128 research outputs found
Tendances de consommation et stratégies de différenciation des distributeurs
Cet article a pour objectif de dresser un panorama des tendances de consommation les plus pertinentes pour les distributeurs lancés dans des stratégies de différenciation. Une premiÚre partie présente les tendances de consommation « actuelles » et illustre abondamment la façon dont les distributeurs y répondent. Une seconde partie présente des tendances dites « émergentes ». Dans une troisiÚme partie, les résultats d'une étude exploratoire menée auprÚs d'experts de la distribution sont présentés. Il s'agit de déterminer l'écart entre l'importance de ces tendances et le positionnement des circuits. Cette approche permet d'identifier les tendances de consommation que les distributeurs pourraient valablement exploiter, par une adaptation des concepts (assortiment, communication ou services) ou par le développement de concepts spécialisés. En conclusion, nous formulons quelques recommandations aux distributeurs qui veulent exploiter ces tendances pour se différencier.marketing, innovation, distribution, commerce, différenciation
Saran â Les Montaubans, Les Pendus
Cette fouille archĂ©ologique rĂ©alisĂ©e de septembre Ă dĂ©cembre 2010, est situĂ©e sur la commune de Saran, au lieu-dit les Montaubans. Elle a Ă©tĂ© divisĂ©e en trois zones de fouille. En zone 1, le long de la dĂ©partementale no 702, une voie orientĂ©e sud-est â nord-ouest et plusieurs fossĂ©s bordiers ont Ă©tĂ© dĂ©couverts. Cet axe de circulation est empierrĂ© au sud-est. Sa prĂ©sence au nord-ouest nâest indiquĂ©e que par une sĂ©rie dâorniĂšres. Lâorigine antique de la voie semble probable. Elle a dĂ» perdurer ..
Artenay â La Route de Patay
La commune dâArtenay est situĂ©e Ă 26 km au nord dâOrlĂ©ans, traversĂ©e par la RN20. Lâemprise de la fouille est localisĂ©e Ă 1,7 km du centre-ville, au hameau dâAutroche. Elle est dĂ©limitĂ©e au sud par la route dĂ©partementale no 5. Le substrat de la zone fouillĂ©e est constituĂ© de calcaire de la Beauce (mla2) et de Marne de Blamont (mla3) de lâAquitanien. Ces formations sont recouvertes par plusieurs sĂ©quences limoneuses de plateaux, dâorigine Ă©olienne, dĂ©posĂ©es au PlĂ©istocĂšne. Les vestiges dĂ©couv..
Comment faire face à la maturité du marché de la collecte de fonds pour une association de solidarité ?.
Cet article a pour objectif dâexplorer deux stratĂ©gies pouvant rĂ©pondre au problĂšme dâarrivĂ©e Ă maturitĂ© du «marché» de la collecte de fonds dans le secteur associatif : rajeunir la cible visĂ©e et changer dâoutil marketing. AprĂšs une revue de littĂ©rature, il prĂ©sente les rĂ©sultats de deux Ă©tudes menĂ©es auprĂšs de 884 individus. Enfin, les limites, implications et voies de recherche sont prĂ©sentĂ©es.This article examines two possible solutions when a charity reaches the point where donations cease to increase: either rejuvenate the target population or use different marketing tools. Following a review of the literature, this article presents the results of two surveys carried out on 884 people. Finally, the limits, implications and methods of research are presented.marketing social; marketing humanitaire; collecte de fonds; associations de solidaritĂ©; caractĂ©ristiques des donateurs; Social marketing; marketing of non profit organisations; Fundraising; Charity organisations; Donorsâ characteristics;
Tendances de consommation et stratégies de différenciation des distributeurs.
Cet article a pour objectif de dresser un panorama des tendances de consommation les plus pertinentes pour les distributeurs lancĂ©s dans des stratĂ©gies de diffĂ©renciation. Une premiĂšre partie prĂ©sente les tendances de consommation « actuelles » et illustre abondamment la façon dont les distributeurs y rĂ©pondent. Une seconde partie prĂ©sente des tendances dites « Ă©mergentes ». Dans une troisiĂšme partie, les rĂ©sultats dâune Ă©tude exploratoire menĂ©e auprĂšs dâexperts de la distribution sont prĂ©sentĂ©s. Il sâagit de dĂ©terminer lâĂ©cart entre lâimportance de ces tendances et le positionnement des circuits. Cette approche permet dâidentifier les tendances de consommation que les distributeurs pourraient valablement exploiter, par une adaptation des concepts (assortiment, communication ou services) ou par le dĂ©veloppement de concepts spĂ©cialisĂ©s. En conclusion, nous formulons quelques recommandations aux distributeurs qui veulent exploiter ces tendances pour se diffĂ©rencier.The authors examine the main consumption trends that are considered to be relevant to the retail industry, when differenciation becomes the main strategic objective. This research aims at helping the retailers to understand the major trends and to evaluate the opportunity of responding to them in terms of store brands, services, communication or even, new retailing concepts.StratĂ©gie; Tendances de consommation; Distribution;
Comment gĂ©rer les senteurs dâambiance ?
Il y a maintenant plus de 20 ans, je dĂ©butais une thĂšse en marketing sur la diffusion de senteurs dâambiance sur le point de vente. CĂŽtĂ© entreprise, cette pratique, encore confidentielle, se rĂ©sumait Ă quelques opĂ©rations ponctuelles. Faute de matĂ©riel adaptĂ©, il Ă©tait difficile dâenvisager son dĂ©veloppement et sâil nây avait pas eu les encouragements de pionniers comme Michael Moisseff, infatigable passeur avec son association Asquali, ou Laurent Moy qui mâapporta son soutien, jâaurais eu maintes raisons dâabandonner cette recherche. Est-ce la faiblesse de mes arguments ou le pragmatisme exagĂ©rĂ© des entreprises que je rencontrais, jâavais beaucoup de difficultĂ©s Ă convaincre une entreprise dâaccepter de mâaccueillir quelques semaines en son sein pour mener lâexpĂ©rimentation que je souhaitais rĂ©aliser pour Ă©tudier lâinfluence de la diffusion de senteurs dâambiance sur le comportement du consommateur. Finalement, câest la marque de prĂȘt Ă porter Caroll, que je nâaurai de cesse de remercier, qui mâapporta son soutien pour cette expĂ©rience. Dans la foulĂ©e, elle crĂ©a sa signature olfactive et Ă©quipa pendant 4 ans 80 magasins de diffuseurs de senteurs. Nous Ă©tions au dĂ©but des annĂ©es 2000 et il sâagit, Ă ma connaissance, de la premiĂšre opĂ©ration de cette ampleur au sein dâun rĂ©seau de distribution.
Aujourdâhui, tout a changĂ©. Le scepticisme de lâĂ©poque a presque disparu. On parle dĂ©sormais dâexpĂ©rience client, de marketing sensoriel, et le pragmatisme des professionnels ne peut ignorer le bĂ©nĂ©fice que lâon peut retirer de telles pratiques. La presse professionnelle se fait rĂ©guliĂšrement lâĂ©cho de ces pratiques qui concernent dĂ©sormais tous les secteurs : la banque, le prĂȘt-Ă -porter, le transport passager, les spectacles ou encore la grande distribution. Si cette pratique fait dĂ©sormais partie de la boĂźte Ă outils des professionnels du marketing, il nâen demeure pas moins important de comprendre ce monde des odeurs et ce quâil est possible dâattendre dâune telle utilisation des odeurs. En effet, il ne faudrait pas que le scepticisme de la fin des annĂ©es 90 se transforme en pratique dĂ©raisonnĂ©e. Câest pourquoi la premiĂšre partie de ce chapitre nous permettra de revenir sur les spĂ©cificitĂ©s associĂ©es aux senteurs dâambiance Ă travers les pouvoirs attachĂ©s aux odeurs et Ă ce que les chercheurs appellent « le syndrome de Proust ». Nous examinerons Ă©galement les conclusions que nous pouvons tirer des recherches menĂ©es sur lâinfluence des senteurs dâambiance et les spĂ©cificitĂ©s de la diffusion de senteurs dâambiance. Dans une seconde partie, nous proposerons un ensemble de recommandations managĂ©riales quant Ă lâutilisation de senteurs dâambiance dans le cadre de lâamĂ©nagement dâun magasin
Le Marketing sensoriel des points de vente : des résultats des recherches aux pratiques des distributeurs
The aim of this paper is to compare the knowledge, acquired in the academic environment, of the influence of the different factors of atmosphere on the customers\u27 reactions with the distributors\u27 practices in order to make a synthesis of a specific and emergent marketing : the sensory marketing of the store
Le magasin du futur : le phygital au service du smart shop
LâactualitĂ© nous conduit Ă nous interroger sur le devenir du magasin physique. En effet, ce modĂšle, qui semblait immuable, apparaĂźt malmenĂ© par la montĂ©e du commerce en ligne fruit de la troisiĂšme rĂ©volution industrielle. Ainsi, les « Department Stores » amĂ©ricains ont vu leur nombre de magasins diminuĂ©s de 20 % depuis 2013 (RBC Capital Markets - 2017). Ce mouvement touche Ă©galement les grandes enseignes de la distribution française. En 2012, Casino avait dĂ©jĂ annoncĂ© sa volontĂ© de rĂ©duire la taille moyenne de ses magasins Ă 7 000 mÂČ alors que certaines enseignes proposent des magasins avec plus de 20 000 mÂČ de surface de vente. Aujourdâhui, câest au tour de Carrefour, pionnier des hypermarchĂ©s, de constater que la bataille du non alimentaire est peut-ĂȘtre perdue et quâil est prĂ©fĂ©rable de porter ses efforts sur lâalimentaire en rĂ©affectant les surfaces de ses magasins.
Aussi, la pĂ©riode que nous vivons pourrait marquer une Ă©tape majeure pour le commerce de dĂ©tail physique. Certains posent la question de la survie du magasin physique face au commerce en ligne ; dâautres parient sur lâĂ©mergence dâun magasin phygital, fruit du mariage entre le physique et le digital. Quoi quâil en soit, câest sans doute la premiĂšre fois que semble mise en cause la nĂ©cessitĂ© de faire se rencontrer la marchandise au sein dâun espace physique. Cette transformation en cours nous amĂšne Ă nous interroger sur la maniĂšre dont les points de vente ont pu Ă©voluer au fil du temps. Ainsi, nous montrerons quâaprĂšs la RĂ©volution française se sont finalement deux voies quâont empruntĂ©es les commerçants de lâĂ©poque. La premiĂšre, directement liĂ©e Ă la premiĂšre rĂ©volution industrielle (celle du charbon et de la machine Ă vapeur), permit aux descendants des merciers de dĂ©velopper lâachat plaisir et trouva son apogĂ©e avec les Grands magasins. La seconde, qui trouve son origine dans la seconde rĂ©volution industrielle (celle de lâĂ©lectricitĂ© et de la production de masse), fut suivie par les descendants des Ă©piciers et trouvera son aboutissement avec le succĂšs des hypermarchĂ©s. Cette derniĂšre illustre la volontĂ© de maĂźtriser les flux, quâil sâagisse du flux marchandise ou du flux client. Ensuite, nous nous intĂ©resserons Ă la rĂ©volution en cours (celle de lâinformation et dâInternet) en montrant les innovations quâelle apporte au commerce physique et la maniĂšre dont elle transforme le point de vente et la nĂ©cessitĂ© quâil y a aujourdâhui Ă maĂźtriser cette masse dâinformations qui dĂ©ferle sur les commerçants. Dans un troisiĂšme temps, nous nous intĂ©resserons aux technologies disponibles. Tout dâabord, celles au service de lâatmosphĂšre du magasin. Ensuite, celles au service de lâergonomie avant de voir celles au service de la dimension symbolique du point de vente et celles au service de sa dimension relationnelle. Enfin, avant de conclure sur quelques questions opĂ©rationnelles, nous nous interrogerons sur les questions-clĂ©s Ă intĂ©grer dans la transformation digitale du point de vente. En effet, il est important de sâinterroger sur ce que souhaite le consommateur et sur la rentabilitĂ© des investissements rĂ©alisĂ©s dans la digitalisation du point de vente
Increased EZH2 expression in prostate cancer is associated with metastatic recurrence following external beam radiotherapy
Background
Enhancer of zeste 2 (EZH2) promotes prostate cancer progression. We hypothesized that increased EZH2 expression is associated with postradiotherapy metastatic disease recurrence, and may promote radioresistance.
Methods
EZH2 expression was investigated using immunohistochemistry in diagnostic prostate biopsies of 113 prostate cancer patients treated with radiotherapy with curative intent. Associations between EZH2 expression in malignant and benign tissue in prostate biopsy cores and outcomes were investigated using univariate and multivariate Cox regression analyses. LNCaP and PC3 cell radiosensitivity was investigated using colony formation and ÎłH2AX assays following UNC1999 chemical probeâmediated EZH2 inhibition.
Results
While there was no significant association between EZH2 expression and biochemical recurrence following radiotherapy, univariate analysis revealed that prostate cancer cytoplasmic and total EZH2 expression were significantly associated with metastasis development postradiotherapy (Pâ=â0.034 and Pâ=â0.003, respectively). On multivariate analysis, the prostate cancer total EZH2 expression score remained statistically significant (Pâ=â0.003), while cytoplasmic EZH2 expression did not reach statistical significance (Pâ=â0.053). No association was observed between normal adjacent prostate EZH2 expression and biochemical recurrence or metastasis. LNCaP and PC3 cell treatment with UNC1999 reduced histone H3 lysine 27 triâmethylation levels. Irradiation of LNCaP or PC3 cells with a single 2âGy fraction with UNC1999âmediated EZH2 inhibition resulted in a statistically significant, though modest, reduction in cell colony number for both cell lines. Increased ÎłH2AX foci were observed 24âhours after ionizing irradiation in LNCaP cells, but not in PC3, following UNC1999âmediated EZH2 inhibition vs controls.
Conclusions
Taken together, these results reveal that high pretreatment EZH2 expression in prostate cancer in diagnostic biopsies is associated with an increased risk of postradiotherapy metastatic disease recurrence, but EZH2 function may only at most play a modest role in promoting prostate cancer cell radioresistance
Artenay (Loiret). La route de Patay
La commune dâArtenay se situe Ă 26 km au nord dâOrlĂ©ans et Ă 52 km au SE de Chartres. Lâemprise de la fouille est situĂ©e Ă 1,7 km du centre-ville dâArtenay, au hameau dâAutroche. Elle est dĂ©limitĂ©e au sud par la route dĂ©partementale n° 5. La fouille a concernĂ© environ 5 ha. Le site correspond Ă une zone pĂ©riphĂ©rique dâun habitat non encore localisĂ© qui pourrait se situer sous le hameau actuel. Il a permis de reconnaĂźtre des fossĂ©s, plusieurs zones importantes de stockage, trois fours domestiq..
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