36 research outputs found

    Social Deprivation Is Associated With Lower Access to Pre-emptive Kidney Transplantation and More Urgent-Start Dialysis in the Pediatric Population

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    Introduction Socioeconomic status (SES) is recognized as an important determinant of kidney health. We aimed to evaluate the association of social deprivation with different indicators at kidney replacement therapy (KRT) initiation in the French pediatric metropolitan population. Methods All patients with end-stage kidney disease (ESKD) who started KRT before 20 years old in France between 2002 and 2015 were included. We investigated different indicators at KRT initiation, which are as follows: KRT modality (dialysis vs. pre-emptive transplantation), late referral to a nephrologist, and dialysis modality (hemodialysis [HD] vs. peritoneal dialysis [PD], urgent vs. planned start of dialysis, use of catheter vs. use of fistula for HD vascular access). An ecological index (European Deprivation Index [EDI]) was used as a proxy for social deprivation. Results A total of 1115 patients were included (males 59%, median age at dialysis 14.4 years, glomerular/vascular diseases 36.8%). The most deprived group represented 38.7% of the patients, suggesting pediatric patients with ESKD come from a more socially deprived background. The most deprived group was more likely to initiate KRT with dialysis versus kidney transplantation. Among patients on HD, the odds of starting treatment in emergency with a catheter was >2-fold higher for the most deprived compared with the least deprived children (adjusted odds ratio [aOR] 2.35, 95% CI 1.16–4.78). Conclusion Children from the most deprived area have lower access to pre-emptive transplantation, have lower access to PD, tend to be late referred to a nephrologist, and have more urgent initiation of HD with a catheter

    The ANTENATAL multicentre study to predict postnatal renal outcome in fetuses with posterior urethral valves: objectives and design

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    Abstract Background Posterior urethral valves (PUV) account for 17% of paediatric end-stage renal disease. A major issue in the management of PUV is prenatal prediction of postnatal renal function. Fetal ultrasound and fetal urine biochemistry are currently employed for this prediction, but clearly lack precision. We previously developed a fetal urine peptide signature that predicted in utero with high precision postnatal renal function in fetuses with PUV. We describe here the objectives and design of the prospective international multicentre ANTENATAL (multicentre validation of a fetal urine peptidome-based classifier to predict postnatal renal function in posterior urethral valves) study, set up to validate this fetal urine peptide signature. Methods Participants will be PUV pregnancies enrolled from 2017 to 2021 and followed up until 2023 in >30 European centres endorsed and supported by European reference networks for rare urological disorders (ERN eUROGEN) and rare kidney diseases (ERN ERKNet). The endpoint will be renal/patient survival at 2 years postnatally. Assuming α = 0.05, 1–β = 0.8 and a mean prevalence of severe renal outcome in PUV individuals of 0.35, 400 patients need to be enrolled to validate the previously reported sensitivity and specificity of the peptide signature. Results In this largest multicentre study of antenatally detected PUV, we anticipate bringing a novel tool to the clinic. Based on urinary peptides and potentially amended in the future with additional omics traits, this tool will be able to precisely quantify postnatal renal survival in PUV pregnancies. The main limitation of the employed approach is the need for specialized equipment. Conclusions Accurate risk assessment in the prenatal period should strongly improve the management of fetuses with PUV

    Neuf régions du génome sont impliquées dans la composition et la dégradabilité de la paroi dans des scénarios d'irrigation contrastés chez une population de maïs précoce

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    International audienceLa valorisation de biomasses lignocellulosiques dans un système économiquement et écologiquement viable passe par la mise en culture de plantes produisant des biomasses au rendement suffisant et à la qualité adaptée à la valorisation visée, que ce soit de la digestibilité chez l'animal ou des procédés industriels, tels que la bioraffinerie, les biomatériaux et la chimie. Ces plantes doivent également pousser dans des systèmes de culture respectueux de l'environnement. Il a été rapporté que les variations de la qualité et de la composition de la biomasse sont impactées par des facteurs génétiques [1] mais aussi environnementaux, tel que le déficit hydrique [2]. De ce fait, la sélection variétale doit conduire à proposer des idéotypes associant le rendement, la qualité de la biomasse et la tolérance au déficit hydrique. L'approche retenue dans notre étude est l'identification de régions chromosomiques impliquées dans la variation de la dégradabilité et de la composition pariétales, ainsi que dans la réponse au déficit hydrique.Dans ce contexte, une population de lignées recombinantes (RILs ; environ 200 individus) issue du croisement entre deux lignées de maïs différant pour la dégradabilité des parois (F271 et Cm484), a été cultivée pendant trois années consécutives près de Montpellier en condition irriguée ou en condition de déficit hydrique par arrêt de l'irrigation à un stade précoce du développement des plantes et jusqu'à leur floraison. La dégradabilité et les composants pariétaux ont été estimés sur les 1300 échantillons récoltés en utilisant des équations NIRS disponibles au sein de l'équipe (cf poster M. Reymond). En combinant ces estimations et l'établissement d'une carte génétique, nous a permis d'identifier 286 QTLs dans les deux scénarios hydriques, localisés sur un nombre restreint de régions chromosomiques (9 régions principales). Ainsi, des QTLs de dégradabilité pariétale co-localisent avec des QTLs de la composition pariétale, telle que la teneur en lignine et/ou en acides p-hydroxycinnamiques. De plus, il apparait que quatre régions chromosomiques présentent une co-localisation de QTLs spécifiques d'un scénario hydrique donné. Remerciements : ces recherches sont soutenues financièrement par l'ANR (projet Biomasse pour le futur, ANR-11-BTBR-0006-BFF). Références bibliographiques [1] C

    Neuf régions du génome sont impliquées dans la composition et la dégradabilité de la paroi dans des scénarios d'irrigation contrastés chez une population de maïs précoce

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    International audienceLa valorisation de biomasses lignocellulosiques dans un système économiquement et écologiquement viable passe par la mise en culture de plantes produisant des biomasses au rendement suffisant et à la qualité adaptée à la valorisation visée, que ce soit de la digestibilité chez l'animal ou des procédés industriels, tels que la bioraffinerie, les biomatériaux et la chimie. Ces plantes doivent également pousser dans des systèmes de culture respectueux de l'environnement. Il a été rapporté que les variations de la qualité et de la composition de la biomasse sont impactées par des facteurs génétiques [1] mais aussi environnementaux, tel que le déficit hydrique [2]. De ce fait, la sélection variétale doit conduire à proposer des idéotypes associant le rendement, la qualité de la biomasse et la tolérance au déficit hydrique. L'approche retenue dans notre étude est l'identification de régions chromosomiques impliquées dans la variation de la dégradabilité et de la composition pariétales, ainsi que dans la réponse au déficit hydrique.Dans ce contexte, une population de lignées recombinantes (RILs ; environ 200 individus) issue du croisement entre deux lignées de maïs différant pour la dégradabilité des parois (F271 et Cm484), a été cultivée pendant trois années consécutives près de Montpellier en condition irriguée ou en condition de déficit hydrique par arrêt de l'irrigation à un stade précoce du développement des plantes et jusqu'à leur floraison. La dégradabilité et les composants pariétaux ont été estimés sur les 1300 échantillons récoltés en utilisant des équations NIRS disponibles au sein de l'équipe (cf poster M. Reymond). En combinant ces estimations et l'établissement d'une carte génétique, nous a permis d'identifier 286 QTLs dans les deux scénarios hydriques, localisés sur un nombre restreint de régions chromosomiques (9 régions principales). Ainsi, des QTLs de dégradabilité pariétale co-localisent avec des QTLs de la composition pariétale, telle que la teneur en lignine et/ou en acides p-hydroxycinnamiques. De plus, il apparait que quatre régions chromosomiques présentent une co-localisation de QTLs spécifiques d'un scénario hydrique donné. Remerciements : ces recherches sont soutenues financièrement par l'ANR (projet Biomasse pour le futur, ANR-11-BTBR-0006-BFF). Références bibliographiques [1] C

    Pediatr Nephrol

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    BACKGROUND: IgA vasculitis (IgAV) is the most common vasculitis in children. IgAV long-term prognosis depends on kidney involvement or IgA vasculitis with nephritis (IgAVN). To date, steroid treatment (oral steroids or methylprednisolone pulses) has not proven to be formally efficient. This study aimed to assess the role of steroids on IgAVN outcome. METHODS: All children with IgAVN diagnosed 2000-2019 in 14 French pediatric nephrology units with minimal follow-up of 6 months were retrospectively included. Outcomes of patients treated with steroids were compared with those of a control group of untreated patients matched for age, sex, proteinuria, eGFR, and histological features. The primary endpoint was IgAVN remission defined as urine protein-to-creatinine ratio < 20 mg/mmol without impaired eGFR one year after disease onset. RESULTS: A total of 359 patients with IgAVN were included with a median follow-up time of 249 days (range 43-809). One hundred eight (30%) patients received oral steroids alone, 207 (51%) patients received three methylprednisolone pulses followed by oral steroids, and 44 patients (12.5%) did not receive steroids. Thirty-two children treated with oral steroids alone were compared with 32 matched control patients who did not receive steroids. One year after disease onset, IgAVN remission proportion was not different between these two groups: 62% versus 68%, respectively. Ninety-three children treated with oral steroids alone were compared with 93 matched patients treated with three methylprednisolone pulses followed by oral corticosteroids. IgAVN remission proportion was not different between these two groups: 77% versus 73%, respectively. CONCLUSION: The benefit of oral steroids alone and methylprednisolone pulses could not be established based on this observational study. Randomized controlled trials are thus required to determine the efficacy of steroids in IgAVN. A higher resolution version of the Graphical abstract is available as Supplementary information
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