40 research outputs found

    Development and evaluation of a real-time PCR assay for detection and quantification of blastocystis parasites in human stool samples: prospective study of patients with hematological malignancies.

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    International audienceBlastocystis anaerobic parasites are widespread worldwide in the digestive tract of many animal species, including humans. Epidemiological Blastocystis studies are often limited by the poor sensitivity of standard parasitological assays for its detection. This report presents a highly sensitive real-time quantitative PCR (qPCR) assay developed to detect Blastocystis parasites in stool samples. The assay targets a partial sequence of the Blastocystis small ribosomal subunit (SSU) rRNA gene, allowing subtyping (ST) of Blastocystis isolates by direct sequencing of qPCR products. This qPCR method was assessed in a prospective study of 186 patients belonging to two cohorts--a group of 94 immunocompromised patients presenting hematological malignancies and a control group of 92 nonimmunocompromised patients. Direct-light microscopy and xenic in vitro stool culture analysis showed only 29% and 52% sensitivity, respectively, compared to our qPCR assay. Of the 27 (14.5%) Blastocystis-positive patients, 8 (4%) experienced digestive symptoms. No correlation was found between symptomatic patients and immune status, parasite load, or parasite subtypes, although subtyping of all isolates revealed a high (63.0%) prevalence of ST4. Two unexpected avian subtypes were found, i.e., ST6 and ST7, which are frequently isolated in Asia but rarely present in Western countries. In conclusion, this qPCR proved by far the most sensitive of the tested methods and allowed subtype determination by direct sequencing of qPCR products. New diagnostic tools such as the qPCR are essential for evaluating the clinical relevance of Blastocystis subtypes and their role in acute or chronic digestive disorders

    Shiga toxin 2 translocation across intestinal epithelium is linked to virulence of Shiga toxin-producing Escherichia coli in humans

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    Shiga toxin-producing Escherichia coli (STEC) are characterized by the release of potent Shiga toxins (Stx), which are associated with severe intestinal and renal disease. Although all STEC strains produce Stx, only a few serotypes cause infection in humans. To determine which virulence traits in vitro are linked to human disease in vivo, 13 Stx2a-producing STEC strains of seropathotype (SPT) A or B (associated with severe human intestinal disease and outbreaks) and 6 strains of SPT D or E (rarely or not linked to human disease) were evaluated in a microaerobic human colonic epithelial infection model. All SPT strains demonstrated similar growth, colonization of polarized T84 colon carcinoma cells and Stx release into the medium. In contrast, Stx translocation across the T84 cell monolayer was significantly lower in SPT group DE compared to SPT group AB strains. Further experiments showed that Stx penetration occurred via a transcellular pathway and was independent of bacterial type III secretion and attaching and effacing lesion formation. These results suggest that the extent of Stx transcytosis across the gut epithelium may represent an important indicator of STEC pathogenicity for humans

    Interactions with M Cells and Macrophages as Key Steps in the Pathogenesis of Enterohemorragic Escherichia coli Infections

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    Enterohemorrhagic Escherichia coli (EHEC) are food-borne pathogens that can cause serious infections ranging from diarrhea to hemorrhagic colitis (HC) and hemolytic-uremic syndrome (HUS). Translocation of Shiga-toxins (Stx) from the gut lumen to underlying tissues is a decisive step in the development of the infection, but the mechanisms involved remain unclear. Many bacterial pathogens target the follicle-associated epithelium, which overlies Peyer's patches (PPs), cross the intestinal barrier through M cells and are captured by mucosal macrophages. Here, translocation across M cells, as well as survival and proliferation of EHEC strains within THP-1 macrophages were investigated using EHEC O157:H7 reference strains, isogenic mutants, and 15 EHEC strains isolated from HC/HUS patients. We showed for the first time that E. coli O157:H7 strains are able to interact in vivo with murine PPs, to translocate ex vivo through murine ileal mucosa with PPs and across an in vitro human M cell model. EHEC strains are also able to survive and to produce Stx in macrophages, which induce cell apoptosis and Stx release. In conclusion, our results suggest that the uptake of EHEC by M cells and underlying macrophages in the PP may be a critical step in Stx translocation and release in vivo. A new model for EHEC infection in humans is proposed that could help in a fuller understanding of EHEC-associated diseases

    Développement d'une technique de PCR quantitative en temps réel pour le diagnostic de la toxoplasmose et application chez les patients allogreffés de moelle osseuse

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    Des techniques de détection sensibles, rapides et spécifiques sont indispensables au diagnostic de la toxoplasmose chez les patients immunodéprimés ou en cas de suspicion d'atteinte fœtale. L'objectif de ce travail est de mettre au point une technique de diagnostic moléculaire appliquée à Toxoplasma gondii par PCR en temps rél sur le Rotor-Gene6000® avec contrôle interne compétitif. Des amorces et une sonde Taqan (FAM-BHQ1) spécifiques de la séquence répétée de 529 bp ont été sélectionnées. Le contrôle interne d'amplification a été construit par clonage : il s'agit d'un fragment d'ADN d'Arabidopsis thaliana flanqué d'amorces spécifiques à la séquence de 529 pb de T. gondii. Une deuxième sonde TaqMan, spécifique du contrôle interne, a été choisie et testée (YY-BHQ1). La répétabilité et la reproductibilité de notre technique ont été évaluées. Une étude clinique a alors été réalisée sur des patients allogreffés de moelle osseuse du service d'Hématologie Clinique de l'Hôtel Dieu de Clermont-Ferrand, afin d'évaluer la fréquence des réactivations toxoplasmiques dans cette population. Des prélèvements de sang total ont été analysés de façon hebdomadaire puis bi-mensuelle pendant les 6 premiers mois post-greffe. Chez les patients séropositifs pour la toxoplasmose et recevant une prophylaxie adéquate, l'incidence des réactivations est de 3,6%. Chez les allogreffés ne pouvant pas recevoir de prophylaxie, la fréquence des réactivations toxoplasmiques et le risque important de décès en cas de réactivation devrait inciter à faire un suivi hebdomadaire par PCR Toxoplasma gondii.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Mycoses des pieds et onychomycoses (conseils à l'officine)

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    Le "pied d'athlète" est une mycose de l'espace interdigital des pieds pouvant s'étendre à la plante des pieds ou encore à l'ongle (on parle alors d'onychomycose), ceci étant favorisé par l'humidité et la chaleur. Cette dermatose est très fréquente chez les sportifs qui transpirent dans des chaussures fermées, d'où l'appellation "pied d'athlète". Différents types de champignons peuvent être mis en cause mais la grande majorité des atteintes sont dues aux dermatophytes. Quelle que soit l'espèce, le traitement officinal et les conseils d'hygiène restent identiques. De plus, quelle que soit l'origine de la mycose, les symptômes sont voisins : l'atteinte débute fréquemment par l'espace interdigital entre le 4ème et le 5ème orteil puis se propage aux autres espaces interdigitaux et à la plante des pieds. Les lésions sont humides et macérées, prurigineuses, rouges, associées à une desquamation de la peau. Le fond du pli se fissure et devient douloureux. L'extension aux ongles, appelée onychomycose, est fréquente. Les mycoses du pied sont contagieuses. Le pied d'athlète peut être pris en charge dans un 1er temps à l'officine par un rappel des mesures d'hygiène associé à un traitement local. En l'absence d'amélioration, il est indispensable de conseiller une consultation médicale.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Etude des facteurs de pathogénicité des Escherichia coli producteurs de shiga-toxines

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    CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Infections parasitaires et dermatophytiques humaines transmises par le chien et le chat

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    Le chien et le chat sont les principaux animaux de compagnie de l'Homme. Cette proximité est propice à la transmission de certains parasites. Cette thèse présente les principales zoonoses parasitaires et fongiques transmises par le chien et le chat. Dans une 1ère partie, sont présentées deux endoparasitoses : la toxoplasmose et la toxocarose. La seconde partie évoque deux ectoparasites : les dermatophytes et les puces. Ce travail expose pour chaque parasite sa biologie, son cycle de développement, l'épidémiologie et les modes de transmission puis les manifestations chez l'animal et enfin l'Homme. Le but est de définir les mesures de prévention permettant de limiter la transmission à l'Homme. En tant qu'acteur de santé publique, le pharmacien d'officine a un rôle important à jouer dans la prévention. Il doit rappeler les règles d'hygiène aux propriétaires d'animaux, l'importance de la vermifugation et du traitement contre les ectoparasites et conseiller les femmes enceintes vis-à-vis du risque de toxoplasmose.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Complications associées aux Cathéters à Site d'Injection Implantable (CSII) (étude prospective dans deux services de cancérologie de l'Hôpital de Clermont-Ferrand)

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    Les Cathéters à Site d'Injection Implantable (CSII) sont couramment utilisés chez les patients atteints d'un cancer pour administrer la chimiothérapie ou la nutrition parentérale. L'auteur s'intéresse à deux aspects : intensité de la douleur et confort du patient durant et après la pose du CSII et observation des complications précoces ou tardives induites par les CSII utilisés pour la chimiothérapie, en particulier les complications infectieuses. Du 12-05-08 au 10-07-08 (60 jours), nous avons suivi 248 patients (âge 24-85) porteurs d'un CSII dans 2 services d'oncologie du CHRU de Clermont-Ferrand. L'insertion a été effectuée sous anesthésie locale pour 86% des patients ; 32% des patients ont souffert de douleur pendant la pose (IVA> à 4). Neuf complications ont été observées : 6 non infectieuses et 3 infectieuses (germes en cause : 1 S. aureus, 1 E. coli et un germe non identifié). Le taux relativement élevé de douleur ressentie lors de la pose du CSII est vraisemblablement lié au taux élevé de pose sous anesthésie locale. Les infections représentent un tiers des complications ; toutes ont été traitées avec succès par antibiothérapie. Le taux d'infection rapporté au nombre de jours d'utilisation est de 0,21/1000 jours, mais nous pensons qu'un meilleur indicateur serait le taux d'infection rapporté au nombre de jours d'hospitalisation ; dans notre étude, pour 882 jours d'hospitalisation, ce taux ressort à 3,4 infections/1000 jours d'hospitalisation.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Rôle du support nutritionnel au cours de l'agression (Intérêt de la thréonine)

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    MONTPELLIER-BU Pharmacie (341722105) / SudocSudocFranceF
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