15 research outputs found

    Follicle growth, oocyte maturation, embryo development, and reproductive biotechnologies in dog and cat

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    This article has been included in the Proceedings of the Society for Theriogenology Annual Conference - Online, 2020 were this work was presented: https://www.ivis.org/library/sft/sft-theriogenology-annual-conference-online-2020/follicle-growth-oocyte-maturation-embryo-development-and-reproductive-biotechnologies-dog-and-catInternational audienceAlthough the dog and cat both belong to the order Carnivorous, their reproductive physiology is quite different. The dog is a nonseasonal, monoestrus species with spontaneous ovulation only twice a year and with an atypical, postovulatory oocyte maturation. Furthermore, the application of reproductive in vitro biotechnologies such as in vitro maturation (IVM), in vitro fertilization (IVF), intracytoplasmic sperm injection (ICSI) or cloning remains quite a challenge in dogs. By contrast, the cat is a polyestrus seasonal species, with ovulation induced several times a year and typical preovulatory oocyte maturation. As a result, manipulation of ovarian physiology is feasible and in vitro reproductive biotechnologies are as efficacious as in cattle. The first part of this review describes the main facts associated with folliculogenesis in the dog and cat (initiation of growth of primordial follicles, appearance of the zona pellucida, formation of antrum, nuclear and cytoplasmic maturation of oocyte, expression of receptors to gonadotrophins, and expression of steroidogenic enzymes). Second part focuses on oocyte maturation, fertilization, and in vivo early embryo development in both species. Last part discusses in vitro reproductive biotechnologies (IVM, IVF, and IVD), embryo transfer, and more recent biotechnologies (cloning, in vitro folliculogenesis, and vitrification of oocytes and follicles). Innovations in the dog are still limited by various characteristics (long ovarian cycle, difficult in vitro oocyte maturation) whereas in the cat, many in vitro techniques are applicable that may also be extended to wild feline species

    Expression of oviductin mRNA in the canine oviduct during the periovulatory period

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    17th International Congress on Animal Reproduction (ICAR), Vancouver, CANADA, JUL 29-AUG 02, 2012International audienceno abstrac

    Séroprévalence de Toxoplasma gondii chez les porcs de Croatie

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    International audienceObjectifsToxoplasma gondii est un parasite intracellulaire obligatoire de tous les animaux à sang chaud et de l'homme. Selon l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA), environ 60 % de toutes les infections humaines par T. gondii sont dues à une consommation de viande mal cuite, la viande de porc étant l'une des sources d'infection les plus courantes (Almeria et al., 2020 ; Dubey, 2022). Le diagnostic de la toxoplasmose chez l'homme et l'animal n'est pas standardisé, que ce soit en termes de type de tissu examiné ou de méthode. Le test d'agglutination modifié (MAT) est souvent considéré comme le test sérologique de référence chez les animaux car il peut être appliqué à toutes les espèces, ce qui permet de comparer les résultats (Klun et al., 2006). L'objectif de cette étude était de déterminer la séroprévalence de T. gondii chez les porcs abattus en Croatie et destinés à la consommation humaine.Matériel et méthodesEn 2021, 646 échantillons de sérum au total ont été prélevés sur des porcs d'engraissement dans des abattoirs par des vétérinaires agréés, tandis que 541 sérums de truies provenaient des archives de l'Institut vétérinaire croate. Tous les échantillons de sérum, provenant de différentes régions croates et représentants de la production nationale, ont été testés par la technique MAT pour détecter les IgG anti-T. gondii au Laboratoire de Santé Animale de l'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSES), Maisons-Alfort, France. L'antigène utilisé pour ce test a été fourni par le Centre National de Référence de la toxoplasmose à Reims, en France. Tous les sérums ayant agglutiné l’antigène à des dilutions ≥1:6 ont été considérés comme positifs et ont été titrés plus précisément par la suite.RéférencesAlmeria, s., Dubey J.P. (2020): Res. Vet. Sci. DOI: 10.1016/j.rvsc.2020.10.019 ; Dubey, J.P. (2022): Toxoplasmosis of Animals and Humans. 3rd ed., CRC Press.Boca Raton, Florida. ; Klun, I., et al., (2006): Vet. Parasitol. DOI: 10.1016/j.vetpar.2005.08.01
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