8 research outputs found

    Grossesse et précarité (influence des facteurs sociaux sur les complications de la grossesse et des suites de couches)

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    Objectifs : Suivi de grossesses de patientes précaires, évaluation des complications. Comparaison aux résultats de la dernière enquête nationale périnatale (ENP). Mesure de l'intervention PASS à Toulouse. Méthodes : Etude rétrospective sur deux ans et demi, de toutes les grossesses initiant le suivi à la PASS puis le poursuivant à la maternité Paule de Viguier (niveau 3). Résultats : La population incluse, constituée de 241 femmes, est jeune et fortement précaire. En comparaison avec l'ENP, le nombre de consultation et d'échographie est plus faible. Le début de prise en charge est tardif. La précarité augmente la fréquence d'hypertension, de diabète et d'anémie. La prématurité et les petits poids de naissance sont moins fréquents qu'attendu. Conclusion : La morbidité est réduite par la prise en charge PASS surtout quand le premier contact est précoce et l'ouverture des droits possible.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF

    Evaluation du dépistage du VIH et des hépatites B et C à la PASS de Toulouse, 2003-2004

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    Une étude rétrospective menée à la PASS (Permanence d'Accès aux Soins de Santé) de Toulouse concernait les 2319 nouveaux consultants de 2003 et 2004. Les objectifs étaient la mesure du dépistage du VIH, du VHB et du VHC, et l'étude des rapports existant entre ce dépistage et les caractéristiques socio-économiques et l'origine géographique des patients. L'incidence de ces infections et le rendement de leur dépistage à la PASS de Toulouse, sont très supérieurs à ce que l'on observe en population générale. Parmi les patients de la PASS, tous en situation de précarité, ce dépistage est plus fréquemment proposé en situation d'extrême précarité. La proposition du dépistage est, de plus, largement influencée par l'origine géographique des patients. Une corrélation entre extrême précarité et infection par le VIH ou le VHB n'a pas été mise en évidence ; les patients infectés par le VHC présentent, au contraire, une situation moins précaire. Si le dépistage s'avère proposé plus souvent aux plus jeunes, une différence d'âge n'apparaît significative que pour le diagnostic d'infection à VHC où l'âge moyen des patients séropositifs est de 10 ans supérieur à celui des patients négatifs.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Evaluation du dépistage du VIH et des hépatites B et C à la PASS de Toulouse, 2003-2004

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    Une étude rétrospective menée à la PASS (Permanence d'Accès aux Soins de Santé) de Toulouse concernait les 2319 nouveaux consultants de 2003 et 2004. Les objectifs étaient la mesure du dépistage du VIH, du VHB et du VHC, et l'étude des rapports existant entre ce dépistage et les caractéristiques socio-économiques et l'origine géographique des patients. L'incidence de ces infections et le rendement de leur dépistage à la PASS de Toulouse, sont très supérieurs à ce que l'on observe en population générale. Parmi les patients de la PASS, tous en situation de précarité, ce dépistage est plus fréquemment proposé en situation d'extrême précarité. La proposition du dépistage est, de plus, largement influencée par l'origine géographique des patients. Une corrélation entre extrême précarité et infection par le VIH ou le VHB n'a pas été mise en évidence ; les patients infectés par le VHC présentent, au contraire, une situation moins précaire. Si le dépistage s'avère proposé plus souvent aux plus jeunes, une différence d'âge n'apparaît significative que pour le diagnostic d'infection à VHC où l'âge moyen des patients séropositifs est de 10 ans supérieur à celui des patients négatifs.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Decreased darunavir concentrations during once-daily co-administration with maraviroc and raltegravir: OPTIPRIM-ANRS 147 trial

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    International audienceBackgroundThe OPTIPRIM-ANRS 147 trial compared intensive combination ART (darunavir/ritonavir, tenofovir disoproxil fumarate/emtricitabine, raltegravir and maraviroc) started early during primary HIV-1 infection with standard tritherapy with darunavir/ritonavir, tenofovir disoproxil fumarate and emtricitabine. From month 6 to 18, the percentage of viral load values <50 copies/mL was lower in the pentatherapy arm than in the tritherapy arm. Here we compared antiretroviral drug concentrations between the two arms.MethodsPlasma samples were collected from 50 patients at various times after drug administration. A Bayesian approach based on published population pharmacokinetic models was used to estimate residual drug concentrations (Ctrough) and exposures (AUC) in each patient. A mixed linear regression model was then used to compare the AUC and Ctrough values of each drug used in both groups.ResultsPublished models adequately described our data and could be used to predict Ctrough and AUC. No significant difference in tenofovir disoproxil fumarate, emtricitabine and ritonavir parameters was found between the two arms. However, darunavir Ctrough and AUC were significantly lower in the pentatherapy arm than in the tritherapy arm (P = 0.03 and P = 0.04, respectively).ConclusionsAdding maraviroc and raltegravir to darunavir-based tritherapy decreased darunavir concentrations. Compliance issues, maraviroc–darunavir interaction and raltegravir–darunavir interaction were suspected and may affect the kinetics of viral decay during pentatherapy. A specific pharmacokinetic interaction study is needed to explore the interactions between darunavir and maraviroc and raltegravir

    Human Immunodeficiency Virus Type 1 Group O Infection in France: Clinical Features and Immunovirological Response to Antiretrovirals

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    International audienc

    A highly virulent variant of HIV-1 circulating in the Netherlands

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    We discovered a highly virulent variant of subtype-B HIV-1 in the Netherlands. One hundred nine individuals with this variant had a 0.54 to 0.74 log10 increase (i.e., a ~3.5-fold to 5.5-fold increase) in viral load compared with, and exhibited CD4 cell decline twice as fast as, 6604 individuals with other subtype-B strains. Without treatment, advanced HIV-CD4 cell counts below 350 cells per cubic millimeter, with long-term clinical consequences-is expected to be reached, on average, 9 months after diagnosis for individuals in their thirties with this variant. Age, sex, suspected mode of transmission, and place of birth for the aforementioned 109 individuals were typical for HIV-positive people in the Netherlands, which suggests that the increased virulence is attributable to the viral strain. Genetic sequence analysis suggests that this variant arose in the 1990s from de novo mutation, not recombination, with increased transmissibility and an unfamiliar molecular mechanism of virulence
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