15 research outputs found

    Adaptations aux changements socio-écosystémiques et évolution des rapports au marais : enquête ethnohistorique et géographique en Grande Brière Mottière

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    International audienceThis article focuses on the changes affecting the territory of the marsh of the Grande Brière Mottière’s marsh territory, the second largest wetland in France, located North of the Loire estuary. Within this undivided marsh, the Brière community adapts as best it can to different mutations affecting the marsh social-ecological system. With the help of an ethnohistorical field survey and a geographical work, this text documents the adaptation strategies and changes in relations and uses to the marsh maintained by the local community.Cet article s’intéresse aux changements affectant le territoire de la Grande Brière Mottière, deuxième zone humide de France par sa taille, située au nord de l’estuaire de la Loire. Au sein de ce marais indivis, la communauté briéronne s’adapte tant bien que mal à différentes mutations affectant le socio-écosystème palustre. Aidé par une enquête de terrain ethno-historique et géographique, ce texte documente les stratégies d’adaptations et les mutations des usages et rapports au marais entretenus par la communauté locale

    Adaptations aux changements socio-écosystémiques et évolution des rapports au marais : enquête ethnohistorique et géographique en Grande Brière Mottière

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    International audienceThis article focuses on the changes affecting the territory of the marsh of the Grande Brière Mottière’s marsh territory, the second largest wetland in France, located North of the Loire estuary. Within this undivided marsh, the Brière community adapts as best it can to different mutations affecting the marsh social-ecological system. With the help of an ethnohistorical field survey and a geographical work, this text documents the adaptation strategies and changes in relations and uses to the marsh maintained by the local community.Cet article s’intéresse aux changements affectant le territoire de la Grande Brière Mottière, deuxième zone humide de France par sa taille, située au nord de l’estuaire de la Loire. Au sein de ce marais indivis, la communauté briéronne s’adapte tant bien que mal à différentes mutations affectant le socio-écosystème palustre. Aidé par une enquête de terrain ethno-historique et géographique, ce texte documente les stratégies d’adaptations et les mutations des usages et rapports au marais entretenus par la communauté locale

    Fiche d'inventaire Patrimoine Culturel Immatériel : l'apiculture de zone humide en Basse-Loire

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    La Basse-Loire correspond à un espace géographique comprenant l’estuaire du plus long fleuve français, la Loire, sur sa portion fluvio-maritime, entre Nantes et Saint-Nazaire, mais aussi les berges environnantes (lit majeur), et donc les villes et villages établis entre les collines du Pays de Retz (rive sud), le sillon de Bretagne et le marais de Brière (rive nord). L’étude ici présentée s’intéresse à la Basse-Loire dans son acception la plus large, et plusieurs entretiens ont aussi été menés en amont de Nantes, sur l’ensemble de la Loire en aval du milieu limnique, ainsi qu’au sein des zones humides entourant l’estuaire (Lac de Grandlieu et ses annexes, marais salants de Guérande et Mesquer, marais de Brière, marais de la Basse-Loire).L’apiculture, sur ce territoire, constitue une activité ancestrale importante, et elle est encore aujourd’hui pratiquée par une communauté plurielle d’amateurs et professionnels. La proximité de vastes zones humides a permis l’émergence d’une typologie d’apiculture originale, inféodée à la présence d’eau, et, surtout, à la présence des peuplements végétaux associés (plantes à fleurs, arbustes et arbres), dont certains sont très mellifères, et employant la transhumance. Par ailleurs, les végétaux du marais ont aussi constitué une source importante de matière première pour la fabrication de ruches spécifiques à la région, et certains villages ont connu la présence de nombreux fabricants de ruches locales (appelés « huchiers », dont il reste encore aujourd’hui quelques rares descendants). Enfin, une recherche scientifique dédiée aux populations d’abeille a émergé par l’intermédiaire de différentes institutions, et se perpétue aujourd’hui

    : Le patrimoine culturel immatériel est-il naturel et environnemental ? 7e colloque international de l'ethnopôle Centre français du patrimoine culturel immatériel Maison des Cultures du Monde

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    International audienceA l’ouest de la Loire-Atlantique, la Loire termine son cours dans un vaste estuaire, entre Nantes et Saint-Nazaire. Le lit majeur est composé de nombreuses zones humides, avec notamment le bassin versant du Brivet, et les marais du Nord-Loire. Cet espace est soumis aux contraintes du fleuve, des flux de sédiments et des marées ; il est l’habitat d’organismes vivants qui s'y installent pour tout ou partie de leur cycle de vie, et est aussi riche de la diversité des activités palustres en présence.La recherche présentée s’inspire d’une anthropologie symétrique laissant la place aux non-humains : les autres êtres vivants et les alliés techniques sont constitutifs du social en train de se faire, et ce sont les modalités de ces associations entre les hommes, les bêtes, les plantes et les choses que nous tentons de saisir. Un carnet de recherche est publié à https://humanpalud.hypotheses.org/

    Fiche d'inventaire Patrimoine Culturel Immatériel : la chasse au gibier d'eau en Basse-Loire

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    La chasse du gibier d’eau est la chasse d’oiseaux intimement liés aux zones humides, que ce soit pour leur reproduction ou leur alimentation. Elle se pratique sur différentes zones humides et sur les zones maritimes et fluviales. Elle n’est pas propre à la France et se rencontre sur tous les continents. La chasse au gibier d'eau, nommée aussi « chasse à la sauvagine », ne comporte pas une seule méthode de chasse. Selon le territoire, les caractéristiques de l'environnement, et les préférences du chasseur concerné, c'est une multitude de méthodes de chasse qui existe.Cette fiche s’intéresse aux pratiques de cette chasse sur différentes zones humides de la rive droite de la Basse-Loire. Cette fiche s’attarde sur deux zones en particulier : l’estuaire de la Loire ainsi que la Grande Brière Mottière. La chasse au gibier d’eau en zone maritime et donc sur le Domaine Public Maritime n’a pas été décrite dans le cadre de cette fiche

    Éco-anthropologie en Basse-Loire : des collectifs humains et non-humains à l'épreuve du capitalocène

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    International audienceA l’ouest de la Loire-Atlantique, la Loire termine son cours dans un vaste estuaire, entre Nantes et Saint-Nazaire. Le lit majeur comporte de nombreuses zones humides, avec notamment le bassin versant du Brivet, et les marais du Nord-Loire. Cet espace est soumis aux contraintes du fleuve, des flux de sédiments et des marées ; il est l’habitat d’organismes vivants qui s'y installent pour tout ou partie de leur cycle de vie, et est aussi riche de la diversité des activités palustres en présence. La recherche présentée s’inspire d’une anthropologie symétrique laissant la place aux non-humains : les autres êtres vivants et les techniques sont constitutifs du social en train de se faire, et ce sont les modalités de ces associations entre les hommes, les bêtes, les plantes et les choses que nous tentons de saisir, ainsi que la stabilité de ces compositions face aux épreuves du capitalocène
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