71 research outputs found

    The Herschel–ATLAS data release 2, Paper I. Submillimeter and far-infrared images of the South and North Galactic Poles: the largest Herschel survey of the extragalactic sky

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    We present the largest submillimeter images that have been made of the extragalactic sky. The Herschel Astrophysical Terahertz Large Area Survey (H-ATLAS) is a survey of 660 deg2 with the PACS and SPIRE cameras in five photometric bands: 100, 160, 250, 350, and 500 μm. In this paper we present the images from our two largest fields, which account for ~75% of the survey. The first field is 180.1 deg2 in size, centered on the north Galactic pole (NGP), and the second is 317.6 deg2 in size, centered on the south Galactic pole. The NGP field serendipitously contains the Coma cluster. Over most (~80%) of the images, the pixel noise, including both instrumental noise and confusion noise, is approximately 3.6, and 3.5 mJy pix−1 at 100 and 160 μm, and 11.0, 11.1 and 12.3 mJy beam−1 at 250, 350 and 500 μm, respectively, but reaches lower values in some parts of the images. If a matched filter is applied to optimize point-source detection, our total 1σ map sensitivity is 5.7, 6.0, and 7.3 mJy at 250, 350, and 500 μm, respectively. We describe the results of an investigation of the noise properties of the images. We make the most precise estimate of confusion in SPIRE maps to date, finding values of 3.12 ± 0.07, 4.13 ± 0.02, and 4.45 ± 0.04 mJy beam−1 at 250, 350, and 500 μm in our un-convolved maps. For PACS we find an estimate of the confusion noise in our fast-parallel observations of 4.23 and 4.62 mJy beam−1 at 100 and 160 μm. Finally, we give recipes for using these images to carry out photometry, both for unresolved and extended sources

    Glucose sensing in the pancreatic beta cell: a computational systems analysis

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    La forêt-monde en question : recomposition du rapport des sociétés à la forêt dans les pays du Sud

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    La déforestation des bas-fonds sahélo-soudaniens du Niger central est un phénomène relativement récent. Il est la conséquence de la synergie entre l'évolution de la société paysanne haoussa et les déséquilibres écologiques profonds et rapides liés aux derniers épisodes de sécheresse. Jusqu'au milieu du siècle, existaient des galeries forestières fournies, remarquables par leur exubérance et leur richesse spécifique. Il n'en subsiste actuellement que de rares lambeaux appartenant du point de vue phytosociologique à deux associations. La plus rare maintenant, à #Mitragyna inermis et #Anogeissus leiocarpus, s'apparente aux formations arborées des régions soudaniennes, méridionales. La seconde, dominée par #Acacia nilotica nilotica$, est commune dans l'ensemble du Sahel. La cause majeure de cette déforestation est due à l'intégration de plus en plus profonde de ces zones inondées dans les systèmes de production, résultat de mutations amorcées dès les années cinquante. Le recul des cultes agraires devant l'islam a modifié les représentations culturelles des espaces. L'affaiblissement de l'autorité des chefs de lignage, des stratégies paysannes plus individuelles, le manque de terres sont autant de facteurs qui expliquent les défrichements massifs. Sur le plan de la diversité biologique, les nouvelles pratiques ne conduisent pas toujours à un appauvrissement mais entraînent localement une diversification certaine des flores et végétations anthropophiles et une réorganisation des éléments spontanés de la biodiversité. Cependant, l'instabilité accrue des milieux, due à l'augmentation du ruissellement et à l'accroissement des transports solides, est une menace qui pèse en permanance sur la pérennité des nouvelles biocénoses et des installations humaines. (Résumé d'auteur

    Biodiversité et savoirs naturalistes locaux en France

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    Avec la Convention sur la diversité biologique, qui a porté les communautés autochtones et locales sur le devant de la scène internationale, l'homme a retrouvé une place centrale dans les questions liées à l'environnement. Ses activités ne sont plus stigmatisées. Ses savoirs et savoir-faire liés à la nature, longtemps dépréciés, ont été réhabilités et sont devenus le centre d'actions de conservation et de valorisation de la biodiversité. Cet intérêt grandissant à toutes les échelles, du local à l'international, suscite une forte demande d'informations, d'études de cas, d'analyses. Les exemples cités proviennent surtout du monde anglo-saxon et latino-américain et se limitent souvent aux questions liées à l'autochtonie. En France, ces dernières peinent encore à être prises en compte. En revanche, des approches fondées sur les notions de patrimoine et de terroir ont été développées, qui permettent de mieux connaître, de conserver et de valoriser les savoirs naturalistes et la biodiversité qui leur est liée. Cet ouvrage présente des contributions originales sur l'expérience française, provenant de chercheurs de disciplines variées, de praticiens, d'hommes politiques. Ouvrant une réflexion collective, synthétique et critique, il s'adresse aux négociateurs, mais aussi à tous ceux qui s'intéressent aux savoirs autochtones et locaux sur la nature. Avec l'objectif de nourrir les débats, notamment internationaux
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