Interactions and Pathogen Transmission Between Carnivores in Madagascar

Introduced carnivores exert considerable pressure on native predators through predation, competition and disease transmission. Improved understanding of determinant factors of interactions and pathogen transmission between introduced and endemic wildlife may help to predict disease emergence, avoid pathogen spillover and help control outbreaks. Using non-invasive camera traps, I identified areas where transmission of pathogens might happen through records of shared space-use within a protected area in Eastern Madagascar. I showed that indirect interactions between animals were more likely to occur near the research station which may constitute a disease transmission hotspot for carnivores in the landscape. Secondly, I investigated the associations between individual and spatial variables with the exposure to pathogens in multiple sympatric endemic carnivores. I showed that individual characteristics such as age, sex and species are associated with exposure to Toxoplasma gondii, but not Leptospira spp. or Canine Parvovirus. Finally, I revealed where exchange of microbes has already occurred by using microbial genetics of Escherichia coli. Specifically, DNA fingerprinting methods were used to construct a microbial-sharing network between carnivores in the Betampona natural reserve ecosystem. Collectively, the results that are presented here may help the conservation efforts of the unique Malagasy carnivores by highlighting the need for disease monitoring and mitigation at the domestic animal and wildlife interface of Madagasca

Mission agropastoralisme et production fourragère dans le Sud-Ouest de Madagascar du 15 novembre eu 6 décembre 1996

La mission a rencontré des éleveurs des régions de Morondava, Tuléar, Sakaraha, Ampanihy, Ambovombe et Fort-Dauphin. L'élevage extensif des bovins est traditionnellement très développé dans cette région de Madagascar. Dans la moitié nord, les ressources fourragères sont suffisamment abondantes en quantité, même si la qualité est insuffisante une partie de l'année. Dans la moitié sud, la plus aride, les pâturages sont insuffisants. Dans ce contexte du sud, les élevages de petits ruminants peuvent trouver leur place et se développer. Sur l'ensemble de la région, l'abreuvement des animaux pose des questions. Dans le nord, l'eau ne manque pas mais des aménagements de mares seraient nécessaires. Dans le sud, les travaux d'hydraulique pastorale entrepris dans la région d'Ampanihy répondent à un besoin exprimé par les éleveurs et sont entrepris dans le cadre d'une approche participative intéressante. La gestion des ressources naturelles en pâturages passe par une meilleure utilisation des feux. L'appui du projet aux élevages laitiers concerne seulement les animaux croisés et devraient s'intéresser aussi aux troupeaux de zébus. Une grande attention doit être portée à la façon dont ces femelles laitières sont alimentée

Dog ecology and demography in Antananarivo, 2007

<p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Rabies is a widespread disease in African domestic dogs and a serious public health problem in developing countries. Canine rabies became established in Africa during the 20th century, coinciding with ecologic changes that favored its emergence in canids.</p> <p>This paper reports the results of a cross-sectional study of dog ecology in the Antananarivo urban community in Madagascar.</p> <p>A questionnaire survey of 1541 households was conducted in Antananarivo from October 2007 to January 2008. The study addressed both owned and unowned dogs. Various aspects of dog ecology were determined, including size of dog population, relationship between dogs and humans, rabies vaccination.</p> <p>Results</p> <p>Dog ownership was common, with 79.6 to 94.1% (mean 88.9%) of households in the six arrondissements owning dogs. The mean owned dog to person ratio was 1 dog per 4.5 persons and differed between arrondissements (administrative districts), with ratios of 1:6.0 in the first arrondissement, 1:3.2 persons in the 2^nd, 1:4.8 in the 3^rd, 1:5.2 in the 4^th, 1:5.6 in the 5^thand 1:4.4 in the 6^tharrondissement. Overall, there were more male dogs (61.3%) and the male/female sex ratio was estimated to be 1.52; however, mature females were more likely than males to be unowned (OR: 1.93, CI 95%; 1.39<OR<2.69). Most (79.1%) owned dogs were never restricted and roamed freely to forage for food and mix with other dogs. Only a small proportion of dogs (11.7%) were fed with commercial dog food. Only 7.2% of owned dogs had certificates confirming vaccination against rabies. The proportion of vaccinated dogs varied widely between arrondissements (3.3% to 17.5%).</p> <p>Conclusion</p> <p>Antananarivo has a higher density of dogs than many other urban areas in Africa. The dog population is unrestricted and inadequately vaccinated against rabies. This analysis of the dog population will enable targeted planning of rabies control efforts.</p

Prévalence d’excrétion de Giardia et Cryptosporidium chez les humains, les animaux domestiques et les lémuriens de l’écosystème du Parc National de Ranomafana, Madagascar

L’augmentation des interactions entre humains et animaux sauvages en lisière des habitats naturels pourrait faciliter la transmission d’agents pathogènes entre les humains et les différentes espèces animales d’un écosystème et ainsi favoriser l’émergence de maladies. Nous avons effectué une étude transversale portant sur l’infection par Giardia et Cryptosporidium chez les humains, les animaux domestiques, les rongeurs et les lémuriens au sein de l’écosystème de Ranomafana, Madagascar. Des échantillons de fèces ont étés collectés de manière non invasive chez des personnes volontaires, des mammifères domestiques et des rongeurs introduits habitant trois villages situés en lisière du Parc National de Ranomafana (PNR) ainsi que quatre espèces de lémuriens (Propithecus edwardsii, Prolemur simus, Eulemur rubriventer et Microcebus rufus) du PNR. Des analyses coproscopiques par la technique d’immunofluorescence directe ont été réalisées afin de détecter la présence de Cryptosporidium et Giardia. Leur prévalence a été estimée et certaines variables reliées à l’infection par les parasites ont été identifiées. Cryptosporidium et Giardia ont été détectés avec une prévalence estimée à 22,9 % et 13,6 % respectivement chez les humains. La prévalence de ces deux parasites variait de 0 % à 60 % chez les animaux domestiques et les rongeurs au sein des villages. L’espèce hôte, l’âge ainsi que la co-infection par un autre protozoaire sont les seules variables associées à l’infection par Cryptosporidium et Giardia dans cet écosystème tandis qu’aucune association avec une coinfection par un ordre de nématode n’a été détecté. De plus, Cryptosporidium a été détecté chez 10,5 % des lémuriens du PNR. Cette étude documente pour la première fois la présence de Cryptosporidium chez deux espèces de lémuriens du PNR. Par contre, Giardia n’a pas été détecté dans les échantillons issus de lémuriens du PNR.Increasing human activities in the vicinities of natural habitats may facilitate the emergence and transmission of diseases between humans and domestic animals and wildlife species. We conducted a cross-sectional study investigating the prevalence of Giardia and Cryptosporidium, two ubiquitous and potentially zoonotic protozoan parasites in various populations of humans and animals from the Ranomafana National Park ecosystem (RNP), Madagascar. Fecal samples were obtained non-invasively from human volunteers, domestic animals and introduced rodents inhabiting three villages in the vicinity of the national park and from four species of free-ranging lemurs (Propithecus edwardsi, Prolemur simus, Eulemur rubriventer and Microcebus rufus) from the RNP. Samples were analyzed using the direct immunofluorescence technique. Prevalences of Giardia and Cryptosporidium were estimated and variables associated with infections by the protozoa were identified. Cryptosporidium and Giardia were detected with a prevalence of 22.9 % and 13.6 % in humans respectively. The prevalences of these two parasites varied from 0 % to 60 % in domestic animals and introduced rodents from the villages. Species, age category and co-infection with the other protozoan were significantly associated with the infection by Cryptosporidium and Giardia in this ecosystem, whereas coinfections by different helminths order were not significantly associated with Cryptosporidium or Giardia. Moreover, Cryptosporidium was detected in 10.5 % of lemurs sampled from the RNP. This study reports for the first time the occurrence of Cryptosporidium in two species of lemurs from the RNP. Giardia was not detected in fecal samples from lemurs inhabiting the RNP

Influence des graines crues et cuites d’amarante dans l’alimentation des poulets de race locale rakotomanana

Des graines d’amarante (Amaranthus hybridus hypochondriacus) sont incorporées dans les régimes des poussins de race locale à un taux de 30%. Deux cas d’aliments sont considérés, graines crues et cuites auxquelles la composition de l’alimentation administrée aux poussins diffère par l’apport ou non de farine de sang. Les gains de poids observés avec des régimes à graines cuites avec ou sans farine de sang n’ont pas de différence significative de ceux des poussins de référence (p>0.05). La présence de facteur antinutritionnel réduit la performance des poussins nourris de graines d’amarante crue. La consommation des graines crues d’amarante est réduite. Les poussins témoins élevés en divagation ont une croissance très lente. Les résultats indiquent que les graines d’amarante peuvent bien complémenter l’alimentation des poulets de race locale tant qu’elles sont cuites et aussi réduire la dépense des éleveurs.(Mots clés : graine d’amarante, poulet de race locale, crue, cuite et alimentation

État de la recherche sur les pâturages à Madagascar

Réunion: Recherche sur l'amélioration des pâturages en Afrique orientale et australe, 17-21 sept. 1984, Harare, ZWDans IDL-792

Survey of pasture research in Madagascar

In IDL-684