17 research outputs found

    Reasoning about Communicating Agents in the Semantic Web

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    Abstract. In this article we interpret the Semantic Web and Web Service issues in the framework of multi-agent interoperating systems. We will advocate the application of results achieved in the research area of reasoning about actions and change by showing scenarios and techniques that could be applied.

    Atténuation du cuivre à la confluence d'une rivière impactée par le drainage acide dans la région centrale du Chili : couplage des processus physiques et chimiques

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    International audienceThe dynamics of neutralization of acid drainage in river confluences plays a key role in the attenuation of metals. In this work, we address the natural attenuation of Cu in a river confluence in the upper Mapocho watershed. This watershed hosts one of the largest known copper reserves and it is also a source of drinking water for Santiago, Chile. The chemistry controlling the formation of precipitates has been addressed previously. However, properties determining the physical fate of particles, like particle size distribution (PSD), have seldom been addressed concurrently with metal speciation. We studied the confluence between the Yerba Loca River, an acidic river with high Cu concentrations and the San Francisco River. We used laser in-situ scatter transmissometry along with hydrochemical measurements to study particle assemblages formed at the confluence. A geochemical thermodynamic model was used in combination with an estimation of floc settling velocities to contrast the theoretical Cu removal by sorption, precipitation and settling, with the observed Cu attenuation for different hydrological scenarios. Our results highlight key interactions between hydrological, hydrochemical and hydrodynamic processes controlling metal mobility in river confluences receiving acid drainage. This knowledge is relevant to evaluate future scenarios of metal mobility in copper-enriched Andean watersheds with urban development and mining activity in a context of climate change

    Utilisation des traceurs géochimiques pour déterminer les sources de contaminants particulaires. OSR4 | Action IV.1

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    L’action IV.1 du programme OSR-4 est destinée à tester différentes approches géochimiques pour évaluer les sources de matières en suspension à l’échelle du fleuve Rhône. L’objectif principal est d’estimer l’origine des MES et des contaminants associés, ainsi que les contributions relatives en MES des différents affluents. Ces méthodes géochimiques sont différentes et indépendantes de celle développée à partir du réseau de suivi MES (flux particulaire, Action III.1), et la complémentarité de ces évaluations permet une réelle intercomparaison des résultats.Deux approches distinctes ont été menées pour déterminer l’origine des MES à partir des concentrations en éléments traces et majeurs. La première consistait à utiliser le jeu de données remarquable de concentrations en éléments traces métalliques totaux obtenus sur les différents affluents du Rhône depuis la mise en place du programme OSR. Les mesures ont été faites dans ce cas sur la totalité du matériel particulaire. Les approches mathématiques sur ce jeu de données montrent qu’il est possible de définir des teneurs moyennes par affluents permettant de différencier un grand nombre de ceux-ci par des signatures géochimiques. Ces signatures ont été utilisées pour évaluer les contributions de ces affluents à la quantité de MES qui passent à Arles, et ce à l’échelle des cinq ans de suivi. Les proportions obtenues sont très cohérentes avec les autres approches et sont présentées ici.La seconde approche visait à utiliser les concentrations en éléments traces et majeurs dans la fraction « résiduaire » ou « non réactive » des MES. Il s’agit ici de pouvoir estimer plus précisément si possible l’origine des MES à l’échelle de l’échantillon ponctuel. Cette approche, effectuée sur un nombre restreint d’échantillons, a montré qu’il était possible de tracer l’origine des MES sur le Haut Rhône mais aussi à la confluence entre la Saône et le Rhône pour des échantillons ponctuels prélevés en régime de base, de crue ou de chasse hydrosédimentaire. La détermination de l’origine des MES à l’exutoire du Rhône à Arles à partir de cette méthode n’a pas encore été validée pour cause d’un manque de données sur des termes sources. Toutefois, la première approche basée sur les teneurs totales peut suffire dans un premier temp

    Reasoning about self and others: communicating agents in a modal action logic

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    Abstract. We propose an approach to reasoning about conversation protocols within the framework of a logic-based agent language. We show how to embed a theory of communicative actions in the framework of a modal logic of action and beliefs, to specify software agents that, situated in a multi-agent environment, can interact with one another by a speech act based communication mechanism. Agents have their own local beliefs on the world and on the other agents mental state. Complex communicative behaviors can be specified as conversation protocols, and agents can reason on the belief dynamics caused by communications, before committing to a given interaction.

    Utilisation des traceurs géochimiques pour déterminer les sources de contaminants particulaires. OSR4 | Action IV.1

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    L’action IV.1 du programme OSR-4 est destinée à tester différentes approches géochimiques pour évaluer les sources de matières en suspension à l’échelle du fleuve Rhône. L’objectif principal est d’estimer l’origine des MES et des contaminants associés, ainsi que les contributions relatives en MES des différents affluents. Ces méthodes géochimiques sont différentes et indépendantes de celle développée à partir du réseau de suivi MES (flux particulaire, Action III.1), et la complémentarité de ces évaluations permet une réelle intercomparaison des résultats.Deux approches distinctes ont été menées pour déterminer l’origine des MES à partir des concentrations en éléments traces et majeurs. La première consistait à utiliser le jeu de données remarquable de concentrations en éléments traces métalliques totaux obtenus sur les différents affluents du Rhône depuis la mise en place du programme OSR. Les mesures ont été faites dans ce cas sur la totalité du matériel particulaire. Les approches mathématiques sur ce jeu de données montrent qu’il est possible de définir des teneurs moyennes par affluents permettant de différencier un grand nombre de ceux-ci par des signatures géochimiques. Ces signatures ont été utilisées pour évaluer les contributions de ces affluents à la quantité de MES qui passent à Arles, et ce à l’échelle des cinq ans de suivi. Les proportions obtenues sont très cohérentes avec les autres approches et sont présentées ici.La seconde approche visait à utiliser les concentrations en éléments traces et majeurs dans la fraction « résiduaire » ou « non réactive » des MES. Il s’agit ici de pouvoir estimer plus précisément si possible l’origine des MES à l’échelle de l’échantillon ponctuel. Cette approche, effectuée sur un nombre restreint d’échantillons, a montré qu’il était possible de tracer l’origine des MES sur le Haut Rhône mais aussi à la confluence entre la Saône et le Rhône pour des échantillons ponctuels prélevés en régime de base, de crue ou de chasse hydrosédimentaire. La détermination de l’origine des MES à l’exutoire du Rhône à Arles à partir de cette méthode n’a pas encore été validée pour cause d’un manque de données sur des termes sources. Toutefois, la première approche basée sur les teneurs totales peut suffire dans un premier temp

    Utilisation des traceurs géochimiques pour déterminer les sources de contaminants particulaires. OSR4 | Action IV.1

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    L’action IV.1 du programme OSR-4 est destinée à tester différentes approches géochimiques pour évaluer les sources de matières en suspension à l’échelle du fleuve Rhône. L’objectif principal est d’estimer l’origine des MES et des contaminants associés, ainsi que les contributions relatives en MES des différents affluents. Ces méthodes géochimiques sont différentes et indépendantes de celle développée à partir du réseau de suivi MES (flux particulaire, Action III.1), et la complémentarité de ces évaluations permet une réelle intercomparaison des résultats.Deux approches distinctes ont été menées pour déterminer l’origine des MES à partir des concentrations en éléments traces et majeurs. La première consistait à utiliser le jeu de données remarquable de concentrations en éléments traces métalliques totaux obtenus sur les différents affluents du Rhône depuis la mise en place du programme OSR. Les mesures ont été faites dans ce cas sur la totalité du matériel particulaire. Les approches mathématiques sur ce jeu de données montrent qu’il est possible de définir des teneurs moyennes par affluents permettant de différencier un grand nombre de ceux-ci par des signatures géochimiques. Ces signatures ont été utilisées pour évaluer les contributions de ces affluents à la quantité de MES qui passent à Arles, et ce à l’échelle des cinq ans de suivi. Les proportions obtenues sont très cohérentes avec les autres approches et sont présentées ici.La seconde approche visait à utiliser les concentrations en éléments traces et majeurs dans la fraction « résiduaire » ou « non réactive » des MES. Il s’agit ici de pouvoir estimer plus précisément si possible l’origine des MES à l’échelle de l’échantillon ponctuel. Cette approche, effectuée sur un nombre restreint d’échantillons, a montré qu’il était possible de tracer l’origine des MES sur le Haut Rhône mais aussi à la confluence entre la Saône et le Rhône pour des échantillons ponctuels prélevés en régime de base, de crue ou de chasse hydrosédimentaire. La détermination de l’origine des MES à l’exutoire du Rhône à Arles à partir de cette méthode n’a pas encore été validée pour cause d’un manque de données sur des termes sources. Toutefois, la première approche basée sur les teneurs totales peut suffire dans un premier temp
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