Des travaux similaires montrent des phĂ©nomĂšnes comparables pour les pollinisateurs, en particulier sur l’intĂ©rĂȘt des lisiĂšres dans la fourniture de ressources florales tout au long de l'annĂ©e et de leur capacitĂ© Ă  abriter des sites de nidification et d'hivernation. Les caractĂ©ristiques des lisiĂšres jouent un rĂŽle important et mal connu dans ces Ă©changes ; on peut supposer qu’ils pourraient ĂȘtre favorisĂ©s par une gestion particuliĂšre de ces interfaces. Les espaces arborĂ©s sont Ă  l’origine d’un grand nombre de services Ă©cosystĂ©miques. Le projet Terafor, soutenu par la Fondation de France, en a ainsi identifiĂ© prĂšs de 70 ; ils ont Ă©tĂ© intĂ©grĂ©s dans un systĂšme d’analyse multi-critĂšres destinĂ© Ă  aider Ă  Ă©laborer des projets de territoires agri-forestiers valorisant l’ensemble de ces services. ParallĂšlement, des recherches exploratoires tentent d’utiliser les donnĂ©es satellitaires nouvelles pour fournir des cartographies de niveaux potentiels de services. Enfin, il convient de signaler que si les espaces arborĂ©s sont sources de services pour l’agriculture, l’inverse est aussi vrai : les bois et forĂȘts bĂ©nĂ©ficient de services issus des autres composantes des paysages ; la rĂ©gulation des insectes dĂ©foliateurs des arbres s’avĂšre par exemple plus Ă©levĂ©e en lisiĂšre, tandis que les mouvements de chevreuils entre les cultures oĂč ils se nourrissent et les bois semblent contribuer Ă  la fertilisation du sol forestier. Le bois produit par les espaces arborĂ©s contribue Ă  satisfaire l’accroissement de l’usage de la biomasse pour se substituer aux Ă©nergies fossiles, ou les complĂ©ter. Il existe maintenant de multiples formes de valorisation du bois qui s’adaptent aux conditions locales et aux possibilitĂ©s des opĂ©rateurs. L’association Bois Paysan en AriĂšge a ainsi dĂ©veloppĂ© des circuits courts de vente de bĂ»ches aux particuliers. En rĂ©ponse Ă  une demande croissante, des filiĂšres nouvelles et originales se mettent en place, avec l’émergence, parfois, de vĂ©ritables « ateliers bois » dans des exploitations agricoles qui diversifient ainsi leurs activitĂ©s. Les usages du bois se sont aussi Ă©largis et l’agriculture commence Ă  en utiliser plus frĂ©quemment, pas seulement comme source d’énergie ou de matĂ©riaux de construction. Dans le APIL en AriĂšge, par exemple, les multiples usages du bois en exploitation agricole sont testĂ©s : litiĂšre pour les animaux ou paillage pour les plantations. Au-delĂ  du bilan matĂ©riel et Ă©conomique pour les exploitations, ces dĂ©marches de valorisation des produits des espaces arborĂ©s des paysages agricoles contribuent aussi Ă  renforcer des projets de territoires en valorisant des ressources dispersĂ©es par des usages les plus proches possibles. GrĂące aux possibilitĂ©s de communication actuelles et de mise en rĂ©seau, la dispersion des ressources en bois n’est plus toujours un handicap et devrait contribuer Ă  une relocalisation d’une partie des approvisionnements en Ă©nergie et matĂ©riaux. Enfin, des recherches en sciences sociales ont clairement montrĂ© que les espaces arborĂ©s sont associĂ©s Ă  une dimension culturelle particuliĂšre dans la perception qu’ont les habitants de leur environnement et de son devenir. Ainsi, dans le Sud-Ouest de la France, nous avons montrĂ© que les bois sont un marqueur social fort qui relie les familles d’aujourd’hui Ă  leur histoire et s’inscrivent dans une tradition de transmission des patrimoines et de gestion Ă  objectif d’autosuffisance particuliĂšre. Connaitre ces dimensions sociales est essentiel, tant pour les respecter et les prĂ©server comme partie d’un patrimoine culturel spĂ©cifique, que pour pouvoir les faire Ă©voluer et lever des blocages qui limiteraient des dĂ©veloppements durables. A cet Ă©gard, les dĂ©marches participatives de co-construction de ces projets de dĂ©veloppement semblent une façon pertinente de prendre en compte les multiples attentes des habitants d’un territoire agricole et forestier. Discussion et conclusion: Ces exemples soulignent combien la sĂ©paration entre gestion forestiĂšre et agriculture dans bien des rĂ©gions est artificielle et mĂ©riterait d’ĂȘtre remise en cause dans les projets d’amĂ©nagement des territoires. Pourtant, les politiques actuelles, comme le rĂ©cent Plan National ForĂȘt Bois, semblent tourner le dos Ă  la valorisation de ces interactions, privilĂ©giant des approches par filiĂšres cloisonnĂ©es. La foresterie tout comme l’agriculture, et d’autres activitĂ©s humaines, tireraient un bĂ©nĂ©fice Ă  mieux coordonner leurs objectifs et leurs actions. Des initiatives locales vont dans ce sens et la recherche montre comment ces interactions Ă©cologiques, techniques et socio-culturelles s’avĂšrent importantes dans une perspective de dĂ©veloppement plus durable

    The RING-CH ligase K5 antagonizes restriction of KSHV and HIV-1 particle release by mediating ubiquitin-dependent endosomal degradation of tetherin

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    Tetherin (CD317/BST2) is an interferon-induced membrane protein that inhibits the release of diverse enveloped viral particles. Several mammalian viruses have evolved countermeasures that inactivate tetherin, with the prototype being the HIV-1 Vpu protein. Here we show that the human herpesvirus Kaposi's sarcoma-associated herpesvirus (KSHV) is sensitive to tetherin restriction and its activity is counteracted by the KSHV encoded RING-CH E3 ubiquitin ligase K5. Tetherin expression in KSHV-infected cells inhibits viral particle release, as does depletion of K5 protein using RNA interference. K5 induces a species-specific downregulation of human tetherin from the cell surface followed by its endosomal degradation. We show that K5 targets a single lysine (K18) in the cytoplasmic tail of tetherin for ubiquitination, leading to relocalization of tetherin to CD63-positive endosomal compartments. Tetherin degradation is dependent on ESCRT-mediated endosomal sorting, but does not require a tyrosine-based sorting signal in the tetherin cytoplasmic tail. Importantly, we also show that the ability of K5 to substitute for Vpu in HIV-1 release is entirely dependent on K18 and the RING-CH domain of K5. By contrast, while Vpu induces ubiquitination of tetherin cytoplasmic tail lysine residues, mutation of these positions has no effect on its antagonism of tetherin function, and residual tetherin is associated with the trans-Golgi network (TGN) in Vpu-expressing cells. Taken together our results demonstrate that K5 is a mechanistically distinct viral countermeasure to tetherin-mediated restriction, and that herpesvirus particle release is sensitive to this mode of antiviral inhibition

    Planetary system architectures with low-mass inner planets: Direct imaging exploration of mature systems beyond 1 au

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    The discovery of planets orbiting at less than 1 au from their host star and less massive than Saturn in various exoplanetary systems revolutionized our theories of planetary formation. The fundamental question is whether these close-in low-mass planets could have formed in the inner disk interior to 1 au, or whether they formed further out in the planet-forming disk and migrated inward. Exploring the role of additional giant planets in these systems may help us to pinpoint their global formation and evolution. We searched for additional substellar companions by using direct imaging in systems known to host close-in small planets. The use of direct imaging complemented by radial velocity and astrometric detection limits enabled us to explore the giant planet and brown dwarf demographics around these hosts to investigate the potential connection between both populations. We carried out a direct imaging survey with VLT/SPHERE to look for outer giant planets and brown dwarf companions in 27 systems hosting close-in low-mass planets discovered by radial velocity. Our sample is composed of very nearby (<20pc) planetary systems, orbiting G-, K-, and M-type mature (0.5-10Gyr) stellar hosts. We performed homogeneous direct imaging data reduction and analysis to search for and characterize point sources, and derived robust statistical detection limits. Of 337 point-source detections, we do not find any new bound companions. We recovered the emblematic very cool T-type brown dwarf GJ229B. Our typical sensitivities in direct imaging range from 5 to 30 MJup beyond 2 au. The non-detection of massive companions is consistent with predictions based on models of planet formation by core accretion. Our pilot study opens the way to a multi-technique approach for the exploration of very nearby exoplanetary systems with future ground-based and space observatories.Comment: 49 pages including 31 pages of appendices and references, 31 figures, A&A, accepte
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