133 research outputs found

    Dickens in Twenty-first century India: A Study of the Novel Q&A by Vikas Swarup and its film adaptation by Danny Boyle

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    International audienceWhen Danny Boyle’s film adaptation of Vikas Swarup’s dĂ©but novel Q & A, published in 2005, was released worldwide in 2008 as Slumdog Millionaire, many critics and viewers harped on its Dickensian overtones, but so far no thorough analysis of the novel and its adaptation has really substantiated this claim. This article identifies Dickensian influences in the novel and its adaptation, and it tries to work out why Swarup and Boyle resorted to these allusions. In so doing, it shows that Dickensian allusions, primarily aimed at promoting the reception of these two twenty-first-century works, have led to contradictory and even incompatible, but nonetheless extremely relevant interpretations of the novel and its cinematic adaptation

    Dickens’s American Notes: the Literary Invention of a Single Monetary Currency

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    International audienceDickens’s American Notes: the Literary Invention of a Single Monetary Currenc

    Histoires dans A Tale of Two Cities (1859) de Charles Dickens

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    International audienceDans la prĂ©face d’A Tale of Two Cities (Un Conte de deux villes), Dickens informe ses lecteurs qu’il conçut l’idĂ©e centrale de cette « histoire » (story) en jouant avec ses enfants et ses amis une piĂšce de Wilkie Collins, The Frozen Deep (L’AbĂźme glacĂ©). Le mot « story » ici attire l’attention car le titre mĂȘme de l’Ɠuvre parle de conte (tale) et non d’histoire. A Tale of Two Cities est aussi une Ă©vocation fictionnelle de la rĂ©volution française et donc de l’histoire nationale, inspirĂ©e, nous dit Dickens, toujours dans sa prĂ©face, «de la philosophie du merveilleux livre de M. Carlyle ». Le romancier ajoute qu’il n’a pas la prĂ©tention d’ajouter quoi que ce soit Ă  cette philosophie, mais est­ce bien le cas ? Histoire, histoire,conte,philosophie :quesouhaitaitfaire Dickens en proposant une telle combinaison ? Cet article se propose de montrer que rĂ©pondre Ă  cette question permet de mieux saisir ce que Dickens ajoute Ă  ce qu’il appelle les « moyens pittoresques et populaires » de comprendre la RĂ©volution française

    Gaïd Girard ed. Le Superflu, chose trÚs nécessaire.

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    Ces Actes d’un colloque organisĂ© par le Centre d’Études Interdisciplinaires du Monde Anglophone Ă  l’UniversitĂ© de Brest fin novembre 2002, rassemblĂ©s et prĂ©sentĂ©s par GaĂŻd Girard offrent un volume riche et agrĂ©able Ă  lire. L’ouvrage part du couple superflu/nĂ©cessaire rendu cĂ©lĂšbre par Voltaire et, en cinq parties, s’emploie avec succĂšs Ă  dĂ©passer l’opposition entre ces deux termes. La premiĂšre partie, « PoĂ©tique et politique du superflu », s’intĂ©resse aux rapports entre superflu et Ă©criture. ..

    Provence and the British Imagination

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    Although it resonates today with lavender fields, sunny heritage locations and the gentrified memory of Paul CĂ©zanne’s pictorial turbulence, Provence has not always been the attractive territory of pacified leisure and festival culture. Since the seventeenth century, indeed, the region has inscribed its shifting geography, complex politics and the extraordinary diversity of its land and seascapes in the perception and imagination of British visitors

    RĂ©cits de voyage, fiction et voyageurs fictifs dans American Notes de Charles Dickens

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    Dickens effectua sa premiĂšre visite aux Etats-Unis de janvier Ă  juin 1842. Ce sĂ©jour inclut un mois au Canada. À la suite de ce voyage, le romancier publia American Notes qui parurent la mĂȘme annĂ©e. Dans son ouvrage intitulĂ© Innocent Abroad : Charles Dickens’s American Engagements (1990), Jerome Meckier Ă©numĂšre les rĂ©cits de voyage consacrĂ©s aux Etats-Unis que Dickens est supposĂ© avoir consultĂ©s ou lus avant son propre pĂ©riple : Diary in America (1839) du Capitaine Frederick Marryat, Observat..

    “Silent, burnt up, shadeless and glaring”: Provence Seen through Victorian Editions of Murray’s Handbook for Travellers in France

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    The starting point for this paper will be the surprising opening remarks of Section VI of Murray’s first Handbook for Travellers in France published in 1843: The Englishman who knows the South of France from books; who there finds Provence described as the cradle of Poetry and Romance, the paradise of the Troubadours, a land teeming with oil, wine, silk and perfumes has probably formed in his mind a picture of a region beautiful to behold, and charming to inhabit. These anticipations may prob..

    De Grandes espĂ©rances ? Les sources anglophones du mĂ©cĂ©nat d’entreprise en direction de l’enseignement supĂ©rieur et de la recherche en France, et leurs implications Ă©thiques

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    International audienceDe grandes espérances ? Les sources anglophones du mécénat d'entreprise en direction de l'enseignement supérieur et de la recherche en France et leurs implications éthiques. Depuis quelques années, le mécénat des entreprises en France augmente en direction d'une institution culturelle par excellence, à savoir l'université. Si la vocation principale de l'université est l'enseignement et la recherche, sa dimension culturelle ne fait, quant à elle, aucun de doute comme en atteste l'article L. 123-3 du Code de l'éducation qui prévoit que « Les missions du service public de l'enseignement supérieur sont : la formation initiale et continue tout au long de la vie ; la recherche scientifique et technologique, la diffusion et la valorisation de ses résultats au service de la société ; l'orientation, la promotion sociale et l'insertion professionnelle ; la diffusion de la culture humaniste, en particulier à travers le développement des sciences humaines et sociales, et de la culture scientifique, technique et industrielle ; la participation à la construction de l'Espace européen de l'enseignement supérieur et de la recherche ; la coopération internationale » 1. Du point de vue de la culture, la formation initiale et la formation continue permettent l'acquisition d'une culture générale. La recherche scientifique et technologique, et la diffusion et la valorisation de ses résultats contribuent à la sensibilisation à et à l'acquisition d'une culture scientifique. L'orientation et l'insertion professionnelle représentent une initiation à la culture d'entreprise et du monde professionnel. La diffusion de la culture humaniste vient compléter celle d'une culture scientifique, technique et industrielle. Et la participation à la construction de l'Espace européen de l'enseignement supérieur et de la recherche offre une sensibilisation à l'unité et à la diversité de la culture européenne. Quant à la coopération internationale, elle familiarise les étudiants avec les phénomÚnes interculturels. Aujourd'hui en France, le mécénat des entreprises en direction des universités s'inspire parfois, sans forcément s'en rendre compte, du modÚle anglo-saxon. Dans cet article je souhaite mettre en évidence les ressorts spécifiquement anglophones de ce modÚle, et en dégager les implications éthiques. Je me pencheraien particulier sur la terminologie employée, une terminologie clairement inspirée du modÚleaméricain

    Charles Dickens et le ‘nouveau pittoresque’

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