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    WĂŒnsche und ihre Ver-Bindungen: eine Einzelfallstudie mit der Methode der Zentralen Beziehungsmuster

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    Anhand einer Einzelfallstudie (23-jÀhriger Klient) wird die Methode des Zentralen Beziehungs-Konflikt-Themas (ZBKT) von L. Luborsky veranschaulicht. Orientiert an klinischen Schlussbildungsprozessen werden bei der ZBKT-Methode die in Narrativen subjektiv organisierten Beziehungserfahrungen kategorisiert. Die komplexe internalisierte Erfahrung wird als subjektiv motivierter prototypischer Interaktionsalgorhythmus zwischen Subjekt und bedeutungsvollen Anderen gefasst und in drei Komponenten (hÀufigster Wunsch des Subjekts, hÀufigste Reaktion des Objekts auf diesen Wunsch, hÀufigste Reaktion des Subjekts darauf) zerlegt. Anhand der dargestellten Fallstudie wird die Analyse internalisierter Beziehungsstrukturen im Therapieverlauf demonstriert

    Why are some cases not on track? An item analysis of the assessment for signal cases (ASC) during inpatient psychotherapy

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    Within the Routine Outcome Monitoring System “OQ‐Analyst”, the questionnaire “Assessment for Signal Cases” (ASC) supports therapists in detecting potential reasons for not‐on‐track trajectories. Factor analysis and a machine learning algorithm (Lasso with 10‐fold cross‐validation) were applied and potential predictors of not‐on‐track classifications were tested using logistic multilevel modelling methods. The factor analysis revealed a shortened (30‐item) version of the ASC with good internal consistency (α = 0.72 – 0.89) and excellent predictive value (AUC = 0.98; +PV = 0.95; ‐PV = 0.94). Item‐level analyses showed that interpersonal problems captured by specific ASC items (not feeling able to speak about problems with family members; feeling rejected or betrayed) are the most important predictors of not‐on‐track trajectories

    Enregistrements sonores en psychothérapie: aspects liés à la technique de traitement et à l'éthique

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    Obwohl Tonbandaufzeichnungen in der psychotherapeutischen Forschung und Praxis seit gut 60 Jahren eingesetzt werden, begegnen ihnen viele Psychotherapeuten und Psychoanalytiker bis heute mit Skepsis. Ausgehend von grundlegenden Überlegungen der Bedeutung des Tonbandes als „Drittem im Bunde“, werden an Hand von eindrĂŒcklichen praktischen Beispielen die behandlungstechnischen Implikationen von Tonbandaufzeichnungen und Transkripten ausfĂŒhrlich dargestellt und diskutiert. Zentrale ethische Aspekte werden hinsichtlich der unterschiedlichen Bedeutungskontexte reflektiert: 1. im Blick auf die dyadische Beziehung zwischen Patient und Psychotherapeut, 2. in psychotherapeutischen Aus- und Weiterbildungssituationen, insbesondere der Supervision, und 3. in psychotherapeutischer Forschung und Lehre. Als Fazit bleibt festzuhalten, dass Tonbandaufzeichnungen und deren anonymisierte Verschriftung uns in besonderer Weise ermöglichen, implizite Wahrnehmungsraster und erkenntnissteuernde Denkmodelle des Patienten, wie aber auch des Psychotherapeuten zu erkennen und zu untersuchen.SchlĂŒsselwörter: Tonbandaufzeichnungen - Transkripte, Behandlungstechnik - Ethik, Psychotherapie - Psychoanalyse: Aus- und Weiterbildung, Forschung, Praxis.Tape-recording is used in psychotherapeutic research and practice since about 60 years, but still many psychotherapists and psychoanalysts are very sceptic about this technique. Based on fundamental reflections about the meaning of tapes as the “third in alliance” the article demonstrates and discusses technical implications of audio-recordings and transcripts by using impressive clinical examples. Important ethical aspects of the different contexts of meaning are discussed: 1. regarding the dyadic relationship between patient and psychotherapist; 2. in psychotherapeutic training, especially in supervision and 3. in psychotherapeutic research and theory.We conclude, that audio-recordings and anonymous transcripts enable us in a particular way to analyse and to investigate implicit axioms and referential frames of mind of the patient and of the psychotherapist.Keywords: Tape-recording - transcripts, psychotherapeutic technique - ethics, psychotherapy -psychoanalysis: teaching and training, research, practice.Ce fut probablement Earl Zinn, un psychanalyste de peu de renom, qui fut le premier thĂ©rapeute Ă  utiliser (en 1938) un dictaphone pour enregistrer des sĂ©ances. Concernant le dĂ©veloppement de la discipline, les efforts systĂ©matiques entrepris par Cari Rogers ont eu plus d’influence; en 1942 il publia un premier article, important sur le plan mĂ©thodique, traitant de l’utilisation d’enregistrements. Dans ce sens, la thĂ©rapie centrĂ©e sur la personne fut la premiĂšre mĂ©thode Ă  Ă©tablir un lien fĂ©cond entre formation et recherche.Aujourd’hui, les enregistrements sonores sont l’un des aspects du contexte psychothĂ©rapeutique qui ont Ă©tĂ© examinĂ©s par de nombreuses Ă©tudes cliniques et empiriques. Notre expĂ©rience nous a montrĂ© que le patient comme le psychothĂ©rapeute se font trĂšs vite Ă  l’idĂ©e que des tiers pourraient prendre connaissance de leurs entretiens. Le magnĂ©tophone devient alors part du cadre qui - comme tous les Ă©lĂ©ments extĂ©rieurs de la situation psychanalytique - peut Ă  tout moment exercer une influence dynamique et qui, donc, doit devenir objet de l’approche clinique.Nous pensons qu’il peut s’avĂ©rer utile que dans le cadre du traitement, les patients soient mis au courant du sens de l’enregistrement, Ă  savoir que le thĂ©rapeute est disposĂ© Ă  confĂ©rer avec des collĂšgues. Il reste que nombre de thĂ©rapeutes ont encore tendance Ă  utiliser un ton trĂšs critique, destructif mĂȘme, ce qui explique pourquoi la majoritĂ© d’entre eux hĂ©sitent Ă  utiliser cet instrument - alors que plus que tout autre, il permet d’examiner le travail thĂ©rapeutique de maniĂšre critique et donc de l’amĂ©liorer.En ce qui concerne les membres de notre profession, ils pourraient certainement tirer profit de travaux de recherche dans lesquels on aura examinĂ© de maniĂšre prĂ©cise (sur la base des bandes et de leur transcription) ce que les psychothĂ©rapeutes font et disent durant les sĂ©ances et quelles sont les thĂ©ories qui fondent leurs actes. Etre confrontĂ© Ă  son propre comportement thĂ©rapeutique peut contrer de maniĂšre positive des tendances Ă  une sorte de prĂ©somption narcissique. Kubie (1958) donne un exemple typique du processus d’apprentissage dĂ©clenchĂ© par l’écoute d’un enregistrement dans le cadre d’une sĂ©ance de supervision en psychiatrie. On repense alors aux fameuses paroles de Nietzsche: dans la lutte que mĂšnent entre eux orgueil, action et mĂ©moire, les voix fixĂ©es par l’enregistrement rĂ©sonnent de maniĂšre telle que la vanitĂ© en est Ă©branlĂ©e et ne rĂ©ussit plus Ă  triompher de la mĂ©moire.Des extraits dĂ©taillĂ©s de diffĂ©rentes psychanalyses mettent en Ă©vidence les problĂšmes associĂ©s Ă  la technique de traitement et leurs implications; ils sont commentĂ©s Ă  un niveau proche de la pratique. Nous nous contentons de citer les commentaires du thĂ©rapeute chargĂ© de traiter la patiente Irma X. Il rĂ©sume ses rĂ©actions comme suit:«Avec le temps, le magnĂ©tophone et l’analyste - le couple imaginaire (de parents) - cessĂšrent d’ĂȘtre source de peur et devinrent Ă©vidence. En cours de traitement la patiente entrepris plusieurs tentatives pour briser les liens indissolubles entre analyste et magnĂ©tophone, pour leur retirer leur pouvoir et pour Ă©tablir une plus grande symĂ©trie entre elle et le thĂ©rapeute. Une fois, vers le dĂ©but de la thĂ©rapie, elle demanda sur un ton de bravade si elle pouvait emporter le magnĂ©tophone chez elle, pour Ă©couter l’enregistrement. Une autre fois elle se demanda Ă  haute voix ce qui se passerait si elle insistait pour qu’on cesse d’enregistrer. L’analyste traita le magnĂ©tophone comme taus les autres paramĂštres du traitement. Il s’efforça continuellement de faciliter l’établissement d’un espace psychique dans lequel le magnĂ©tophone concret trouverait sa place. A ce niveau la patiente ne lui crĂ©a pas trop de problĂšmes et suivit la plupart du temps de bonne grĂące. Ceci implique que l’espace analytique n’en fut pas menacĂ©. Au contraire : certains processus de transfert en furent catalysĂ©s comme Ă  travers un verre ardent. »Les exemples cliniques montrent de maniĂšre impressionnante Ă  quel point les enregistrements sonores peuvent influer sur les peurs et les attentes des patients, mais aussi sur l’échelle des valeurs de l’analyste et sur ses propres expectatives. Celui-ci est alors plus ouvert Ă  un niveau personnel et manifeste une plus grande sensibilitĂ©; il est aussi mieux disposĂ© Ă  exprimer ces Ă©lĂ©ments dans le cadre du discours thĂ©rapeutique et Ă  y rĂ©flĂ©chir dans le contexte de la situation de transfert et de contre-transfert. D’autre part, des questions d’ordre Ă©thique se posent alors Ă  un niveau fondamental, concernant la relation thĂ©rapeutique d’un cotĂ©, mais aussi les points auxquels traitement, formation du thĂ©rapeute, enseignement et recherche se fĂ©condent mutuellement.C’est pourquoi la derniĂšre partie de l’ouvrage prĂ©sente une rĂ©flexion sur les aspects Ă©thiques qui jouent un rĂŽle central Ă  diffĂ©rents niveaux: 1) celui de la relation dyadique liant patient et psychothĂ©rapeute ; 2) celui de la formation et de la formation permanente, de la supervision en particulier et 3) celui de la recherche et de l’enseignement en psychothĂ©rapie.En guise de conclusion nous nous permettons de constater que les premiĂšres dĂ©marches entreprises par des pionniers il y a dĂ©jĂ  plus de cinquante ans ont montrĂ© que l’utilisation d’enregistrements sonores apporte un gain important au niveau de la pratique comme Ă  celui de la recherche. Si elle est pratiquĂ©e de maniĂšre responsable et avec la sensibilitĂ© requise, elle permet de fournir plus grande transparence au discours analytique et Ă  la pratique clinique. Elle fournit en outre une possibilitĂ© de discerner les Ă©noncĂ©s du thĂ©rapeute de maniĂšre plus complĂšte et moins marquĂ©e de prĂ©jugĂ©s, ce qui permet Ă  celui-ci d’examiner de plus prĂšs et de progressivement mieux comprendre les schĂ©mas de perception et les modĂšles Ă©pistĂ©mologiques qui, implicitement, le guident. Ceci ne devrait pourtant pas nous faire oublier que ni la bande magnĂ©tique ni sa transcription ne permettent de saisir toutes les dimensions du dialogue thĂ©rapeutique: fantasmes, hypothĂšses psychodynamiques, systĂšmes de valeurs, communication et schĂ©mas non-verbaux d’interaction ne sont pas enregistrĂ©s, alors mĂȘme qu’ils contribuent beaucoup Ă  l’évolution du processus thĂ©rapeutique. Seule l’analyse rĂ©flective du vĂ©cu direct de la relation thĂ©rapeutique permet d’en tirer des Ă©lĂ©ments fructueux
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