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    Oudalle – Route de la Plaine, rue de l'Église

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    L’opération de fouille archéologique préventive réalisée à Oudalle du 28 septembre au 13 novembre 2020 au croisement de la route de la Plaine et de la rue de l’Église sur une surface de 4 500 m2, a permis de mettre au jour une cinquantaine de structures qui se rapportent pour l’essentiel à l’occupation d’un enclos fossoyé, comprise entre l’âge du Bronze moyen II et l’étape moyenne du Bronze final.Son enceinte principale couvre une surface de 60 m de large, orientée nord-nord-ouest – sud-sud-..

    Le dépôt bimétallique du VI<sup>e</sup> s. av. J.-C. de Tavers (Loiret) : présentation liminaire

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    International audienceA metal deposit from the Early Iron Age has recently been discovered in Tavers. Thanks to a geophysical prospection and a mechanical sounding campaign, we can suppose it was quite isolated. Several centuries after its burying, a large rural establishment during the end of the Iron Age, then a Roman villa succeeded each other next to it. The deposit comprises 65 items, mainly made out of copper alloy and four of them made of iron; the association of these two materials is exceptional in this setting. These items consist mainly of adornments, but there are also some weapons and a series of miniature socketed axes. The composition of this deposit is quite original and seems to cross different cultural traditions. It shows a wide range of metal products in a formerly ill-documented area in this field. The association of these objects allows us to date some products, initially badly dated, from the late 6th c. BC, including the model Armorican-like axes.Un dépôt bimétallique du premier âge du Fer a été récemment découvert à Tavers. Suite à une prospection géophysique et une campagne de sondages mécaniques, on peut penser qu’il était relativement isolé. Plusieurs siècles après son enfouissement, un important établissement rural de la fin de l’âge du Fer, puis une villa romaine se succèdent à proximité immédiate. Le dépôt comporte 65 éléments, essentiellement en alliage cuivreux, mais aussi en fer pour quatre d’entre eux ; cette association des deux métaux est exceptionnelle dans ce contexte. Les objets de parure dominent, mais quelques armes sont également représentées, ainsi qu’une série de haches à douille miniatures. À bien des égards, ce dépôt est très original par sa composition et semble à la croisée de différentes traditions culturelles. Il fait connaître un large éventail de productions métalliques dans une région jusqu’à présent plutôt mal documentée de ce point de vue. L’association des objets permet d’attribuer à la seconde moitié du VIe s. av. J.-C. des productions jusqu’ici mal datées, dont les haches miniatures d’affinités armoricaines

    Livron-­sur­-Drôme : l’occupation de La Lauze au Bronze final 2. Des balanophages sur la RN 7

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    Sainte-Sigolène (43), Paturat de Massard: Rapport Final d'Opération d'Archéologie Préventive

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    L’opération réalisée sur le territoire de la commune de Sainte-Sigolène, au lieu-dit « Paturat de Massard », s’est déroulée à la fin du printemps 2021 en amont de l’extension de la ZA « des Pins ». Cette fouille préventive, couvrant une surface de 4900 m2, a permis l’étude d’une petite occupation protohistorique, localisée en bordure de la route départementale D500 reliant Saint-Pal-de-Mons à Saint-Didier-en-Velay, sur le versant sud d’un large talweg.Un contexte particulièrement défavorable (pente marquée entraînant une érosion importante et fort ruissellement hypodermique) a largement compromis la conservation des vestiges. Néanmoins, deux concentrations d’aménagements ont pu être identifiées au nord-ouest et au sud-est de l’emprise. Elles regroupent respectivement une vingtaine et une quinzaine de structures, dont des fosses, des trous de poteaux et un possible foyer. Certaines d’entre elles ont livré un mobilier céramique dont la datation, comprise entre le IIIe et le IIe avant notre ère, semble cohérente avec les premières observations réalisées durant le diagnostic. À ces deux concentrations s’ajoutent une dizaine de structures dispersées sur le reste de l’emprise de fouille et dont l’origine anthropique, en l’absence de mobilier, est difficile à établir.Le nombre considérable d’anomalies pédo-sédimentaires détectées durant la phase de terrain trahit l’existence d’un ancien bois sur cette parcelle qui ne semble pas être défrichée avant le XVIIIe siècle. L’étude géomorphologique réalisée in situ vient d’ailleurs confirmer la présence d’un paléosol forestier.L’observation d’un réseau de drains constitués de tuyaux de PVC constitue simultanément le témoin de la vocation agricole contemporaine du site ainsi que des problématiques provoquées par la présence de la nappe de subsurface
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