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Manière dont les personnes ayant suivi la filière propédeutique de psychothérapie évaluent leurs propres compétences
Anhand einer empirischen Studie soll über die subjektive Einschätzung von zukünftigen Psychotherapeuten und Psychotherapeutinnen bezüglich der Einschätzung ihrer Kompetenzen berichtet werden. Befragt wurden Ausbildungskandidaten gleich nach Abschluss des psychotherapeutischen Propädeutikums. Ziel des Beitrages soll es sein, das in der vorläufigen Version von uns verwendete Erhebungsinstrument und einzelne Ergebnisse daraus vorzustellen. Ein Teil der Erhebung bezieht sich auf die Frage nach dem Gewinn, den die Teilnehmer aus den Teilbereichen der Ausbildung ihrer persönlichen Einschätzung nach gezogen haben (Theoretischer Teil des Propädeutikums, Selbsterfahrung, Praktikum, Supervision und einschlägige Berufstätigkeit). Ein weiterer Abschnitt beschäftigt sich mit der Frage nach der Wichtigkeit von Zielen, die in der therapeutischen Tätigkeit der Meinung der Ausbildungskandidaten nach im Zentrum stehen sollten. Im abschließenden Teil der Befragung wurden Meinungen der Kandidaten dahingehend erfragt, welchen Einfluss verschiedene Faktoren (Therapieerfahrung mit Patienten, Zusammenarbeit mit Cotherapeuten, Kursteilnahme, Supervision usw.) auf die eigene Entwicklung der in Ausbildung befindlichen Psychotherapeuten bisher gehabt haben. Diese Fragen wurden jeweils für die Gesamtheit aller Befragten ausgewertet, zusätzlich wurde versucht, Unterschiede bezüglich dieser Aspekte nach den von den Kandidaten präferierten Therapierichtungen zu erheben. Auswertungen wurden ebenfalls nach dem Gesichtspunkt der Trennung der Kandidaten in solche, die zum Zeitpunkt der Befragung bereits eigene Therapieerfahrung haben, und solche, die diese noch nicht aufweisen, durchgeführt. Abschließend erfolgte ein Vergleich bezüglich psychotherapeutischer Eigenschaften, und zwar in Hinblick darauf, wie die Kandidaten ihre Kompetenzen und Fähigkeiten aktuell einschätzen, verglichen mit den Idealvorstellungen, wie die angehenden Therapeuten gerne sein würden.Schlüsselwörter: Selbsteinschätzung; berufliche Kompetenz; Psychotherapieausbildung.This study deals with subjective ratings concerning professional competences by psychotherapeutical aspirants. 165 postgradual students at the end of the psychotherapeutical curriculum were asked to answer the preliminary version of our questionnaire.The first part of the questionnaire deals with elements of the training which were considered most important (e.g. theoretical and practical sections, selfexperience, supervision). In the following part the aspirants should specify, which aims they will emphasize in their future work. Finally the impact of different factors of the therapeutic curriculum on the individual development was explored.All these different aspects were analysed for the complete sample first, while in a second run data were compared assigning the aspirants to different groups on basis of their preferred therapy orientation. It also was taken into account wh ether the candidates had own experience in psychotherapy yet or not. Another analysis was done comparing the competences of the sample at the actual state of knowledge with the conceived competences of an imaginary ideal psychotherapist.Keywords:Self evaluation; Professional competence; Psychotherapy training.Au cours des cinq dernières années les candidats arrivant en fin de filière propédeutique ont reçu un questionnaire sur la manière dont ils évaluent les compétences dont ils disposeront à l'avenir pour pratiquer la psychothérapie. Le questionnaire est dérivé de l'enquête de base menée par le Collaborative Research Network, un groupe de travail réuni autour d’Orlinsky. Les questions ont été révisées sous la direction du Suisse Hansruedi Ambühl. Les quelque 4000 items doivent couvrir avant tout les domaines suivants : état actuel de développement en tant que psychothérapeute, orientation théorique, propre expérience de la thérapie et attentes par rapport aux propres compétences psychothérapeutiques. De plus, certaines questions concernent la motivation et les étapes de développement personnel, ainsi que les objectifs et attentes formulées par rapport à une activité future en tant que psychothérapeute.Le questionnaire a été envoyé à un total de 165 personnes ayant terminé la filière. Quatre cinquièmes (79%) de ces personnes étaient de sexe masculin, un cinquième (21 %) de sexe féminin. Leur âge moyen était de 31 ans environ, avec une majorité des enquêtés entre 25 et 35 ans et quelques exceptions (des personnes âgées d'environ 50 ans). Concernant la profession de base, la proportion de psychologues était de deux tiers environ (65%) -donc relativement élevée -, alors que dans le tiers restant on trouvait des médecins, des enseignants, des travailleurs sociaux et des infirmières. Une proportion élevée - trois quarts (76%) - des enquêtés indique avoir déjà suivi ou suivre encore une thérapie ou une analyse personnelle. Le type de traitement (méthode) est très variable puisque 25 approches différentes ont été mentionnées.Lorsqu'on leur demande quelle est leur orientation théorique, près de 70% des enquêtés se désignent comme d'orientation (( éclectique ». Sur le plan purement descriptif, ils tendent à choisir plus souvent des formes humanistes et systémiques de thérapie en tant que méthode qu'ils souhaitent appliquer plus tard. La méthode la moins souvent nommée est la thérapie comportementale. Les candidats qui ont une expérience personnelle de la thérapie tendent de plus en plus souvent à préférer des formes psychodynamiques, alors qu'ils ne se sentent pas du tout attirés par la thérapie du comportement. Les proportions sont inverses s'agissant des candidats qui n'ont pas eu d'expérience personnelle de la thérapie.En ce qui concerne les questions touchant aux apports de la formation, les enquêtés répondent que d'un point de vue subjectif l'expérience sur soi (26%) et le stage pratique (25%) ont été très importants. Dans ce contexte, il semble que la supervision soit sous-représentée (15%). alors que des aspects touchant à la pratique professionnelle et la filière elle-même sont nommés dans une proportion correspondant à une répartition normale (17%). Les candidats ayant fait une thérapie accordent une importance subjective plus importante à l'expérience sur soi (30% contre 17%) au niveau des « gains personnels ». Ce faisant, ils mentionnent moins souvent le stage pratique (23%) que ne le font ceux qui n'ont pas eu l'expérience d'une thérapie (30%), pour lesquels ce stage est classé au premier rang.Par rapport à ce qui est considéré comme une expérience essentielle du point de vue du développement professionnel, les répondants mentionnent le travail thérapeutique avec des patients, la supervision formelle, les conseils donnés par d'autres, la discussion informelle de cas avec des collègues et la propre thérapie, analyse ou consultations. Les réponses à cette question sont très homogènes, même une fois que les enquêtés ayant une expérience sur soi et ceux n'en ayant pas sont séparés en deux groupes. Seule exception (explicable) : ceux qui ont fait de l'expérience sur soi considèrent cet aspect comme beaucoup plus important que ne le font les autres.Une autre question touchait à l'importance des objectifs thérapeutiques. Il s'est avéré en fait que les candidats à la formation ont déjà intégré à un haut degré les prémisses théoriques fondant le courant qu'ils ont choisi. Ceux qui préfèrent une approche psychodynamique considèrent qu'il sera important que leurs futurs clients puissent vivre et apprendre à gérer leurs conflits émotionnels dans le cadre de la relation thérapeutique, alors que ceux qui croient en la thérapie comportementale souhaitent avant tout que leurs patients apprennent à gérer des situations problématiques. Les candidats intéressés par une approche cognitive pensent qu'il est important que leurs clients réfléchissent à la signification de certains événements et apprennent à modifier et à contrôler des comportements problématiques, sans trop avoir besoin de trouver le courage de vivre autrement. L'objectif mentionné le plus souvent par les collègues d'orientation humaniste accorde peu d'importance à l'amélioration de la qualité des relations humaines. Ceux qui préfèrent une approche systémique attendent de leurs futurs clients qu'ils réfléchissent sérieusement aux conséquences possibles de leur propre comportement d'interaction. Quant aux futurs thérapeutes gestalt, ils accordent une importance primordiale à l'intégration d'aspects refoulés ou dissociés. Les candidats souhaitant pratiquer la thérapie de groupe accordent priorité à une perception réaliste de la propre personne.Un dernier ensemble de questions était en rapport avec la manière dont les futurs psychothérapeutes évaluent leurs propres capacités et compétences. Pour saisir cet aspect 'identité', on leur a demandé comment à leur avis le psychothérapeute idéal serait. Il s'est avéré que concernant toute une série de caractéristiques, un grand nombre d'enquêtés se considèrent comme déjà relativement proches de cette image idéale. Des différences significatives apparurent toutefois au niveau des compétences que seule l'expérience permet d'acquérir (habileté, par ex., ou sagacité et efficacité), mais aussi à celui des attributs engendrés par une attitude spécifique au sein du contexte thérapeutique (distance, par ex., réserve, sollicitude, chaleur humaine).L'évaluation a mis en évidence certaines différences entre les groupes de ceux qui sont favorables à certaines formes de thérapie et ceux qui, justement, rejettent ces mêmes approches. Par exemple, les enquêtés d'orientation analytique accordent plus d'importance que les autres à la qualité « capacité d'accepter le client», alors que pour eux la dimension «système» a moins grande valeur. Par contre, les qualités suivantes sont valorisées par ceux qui ont une orientation thérapie du comportement: « systématique », « efficace », mais aussi « directif ». Les adeptes des thérapies cognitives manifestent des tendances similaires ; leur image idéale inclut les aspects « directif» et « efficace », auxquels s'ajoutent (( habile », « critique », « pragmatique » et « permissif». Les candidats de tendance humaniste accordent eux aussi beaucoup d'importance à l'aspect « critique», alors que de leur point de vue « systématique » est beaucoup moins central. De toute évidence, ceux qui préfèrent les approches systémiques pensent que la qualité (( systématique » est importante, au même titre que des critères comme « exiger» et « lancer des défis». Pour eux, et contrairement à leurs collègues d'orientation psychodynamique, « accepter le client» n'est pas très important. Les futurs thérapeutes gestalt considèrent que l'intuition et la permissivité jouent un rôle important. « Intuition » est souvent mentionnée par les futurs thérapeutes de groupe, ainsi qu'un idéal de « neutralité ».En résumé, il s'avère que les candidats a la formation attribuent - indépendamment du courant qu'ils vont pratiquer -plus d'importance par rapport a un idéal a des qualités personnelles (exemple: efficience, habileté, sagacité, chaleur humaine) qu'ils ne le font au niveau de leur identité concrète. Cependant, les valeurs enregistrées pour certaines qualités se situent si proches d'un pôle positif qu'il faut penser que les candidats vivent (encore) dans une «illusion », c'est-à-dire qu'ils ont des idées peu réalistes en rapport avec une image idéale d'un psychothérapeute tout-puissant et absolu ; cet idéal n'est ni applicable, ni souhaitable au niveau de l'activité du psychothérapeute
Exploring Hidden Populations: Recreational Drug Users
The heterogeneous group of recreational drug users is usually inconspicuous in society. These individuals do not regard themselves as drug users in a conventional way and therefore hardly can be reached through traditional methods (e.g. heavy drug user studies). The benefits of psychological online research were examined by exploring the “hidden” population of recreational drug users. An international cross-continental online study was carried out surveying 9,268 recreational drug users from English and German speaking countries. The data was obtained via internet and evaluated by means of statistical inference, descriptive and structure-finding procedures. The research population collected online seems to differ in many variables from the “usual” clinical study population (e.g. age, sex). Results indicate a great degree of trust in online information and a strong use of the data highway (more than 72%) for getting information on substances. Besides the widely known advantages of using the internet for psychological research, experiences show strong evidence that the internet may not only be a new but in many cases also better tool for research in special psychological fields
3/4/25, conseil des ministres, [M. Anatole] de Monzie [quittant l'Elysée] : [photographie de presse] / [Agence Rol]
Référence bibliographique : Rol, 99651Appartient à l’ensemble documentaire : Pho20RolImage de press
Institutional abuse of children in the Austrian Catholic Church: Types of abuse and impact on adult survivors’ current mental health
Celem badania była ocena charakteru i zakresu instytucjonalnego krzywdzenia dzieci przez austriacki Kościół katolicki oraz rozpoznanie obecnego stanu zdrowia psychicznego dorosłych, którzy w dzieciństwie padli ofiarą takiego krzywdzenia. Dane zbierano dwuetapowo. W pierwszej kolejności przeanalizowano dokumentację 448 dorosłych ofiar (M = 55,1 lat, 75,7% mężczyźni), które ujawniły doznane w dzieciństwie krzywdzenie, zeznając przed komisją ds. ochrony ofiar. Uwzględniono różne typy krzywdzenia, różne rodzaje sprawców i rodzinne czynniki ryzyka. W kolejnym etapie grupa 185 dorosłych ofiar została poproszona o wypełnienie kwestionariusza PCL-C (Posttraumatic Stress Disorder Checklist) oraz skróconego inwentarza objawów BSI (Brief Symptom Inventory). Uczestnicy opisywali ogromną różnorodność aktów przemocy fizycznej, seksualnej i emocjonalnej, do których doszło w okresie ich dzieciństwa. Większość ofiar (83,3%) doświadczyła w dzieciństwie krzywdzenia emocjonalnego. Odsetki dotyczące krzywdzenia seksualnego (68,8%) oraz fizycznego (68,3%) były prawie równie wysokie. Częstość występowania zespołu stresu pourazowego (PTSD) wyniosła 48,6%, a u 84,9% ofiar stwierdzono istotne klinicznie objawy w przynajmniej jednej z 10 kategorii objawów (dziewięć podskal BSI oraz PTSD). Nie udało się wyodrębnić konkretnego czynnika obecnego przed wystąpieniem krzywdzenia, który determinowałby rozwój PTSD w późniejszym życiu (np. ubóstwo, przemoc domowa). Zauważono jednak, że ofiary z rozpoznanym PTSD zgłaszały istotnie większą całkowitą liczbę rodzinnych czynników ryzyka (d = 0,33). Autorzy konkludują, że krzywdzenie instytucjonalne w dzieciństwie obejmuje szeroki
zakres aktów przemocy, i bardzo silnie ujemnie wpływa na stan zdrowia psychicznego dorosłych, którzy jako dzieci takiego krzywdzenia doświadczyli. Artykuł odnosi się do długoterminowych skutków traumatycznych zdarzeń, nawiązuje też do odnowienia traumy w wieku dorosłym, ponieważ obydwa te zjawiska mogą być trudnym wyzwaniem dla profesjonalistów pracujących z ofiarami.The aim of this study was to explore the nature and dimensions of institutional child abuse (IA) by the Austrian Catholic Church and to investigate the current mental health of adult survivors. Data were collected in two steps. First, documents of 448 adult
survivors of IA (M = 55.1 years, 75.7% men) who had disclosed their abuse history to a victim protection commission were collected. Different types of abuse, perpetrator characteristics, and family related risk factors were investigated. Second, a sample of 185 adult survivors completed the Posttraumatic Stress Disorder Checklist (PCL-C) and the Brief Symptom Inventory (BSI).Participants reported an enormous diversity
of acts of violent physical, sexual, and emotional abuse that had occurred in their childhood. The majority of adult survivors (83.3%)experienced emotional abuse. Rates of sexual (68.8%) and physical abuse (68.3%) were almost equally high. The prevalence of PTSD was 48.6% and 84.9% showed clinically relevant symptoms in at least one 1 of 10 symptom dimensions (9 BSI subscales and PTSD).No specific pre-IA influence was found to influence the development of PTSD in later life (e.g. poverty, domestic violence). However, survivors with PTSD reported a significantly higher total number of family related risk factors (d = 0.33). We conclude that childhood IA includes a wide
spectrum of violent acts, and has a massive negative impact on the current mental health of adult survivors. We address the long-term effects of these traumatic experiences in addition to trauma re-activation in adulthood as both bear great challenges for professionals working with survivors
Institutional abuse of children in the Austrian Catholic Church: Types of abuse and impact on adult survivors’ current mental health
Celem badania była ocena charakteru i zakresu instytucjonalnego krzywdzenia dzieci przez austriacki Kościół katolicki oraz rozpoznanie obecnego stanu zdrowia psychicznego dorosłych, którzy w dzieciństwie padli ofiarą takiego krzywdzenia. Dane zbierano dwuetapowo. W pierwszej kolejności przeanalizowano dokumentację 448 dorosłych ofiar (M = 55,1 lat, 75,7% mężczyźni), które ujawniły doznane w dzieciństwie krzywdzenie, zeznając przed komisją ds. ochrony ofiar. Uwzględniono różne typy krzywdzenia, różne rodzaje sprawców i rodzinne czynniki ryzyka. W kolejnym etapie grupa 185 dorosłych ofiar została poproszona o wypełnienie kwestionariusza PCL-C (Posttraumatic Stress Disorder Checklist) oraz skróconego inwentarza objawów BSI (Brief Symptom Inventory). Uczestnicy opisywali ogromną różnorodność aktów przemocy fizycznej, seksualnej i emocjonalnej, do których doszło w okresie ich dzieciństwa. Większość ofiar (83,3%) doświadczyła w dzieciństwie krzywdzenia emocjonalnego. Odsetki dotyczące krzywdzenia seksualnego (68,8%) oraz fizycznego (68,3%) były prawie równie wysokie. Częstość występowania zespołu stresu pourazowego (PTSD) wyniosła 48,6%, a u 84,9% ofiar stwierdzono istotne klinicznie objawy w przynajmniej jednej z 10 kategorii objawów (dziewięć podskal BSI oraz PTSD). Nie udało się wyodrębnić konkretnego czynnika obecnego przed wystąpieniem krzywdzenia, który determinowałby rozwój PTSD w późniejszym życiu (np. ubóstwo, przemoc domowa). Zauważono jednak, że ofiary z rozpoznanym PTSD zgłaszały istotnie większą całkowitą liczbę rodzinnych czynników ryzyka (d = 0,33). Autorzy konkludują, że krzywdzenie instytucjonalne w dzieciństwie obejmuje szeroki
zakres aktów przemocy, i bardzo silnie ujemnie wpływa na stan zdrowia psychicznego dorosłych, którzy jako dzieci takiego krzywdzenia doświadczyli. Artykuł odnosi się do długoterminowych skutków traumatycznych zdarzeń, nawiązuje też do odnowienia traumy w wieku dorosłym, ponieważ obydwa te zjawiska mogą być trudnym wyzwaniem dla profesjonalistów pracujących z ofiarami.The aim of this study was to explore the nature and dimensions of institutional child abuse (IA) by the Austrian Catholic Church and to investigate the current mental health of adult survivors. Data were collected in two steps. First, documents of 448 adult
survivors of IA (M = 55.1 years, 75.7% men) who had disclosed their abuse history to a victim protection commission were collected. Different types of abuse, perpetrator characteristics, and family related risk factors were investigated. Second, a sample of 185 adult survivors completed the Posttraumatic Stress Disorder Checklist (PCL-C) and the Brief Symptom Inventory (BSI).Participants reported an enormous diversity
of acts of violent physical, sexual, and emotional abuse that had occurred in their childhood. The majority of adult survivors (83.3%)experienced emotional abuse. Rates of sexual (68.8%) and physical abuse (68.3%) were almost equally high. The prevalence of PTSD was 48.6% and 84.9% showed clinically relevant symptoms in at least one 1 of 10 symptom dimensions (9 BSI subscales and PTSD).No specific pre-IA influence was found to influence the development of PTSD in later life (e.g. poverty, domestic violence). However, survivors with PTSD reported a significantly higher total number of family related risk factors (d = 0.33). We conclude that childhood IA includes a wide
spectrum of violent acts, and has a massive negative impact on the current mental health of adult survivors. We address the long-term effects of these traumatic experiences in addition to trauma re-activation in adulthood as both bear great challenges for professionals working with survivors
Results of GLM for repeated measures for Factor I (Aesthetics associated traits) and for Factor II (Personality).
<p>Note that for the Aesthetics Traits Cluster Factor (A) there is almost no difference between photo and video in any class. Within the Personality Traits Cluster Factor (B) the photo ratings received higher scores in Class II and lower scores in Class III, which implies that photos enhance stereotypes commonly attributed to a retruded (Class II) or protruded (Class III) chin.</p
Perception of aesthetics and personality traits in orthognathic surgery patients: A comparison of still and moving images
<div><p>It is common in practicing orthognathic surgery to evaluate faces with retruded or protruded chins (dysgnathic faces) using photographs. Because motion may alter how the face is perceived, we investigated the perception of faces presented via photographs and videos. Two hundred naïve raters (lay persons, without maxillo facial surgery background) evaluated 12 subjects with varying chin anatomy [so-called skeletal Class I (normal chin), Class II (retruded chin), and Class III (protruded chin)]. Starting from eight traits, with Factor analysis we found a two-Factor solution, i.e. an "aesthetics associated traits cluster" and a Factor "personality traits cluster" which appeared to be uncorrelated. Internal consistency of the Factors found for photographs and videos was excellent. Generally, female raters delivered better ratings than males, but the effect sizes were small. We analyzed differences and the respective effect magnitude between photograph and video perception. For each skeletal class the aesthetics associated dimensions were rated similarly between photographs and video clips. In contrast, specific personality traits were rated differently. Differences in the class-specific personality traits seen on photographs were "smoothed" in the assessment of videos, which implies that photos enhance stereotypes commonly attributed to a retruded or protruded chin.</p></div
Standardized stimuli presentation of photographs.
<p>The still faces were presented to the raters from both sides and from the front simultaneously. The rotation during the video presentation was as indicated by the arrow: starting from the left profile, and slowly turned over to the right.</p
Seven-point Likert scale for subjective rating.
<p>Each of the eight items (trait pairs) was rated along the scale.</p