56 research outputs found

    Mechanistic analysis of the sub chronic toxicity of La and Gd in <i>Daphnia magna</i> based on TKTD modelling and synchrotron X-ray fluorescence imaging

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    The release of lanthanides (Ln) into the environment has increased in recent decades due to their expanding applications in society. Studying their toxicity in aquatic ecosystems is urgent and challenging, with contradictory evidence presented in the literature. This study compared the biodistribution of La and Gd in Daphnia magna exposed to sub-chronic conditions and developed the first Toxicokinetic-Toxicodynamic (TKTD) model for these lanthanides with this model crustacean. D. magna were initially exposed for 7 days to concentrations close to the LC50 of La (2.10 mg L-1) and Gd (1.70 mg L−1). After exposure, half of the live daphnids were introduced in a clean media to allow depuration over 24 h, while the other organisms were directly prepared for synchrotron imaging measurements. Synchrotron X-ray fluorescence analysis revealed that metal distribution in the organisms was similar for both La and Gd, predominantly localized in the intestinal tract, even after the depuration process. These results indicate that ingested metal can adversely affect organisms under sub-chronic exposure conditions, highlighting the importance of using nominal concentrations as a more suitable indicator of metal bioavailability for risk assessment. The General Unified Threshold Model of Survival (GUTS) TKTD framework, in its reduced form (GUTS-RED), was developed for La and Gd using dissolved and nominal concentrations. D. magna were exposed for 7 days to concentrations from 0.5 to 5 mg L−1 of La or Gd and mortality monitored daily. The mechanistic model revealed a faster toxicokinetics for La than Gd and a higher toxicity for Gd than La in the organism. This study confirmed, despite similar chemical properties, the variation in both toxicity and toxicokinetics between these two metals

    Determination of the distribution of rare earth elements La and Gd in <i>Daphnia magna</i> via micro and nano-SXRF imaging

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    While our awareness of the toxicity of rare earth elements to aquatic organisms increases, our understanding of their direct interaction and accumulation remains limited. This study describes the acute toxicity of lanthanum (La) and gadolinium (Gd) in Daphnia magna neonates and discusses potential modes of action on the basis of the respective patterns of biodistribution. Ecotoxicological bioassays for acute toxicity were conducted and dissolved metal concentrations at the end of the tests were determined. The results showed a significant difference in nominal EC50 (immobility) between La (>30 mg L−1) and Gd (13.93 (10.92 to 17.38) mg L−1). Daphnids that were then exposed to a concentration close to the determined EC50 of Gd (15 mg L−1, nominal concentration) for 48 h and 72 h were studied by synchrotron micro and nano-X-ray fluorescence to evaluate the biodistribution of potentially accumulated metals. X-ray fluorescence analyses showed that La was mainly found in the intestinal track and appeared to accumulate in the hindgut. This accumulation might be explained by the ingestion of solid La precipitates formed in the media. In contrast, Gd could only be detected in a small amount, if at all, in the intestinal tract, but was present at a much higher concentration in the tissues and became more pronounced with longer exposure time. The solubility of Gd is higher in the media used, leading to higher dissolved concentrations and uptake into tissue in ionic form via common metal transporting proteins. By studying La and Gd biodistribution in D. magna after an acute exposure, the present study has demonstrated that different uptake pathways of solid and dissolved metal species may lead to different accumulation patterns and toxicity.PeerReviewe

    A manually annotated Actinidia chinensis var. chinensis (kiwifruit) genome highlights the challenges associated with draft genomes and gene prediction in plants

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    Most published genome sequences are drafts, and most are dominated by computational gene prediction. Draft genomes typically incorporate considerable sequence data that are not assigned to chromosomes, and predicted genes without quality confidence measures. The current Actinidia chinensis (kiwifruit) 'Hongyang' draft genome has 164\ua0Mb of sequences unassigned to pseudo-chromosomes, and omissions have been identified in the gene models

    L’arĂŽme des vins rouges de garde Ă  Bordeaux, un grand bouquet odorant. Partie 1/2 : La dĂ©finition sensorielle

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    Article dans une revue professionnelleLa qualitĂ© des grands vins est intimement liĂ©e Ă  leur aptitude au vieillissement. C’est au cours de la conservation en bouteille qu’ils rĂ©vĂšlent leur personnalitĂ© aromatique. Le bouquet de vieillissement est associĂ© Ă  l’image prestigieuse de grands vins de garde (Dupont, 2005). Bien que souvent citĂ© par les dĂ©gustateurs, le bouquet de vieillissement est un concept complexe. Émile Peynaud l’a dĂ©crit comme « une large palette de nuances, un ensemble harmonieux oĂč chacune d’entre elles est difficilement perceptible individuellement » (Peynaud & Blouin, 2006). Il est trĂšs recherchĂ© par les amateurs de vins mais compte toujours parmi les phĂ©nomĂšnes Ɠnologiques les plus mystĂ©rieux. Un de nos objectifs a donc Ă©tĂ© de dĂ©finir les caractĂ©ristiques du bouquet de vieillissement pour les vins rouges de Bordeaux. DĂ©finir le bouquet de vieillissement nĂ©cessite, en premiĂšre intention, de caractĂ©riser sa typicitĂ©. Ce travail a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en plusieurs Ă©tapes : tout d’abord, il a consistĂ© Ă  identifier quelques vins « types » qui expriment au mieux ce bouquet de vieillissement. Ensuite, les arĂŽmes et les caractĂšres organoleptiques caractĂ©ristiques de ces grands vins et de leur bouquet de vieillissement ont Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©s. Enfin, il est apparu nĂ©cessaire de dĂ©finir en quoi les autres vins s’écartent ou se rapprochent de ce modĂšle supposĂ© idĂ©al. En effet, c’est la mise en Ă©vidence de cet « air de famille » qui conduira Ă  la construction d’une image sensorielle, reprĂ©sentative de la typicitĂ©, Ă  laquelle chaque dĂ©gustateur pourra se rĂ©fĂ©rer. Le travail de description d’une typologie de vins requiert un haut degrĂ© d’expertise reposant Ă  la fois sur des compĂ©tences en dĂ©gustation et des connaissances Ɠnologiques. En consĂ©quence, nous avons fait appel Ă  des professionnels de la filiĂšre vitivinicole qui ont Ă©tĂ© invitĂ©s Ă  dĂ©crire conceptuellement et sensoriellement leur propre dĂ©finition du bouquet de vieillissement des vins rouges de Bordeaux. Ensuite, nous avons analysĂ© les points communs et les points de divergence de toutes ces dĂ©finitions pour finalement proposer une reprĂ©sentation consensuelle du bouquet de vieillissement des vins rouges de Bordeaux

    Le bouquet de vieillissement des vins rouges de Bordeaux, l'expression des grands terroirs Partie 2/2: Des marqueurs ont été identifiés

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    Article dans une revue professionnelleLa qualitĂ© des grands vins de garde est intimement liĂ©e Ă  leur aptitude Ă  se bonifier au cours du temps. Nous nous interrogeons sur cette notion de vieillissement qualitatif, souvent appelĂ© « bouquet », pour les vins rouges de la rĂ©gion de Bordeaux. Dans une premiĂšre partie, exposĂ©e dans le n° 160 de la Revue des ƒnologues (juillet 2016), nous avons travaillĂ© Ă  la dĂ©finition sensorielle de ce vieillissement qualitatif de ces vins. À l’ombre des caves, l’arĂŽme des grands vins se complexifie et enrichi leur patrimoine olfactif de nouvelles notes qui Ă©voquent la complexitĂ© du sous-bois, l’opulence de la truffe, l’ivresse des Ă©pices, la fraĂźcheur de la rĂ©glisse et de la menthe ou encore l’appĂ©tence du grillĂ©. L’autre caractĂ©ristique des grands vins est de prĂ©server, au fil des annĂ©es, les arĂŽmes de fruits frais rouges et noirs qui signaient leur jeunesse. ConnaĂźtre l’identitĂ© olfactive des grands vins n’est pas suffisant, il s’agit de comprendre les rĂ©alitĂ©s chimiques qui se dissimulent derriĂšre ces notes olfactives. On entendra dire, ça et lĂ , que nous cherchons Ă  dĂ©cortiquer les vins pour en ĂŽter la magie. RĂ©pondons que jamais la composition molĂ©culaire des vins ne s’écrira dans des tables, mais actons que la connaissance fine de quelques-uns de ces arĂŽmes nous conduira Ă  en comprendre l’origine et Ă  valoriser les pratiques Ɠnologiques et/ou viticoles qui favorisent la pĂ©rennitĂ© de nos grands vins

    L’arîme des vins rouges de garde à Bordeaux. Un grand bouquet odorant

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    Article dans une revue professionnelleLa qualitĂ© des grands vins est intimement liĂ©e Ă  leur aptitude au vieillissement. C’est au cours de la conservation en bouteille qu’ils rĂ©vĂšlent leur personnalitĂ© aromatique. TrĂšs recherchĂ©e par les amateurs, la genĂšse du bouquet de vieillissement compte parmi les phĂ©nomĂšnes Ɠnologiques les plus mystĂ©rieux. Notre objectif est de dĂ©finir les caractĂ©ristiques de ce bouquet pour les vins rouges de Bordeaux, de dĂ©crire les structures des molĂ©cules odorantes qui le composent, d’en imaginer et identifier les prĂ©curseurs pour espĂ©rer, enfin, comprendre comment les choix du praticien, Ă  la vigne comme au chai, peuvent favoriser ou bien mettre Ă  mal ce potentiel de vieillissement. La premiĂšre Ă©tape a donc Ă©tĂ© un travail de description d’une typologie de vins. Ce travail requiert le recrutement d’un panel de dĂ©gustateurs prĂ©sentant un haut degrĂ© d’expertise reposant Ă  la fois sur des compĂ©tences en dĂ©gustation et des connaissances Ɠnologiques. Ces experts ont Ă©tĂ© interrogĂ©s, d’une part, et ont dĂ©crit des vins, d’autre part. Ces expĂ©riences, nous ont permis d’extraire la dĂ©finition gĂ©nĂ©rale du bouquet de vieillissement par une connaissance commune des professionnels de la filiĂšre (figure 1), mais aussi de confirmer et prĂ©ciser cette dĂ©finition du bouquet par une Ă©tude perceptive. Ainsi, les descripteurs « sous-bois », « truffe », « fruits frais rouges et noirs », « Ă©picĂ© », « rĂ©glisse », « menthe » et « grillĂ© » constitueraient les principaux descripteurs de ces vins vieux. À partir de cette dĂ©finition, nous avons dĂ©signĂ© et identifiĂ© les molĂ©cules potentiellement impliquĂ©es dans l’expression du bouquet de vieillissement. La chimie analytique nous a permis de quantifier ces composĂ©s dans un large panel de vins et de tenter de comprendre les spĂ©cificitĂ©s de diffĂ©rents terroirs bordelais et leurs expressions en fonction des millĂ©simes

    Approches sensorielle et analytique de l’arĂŽme fruitĂ© des vins rouges. Influence majeure de la souche de levures.

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    Article dans une revue professionnelleLa typicitĂ© se dĂ©finit comme la propriĂ©tĂ© d’appartenance Ă  un type distinguĂ© et identifiĂ© par un groupe humain de rĂ©fĂ©rence (Casabianca et al., 2005). Ainsi, il est depuis longtemps observĂ© de façon empirique l’existence d’une expression fruitĂ©e des vins rouges, et, de façon plus spĂ©cifique aux vins de Bordeaux, de notes Ă©voquant les fruits rouges et noirs comme la framboise, la cerise ou encore le cassis. RĂ©cemment, l’existence d’un espace sensoriel propre Ă  ces vins a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e (Pineau, 2007). Ces notes fruitĂ©es, non dĂ©tectĂ©es dans le moĂ»t, sont rĂ©vĂ©lĂ©es au cours des diffĂ©rentes Ă©tapes de vinification et d’élaboration des vins. Les fermentations alcoolique et malolactique constituent des Ă©tapes clĂ©s dans la libĂ©ration ou la genĂšse des arĂŽmes du vin. Plusieurs travaux ont tentĂ© de dĂ©terminer l’influence des souches de levures ou de bactĂ©ries lactiques (BL) sur la modulation organoleptique du vin sans qu’aucun consensus ne puisse encore ĂȘtre Ă©tabli (Álvarez-PĂ©rez et al., 2012 ; McDaniel et al., 1987; Henick-Kling et al., 1994 ; Antalick et al., 2012). L’interprĂ©tation molĂ©culaire de cette spĂ©cificitĂ© des vins rouges de Bordeaux est rendue difficile par le manque de connaissances sur les composĂ©s aromatiques responsables de ces nuances. Depuis plusieurs dĂ©cennies, de nombreux travaux se sont attachĂ©s Ă  la caractĂ©risation molĂ©culaire des composĂ©s volatils du vin. Les premiĂšres Ă©tudes rĂ©alisĂ©es sur des vins blancs ont permis de faire l’association entre certains arĂŽmes caractĂ©ristiques et une ou plusieurs molĂ©cules d’intĂ©rĂȘt (Marais, 1983 ; Tominaga et al., 1998). De nombreux auteurs ont abordĂ© l’étude de l’arĂŽme fruitĂ© des vins rouges en tentant d’identifier les composĂ©s aromatiques clĂ©s responsables de ces odeurs (Moio et Etievant, 1995 ; Kotseridis et Baumes, 2000 ; Campo et al., 2007 ; Siebert et al., 2008). S’il n’a pas encore Ă©tĂ© possible d’identifier des molĂ©cules spĂ©cifiques, expliquant Ă  elles seules la typicitĂ© de l’arĂŽme fruitĂ©, l’existence de tels composĂ©s ne peut pour autant ĂȘtre dĂ©finitivement exclue. NĂ©anmoins, plusieurs travaux rĂ©cents ont dĂ©montrĂ© l’importance des interactions perceptives entre plusieurs familles d’odorants tels que des composĂ©s d’origine variĂ©tale comme les norisoprĂ©noĂŻdes Ă  13 atomes de carbone (Pineau et al., 2007), les lactones (Loscos et al., 2007) ou les thiols (Tominaga et al., 1998), ou des composĂ©s fermentaires comme les esters (Lytra et al., 2012). Par ailleurs, plusieurs Ă©tudes ont visĂ© Ă  dĂ©terminer l’impact de micro-organismes fermentaires sur la modulation des teneurs en divers marqueurs potentiels de l’arĂŽme fruitĂ©. LĂ  encore, aucun consensus n’a pu rĂ©ellement ĂȘtre mis en Ă©vidence. La variation de la note fruitĂ©e des vins rouges semble impliquer des phĂ©nomĂšnes plus complexes qu’un simple effet souche et pourrait rĂ©sulter d’effets liĂ©s aux propriĂ©tĂ©s de la matrice, combinĂ©s Ă  l’influence de la souche de levures et/ou de la souche de BL. Au vu de ces derniĂšres acquisitions, nous avons choisi, dans le cadre de ce travail, d’étudier l’impact organoleptique relatif des levures et des BL sur les nuances de l’arĂŽme fruitĂ© de plusieurs vins rouges bordelais. Une approche par l’analyse chimique et sensorielle de vins produits dans des conditions de fermentation classique ou de microvinification a Ă©tĂ© effectuĂ©e pour trois sites en Bordelais sur deux millĂ©simes. Il a Ă©tĂ© choisi de travailler sur le Cabernet- Sauvignon. Plusieurs couples levures/BL ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©s et implantĂ©s dans des cuves de quelques hectolitres Ă  plusieurs dizaines d’hectolitres

    N,S,O-Heterocycles in aged Champagne reserve wines and correlation with free amino acid concentrations

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    Champagne regulations allow winegrowers to stock still wines to compensate for quality shifts in vintages, mainly due to climate variations. According to their technical requirements and house style, Champagne producers use these stored wines in their blends to enhance complexity. The presence of lees and aging at low pH (2.95-3.15), as in Champagne wines, lead to several modifications in wine composition. These conditions, combined with extended aging, result in the required environment for the Maillard chemical reaction, involving aromatic molecules, including sulfur, oxygen, and nitrogen heterocycles (such as thiazole, furan, and pyrazine derivatives), which may have a sensory impact on wine. Some aromatic heterocycles in 50 monovarietal wines aged from 1 to 27 years provided by Veuve Clicquot Ponsardin Champagne house were determined by the SPME-GC-MS method. The most interesting result highlighted a strong correlation between certain heterocycle concentrations and wine age. The second revealed a correlation between heterocyclic compound and free amino acid concentrations measured in the wines, suggesting that these compounds are potential aromatic precursors when wine is aged on lees and, thus, potential key compounds in the bouquet of aged Champagnes. The principal outcome of these assays was to reveal, for the first time, that aromatic heterocycle concentrations in Champagne base wines are correlated with wine age

    Quantitative solid phase microextraction { extendash} Gas chromatography mass spectrometry analysis of five megastigmatrienone isomers in aged wine

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    Megastigmatrienone is a key flavor compound in tobacco. It has also been detected in wine, where it may contribute to a tobacco/incense aroma, but its importance and concentration in wines had never previously been evaluated.A method was developed and validated for quantifying the five megastigmatrienone isomers in red and white wines.Megastigmatrienone isomers were extracted by headspace solid-phase microextraction (HS-SPME), with a 65 mu m film thickness polydimethylsiloxane-divinylbenzene (PDMS-DVB) fiber and analyzed using gas chromatography-mass spectrometry (GC/MS) in selected ion monitoring mode (SIM). Several parameters affecting the length of the adsorption process (i.e., adding salt, extraction time and extraction temperature) were tested. The optimum analytical conditions were established.The LOQ were between 0.06 mu g L-1 and 0.49 mu g L-1 for white wine and 0.11 mu g L-1 and 0.98 mu g L-1 for red wine, repeatability in both types of wine was less than 10% and recovery ranged from 96% for white wine to 94% for red wine. The five isomers of megastigmatrienone were quantified in red and white wines for the first time. Concentrations ranged from 2 mu g L-1 to 41 mu g L-1 in both red and white wines. Initial results revealed a link between wine aging and megastigmatrienone levels, indicating that megastigmatrienone may be a component in wine "bouquet". (C) 2014 Elsevier B. V. All rights reserved

    Minty aroma compounds in red wine: Development of a novel automated HS-SPME-arrow and gas chromatography-tandem mass spectrometry quantification method

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    A novel automated method was developed for the quantitative determination of nine terpenoids that could contribute to the minty notes of red wine bouquet. The method couples headspace SPME-Arrow extraction with GC-MS/MS analysis. PDMS/DVB fiber was chosen for the extraction and an ionization energy of 30 eV permitted to optimize the analyte detection. The optimal sample preparation consists of a two-fold dilution of the wine sample with addition of 4 g of sodium chloride while the most suitable extraction conditions take place at 50°C for 1 h. The method shows good linearity, intraday variations between 2 and 25%, interday variations between 7 and 23% and recoveries between 80 and 119%. The method exhibits the required low detection (between 3 and 60 ng/L) and quantification (between 6 ng/L and 200 ng/L) limits. These limits have permitted the quantification of the pool of minty terpenoids in fourteen red Bordeaux wines
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