142 research outputs found

    Jean-Jacques Pauvert

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    Pour le cinéma

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    The site of discourse

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    The author aims to determine whether speech and place are associated and bases his study on two examples - the church, especially the place occupied over the centuries by the pulpit before introduction of the printed word, and the café in 19th-century French towns. In both instances, freely pronounced improvised speech gradually adapts itself to a single source, preacher's manuals in churches and the written press in the café. Speech thus becomes a commentary on a text. It implicitly refers to this text and conforms to the logics of its argumentation. There is displacement from the site to discourse. Place simply serves to validate or increase the legitimacy of discourse which originates in a text.Y-a-t-il complicité entre une parole et un lieu ? Pour répondre, l'auteur prend deux exemples : l'église, et plus particuliÚrement l'emplacement de la chaire, au cours des siÚcles précédents l'imprimé, et le café dans la ville du XIXe siÚcle. Dans les deux cas, la parole librement énoncée, improvisée va progressivement s'adapter à une source unique : les manuels des prédicateurs d'une part, la presse d'autre part. Ainsi la parole se fera commentaire d'un texte, s'y référant implicitement, se conformant à la logique de son argumentation. Un déplacement s'effectue ainsi entre le lieu et le propos, le lieu ne vient que valider, donner plus de légitimité, à une parole dérivée d'un texte

    Bibliolenteur

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    Qui dit « lenteur » Ă  un libraire s’entend rĂ©pondre immĂ©diatement « Milan Kundera ». En effet, le romancier d’origine tchĂšque a publiĂ© en 1995 un roman, le premier qu’il ait Ă©crit directement en français, intitulĂ© justement La lenteur (Paris, Gallimard). Ce bref texte entremĂȘle les destins de deux personnages de siĂšcles diffĂ©rents, un contemporain qui se rend dans un chĂąteau Ă  un colloque d’entomologiste et un libertin du XVIIIe siĂšcle, Vivant Denon. La lenteur protĂšge la mĂ©moire, c’est dire ..

    Henri Maldiney

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    Le tourisme sexuel, destinations rĂȘvĂ©es et rĂ©elles


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    François Maspero

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    Tom Wolfe

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    Villes, architecture et santé

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    Dans la plupart des langues, l’on se salue en se souhaitant une « bonne santé Â». Je crois qu’au Maroc l’on dit « be seha ! », non ? La santé est considérée comme un bienfait. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, celle-ci est ainsi définie : « La santé est un état de complet de bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. La possession du meilleur état de santé qu’il est capable d’atteindre constitue l’un des droits fondamentaux de tout être humain (...) » À partir de décembre 2019, l’humanité tout entière a été entièrement désorganisée et en partie confinée à cause d’un virus, invisible à l’Ɠil nu, plus connu sous le nom de « Covid-19 ». Cette zoonose nous révèle au moins trois réalités : primo, que nos sociétés sûres de leurs appareillages techniques sont finalement fragiles ; secundo, que les mégalopoles connaissent une diffusion rapide de la pandémie et tertio, que celle-ci est dorénavant planétaire. Ainsi à la définition de l’OMS il convient d’ajouter comme condition de ce « bien-être », la santé du milieu dans lequel et avec lequel les humains vivent. C’est ce que l’écoféministe américaine Judith Butler constate dans Quel monde vivons- nous ? (Seuil, 2023) : « Ce sens de l’interdépendance du monde, renforcé par une situation immunologique commune, met au défi l’idée que nous avons de nous-mêmes : des individus isolés, enchâssés dans des corps discrets, clos et bornés par des frontières établies. (...) En ces temps de pandémie, l’air, l’eau, l’abri, les vêtements et l’accès aux soins de santé sont des lieux d’inquiétude individuelle et collective Â». Avec les récentes inondations, les tempêtes, les incendies, les séismes, les risques naturels s’invitent dans la marche même des sociétés. Impossible de les oublier et d’en sous-estimer les effets sur l’habitabilité de la planète

    Bibliolenteur

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    Qui dit « lenteur » Ă  un libraire s’entend rĂ©pondre immĂ©diatement « Milan Kundera ». En effet, le romancier d’origine tchĂšque a publiĂ© en 1995 un roman, le premier qu’il ait Ă©crit directement en français, intitulĂ© justement La lenteur (Paris, Gallimard). Ce bref texte entremĂȘle les destins de deux personnages de siĂšcles diffĂ©rents, un contemporain qui se rend dans un chĂąteau Ă  un colloque d’entomologiste et un libertin du XVIIIe siĂšcle, Vivant Denon. La lenteur protĂšge la mĂ©moire, c’est dire ..
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