496 research outputs found

    Ever-shifting matter: an investigation into the spatial, temporal, and sensorial process of my artmaking

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    Thesis MA (VA)--Stellenbosch University, 2022.ENGLISH ABSTRACT: This thesis is the written component of my practice-based research. This piece of writing takes the form of a journal in which I discuss my interest in the philosophy and practice of meditation, and the theories of Deleuze and Guattari. I focus on how these relate to one another, and on the impact they have on my life and practice. Because the method that I use is the self-reflexive practice of journaling, concepts and theories are engaged informally as they pertain to my own understandings of them, and I focus mainly on how they influence and inflect my work and process. The accompanying glossary provides more academic definitions, obtained from a wide variety of sources.AFRIKAANSE OPSOMMING: Hierdie tesis is die geskrewe komponent van my praktyk-gebaseerde navorsing. Die skryfstuk neem die vorm aan van ’n joernaal, waarin ek my belangstelling in die filosofie en in die beoefening van meditasie, asook in die teoriee van Deleuze en Guattari bespreek. Ek fokus op hoe bogenoemde met mekaar verband hou, en op die uitwerking wat dit op my lewe en op my praktiese werk het. Vir hierdie doel maak ek gebruik van selfondersoekende dagboekinskrywings. Konsepte en teoriee word dus informeel opgeteken in terme van my eie begrip daarvan, en ek konsentreer hoofsaaklik op hoe dit my werk en my werkproses beinvloed en nuanseer. Die meegaande woordelys verskaf verdere akademiese definisies wat uit ’n wye verskeidenheid van bronne verkry is.Master

    La gestion communautaire des ressources naturelles à l’Est de la R.D.Congo : expérience de l’UGADEC

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    Les provinces du Nord Kivu et du Maniema, à l’est de la R.D.Congo sont confrontés à la destruction de l’environnement, particulièrement dans les parties des territoires de Walikale, Lubero, Punia et Lubutu. Alors que les forêts riches en biodiversité sont importantes tant pour l’Etat du fait de leur valeur économique que pour les communautés locales pour leur développement, les menaces qui pèsent sur ces dernières sont légions. Les plus importantes sont les mines, les guerres, le foncier, la légitimité et la légalité, etc. Face à cette situation, en 1998 les communautés locales de ces territoires ont décidé d’initier un nouveau modèle de gestion communautaire des ressources naturelles par la création de réserves gérées par les populations locales. L’objectif de ce modèle est la gestion de biodiversité associée au développement endogène, conduite par une l’Union des Associations de Conservation de Gorilles pour le Développement Communautaire à l’Est de la R.D.Congo (UGADEC). Quinze ans après le début de cette initiative les résultats sont prometteurs. Des actions de conservation ont été mises en place et un développement rural amorcé. Cependant, pour que la gestion communautaire devienne une réalité, il importe qu’un partenariat durable soit établi entre les différents acteurs liés à la gestion des réserves communautaires de l’est

    Improvements on dimension growth results and effective Hilbert's irreducibility theorem

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    We sharpen and generalize the dimension growth bounds for the number of points of bounded height lying on an irreducible algebraic variety of degree dd, over any global field. In particular, we focus on the the affine hypersurface situation by relaxing the condition on the top degree homogeneous part of the polynomial describing the affine hypersurface. Our work sharpens the dependence on the degree in the bounds, compared to~\cite{CCDN-dgc}. We also formulate a conjecture about plane curves which gives a conjectural approach to the uniform degree 33 case (the only case which remains open). For induction on dimension, we develop a higher dimensional effective version of Hilbert's irreducibility theorem.Comment: 35 page

    Nonparametric Analysis of Household Labor Supply:Goodness-of-Fit and Power of the Unitary and the Collective Model

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    We compare the empirical performance of unitary and collective labor supply models, using representative data from the Dutch DNB Household Survey.We conduct a nonparametric analysis that avoids the distortive impact of an erroneously speci.ed functional form for the prefer-ences and/or the intrahousehold bargaining process.Our analysis focuses on the goodness-of-.t of the two behavioral models.To guarantee a fair comparison, we complement this goodness-of-.t analysis with a power analysis.Our results strongly favor the collective approach to modeling the behavior of multi-person households

    La recherche est-elle utile pour la gestion des aires protégées en Afrique centrale ?

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    Dans les aires protégées d’Afrique centrale, la recherche, sous diverses formes, a notamment pour but d’appuyer les décisions de gestion et de conservation. Cependant, le partage des résultats de recherche est souvent insuffisant, ainsi que le dialogue entre les chercheurs, les gestionnaires de terrain et les décideurs politiques. Il en résulte que la recherche dans les aires protégées n’est pas toujours en phase avec les priorités des gestionnaires. C’est dans ce cadre qu’a été réalisée cette expertise, afin d’éclaircir les liens fonctionnels entre la recherche, la gestion des aires protégées et les décisions politiques, tout en identifiant comment la recherche est produite, diffusée et utilisée dans les aires protégées d’Afrique centrale. Trois étapes méthodologiques ont permis de répondre à cet objectif : (i) une analyse bibliométrique de la littérature scientifique publiée au sujet de toutes les aires protégées d’Afrique centrale, (ii) un inventaire complet de la littérature scientifique et grise pour trois aires protégées soutenues par le Programme ECOFAC 6, avec une synthèse des recommandations de gestion concernant leurs thématiques prioritaires, et (iii) la capitalisation des expériences des gestionnaires au sujet des acteurs, questions, accessibilité et utilité de la recherche à travers des entretiens. En rassemblant les articles scientifiques publiés durant les dix dernières années au sujet des aires protégées d’Afrique centrale, nous avons caractérisé l’effort de recherche selon différents critères : répartition géographique, évolution temporelle, langues, affiliations des auteurs, accessibilité et répartition par thématiques. Nous avons montré des différences importantes en nombre de publications scientifiques entre les dix pays d’Afrique centrale et entre les aires protégées. Durant les dix dernières années, le nombre d’articles publiés par an augmente mais reste inférieur à une publication par aire protégée et par an en moyenne. Trois conditions semblent être réunies dans les aires protégées où la production scientifique est riche : l’ancienneté de l’aire protégée, la présence d’une station de recherche permanente et un contexte sécuritaire stable. Plus de 95% des articles scientifiques sont publiés en anglais, avec moins d’un tiers des auteurs ayant une affiliation en Afrique centrale. Seuls 37% des articles sont disponibles gratuitement en accès libre sur internet. Garantir l’accès ouvert de ces publications et leur synthèse en français est essentiel pour permettre l’utilisation des résultats produits, de même que de privilégier les financements de chercheurs des Universités nationales. La majorité des publications étudie la biodiversité (principalement animale), alors que les recherches appliquées aux enjeux directs de gestion, au sujet des aspects humains, environnementaux et de santé, sont trop peu représentées. Il est crucial de revoir le rôle des acteurs locaux et nationaux dans le pilotage de la recherche vers des thématiques prioritaires pour chaque aire protégée. En complément à la recherche scientifique, nous avons identifié la plus-value de la littérature grise (livres, rapports, mémoires etc.) à la production de connaissances utiles à la gestion de trois aires protégées soutenues par le Programme ECOFAC 6 : le Parc National de la Lopé (Gabon), le Parc National d’Odzala Kokoua (République du Congo) et la Réserve de Faune de Ouadi Rimé-Ouadi Achim (Tchad). Les recommandations issues de la littérature pour les dix dernières années ont été synthétisées, en termes de perspectives de recherche et d’actions concrètes de gestion. Nous avons montré que la littérature grise complète les publications scientifiques avec des informations de terrain et des données directement mobilisables par les gestionnaires. Les thématiques étudiées sont aussi différentes, avec une plus grande emphase sur les sujets appliqués à la gestion dans la littérature grise, tels que les aspects humains et environnementaux. Il est particulièrement utile pour la gestion des aires protégées de s’atteler à synthétiser les recommandations émises dans la littérature : les gestionnaires peuvent ainsi renforcer leurs actions de terrain et leur vision stratégique. Malgré tout, certaines recommandations ne s’appliquent pas à la réalité de terrain des gestionnaires : cela indique une déconnexion entre certains chercheurs et gestionnaires, avec des enjeux différents et un manque de communication entre les acteurs. Après l’examen de la théorie et des connaissances produites, nous avons étudié l’utilisation concrète des résultats de recherche dans la gestion des aires protégées, en interrogeant directement les gestionnaires de terrain. Trois types d’entretiens nous ont permis d’identifier les acteurs, les questions, l’accessibilité et l’utilité de la recherche, dans une démarche de capitalisation des expériences des opérateurs du Programme ECOFAC 6 : un questionnaire en ligne, un atelier d’échange en groupe en présentiel, et des entretiens individuels par visioconférence. De manière générale, la recherche est perçue par les gestionnaires comme utile dans une démarche appliquée pour appuyer la gestion et les stratégies de conservation. Les gestionnaires accueillent très fréquemment des chercheurs extérieurs. Les accords de partenariats garantissent la restitution et la valorisation des résultats de la recherche auprès des gestionnaires. Les gestionnaires apportent un appui logistique et technique important aux chercheurs qu’ils accueillent, et les chercheurs contribuent au renforcement local des capacités. Néanmoins, dans beaucoup d’aires protégées, la formation du personnel de terrain doit être renforcée et les chercheurs se doivent d’y contribuer. Les résultats de recherche générés sont régulièrement utilisés par les gestionnaires, de différentes manières et pour différentes thématiques. Néanmoins, seulement un quart des gestionnaires ont défini leurs questions de recherche prioritaires dans un document et il existe beaucoup de données dormantes que personne n’utilise. Il subsiste donc un décalage important entre les sujets de recherche et les priorités de gestion, qui appelle au développement de recherches appliquées et stratégiques pour lesquelles les chercheurs devraient mieux se concerter avec les gestionnaires. Nous avons présenté de nombreux exemples inspirants qui démontrent qu’il est possible de coordonner les efforts de recherche aux priorités de gestion et de conservation dans les aires protégées. En outre, les publications scientifiques ne sont pas produites assez rapidement pour les besoins pratiques des gestionnaires, qui n’ont souvent même pas accès à ces documents. Les chercheurs ont la responsabilité de transmettre leurs recommandations aux gestionnaires d’aires protégées dans un délai compatible avec la prise de décision, déjà avant que leurs résultats soient publiés dans des revues scientifiques. Il est aussi essentiel de rendre l’accès aux résultats de recherche libre et sans contraintes pour les gestionnaires des aires protégées. La recherche est donc utile, mais seulement quand elle est orientée stratégiquement en cohérence avec les enjeux de gestion des aires protégées. Nous terminons ce rapport d’expertise par une liste de 20 recommandations allant du financement de la recherche, à son exécution, la diffusion des résultats et leur utilisation concrète. Ces recommandations s’adressent aux gestionnaires d’aires protégées, aux États d’Afrique centrale et à la CEEAC/COMIFAC, aux institutions de recherche et de formation, aux bailleurs de fonds, ainsi qu’à la société civile. Nous invitons le lecteur à étudier ces recommandations détaillées (pages 53 à 57), mais citons notamment les recommandations essentielles suivantes : allouer des ressources suffisantes à la recherche dans les aires protégées, permettant de développer une vision stratégique et appliquée ; assurer des financements et projets sur le long terme (minimum 10 ans) ; fixer des engagements entre gestionnaires et chercheurs pour la diffusion des résultats de recherche ; favoriser les financements de mémoires, thèses de doctorats et post-doctorats pour produire une recherche efficace et utile ; soutenir l’OFAC pour la capitalisation des résultats de recherche ; concevoir des programmes de renforcement des capacités des gestionnaires pour la prise en main des données scientifiques, ainsi que de la société civile et des journalistes pour la vulgarisation scientifique ; permettre le renforcement des universités nationales par des partenariats de terrain avec les universités internationales ; produire une science plus inclusive en impliquant la diversité des acteurs dans la formulation des questions de recherche ; profiter des expériences positives du réseau de gestionnaires d’aires protégées pour renforcer les pratiques locales de gestion à de multiples niveaux ; générer des outils simples pour l’utilisation concrète des résultats de recherche dans la gestion ; définir un protocole simple de diffusion de la littérature produite à l’échelle régionale ; renforcer les procédures d’archivage numérique et physique des données et résultats de recherche à l’échelle des aires protégées ; faciliter la diffusion et l’appropriation des résultats de recherche par l’organisation de forums aux échelles régionale et paysagère rassemblant tous les acteurs concernés ; prioriser les efforts de capitalisation des futurs programmes de conservation

    La recherche est-elle utile pour la gestion des aires protégées d'Afrique centrale ?

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    Dans les aires protégées d’Afrique centrale, la recherche, sous diverses formes, a notamment pour but d’appuyer les décisions de gestion et de conservation. Cependant, le partage des résultats de recherche est souvent insuffisant, ainsi que le dialogue entre les chercheurs, les gestionnaires de terrain et les décideurs politiques. Il en résulte que la recherche dans les aires protégées n’est pas toujours en phase avec les priorités des gestionnaires. C’est dans ce cadre qu’a été réalisée cette expertise, afin d’éclaircir les liens fonctionnels entre la recherche, la gestion des aires protégées et les décisions politiques, tout en identifiant comment la recherche est produite, diffusée et utilisée dans les aires protégées d’Afrique centrale. Trois étapes méthodologiques ont permis de répondre à cet objectif : (i) une analyse bibliométrique de la littérature scientifique publiée au sujet de toutes les aires protégées d’Afrique centrale, (ii) un inventaire complet de la littérature scientifique et grise pour trois aires protégées soutenues par le Programme ECOFAC 6, avec une synthèse des recommandations de gestion concernant leurs thématiques prioritaires, et (iii) la capitalisation des expériences des gestionnaires au sujet des acteurs, questions, accessibilité et utilité de la recherche à travers des entretiens. En rassemblant les articles scientifiques publiés durant les dix dernières années au sujet des aires protégées d’Afrique centrale, nous avons caractérisé l’effort de recherche selon différents critères : répartition géographique, évolution temporelle, langues, affiliations des auteurs, accessibilité et répartition par thématiques. Nous avons montré des différences importantes en nombre de publications scientifiques entre les dix pays d’Afrique centrale et entre les aires protégées. Durant les dix dernières années, le nombre d’articles publiés par an augmente mais reste inférieur à une publication par aire protégée et par an en moyenne. Trois conditions semblent être réunies dans les aires protégées où la production scientifique est riche : l’ancienneté de l’aire protégée, la présence d’une station de recherche permanente et un contexte sécuritaire stable. Plus de 95% des articles scientifiques sont publiés en anglais, avec moins d’un tiers des auteurs ayant une affiliation en Afrique centrale. Seuls 37% des articles sont disponibles gratuitement en accès libre sur internet. Garantir l’accès ouvert de ces publications et leur synthèse en français est essentiel pour permettre l’utilisation des résultats produits, de même que de privilégier les financements de chercheurs des Universités nationales. La majorité des publications étudie la biodiversité (principalement animale), alors que les recherches appliquées aux enjeux directs de gestion, au sujet des aspects humains, environnementaux et de santé, sont trop peu représentées. Il est crucial de revoir le rôle des acteurs locaux et nationaux dans le pilotage de la recherche vers des thématiques prioritaires pour chaque aire protégée. En complément à la recherche scientifique, nous avons identifié la plus-value de la littérature grise (livres, rapports, mémoires etc.) à la production de connaissances utiles à la gestion de trois aires protégées soutenues par le Programme ECOFAC 6 : le Parc National de la Lopé (Gabon), le Parc National d’Odzala Kokoua (République du Congo) et la Réserve de Faune de Ouadi Rimé-Ouadi Achim (Tchad). Les recommandations issues de la littérature pour les dix dernières années ont été synthétisées, en termes de perspectives de recherche et d’actions concrètes de gestion. Nous avons montré que la littérature grise complète les publications scientifiques avec des informations de terrain et des données directement mobilisables par les gestionnaires. Les thématiques étudiées sont aussi différentes, avec une plus grande emphase sur les sujets appliqués à la gestion dans la littérature grise, tels que les aspects humains et environnementaux. Il est particulièrement utile pour la gestion des aires protégées de s’atteler à synthétiser les recommandations émises dans la littérature : les gestionnaires peuvent ainsi renforcer leurs actions de terrain et leur vision stratégique. Malgré tout, certaines recommandations ne s’appliquent pas à la réalité de terrain des gestionnaires : cela indique une déconnexion entre certains chercheurs et gestionnaires, avec des enjeux différents et un manque de communication entre les acteurs. Après l’examen de la théorie et des connaissances produites, nous avons étudié l’utilisation concrète des résultats de recherche dans la gestion des aires protégées, en interrogeant directement les gestionnaires de terrain. Trois types d’entretiens nous ont permis d’identifier les acteurs, les questions, l’accessibilité et l’utilité de la recherche, dans une démarche de capitalisation des expériences des opérateurs du Programme ECOFAC 6 : un questionnaire en ligne, un atelier d’échange en groupe en présentiel, et des entretiens individuels par visioconférence. De manière générale, la recherche est perçue par les gestionnaires comme utile dans une démarche appliquée pour appuyer la gestion et les stratégies de conservation. Les gestionnaires accueillent très fréquemment des chercheurs extérieurs. Les accords de partenariats garantissent la restitution et la valorisation des résultats de la recherche auprès des gestionnaires. Les gestionnaires apportent un appui logistique et technique important aux chercheurs qu’ils accueillent, et les chercheurs contribuent au renforcement local des capacités. Néanmoins, dans beaucoup d’aires protégées, la formation du personnel de terrain doit être renforcée et les chercheurs se doivent d’y contribuer. Les résultats de recherche générés sont régulièrement utilisés par les gestionnaires, de différentes manières et pour différentes thématiques. Néanmoins, seulement un quart des gestionnaires ont défini leurs questions de recherche prioritaires dans un document et il existe beaucoup de données dormantes que personne n’utilise. Il subsiste donc un décalage important entre les sujets de recherche et les priorités de gestion, qui appelle au développement de recherches appliquées et stratégiques pour lesquelles les chercheurs devraient mieux se concerter avec les gestionnaires. Nous avons présenté de nombreux exemples inspirants qui démontrent qu’il est possible de coordonner les efforts de recherche aux priorités de gestion et de conservation dans les aires protégées. En outre, les publications scientifiques ne sont pas produites assez rapidement pour les besoins pratiques des gestionnaires, qui n’ont souvent même pas accès à ces documents. Les chercheurs ont la responsabilité de transmettre leurs recommandations aux gestionnaires d’aires protégées dans un délai compatible avec la prise de décision, déjà avant que leurs résultats soient publiés dans des revues scientifiques. Il est aussi essentiel de rendre l’accès aux résultats de recherche libre et sans contraintes pour les gestionnaires des aires protégées. La recherche est donc utile, mais seulement quand elle est orientée stratégiquement en cohérence avec les enjeux de gestion des aires protégées. Nous terminons ce rapport d’expertise par une liste de 20 recommandations allant du financement de la recherche, à son exécution, la diffusion des résultats et leur utilisation concrète. Ces recommandations s’adressent aux gestionnaires d’aires protégées, aux États d’Afrique centrale et à la CEEAC/COMIFAC, aux institutions de recherche et de formation, aux bailleurs de fonds, ainsi qu’à la société civile. Nous invitons le lecteur à étudier ces recommandations détaillées (pages 53 à 57), mais citons notamment les recommandations essentielles suivantes : allouer des ressources suffisantes à la recherche dans les aires protégées, permettant de développer une vision stratégique et appliquée ; assurer des financements et projets sur le long terme (minimum 10 ans) ; fixer des engagements entre gestionnaires et chercheurs pour la diffusion des résultats de recherche ; favoriser les financements de mémoires, thèses de doctorats et post-doctorats pour produire une recherche efficace et utile ; soutenir l’OFAC pour la capitalisation des résultats de recherche ; concevoir des programmes de renforcement des capacités des gestionnaires pour la prise en main des données scientifiques, ainsi que de la société civile et des journalistes pour la vulgarisation scientifique ; permettre le renforcement des universités nationales par des partenariats de terrain avec les universités internationales ; produire une science plus inclusive en impliquant la diversité des acteurs dans la formulation des questions de recherche ; profiter des expériences positives du réseau de gestionnaires d’aires protégées pour renforcer les pratiques locales de gestion à de multiples niveaux ; générer des outils simples pour l’utilisation concrète des résultats de recherche dans la gestion ; définir un protocole simple de diffusion de la littérature produite à l’échelle régionale ; renforcer les procédures d’archivage numérique et physique des données et résultats de recherche à l’échelle des aires protégées ; faciliter la diffusion et l’appropriation des résultats de recherche par l’organisation de forums aux échelles régionale et paysagère rassemblant tous les acteurs concernés ; prioriser les efforts de capitalisation des futurs programmes de conservation

    De ontwikkeling van een zevental Professionele Leer Gemeenschappen (PLG-en) in beeld gebracht:gemeten veranderingen van vormgevende kenmerken en sturingsfactoren in de loop van twee jaar onderzoek

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    Op basis van een multidimensionaal concept is een vragenlijst ontwikkeld die in het kader van een longitudinaal onderzoeksproject twee keer is ingezet om de ontwikkeling van een zevental PLG-en inbeeld te brengen. Tijdens de papersessie worden de resultaten en een onderbouwde conclusie gepresenteerd
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