63 research outputs found

    Aspects of nutrition and reproduction in Siganus guttatus with emphasis on applications to aquaculture

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    Terminal report to the Aquaculture Department, SEAFDEC. This study was conducted as part of the collaboration program between the SEAFDEC Aquaculture Department and the government of France.The rabbitfish Siganus guttatus, one of the common species in Philippine waters is being studied at the Aquaculture Department of the Southeast Asian Fisheries Development Center (SEAFDEC) in Iloilo, Philippines for eventual mass seed production. Several problems were encountered in the rearing of this species in the hatchery. One of those suspected was egg quality. This study was conducted to investigate the problem. At the start of the study, the orientation was to improve the feeding management of the broodstock, and to monitor variables strictly dependent on the parents: maturation, spawning frequency, fertilization rates, egg diameter, hatching rates, normality of larvae. Subsequently, the quality of the larvae was investigated using variables such as size at hatching, speed of yolk resorption and early growth. The later part of the study included feeding of broodstocks with formulated experimental diets and rearing the larvae produced. On the whole, this investigation included several aspects of the biology of S. guttatus and provides information on nutrition, growth and reproduction, with emphasis on their applications to aquaculture

    Exemple des effets du climat sur la production de moules

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    Contribution du Laboratoire Conchylicole de Poitou Charente (LCPC) au programme national sur les MORtalités ESTivales (MOREST) de l'hußtre creuse Crassostrea gigas. Résumé des principales actions menées en 2001

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    Au cours de l’annĂ©e 2001, dans le cadre de la premiĂšre annĂ©e du programme national Morest sur les mortalitĂ©s estivales d’huĂźtres creuses, Crassostrea gigas, le laboratoire conchylicole du Poitou-Charentes a Ă©tĂ© amenĂ© Ă  travailler sur plusieurs opĂ©rations : les diffĂ©rents types de mortalitĂ©, leur caractĂ©risation sur les trois sites ateliers du programme (Baie des Veys, riviĂšre d’Auray et banc de Perquis dans le sud du bassin de Marennes), la caractĂ©risation des familles gĂ©nĂ©tiques produites en Ă©closerie et la cinĂ©tique de mortalitĂ© sur le site de Fouras : secteur de captage traditionnel dans le bassin de Marennes. Enfin, des tests ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s sur les naissains produits en Ă©closerie afin de tenter des trouver un indicateur physiologique de leur rĂ©sistance

    Mais de quels apports s'agit-Il?

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    Eléments de connaissance sur la mortalité et la reproduction de la moule bleue (Mytilus edulis) sur la façade atlantique

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    Ce document s’inscrit dans le cadre de la problĂ©matique des mortalitĂ©s de moules bleues sur les cĂŽtes françaises depuis l’hiver 2014. Il a Ă©tĂ© conçu comme une contribution aux projets Morbleu (projet de recherche) et Mytilobs (observatoire national sur les traits de vie de la moule). D’un point de vu historique, depuis le dĂ©but du 20Ăšme siĂšcle, le principale « ennemi » de la moule reste la mĂ©tĂ©o et en particulier, les tempĂȘtes. Une seule crise de mortalitĂ©, majeure, est survenue en 1960-61 dans le pertuis Breton. Elle rĂ©sulte d’une interaction entre le parasite mytilicola intestinalis et des conditions drastiques d’élevage sur bouchots dans la baie de l’Aiguillon. L’évaluation des mortalitĂ©s de moules est difficile du fait des pratiques d’élevage et des pertes qui en rĂ©sultent. Lorsque la crise survient en 2014, l’investigation scientifique s’appuie Ă  la fois sur des dĂ©clarations (professionnels), des constats (DDTMs), des saisines (Repamo) et des mesures (rĂ©seau Mytilobs). L’intensitĂ© des mortalitĂ©s, variable selon les sites et les annĂ©es (2014 et 2015) est comparĂ©e Ă  un rĂ©fĂ©rentiel de mortalitĂ©s issu d’un rĂ©seau rĂ©gional de suivi des mortalitĂ©s de moules en paniers (Remoula, 2000-2010). En fĂ©vrier 2014, les mortalitĂ©s surviennent dans le pertuis Breton et s’étendent en quelques mois vers le sud (pertuis d’Antioche) et vers le Nord (CĂŽte de Noirmoutier et Baie de Bourgneuf). Les simulations hydrodynamiques montrent la connectivitĂ© spatio-temporelle entre le site d’émergence des mortalitĂ©s et les sites touchĂ©s quelques semaines plus tard. Alors qu’il existe plusieurs gĂ©nomes de Mytililus edulis et des populations hybrides (entre Mytililus edulis et Mytilus galloprovincialis) sur les cotes de la France, seul le gĂ©nome Mytililus edulis de la cote atlantique semble au dĂ©part concernĂ© par ces mortalitĂ©s. La quasi simultanĂ©itĂ© d’occurrence d’épisodes de mortalitĂ©s de moules en Rade de Brest (en hiver 2014), et sur les gisements profonds de la cote Est du Cotentin (dĂšs le printemps 2014) reste aujourd’hui une Ă©nigme scientifique. Lorsque les mortalitĂ©s surviennent en 2014 et lors de leur reprise en 2015, les moules sont en pĂ©riode de reproduction. Ce rapport synthĂ©tise Ă©galement des rĂ©sultats acquis sur la reproduction de Mytilus edulis sur la cote atlantique (Arcachon et Pertuis Charentais)

    RĂ©seau national d’observation de la moule bleue Mytilus edulis, MYTILOBS / Campagne 2015

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    Le rĂ©seau national Mytilobs est implantĂ© dans les principales rĂ©gions mytilicoles du littoral atlantique : Normandie, Bretagne Nord, Bretagne Sud, Pays de Loire et Poitou-Charentes. Les sites d’Agon (Ouest Cotentin), du Vivier (baie du Mont Saint-Michel), de Pont MahĂ© (baie de Vilaine), de l’Aiguillon et des RouliĂšres (pertuis Breton), d’Yves et de Boyard (pertuis d’Antioche) reprĂ©sentent l'Ă©levage sur bouchot du Nord au Sud. Le site FiliĂšre (pertuis Breton) reprĂ©sente l’élevage sur corde, en pleine eau. La mise Ă  l’eau des cheptels sur l’ensemble des sites du rĂ©seau, en septembre 2014, s’est faite Ă  partir d’un mĂȘme lot de moules calibrĂ©es (25,54 +/- 0,7mm), captĂ©es sur corde dans la baie d’Yves. Les prĂ©lĂšvements trimestriels de la campagne 2015 (septembre 2014 - dĂ©cembre 2015) sont renforcĂ©s par un suivi mensuel entre octobre et juillet. Les mesures de biomĂ©trie et les comptages de mortalitĂ© sont effectuĂ©s Ă  chaque sortie. Les points RouliĂšres et Boyard renforcent l’expertise du « phĂ©nomĂšne mortalitĂ© » apparu en 2014. Des prĂ©lĂšvements histologiques (n=1300) et en cryologie (n=1200) ont renforcĂ© un travail de collaboration Ă©tabli avec le projet Morbleu. La campagne Mytilobs 2015 est marquĂ©e par la forte croissance en longueur des moules durant l’automne 2014. Par contre, la croissance des moules sur FiliĂšre est exceptionnellement faible au cours des printemps et automne 2015 avec respectivement -60% et -53% (rĂ©fĂ©rences rĂ©seau REMOULA 2000-2010). Ces faibles performances sur FiliĂšre peuvent ĂȘtre reliĂ©es aux deux pics de mortalitĂ© des printemps et automne 2015 sur ce site. L’évolution du poids sec au travers l’indice scientifique de Walne et Mann rĂ©vĂšle une ponte importante sur le site FiliĂšre en juin 2015, mais Ă©galement sur Pont MahĂ© et le Vivier. Les indices de qualitĂ© requis pour la commercialisation des moules sont atteints en juin (STG) dans les principales rĂ©gions de France suivi par Mytilobs et en juillet sur le Vivier (Label Rouge baie du Mont Saint Michel). Le suivi environnemental indique que les apports des fleuves n’ont pas le caractĂšre exceptionnel de l’hiver 2014, mais la salinitĂ© confirme la typologie des sites : euryhalins (Baie de Vilaine, pertuis charentais) et ocĂ©aniques (Agon et Vivier). En fin d’hiver, la tempĂ©rature enregistre un retard de 3 semaines pour atteindre 10°C, tempĂ©rature rĂ©fĂ©rence au-dessous de laquelle les mortalitĂ©s (2014 et 2015) ne sont pas apparues. Comme au cours de la campagne Mytilobs 2014, deux familles d’algues phytoplanctoniques : les Diatomophyceae et les Dinophyceae reprĂ©sentent prĂšs de 99% de l’effectif dĂ©nombrĂ©. Parmi les 5 saisons Ă©tudiĂ©es, les automnes 2014 et 2015 sont les pĂ©riodes de l’annĂ©e oĂč les concentrations algales disponibles sont environ 10 fois plus faibles que durant les autres pĂ©riodes. Un rĂ©fĂ©rentiel sur les mortalitĂ©s de la moule bleue a Ă©tĂ© Ă©tabli Ă  partir des donnĂ©es de mortalitĂ© du rĂ©seau REMOULA (2000-2010). Entre 0% et 22%, les mortalitĂ©s sont classĂ©es comme « habituelles » ; entre 22% et 34% elles deviennent « inhabituelles » ; supĂ©rieures Ă  34%, elles sont dites « exceptionnelles ». Seules les mortalitĂ©s de moules sur les sites FiliĂšre (51%) et RouliĂšres (38%) du pertuis Breton sont classĂ©es comme « exceptionnelles » en 2015. En 2014 les mortalitĂ©s de la plupart des sites mytilicoles des pertuis charentais Ă©taient « exceptionnelles ». Les mortalitĂ©s sont « inhabituelles » sur les sites de Boyard (23%) et d’Aiguillon (22%) et « habituelles » sur Agon (corrigĂ© de la prĂ©dation par les perceurs) (20%), Pont MahĂ© (18%), Yves (14%), Le Vivier (9%). En 2015, des analyses histologiques ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es entre fĂ©vrier et juillet pour : l’étude de maturation sexuelle, la recherche de parasites et l’identification de granulomes inflammatoires sur des sites contrastĂ©s en mortalitĂ©s (FiliĂšre, RouliĂšres, Yves, Pont MahĂ© et Vivier). Outre l’absence de Marteilia refringens, la prĂ©sence de Mytilicola intestinalis est confirmĂ©e sur tous les sites notamment Yves (50%) et Le Vivier (70%). L’étude des stades de maturation des moules sur les diffĂ©rents sites du rĂ©seau montre que la maturation sexuelle a bien lieu entre mars et juin 2015. En 2015 les mortalitĂ©s les plus fortes apparaissent sur FiliĂšre et RouliĂšres en avril et en mai alors que les moules sont en gamĂ©togĂ©nĂšse active, avant la pĂ©riode de ponte principale. Une observation centrĂ©e sur la pĂ©riode fĂ©vrier-juillet a mis en Ă©vidence la prĂ©sence de granulomes inflammatoires. Dans le cas des pertuis charentais (FiliĂšre et RouliĂšres) cette prĂ©sence concorde avec le phĂ©nomĂšne de mortalitĂ©s « exceptionnelles » de moules pour lequel des bactĂ©ries pathogĂšnes du groupe Splendidus semblent bien impliquĂ©es

    Caractérisation des mortalités de C. gigas dans leurs écosystÚmes. Rapport du thÚme I du projet Morest en 2004

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    L'objectif de ce thÚme est de préciser les relations entre Mortalités et Environnement, en déclinant cette relation à travers les "risques environnementaux" caractérisés depuis le début du programme MOREST. La température, les bassins versant et/ou l'eau douce, la ressource trophique, le compartiment sédimentaire, autant de facteurs impliqués directement ou indirectement dans les processus de mortalité. Ces facteurs d'influence "externes" sont étudiés à différentes échelles d'espace (du national au régional) et de temps (Interannuel à saisonnier) en s'appuyant à la fois sur des données issues de bases institutionnelles (REMORA, REPHY, METEO-FRANCE) mais également sur les résultats de terrain observés depuis le début du programme MOREST sur les 3 sites ateliers (Marennes-Oléron, RiviÚre d'Auray, Baie des Veys

    L'ombrine subtropicale ... une espĂšce pour l'aquaculture de demain ...

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    L'aquaculture en Martinique commence dans les années 1970 avec le transfert technologique de l'élevage de la chevrette : Macrobrachium rosenbergii. Au début des années 1980, le CNEXO en collaboration avec une association régionale (ADAM) travaille aux Antilles à la sélection d'espÚces tropicales de poissons. Cette étude s'inserre alors dans un programme international de sélection d'espÚces tropicales, coordonné par le Centre Océanologique du Pacifique. En début d'année 1987, aprÚs une étude prospective d'investigation aux USA, L'IFREMER Martinique initie le programme d'étude de la mise au point technique de l'élevage de l'ombrine en conditions intensives ..

    Summer mortality of Crassostrea gigas (Thunberg) in relation to environmental rearing conditions

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    International audienceThe purpose of this study is to investigate summer mortality of the cupped oyster, Crassostrea gigas, in relation to culture practices in the traditional oyster production region of Marennes-Oléron (France). Four oyster rearing conditions, varying culture location ("on-" or "off-bottom"), and site depth (65% to 80% daily immersion termed "deep" or 45% to 65%, termed "shallow") were studied to compare biologic performance and maturation status of oysters, in relation to sediment and water column parameters. The most severe mortality occurred in June to July in "on-bottom" reared oysters (25%), as compared with 10% mortality in "off-bottom" cultured oysters. Oysters (shell and meat) grew significantly better when reared "off-bottom" than "on-bottom." Reproductive effort was almost double in "off-bottom" reared oysters, compared with those "on-bottom"; thus, reproduction cannot be directly related to mortality in this summer mortality event. Low glycogen content recorded for both "on" and "off-bottom" reared oysters in summer, confirmed the probable lack of food and/or the overstocking in the Marennes-Oléron Bay, but did not discriminated among culture conditions. Whatever the immersion depth ("deep" or "shallow" conditions), "on-bottom" cultured oysters were adversely affected in growth, reproductive effort, and survival suggesting a direct effect of the mud (the so called "mud effect") on the biologic performance of oysters cultured on the bottom. Data from monitoring of sediment redox potential, organic content, and ammonium release did not support hypotheses that these parameters were alone responsible for the observed differences in mortality events
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