207 research outputs found

    Cyberbiosecurity. A short review

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    In the new digital age, life sciences tend to converge with information technology and cybersecurity. With the new developments in biomedical research and the scientific progress of modern biotechnology, there is an exponential multiplication of related information sets, which require cloudstorage and advanced methods of management and analysis, as well as ensuring an adequate protection of their content. The bioeconomy global landscape involves common, multiple and diverse actions (i.e specific policies and framework regulations, international cooperation, national collaboration among interdisciplinary sectors and different actors of the public-private system). At the same time, biosecurity issues highlight a complex and rapidly emerging ecosystem, which involves high-risk vulnerabilities. Moreover, the current pandemic context, generated by the global spread of the new virus, SARS-CoV-2, has pointed out some issues (i.e the importance of strategic autonomy in supply chains - food, medical and pharmaceutical products, the development of critical functional infrastructures, the appropriate prevention and protection measures, including the management of rapid and effective responses to pandemics or other potential malicious actions with regard to the use of infectious biological agents, natural or artificial). As science evolves, relying on the application of new technologies in areas such as artificial intelligence, process automation, bioinformatics and synthetic biology, vulnerabilities such as data confidentiality (i.e clinical, genetic information), cloud storage, intellectual property, may represent opportunities which could be exploited. Cybersecurity needs to be as robust as possible, anticipating and incorporating possible biological threats into its strategies. This paper presents a synthetic overview of cyberbiosecurity available data, with the view to emphasize some of its strategic approaches currently used in the world/at the international level

    Neuroendocrine tumours of the ampulla of Vater: clinico-pathological features, surgical approach and assessment of prognosis

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    BACKGROUND/AIMS: Neuroendocrine tumours occur very rarely in the ampulla of Vater and their clinical behaviour is unknown. The aim of this study is to assess the clinico-pathological features, surgical approach and prognosis of these patients. METHODS: Six patients with neuroendocrine tumours of the ampulla of Vater treated with curative intent surgery at a single centre were retrospectively analysed. A univariate analysis of potential prognostic factors was also performed (data provided from the present study and literature review). RESULTS: Pancreaticoduodenectomy was curative in all the patients. Overall and disease-free survival rates were significantly better for G1/G2 tumours (p = 0.006 and p = 0.004, respectively). Although frequent, lymph node metastases did not influenced both overall (p = 0.760) and disease-free survival rates (p = 0.745). No significant differences of survival were observed in patients with ENETS stage I/II disease, as compared to ENETS stage III disease (p = 0.169 and p = 0.137, respectively). No differences were observed according to UICC staging system (p = 0.073 and p = 0.177, respectively). Tumours that are less than 2 cm or limited to the ampulla appear to have a better prognosis. CONCLUSION: The WHO 2010 classification appear to accurately predict patient prognosis, while the ENETS or UICC staging systems have a limited value (especially in regard to lymph node metastases). Radical surgery (i.e. pancreaticoduodenectomy with lymphadenectomy) should be the standard approach in most patients with NET of the ampulla of Vater because this procedure removes all the potential tumour-bearing tissue

    Robotic Thymectomy

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    Quand les étudiants universitaires communiquent à propos de la routine : entre milieu d'origine et nouvelles cohabitations

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    Lorsqu'on évoque la routine, ce qui nous vient d'emblée à l'esprit, ce sont les notions de paralysie, d'opposition au progrès ou au perfectionnement. Celles-ci s'inscrivent sans doute dans la situation socio-économique des sociétés occidentales d'aujourd'hui, qualifiées par certains auteurs (le premier étant Balandier) de surmodernes, qui voient le rapport au temps et à l'espace des individus, fondements des rapports sociaux et au monde, profondément modifiés : ils sont de plus en plus caractérisés par l'instantanéité, la mobilité, la vitesse, et le changement. Ainsi, s'éloignent les perceptions cycliques d'autrefois, reliées à la lenteur, à l'enracinement, à la durée et à la routine. Dans la littérature, le concept de routine n'a pourtant pas si mauvaise presse : les auteurs lui reconnaissent certes un sens péjoratif, hérité des principes de division du travail des époques smithienne puis fordienne, mais en décèlent tout autant les bienfaits. Ainsi, malgré que la routine puisse, dans certains cas, entraîner engourdissement ou torpeur, elle procure, grâce à la répétition du rythme des pratiques, structure, sécurité et ainsi stabilité et prévisibilité. Prenant assise sur ces considérations, la recherche a pour but d'explorer la place de la routine et les représentations dont elle fait l'objet dans un processus de (re)construction identitaire, ces représentations participant à la nature des interactions entre les individus. Plus précisément, les expériences de quatre jeunes adultes québécois de la génération « Y » ayant quitté le domicile parental, vivant en colocation et poursuivant leurs études, sont recueillies, grâce à une démarche qualitative et des entretiens semi-dirigés, sous forme de récits de vie thématiques. En effet, le processus de (re)construction identitaire entraîné par l'installation dans un nouvel environnement s'avère un terrain fertile pour la mise en place de routines, d'où sa pertinence d'étude. Pour ce qui est de la dimension générationnelle, elle nous permet de relier ces représentations de la routine à la situation socio-économique abordée plus tôt, puisque les jeunes adultes de la génération « Y » sont les premiers à avoir vécu quasi totalement dans le contexte de modification des rapports au temps et à l'espace évoqués précédemment. À partir du croisement des récits des quatre collaborateurs et des concepts retenus lors de la démarche théorique, plusieurs constats se dégagent, en ce qui concerne les jeunes adultes : 1) leur rapport à la routine est ambivalent : bien qu'existante, elle est inavouée ou contestée; 2) la routine, suivie tel un parcours, mène aux activités essentielles de l'existence; 3) la routine permet la ventilation mentale et la résistance au chaos; 4) la routine permet l'hygiène mentale, voire une certaine harmonisation des composantes de l'identité. Enfin, le repérage de ces constats nous a permis de comprendre que le contexte socio-économique ne pèse pas aussi lourd que nous l'aurions pensé dans le passage à l'action de routine des jeunes adultes; celui-ci est davantage en lien avec l'étape de vie qu'ils sont en train de traverser, entre-deux séparant l'adolescence de l'âge adulte, axée sur l'exploration. L'appropriation de l'univers quotidien est alors priorisée afin de « tâter » le maximum de possibilités avant la prochaine étape, la véritable entrée dans la vie adulte.\ud ______________________________________________________________________________ \ud MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Routine, temps, espace, génération « Y », identité, théorisation ancré
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