11 research outputs found

    L’écrivain-Ă©diteur : le principe subjectif

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    Hommage à Édouard Glissant

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    Lieu : Conférences enregistrée dans les auditoriums de la BibliothÚque nationale de Franc

    Mohammed Dib – Jean SĂ©nac

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    International audienceUn siĂšcle aprĂšs la naissance de son auteur, l’Ɠuvre de Mohammed Dib (1920-2003) ne cesse de nous surprendre et de nous Ă©merveiller. Celui qui, pendant la guerre d’indĂ©pendance, se fit le chantre, dans sa trilogie romanesque (La Grande Maison, L’Incendie et Le MĂ©tier Ă  tisser) d’une AlgĂ©rie profonde, misĂ©reuse et souffrante, fut aussi de ceux qui donnĂšrent Ă  la littĂ©rature algĂ©rienne cette dimension universelle qui la caractĂ©risa trĂšs tĂŽt. Romancier, conteur, auteur dramatique, mais aussi poĂšte avant tout et toujours, les Ă©tudes, tĂ©moignages et textes inĂ©dits rĂ©unis dans le prĂ©sent dossier tracent le portrait d’un Ă©crivain dont l’élĂ©vation d’esprit n’a d’égale que l’inventivitĂ© verbale.PoĂšte algĂ©rien « de graphie française », selon son expression, Jean SĂ©nac (1926-1973) fit une entrĂ©e fracassante en poĂ©sie, au milieu des annĂ©es 1950, sous le double patronage d’Albert Camus et de RenĂ© Char. Des nuits de son exil parisien Ă  celles de sa « cave-vigie » de la rue ÉlisĂ©e-Reclus, Ă  Alger, oĂč il vĂ©cut et fut assassinĂ©, SĂ©nac aura traversĂ© sa trop brĂšve existence comme le veilleur d’Eschyle, les yeux fixĂ©s vers l’horizon, guettant une aurore qui tardait Ă  poindre. C’est pourtant une poĂ©sie gĂ©nĂ©reuse et solaire que celle de SĂ©nac, une poĂ©sie de « l’atelier immense du soleil », comme l’écrivait RenĂ© Char
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