7 research outputs found

    Atelier veille prospective du réseau R31: Impact sanitaire sur la population dû au développement de technologies vertes

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    Le pĂ©rimĂštre de l'exercice dĂ©crit dans ce rapport est l'« impact sanitaire sur la population dĂ» au dĂ©veloppement de technologies vertes ». La dĂ©finition retenue pour les technologies vertes est celle du ministĂšre en charge de l’environnement : « Les technologies vertes mesurent, prĂ©viennent, limitent ou corrigent les dommages environnementaux Ă  l’eau, l’air et le sol et les problĂšmes liĂ©s aux dĂ©chets et aux Ă©cosystĂšmes». L’horizon temporel prospectif, dĂ©fini pour cet atelier, est de 20 ans.Ce rapport dĂ©crit trois activitĂ©s menĂ©es par un groupe de travail, Ă  l'interface veille et prospective. - Un exercice de prospective fondĂ© sur la mĂ©thode des scĂ©narios. Il s’agissait de construire cinq scĂ©narios fournissant autant de cadres de rĂ©fĂ©rence pour stimuler la rĂ©flexion sur les risques sanitaires. A chacun de ces scĂ©narios, on peut associer une typologie de risque sanitaire. On a donc parfois volontairement « forcĂ© le trait » pour faire apparaitre des situations contrastĂ©es, fournissant de la matiĂšre pour la rĂ©flexion sur les risques.- Une action de veille dans le pĂ©rimĂštre de l’exercice. Un peu plus de 700 « Ă©lĂ©ments » ont Ă©tĂ© rassemblĂ©s.- Une recherche sur la maniĂšre de coupler « veille et cadres de rĂ©fĂ©rences scĂ©narios »

    Expositions aux produits phytopharmaceutiques en population gĂ©nĂ©rale et professionnelle - Focus sur les produits de biocontrĂŽle - Étude rĂ©trospective des observations enregistrĂ©es par les Centres antipoison et de toxicovigilance français du 1er janvier 2018 au 31 dĂ©cembre 2018: Rapport d’étude

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    Dans le pĂ©rimĂštre du GT « toxicovigilance des intrants du vĂ©gĂ©tal, produits biocides et mĂ©dicaments vĂ©tĂ©rinaires », aucun bilan complet des effets des produits phytopharmaceutiques (PPP) tant en population gĂ©nĂ©rale que professionnelle n’a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© jusqu’à prĂ©sent ; de la mĂȘme façon, aucune Ă©tude sur les expositions Ă  des PPP de biocontrĂŽle n’a Ă©tĂ© menĂ©e alors que leur utilisation, notamment en population gĂ©nĂ©rale, croit rapidement. Par ailleurs, le dĂ©cret n° 2016-1595 du 24 novembre 2016 relatif Ă  la phytopharmacovigilance requiert Ă  l’article R. 253-46-5 que « les organismes dĂ©signĂ©s participant Ă  la phytopharmacovigilance
transmettent au moins une fois par an Ă  l'Agence les informations mentionnĂ©es Ă  l'article R. 253-46-64 dont ils disposent dans leur domaine de compĂ©tence, aprĂšs en avoir vĂ©rifiĂ© la fiabilitĂ© et la pertinence, Ă  l'exception des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel »

    PiqĂ»res accidentelles par des vaccins vĂ©tĂ©rinaires - Étude des facteurs de risque de complications Ă  partir des cas enregistrĂ©s par les Centres antipoison de mai 2016 Ă  septembre 2018: Rapport d’étude de toxicovigilance

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    La piqĂ»re accidentelle avec une seringue de vaccins vĂ©tĂ©rinaires peut ĂȘtre responsable de complications et de gĂȘne fonctionnelle persistante chez l’Homme] [1–3]. Les personnes exposĂ©es sont essentiellement des agriculteurs ou des vĂ©tĂ©rinaires. Il existe principalement deux grandes catĂ©gories de vaccins vĂ©tĂ©rinaires : les vaccins contenant des adjuvants huileux (AH), correspondant Ă  des huiles minĂ©rales (HM), animales ou vĂ©gĂ©tales comme adjuvant et ceux n’en contenant pas. La prĂ©sence d’adjuvants huileux dans le vaccin vĂ©tĂ©rinaire semble favoriser la survenue de complications en cas d’exposition accidentelle humaine par injection. En France, une interrogation du SystĂšme d’Information commun des Centres antipoison (SICAP) a montrĂ© qu’environ 80 cas d’accidents avec piqĂ»re par des vaccins vĂ©tĂ©rinaires Ă©taient signalĂ©s chaque annĂ©e au rĂ©seau des Centres antipoison et de Toxicovigilance (CAPTV). Une Ă©tude prospective des cas humains d’injection de vaccins vĂ©tĂ©rinaires collectĂ©s par le CAPTV d’Angers de 2007 Ă  2012 a portĂ© sur 171 cas d’exposition. Le vaccin vĂ©tĂ©rinaire contenait une huile minĂ©rale (HM) comme adjuvant dans un peu moins de 2/3 des cas (62%). Les complications Ă©taient plus frĂ©quentes en cas d’accident avec un vaccin contenant une HM, qu’en cas d’accident avec un vaccin sans HM : respectivement 48% versus 14% de complications. Une gĂȘne fonctionnelle Ă  un mois a Ă©tĂ© observĂ©e dans 34,9% des accidents avec un vaccin avec HM contre 5,2% des accidents avec un vaccin sans HM. Enfin, dans cette sĂ©rie, une intervention chirurgicale a Ă©tĂ© pratiquĂ©e dans 33,0% des accidents avec un vaccin avec HM, contre seulement 1,7% des accidents avec un vaccin sans HM. Suite Ă  cette Ă©tude, le CAPTV d’Angers avait rĂ©digĂ© une conduite Ă  tenir pouvant guider la prise en charge des injections accidentelles de vaccins vĂ©tĂ©rinaires. Cette Ă©tude Ă©tant monocentrique, l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a dĂ©cidĂ© de mettre en place une nouvelle Ă©tude prospective, nationale, afin d’analyser plus prĂ©cisĂ©ment les facteurs de risque de complications et de sĂ©quelles en cas de piqĂ»res accidentelles par un vaccin vĂ©tĂ©rinaire, et de rĂ©viser, le cas Ă©chĂ©ant, la conduite Ă  tenir pour leur prise en charge

    Étude des cas graves accidentels liĂ©s Ă  des produits phytopharmaceutiques - Etude rĂ©trospective des observations enregistrĂ©es par les Centres antipoison et de toxicovigilance français (2013-2017): Rapport d’étude de toxicovigilance

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    L’Anses a passĂ© en 2018 une convention de recherche et dĂ©veloppement (CRD) avec le centre antipoison de Nancy (CAP), gestionnaire de la BNPC (Base Nationale des Produits et Compositions)pour rechercher dans le systĂšme d’information des centres antipoison (SICAP), sur la pĂ©riode du 01/01/2013 au 31/12/2017, l’ensemble des dossiers de cas graves survenus dans des circonstances accidentelles ou volontaires, liĂ©s Ă  des expositions Ă  des produits phytopharmaceutiques (PPP).Une liste de ces cas graves a Ă©tĂ© Ă©tablie et transmise Ă  l’Anses

    Scientific Opinion of the PPR Panelon the follow-up of the findings of the External Scientific Report "Literature review of epidemiological studies linking exposure to pesticides and health effects'

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    In 2013, EFSA published a comprehensive systematic review of epidemiological studies published from 2006 to 2012 investigating the association between pesticide exposure and many health outcomes. Despite the considerable amount of epidemiological information available, the quality of much of this evidence was rather low and many limitations likely affect the results so firm conclusions cannot be drawn. Studies that do not meet the ‘recognised standards’ mentioned in the Regulation (EU) No 1107/2009 are thus not suited for risk assessment. In this Scientific Opinion, the EFSA Panel on Plant Protection Products and their residues (PPR Panel) was requested to assess the methodological limitations of pesticide epidemiology studies and found that poor exposure characterisation primarily defined the major limitation. Frequent use of case–control studies as opposed to prospective studies was considered another limitation. Inadequate definition or deficiencies in health outcomes need to be avoided and reporting of findings could be improved in some cases. The PPR Panel proposed recommendations on how to improve the quality and reliability of pesticide epidemiology studies to overcome these limitations and to facilitate an appropriate use for risk assessment. The Panel recommended the conduct of systematic reviews and meta-analysis, where appropriate, of pesticide observational studies as useful methodology to understand the potential hazards of pesticides, exposure scenarios and methods for assessing exposure, exposure–response characterisation and risk characterisation. Finally, the PPR Panel proposed a methodological approach to integrate and weight multiple lines of evidence, including epidemiological data, for pesticide risk assessment. Biological plausibility can contribute to establishing causation
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