20 research outputs found

    Ressources numériques en bibliothèque publique et scolaire: Etude pour la Suisse romande (Les)

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    C\u27est dans un contexte de dématérialisation des supports et d\u27une volonté pour les bibliothèques suisses de continuer à garantir à leurs usagers un accès libre et démocratique aux contenus que le comité romand de la Communauté de travail des bibliothèques suisses de lecture publique (CLP) a constitué un groupe de travail (GT). Celui-ci a été chargé de réfléchir à l’offre numérique des bibliothèques et en particulier à ce qui pourrait être mis en commun au niveau de la Suisse romande pour créer un portail d’accès à des ressources électroniques dédié aux bibliothèques publiques ou scolaires, quelle que soit leur taille. Ce rapport se veut avant tout un état des lieux des ressources offertes actuellement par les bibliothèques de lecture publique suisses permettant une réflexion pour le futur

    Combined PARP Inhibition and Immune Checkpoint Therapy in Solid Tumors

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    Genomic instability is a hallmark of cancer related to DNA damage response (DDR) deficiencies, offering vulnerabilities for targeted treatment. Poly (ADP-ribose) polymerase (PARP) inhibitors (PARPi) interfere with the efficient repair of DNA damage, particularly in tumors with existing defects in DNA repair, and induce synthetic lethality. PARPi are active across a range of tumor types harboring BRCA mutations and also BRCA-negative cancers, such as ovarian, breast or prostate cancers with homologous recombination deficiencies (HRD). Depending on immune contexture, immune checkpoint inhibitors (ICIs), such as anti-PD1/PD-L1 and anti-CTLA-4, elicit potent antitumor effects and have been approved in various cancers types. Although major breakthroughs have been performed with either PARPi or ICIs alone in multiple cancers, primary or acquired resistance often leads to tumor escape. PARPi-mediated unrepaired DNA damages modulate the tumor immune microenvironment by a range of molecular and cellular mechanisms, such as increasing genomic instability, immune pathway activation, and PD-L1 expression on cancer cells, which might promote responsiveness to ICIs. In this context, PARPi and ICIs represent a rational combination. In this review, we summarize the basic and translational biology supporting the combined strategy. We also detail preclinical results and early data of ongoing clinical trials indicating the synergistic effect of PARPi and ICIs. Moreover, we discuss the limitations and the future direction of the combination

    Quantités minimum et sources de protéines pour l’atteinte de l’ensemble des recommandations nutritionnelles [eposter]

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    National audienceIntroduction et but de l’étude: En France, nous consommons en moyenne plus de protéines que strictement nécessaire pour couvrir les besoins en protéines (tout en restant sous le seuil d’apport considéré comme excessif). Les aliments sources de protéines étant aussi des vecteurs d’autres nutriments essentiels, il pourrait s’avérer difficile de réduire les apports en protéines, notamment animales, tout en couvrant l’ensemble des autres besoins nutritionnels. Le but de l’étude était de déterminer, pour différentes sous-populations d’adultes, l’apport minimum théorique en protéines totales, ainsi que la part des protéines d’origine animale dans les protéines totales, compatibles avec l’atteinte de l’ensemble des recommandations nutritionnelles (autres que celle portant sur les protéines) sans surcoût.Matériel et méthodes:Le contenu nutritionnel et le coût des régimes moyens observés pour cinq sous populations (A : Femmes < 50 ans, B : Femmes 50-64 ans, C : Femmes ≥ 65 ans, D : Hommes < 65 ans, E : Hommes ≥ 65 ans) ont été estimés à partir de l’étude individuelle nationale des consommations alimentaires 2, de la table CIQUAL et de l’étude KANTAR. Pour chaque sous population, la teneur minimale en protéines compatible avec la couverture, sans surcoût, de tous les autres besoins nutritionnels a été obtenue par programmation linéaire (modèles ProtMin). Ensuite, pour chaque sous-population, un régime s’éloignant le moins possible du régime moyen observé, tout en couvrant sans surcoût tous les besoins en nutriments (les protéines restant « libres ») a été généré, d’abord sans contrainte sur les parts respectives des protéines animales et végétales (modèles AcceptMax), puis en imposant une diminution progressive (par pas de 5%) de la part des protéines animales (modèles AcceptMaxAV). Le modèle AcceptMaxAV avec la part de protéines animales la plus faible tout en couvrant le besoin en protéines et respectant des critères d’acceptabilité vis-à-vis des changements alimentaires a été sélectionné.Résultats et Analyse statistique:La quantité minimale de protéines qui serait en théorie compatible avec le respect des autres besoins nutritionnels (modèles ProtMin) était égale à 54, 51, 52, 48 et 48 g/j dans les sous-populations A, B, C, D et E, respectivement. Ces valeurs sont en dessous de la recommandation d’apports en protéines pour toutes les sous-populations sauf la A.La quantité totale de protéines augmentait de 7%, 14%, 12%, 2% et 4% sous l’effet du modèle AcceptMax dans les sous-populations A, B, C, D et E, respectivement. Dans les modèles AcceptMaxAV, pour les plus de 65 ans, réduire les protéines animales en dessous de 55% et 60% (C et E respectivement) conduisait à des teneurs en protéines en dessous des recommandations. Pour les autres sous-populations, la part de protéines animales la plus faible compatible avec une diète nutritionnellement adéquate (y compris en protéines) était de 55%, 50% et 45% (A, B, et D respectivement).Conclusion:Cette étude fournit des informations factuelles pour aider à déterminer un rapport entre protéines animales et végétales compatible avec le respect de l’ensemble des recommandations nutritionnelles, et montre que celui-ci varie entre 45/55 et 60/40 selon les sous-populations adultes considérées

    Reply to F Mariotti et al.

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    International audienc

    Approximately half of total protein intake by adults must be animal-based to meet non-protein nutrient-based recommendations with variation due to age and sex

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    International audienceBackgroundShifting towards a more plant-based diet, as promoted in Western countries, will reduce the animal protein contribution to total proteins. Such a reduction may not only impair protein adequacy, but also the adequacy in other nutrients. ObjectivesWe determined, for different adult subpopulations, the minimum total protein level and the minimum animal protein contribution to total proteins that are compatible with the fulfillment of all non-protein nutrient-based recommendations. MethodsMean nutritional content and mean diet cost for 5 French subpopulations were estimated using a French cross-sectional representative survey: Women &lt; 50 years (A), Women 50–64 years (B), Women ≥ 65 years (C), Men &lt; 65 years (D), Men ≥ 65 years (E). For each subpopulation, linear programming optimization was used to assess the minimum protein level (Model Set#1) and the minimum animal protein contribution to total proteins (Model Set#2) that are compatible with the fulfilment of all nutrient-based recommendations (except proteins for which levels were analyzed as output). Total diet cost was not allowed to increase. Eating habits were considered in Model Set#2 only. Results The minimum amount of protein that was theoretically compatible with the fulfilment of nutrient-based recommendations (Model Set#1) was below the minimum recommended protein intake for all subpopulations except A. In Model Set#2, for women and men over 65 years (C and E), decreasing animal protein contribution to total proteins below 55% and 60% respectively led to protein levels below recommend levels. For the other subpopulations (A, B, and D), the lowest animal protein contribution to total proteins compatible with a nutritionally adequate diet (including protein adequacy) was 55%, 50% and 45%, respectively. ConclusionThis study provides factual information about the animal protein contribution to total proteins compatible with meeting all nutrient-based recommendations at no additional cost and shows that it varies between 45% and 60% depending on the group of adults considered

    La contribution des protéines animales aux apports totaux recommandés en protéines. Republication de l'étude publiée dans "The Journal of Nutrition" le 11 juillet 2022, vol. 152 (11): 2514-2525.

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    National audienceShifting towards a more plant-based diet, as promoted in Western countries, will reduce the animal protein contribution to total proteins. Such a reduction may not only impair protein adequacy, but also the adequacy in other nutrients. Using dietary data from a French, cross-sectional, representative survey, we determined for five French subpopulations (namely 1) women < 50 y; 2) women 50–64 y; 3) women ≥ 65 y; 4) men < 65 y; and 5) men ≥ 65 y), the minimum total protein level and the minimum animal protein contribution to total proteins that are compatible with the fulfilment of all nonprotein nutrient-based recommendations. For each subpopulation, linear programming optimization was used to assess the minimum protein level (model set #1) and the minimum animal protein contribution to total proteins (model set #2) compatible with the fulfilment of all nutrient-based recommendations (except proteins, for which levels were analysed as outputs). Total diet costs were not allowed to increase. Eating habits were considered in model set #2 only. The minimum amount of protein that was theoretically compatible with the fulfilment of nutrient-based recommendations (model set #1) was below the minimum recommended protein intake for all subpopulations except women < 50 y. In model set #2, for women and men ≥ 65 y, decreasing animal protein contributions to total proteins below 55% and 60%, respectively, led to protein levels below recommended levels. For the other subpopulations (women < 50 y, women 50–64 y, and men < 65 y), the lowest animal protein contributions to total proteins compatible with a nutritionally adequate diet (including protein adequacy) were 55%, 50%, and 45%, respectively.L'évolution vers une alimentation plus végétale, telle que préconisée dans les pays occidentaux, réduirait la contribution des protéines animales aux protéines totales. Une telle réduction pourrait compromettre l'adéquation nutritionnelle de l’alimentation, pas seulement pour les protéines, mais aussi pour les autres nutriments. Utilisant les données d'une enquête alimentaire transversale représentative de la population française, nous avons déterminé, pour 5 sous-populations adultes (i.e. : 1) femmes < 50 ans ; 2) femmes de 50 à 64 ans ; 3) femmes ≥ 65 ans ; 4) hommes < 65 ans ; 5) hommes ≥ 65 ans), le niveau minimal de protéines totales et la contribution minimale de protéines animales aux protéines totales compatibles avec le respect de toutes les recommandations d’apports en nutriments non protéiques. Pour chacune des 5 sous-populations, une optimisation (par programmation linéaire) de son régime moyen observé a été utilisée pour évaluer le niveau minimum de protéines (série de modèles # 1) et la contribution minimale des protéines animales aux protéines totales (série de modèles # 2) compatibles avec le respect de toutes les recommandations basées sur les nutriments (à l'exception des protéines, dont les niveaux ont été analysés a posteriori, en sortie des modèles. Les coûts totaux des régimes modélisés ne devaient pas augmenter par rapport aux régimes observés. Les habitudes alimentaires n'ont été prises en compte que dans l'ensemble de modèles # 2. La quantité minimale de protéines qui était théoriquement compatible avec le respect des recommandations nutritionnelles pour les autres nutriments (série de modèles #1) était inférieure à l'apport minimal recommandé en protéines pour toutes les sous-populations, à l'exception des femmes < 50 ans. Dans la série de modèles # 2, pour les femmes et les hommes de ≥ 65 ans, la diminution de la contribution des protéines animales aux protéines totales en dessous de 55% et 60%, respectivement, a conduit à des niveaux de protéines inférieurs aux niveaux recommandés. Pour les autres sous-populations (femmes < 50 ans, femmes de 50 à 64 ans et hommes < 65 ans), les contributions les plus faibles de protéines anim ales aux protéines totales compatibles avec une alimentation adéquate sur le plan nutritionnel (y compris l'adéquation protéique) étaient de 55%, 50% et 45%, respectivement

    Environmental trade-offs of meeting nutritional requirements with a lower share of animal protein for adult subpopulations

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    International audienceDecreasing the share of protein contributed by animal-based foods is recommended to move towards more sustainable and healthier diets. This study aimed to assess potential environmental impacts of diets with a lower share of animal protein. The diets were modeled to include the minimum share of animal protein in total protein that met nutrient requirements and did not increase costs. The new diets also minimized the difference in the quantity of food from those of observed (OBS) diets. They were modeled for five adult subpopulations (defined by sex and age) using mathematical optimization. The model was created by combining the INCA2 database (to model OBS diets in the French population) and a database of 207 food items to adjust nutritional and price parameters. All modeled diets satisfied nutritional and cost constraints. A low-animal-protein (LAP) diet was identified for each subpopulation by progressively decreasing the share of animal protein by steps of 5% until the recommended quantity of protein and/or consumption constraints were no longer satisfied. Potential environmental impacts of the LAP diets in eight impact categories were calculated using life cycle assessment (LCA) and life cycle inventories from Agribalyse® 3.0. A LAP diet for the entire population was calculated as a weighted mean of the subpopulations’ LAP diets. The share of animal protein decreased from 70% in the OBS diet to 50% in the LAP diet. Compared to the OBS diet, the LAP diet decreased five environmental impacts: climate change (greenhouse gas emissions), acidification (emissions of acidifying compounds) and land occupation (all by more than 30%), cumulative energy demand (by 23%) and marine eutrophication (by 13%). Conversely, it increased three environmental impacts: freshwater eutrophication and water use (both by ca. 40%) and biodiversity damage potential (potential loss of species associated with land use) (by 66%). These results suggest that decreasing the share of animal protein to 50% is compatible with nutritional requirements, affordability and consumption constraints, but would have mixed effects on the environment

    Datasets on the nutritional and environmental (including biodiversity) characteristics of food products consumed in France

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    Analysing the nutritional and environmental impacts of our current diets and promoting sustainable dietary shifts require quantified data on the characteristics of foods. We have jointly studied environmental and nutritional performances of more than 200 generic foods consumed in France, by combining and completing different databases. Several environmental issues calculated by Life Cycle Assessment (LCA) were selected, including impacts on biodiversity. This required to (1) model diets for given subpopulations; (2) adapt the LCA database of food products, Agribalyse 3.0, to link selected food and environmental inventories (3) compile characterization factors to assess impacts on biodiversity. Additionally, modifying Agribalyse 3.0 required to also modify the characterization method on Land Competition. This data paper compiles all the data used to obtain the results presented in the companion article entitled: Environmental trade-offs of fulfilling nutritionally adequacy with reduced animal protein share for French adult populations [1]; i.e. (i) the characterization methods used, (ii) the modifications made to Agribalyse 3.0 and (iii) the nutrient content and quantities consumed of generic foods (iv) the optimized quantities of simulated diets reaching nutrient recommendations with low share of animal-based proteins. It also comprises (iv) Life Cycle Impact Assessment for all Agribalyse 3.0 processes of food having a CIQUAL code (2,497 processes)
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