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    Sex Differences in the Behavioral and Synaptic Consequences of a Single in vivo Exposure to the Synthetic Cannabimimetic WIN55,212-2 at Puberty and Adulthood

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    Heavy cannabis consumption among adolescents is associated with significant and lasting neurobiological, psychological and health consequences that depend on the age of first use. Chronic exposure to cannabinoid agonists during the perinatal period or adolescence alters social behavior and prefrontal cortex (PFC) activity in adult rats. However, sex differences on social behavior as well as PFC synaptic plasticity after acute cannabinoid activation remain poorly explored. Here, we determined that the consequences of a single in vivo exposure to the synthetic cannabimimetic WIN55,212-2 differently affected PFC neuronal and synaptic functions after 24 h in male and female rats during the pubertal and adulthood periods. During puberty, single cannabinoid exposure (SCE) reduced play behavior in females but not males. In contrast, the same treatment impaired sociability in both sexes at adulthood. General exploration and memory recognition remained normal at both ages and both sexes. At the synaptic level, SCE ablated endocannabinoid-mediated synaptic plasticity in the PFC of females of both ages and heightened excitability of PFC pyramidal neurons at adulthood, while males were spared. In contrast, cannabinoid exposure was associated with impaired long-term potentiation (LTP) specifically in adult males. Together, these data indicate behavioral and synaptic sex differences in response to a single in vivo exposure to cannabinoid at puberty and adulthood

    Fatal drug poisonings in a Swedish general population

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    ABSTRACT: BACKGROUND: Pharmaceutical drug poisonings have previously been reported using single sources of information, either hospital data or forensic data, which might not reveal the true incidence. We therefore aimed to estimate the incidence of suspected fatal drug poisonings, defined as poisonings by pharmaceutical agents, by using all relevant case records from various sources in a Swedish population. METHODS: Every seventh randomly selected deceased in three counties in southeastern Sweden during a one-year period was identified in the Cause of Death Register. Relevant case records (death certificates, files from hospitals and/or primary care centres and medico-legal files) were reviewed for all study subjects. RESULTS: Of 1574 deceased study subjects, 12 cases were classified as pharmaceutical drug poisonings according to the death certificates and 10 according to the medico-legal files. When reviewing all available data sources, 9 subjects (0.57%; 95% confidence interval: 0.20-0.94%) were classified as drug poisonings, corresponding to an incidence of 6.5 (95% confidence interval: 2.3-10.7) per 100 000 person-years in the general population. The drug groups most often implicated were benzodiazepines (33%), antihistamines (33%) and analgesics (22%). CONCLUSIONS: Fatal drug poisonings is a relatively common cause of death in Sweden. By using multiple sources of information when investigating the proportion of fatal poisonings in a population, more accurate estimates may be obtained.Original Publication:Anna Jonsson, Olav Spigset, Micaela Tjäderborn, Henrik Druid and Staffan Hägg, Fatal drug poisonings in a Swedish general population., 2009, BMC clinical pharmacology, (9), 7, 1-5.http://dx.doi.org/10.1186/1472-6904-9-7Licensee: BioMed Centralhttp://www.biomedcentral.com

    Prescription de chlorhydrate de méthylphénidate : la vigilance s'impose

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    Le chlorhydrate de méthylphénidate (MPH) est un dérivé de la phénéthylamine classé comme stimulant du système nerveux central. Il agit essentiellement en augmentant la biodisponibilité de la dopamine au niveau de son récepteur post-synaptique. Le MPH est commercialisé en France sous une forme à libération immédiate (Ritaline®^\circledR) et sous deux formes à libération prolongée (Ritaline®^\circledR LP, Concerta®^\circledR LP). Ses indications sont (i) le traitement du trouble d'hyperactivité avec déficit de l'attention (THADA) et (ii) le traitement de la narcolepsie avec ou sans cataplexie chez l'adulte et l'enfant de plus de six ans. Le MPH est inscrit sur la liste des stupé ants et sa prescription doit être effectuée sur ordonnance sécurisée limitée à 28 jours. Il est également soumis à une prescription initiale hospitalière annuelle. Parmi ses effets secondaires gure le risque d'abus et de dépendance. Ces comportements s'observent soit dans un contexte récréatif, en général chez des étudiants, soit chez des patients traités pour un THADA, et s'inscrivent souvent dans un contexte de polyconsommation. Il convient cependant de prendre en compte le fait que le THADA constitue en lui même un facteur de risque de toxicomanie. Sur le plan analytique, le MPH et son métabolite, l'acide ritalinique, sont identifiables et dosables dans le sang et l'urine par chromatographie en phase gazeuse couplée à la spectrométrie de masse, ainsi que par chromatographie en phase liquide couplée à la spectrométrie de masse ou à la masse tandem, cette dernière technique étant actuellement retenue par la majorité des auteurs

    Mise en évidence du dopage par la Nandrolone (aspects pré-analytiques et analytiques)

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    AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    La soumission chimique (des victimes sous silence )

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    AIX-MARSEILLE2-BU Pharmacie (130552105) / SudocSudocFranceF

    Dépistage biologique de la consommation de substances psychoactives en milieu professionnel (enjeux techniques, déontologiques et éthiques)

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    L'altération des performances psychomotrices engendrée par la consommation de substances psychoactive génère des risques d'accidents pour les salariés ou des tiers. Ce risque est d'autant plus élevé que le salarié occupe un poste dit à risque . Cette notion floue d'un point de vue juridique vise en fait les postes à haut degré de vigilance, essentiellement représentés par la conduite ou la manipulation d'engins à moteur. De ce fait, les problématiques rencontrées quant à la mise en œuvre technique des contrôles biologiques ainsi que leurs interprétation rejoingnet celles liées à la conduite automobile sous l'influence de substances psychoactives, alors que les enjeux réglementaires et éthiques investissent plus spécifiqument le champ de la médecine du travail. Le dépistage biologie des substances illicites en France, notamment le dépistage salivaire, suscite depuis une dizaine d'années bien des débats: qui doit faire ce test? Est-il réellement fiable? Quelle est la liste des molécules et médicaments à dépister?Même si aujourd'hui le dépistage urinaire est encore très utilisé par la médecine du travail en raison de son coût et de sa fiabilité, le caractère simple du test salivaire, les progrès constants des scientifiques et depuis peu, le positionnement du CCNE en sa faveur, conduisent vers une généralisation de celui-ci. Bien que les recommandations pour la pratique clinique, très attendues dans ce domaine, permettent de nous éclairer sur la conduite à tenir devant les consommations de substances psychoactives en milieu professionnel, de nombreuses interrogations restent encore en débat actuellement.AIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF

    Mécanismes de la redistribution post-mortem des xénobiotiques : le point sur l'état actuel des connaissances

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    Les concentrations des molécules obtenues à partir d'échantillons post-mortem ne sont pas forcément le reflet des concentrations au moment du décès. Ces concentrations post-mortem peuvent varier soit en fonction des différents sites de prélèvement, soit en fonction du délai entre le décès et la réalisation des prélèvements. Ces phénomènes ont été regroupés sous le terme de redistribution post-mortem. Les mécanismes présidant à ces phénomènes de redistribution sont complexes et multifactoriels. Ils dépendent en premier lieu de l'évolution des phénomènes cadavériques. En période post-mortem précoce, certains organes, qualifiés “d'organes réservoirs” peuvent relarguer les xénobiotiques concentrés avant le décès. Il s'agit essentiellement du tractus gastro-intestinal, du foie, des poumons ou du myocarde. La lyse cellulaire et plus tardivement la putréfaction favorisent également les phénomènes de redistribution. Le profil physico-chimique et pharmacocinétique des xénobiotiques semble être également un facteur déterminant, mais ces aspects sont moins bien connus. La seule certitude actuelle repose sur le fait que les molécules lipophiles à large volume de distribution subissent d'importants phénomènes de redistribution. L'étude de la littérature montre cependant que cette explication est largement insuffisante pour de nombreuses molécules. D'autre part, l'éventualité de la poursuite du métabolisme de certaines molécules en période postmortem immédiate doit être envisagée. D'un point de vue pratique, il est impératif de pouvoir disposer de prélèvements autopsiques multiples afin de limiter les difficultés d'interprétation et d'approcher les mécanismes présidant à ces phénomènes de redistribution. Enfin, nous pensons qu 'il est nécessaire de quantifier les variations observées, vraisemblablement sous forme de pourcentage, afin d'harmoniser l'interprétation de ces phénomènes
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