32 research outputs found

    Villevieille (30), Chemin du Mas Portalier : rapport de diagnostic.: L’extension urbaine antique rĂ©vĂ©lĂ©e au Chemin du Mas Portalier Ă  Villevieille

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    Le diagnostic motivĂ© par un projet de construction d’une habitation privative au Chemin du Mas Portalier Ă  Villevieille (30) s’inscrit dans un secteur gĂ©ographique riche de plusieurs indices d’occupations qui couvrent le NĂ©olithique jusqu’à l’époque moderne. La pĂ©riode gallo-romaine est grandement reprĂ©sentĂ©e puisque l’éperon rocheux oĂč se situe actuellement le centre-ville de Villevieille correspond Ă  une riche agglomĂ©ration secondaire de l’aire nĂźmoise, dĂ©jĂ  bien documentĂ©e par des opĂ©rations de diagnostic et de fouilles mais aussi par des dĂ©couvertes fortuites anciennes. L’exploration de cette parcelle situĂ©e en partie mĂ©ridionale du centre-ville actuel met en lumiĂšre une occupation ancienne, peut-ĂȘtre reprĂ©sentĂ©e par une structure circulaire (puits ?) repĂ©rĂ©e dans l’angle nord-est. Le mobilier recueilli est datĂ© entre le VIe et le IVe s. av. J.-C. Cette prĂ©sence peut faire Ă©cho au secteur dĂ©couvert plus Ă  l’ouest, Ă  l’emplacement du lotissement « La Costerelle » (HervĂ© et Houix 2002). La plupart des vestiges mis au jour montrent l’extension du tissu urbain au cours de la pĂ©riode comprise entre le milieu du Ier s. av. J.-C. et le milieu du IIe s. ap. J.-C. Quelques constructions utilisant un matĂ©riau mixte (terre et pierres) correspondent vraisemblablement Ă  une premiĂšre implantation qui bĂ©nĂ©ficie ensuite d’un agrandissement ou d’une rĂ©organisation spatiale (dĂšs l’époque augusto-tibĂ©rienne ?). Ce second Ă©tat s’accompagne d’une voirie globalement sud / nord, constituĂ©e de grandes dalles en remploi et donnant accĂšs aux propriĂ©tĂ©s s’étendant de part et d’autre. Concernant l’occupation qui se dĂ©veloppe Ă  l’ouest, les informations recueillies permettent d’identifier un espace dĂ©diĂ© Ă  la production vinicole ou olĂ©icole (une cuve, un pressoir et cinq dolia). La propriĂ©tĂ© situĂ©e sur le cĂŽtĂ© oriental s’étend sur une surface minimale de 800 mÂČ et se termine sensiblement au niveau de la limite parcellaire sud actuelle par un systĂšme de double murs ? Au nord, plusieurs piĂšces d’habitat rĂ©vĂšlent des sols bĂ©tonnĂ©s, dont certains ont Ă©tĂ© partiellement mosaĂŻquĂ©s (emblema), associĂ©s Ă  des peintures murales encore en place. Le plan de cette domus demeure toutefois incomplet et trop peu documentĂ© pour envisager une restitution plus aboutie. En l’état, il est possible d’envisager la prĂ©sence d’un jardin au sud tandis qu’une extension vers le nord correspondrait Ă  des espaces de service ou de stockage (cuisine ou cellier ?). Une rĂ©occupation ponctuelle de ce secteur suggĂšre la relative richesse du / des propriĂ©taire(s) par la prĂ©sence d’un fĂ»t de colonne en remploi. Une couche de terre argileuse (terre Ă  bĂątir rĂ©galĂ©e ?) qui fait sans doute office de sol marque un emplacement peut-ĂȘtre privilĂ©giĂ© par les personnes en charge de la rĂ©cupĂ©ration de matĂ©riaux aprĂšs l’abandon du site. Cette phase pourrait intervenir dĂšs le IIe s. ap. J.-C. puisqu’aucun Ă©lĂ©ment datant postĂ©rieur n’a Ă©tĂ© observĂ©

    Villevieille (30), Chemin du Mas Portalier : rapport de diagnostic.: L’extension urbaine antique rĂ©vĂ©lĂ©e au Chemin du Mas Portalier Ă  Villevieille

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    Le diagnostic motivĂ© par un projet de construction d’une habitation privative au Chemin du Mas Portalier Ă  Villevieille (30) s’inscrit dans un secteur gĂ©ographique riche de plusieurs indices d’occupations qui couvrent le NĂ©olithique jusqu’à l’époque moderne. La pĂ©riode gallo-romaine est grandement reprĂ©sentĂ©e puisque l’éperon rocheux oĂč se situe actuellement le centre-ville de Villevieille correspond Ă  une riche agglomĂ©ration secondaire de l’aire nĂźmoise, dĂ©jĂ  bien documentĂ©e par des opĂ©rations de diagnostic et de fouilles mais aussi par des dĂ©couvertes fortuites anciennes. L’exploration de cette parcelle situĂ©e en partie mĂ©ridionale du centre-ville actuel met en lumiĂšre une occupation ancienne, peut-ĂȘtre reprĂ©sentĂ©e par une structure circulaire (puits ?) repĂ©rĂ©e dans l’angle nord-est. Le mobilier recueilli est datĂ© entre le VIe et le IVe s. av. J.-C. Cette prĂ©sence peut faire Ă©cho au secteur dĂ©couvert plus Ă  l’ouest, Ă  l’emplacement du lotissement « La Costerelle » (HervĂ© et Houix 2002). La plupart des vestiges mis au jour montrent l’extension du tissu urbain au cours de la pĂ©riode comprise entre le milieu du Ier s. av. J.-C. et le milieu du IIe s. ap. J.-C. Quelques constructions utilisant un matĂ©riau mixte (terre et pierres) correspondent vraisemblablement Ă  une premiĂšre implantation qui bĂ©nĂ©ficie ensuite d’un agrandissement ou d’une rĂ©organisation spatiale (dĂšs l’époque augusto-tibĂ©rienne ?). Ce second Ă©tat s’accompagne d’une voirie globalement sud / nord, constituĂ©e de grandes dalles en remploi et donnant accĂšs aux propriĂ©tĂ©s s’étendant de part et d’autre. Concernant l’occupation qui se dĂ©veloppe Ă  l’ouest, les informations recueillies permettent d’identifier un espace dĂ©diĂ© Ă  la production vinicole ou olĂ©icole (une cuve, un pressoir et cinq dolia). La propriĂ©tĂ© situĂ©e sur le cĂŽtĂ© oriental s’étend sur une surface minimale de 800 mÂČ et se termine sensiblement au niveau de la limite parcellaire sud actuelle par un systĂšme de double murs ? Au nord, plusieurs piĂšces d’habitat rĂ©vĂšlent des sols bĂ©tonnĂ©s, dont certains ont Ă©tĂ© partiellement mosaĂŻquĂ©s (emblema), associĂ©s Ă  des peintures murales encore en place. Le plan de cette domus demeure toutefois incomplet et trop peu documentĂ© pour envisager une restitution plus aboutie. En l’état, il est possible d’envisager la prĂ©sence d’un jardin au sud tandis qu’une extension vers le nord correspondrait Ă  des espaces de service ou de stockage (cuisine ou cellier ?). Une rĂ©occupation ponctuelle de ce secteur suggĂšre la relative richesse du / des propriĂ©taire(s) par la prĂ©sence d’un fĂ»t de colonne en remploi. Une couche de terre argileuse (terre Ă  bĂątir rĂ©galĂ©e ?) qui fait sans doute office de sol marque un emplacement peut-ĂȘtre privilĂ©giĂ© par les personnes en charge de la rĂ©cupĂ©ration de matĂ©riaux aprĂšs l’abandon du site. Cette phase pourrait intervenir dĂšs le IIe s. ap. J.-C. puisqu’aucun Ă©lĂ©ment datant postĂ©rieur n’a Ă©tĂ© observĂ©

    BOXCARS-geometry 2DES setup in the 300-340nm range with pulse-to-pulse phase correction at 50kHz

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    A 40-nm broad pulse centred at 320nm is produced from an amplified Yb-doped fiber laser operated at 50kHz, and used in a BOXCARS geometry setup for 2DES, with shot-to-shot monitoring of the relative optical phase stability

    Habitat use and sex-specific foraging behaviour of Adélie penguins throughout the breeding season in Adélie Land, East Antarctica

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    International audienceBackground: Marine predators are ecosystem sentinels because their foraging behaviour and reproductive successreflect the variability occurring in the lower trophic levels of the ecosystem. In an era of environmental change,monitoring top predators species can provide valuable insights into the zones of ecological importance that needto be protected. In this context, we monitored the AdĂ©lie penguin (Pygoscelis adeliae) as a bio-indicator nearDumont d’Urville, an area of the East Antarctic sector currently being considered for the establishment of a MarineProtected Area (MPA), using GPS-based tracking tags during the 2012/13 austral summer breeding season.Results: The habitat use and foraging areas of the penguins differed by breeding stage and sex and were stronglyassociated with patterns in bathymetry and sea-ice distribution. The first trips, undertaken during the incubationphase, were longer than those during the guard phase and were associated with the northern limit of the sea-iceextent. During the guard phase, birds strongly depended on access to a polynya, a key feature in Antarctic marineecosystem, in the vicinity of the colony. The opening of the ice-free area was synchronous with the hatching ofchicks. Moreover, a sex-specific use of foraging habitat observed only after hatching suggests sex-specificdifferences in the diet in response to intra-specific competition.Conclusions: Sea-ice features that could be affected by the climate change were important factors for the use offoraging habitat by the AdĂ©lie penguins. The extent of the foraging area observed in this study is congruent withthe area of the proposed MPA. However, both penguin behavior and their environment should be monitoredcarefully

    Activating FcÎłR function depends on endosomal-signaling platforms

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    Summary: Cell surface receptor internalization can either terminate signaling or activate alternative endosomal signaling pathways. We investigated here whether endosomal signaling is involved in the function of the human receptors for Fc immunoglobulin fragments (FcRs): FcαRI, FcγRIIA, and FcγRI. All these receptors were internalized after their cross-linking with receptor-specific antibodies, but their intracellular trafficking was different. FcαRI was targeted directly to lysosomes, while FcγRIIA and FcγRI were internalized in particular endosomal compartments described by the insulin responsive aminopeptidase (IRAP), where they recruited signaling molecules, such as the active form of the kinase Syk, PLCγ and the adaptor LAT. Destabilization of FcγR endosomal signaling in the absence of IRAP compromised cytokine secretion downstream FcγR activation and macrophage ability to kill tumor cells by antibody-dependent cell-mediated cytotoxicity (ADCC). Our results indicate that FcγR endosomal signaling is required for the FcγR-driven inflammatory reaction and possibly for the therapeutic action of monoclonal antibodies
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