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    Technology and physico-chemical characteristics of Bikalga, alkaline fermented seeds of Hibiscus sabdariffa

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    Bikalga is a product of traditional alkaline fermentation of Hibiscus sabdariffa used as food condiment in African countries including Burkina Faso. Its production process was studied at different productionsites of Burkina Faso where the different steps of the technology were recorded, specific diagram of production of each production site was established and a general flow diagram proposed. The changesin pH throughout the fermentation was measured and the proximate composition of unfermented and fermented seeds was determined. The presence of minerals in both unfermented and fermented seedswas also determined by spectrophotometry. The production of Bikalga involves many steps with the most important being cleaning, cooking (with addition of alkalinizing ash leachate), fermentations, steaming and drying. During the process, pH increased with cooking and fermentation (pH 8 - 9), then decreased mainly with steaming and drying (pH 6 in some cases). The studied raw seeds were composed of 28.69 ± 1.15% of crude proteins, 21.93 ± 0.74% of crude lipids, 26.39 ± 1.03 % ofcarbohydrates and the fermented seed showed 26.47 ± 1.5 for proteins 23.19 ± 1.25 for crude lipids and 13.7 ± 0.62 for carbohydrates. An increase of moisture and ash content as well as total titratable and fatacidity occurred with the fermentation. Variable minerals were detected in the seeds with an outstanding increase (in some cases) of potassium and a pronounced increase of sulphur, sodium and calcium in the final product

    Aperçu de la culture du voandzou (Vigna subterranea (L.) Verdcourt) au Burkina Faso: enjeux et perspectives d’amélioration de sa productivité

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    Le voandzou constitue avec le niébé, les deux principales légumineuses alimentaires pour de nombreuses populations rurales et la frange pauvre des citadins au Burkina Faso. Cependant, des informations émanant de l’environnement de production de cette culture selon la perception des producteurs sont quasi inexistantes. Cette étude vise à s’informer au mieux des réalités sociales, environnementales et techniques qui entourent la production de cette culture. Les données collectées auprès des producteurs à l’aide des fiches d’enquêtes ont été soumises à une analyse fréquentielle. La culture du voandzou est pratiquée majoritairement par les femmes sur des petites superficies sans apport de fertilisants. Les maladies foliaires et les insectes de stock constituent les principales contraintes biotiques. Les producteurs conservent la semence dans des bidons fermés hermétiquement. Le cycle moyen des variétés cultivées est de 90 jours. La variété préférée est celle de couleur crème à hile blanc pour ses qualités organoleptiques, agronomiques et esthétiques. Le manque de sensibilisation sur la qualité nutritionnelle de la culture, l’insuffisance d’activités de recherche sur les techniques innovantes pour améliorer son système de production et les contraintes biotiques et abiotiques expliquent en grande partie la faible productivité et production de cette culture.© 2016 International Formulae Group. All rights reserved.Mots clés: Culture, Voandzou, Burkina Faso, productivitéEnglish Title:  Overview of the culture of bambara groundnut (Vigna subterranea (L.) Verdcourt) in Burkina Faso : Issues and prospects for improving its productivityEnglish AbstractBambara groundnut is, with cowpea, the two main food legumes for many rural and poor urban fringes in Burkina Faso. However, information from the production environment of this culture as perceived by  producers is almost nonexistent. This study aims at collecting information about social, environmental and technical realities surrounding the production of this crop. The data collected from producers using survey forms were subjected to a frequency analysis. Bambara groundnut cultivation is mainly practiced by women on small areas without adding fertilizers. Foliar diseases and insects in stock are major biotic constraints. Producers retain the seed in cans tightly closed. The average cycle of cultivated varieties is 90 days. The favorite variety is the cream-colored white hilum for its organoleptic, agronomic and aesthetic qualities. Lack of awareness on the nutritional quality of culture, the lack of research on innovative techniques to improve its production system and the biotic and abiotic constraints largely explain the low productivity and production of this crop.© 2016 International Formulae Group. All rights reserved.Keywords: Culture, Bambara groundnut, Burkina Faso, productivit

    L'apport de l’inventaire des aires classées et protégées dans la connaissance de la diversité végétale du Burkina Faso

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    L’inventaire floristique du Burkina Faso est loin d’être clos. Les récentes investigations floristiques ont permis de recenser un grand nombre d’espèces qui n’avaient jamais été mentionnées sur la liste floristique nationale. Une partie de ces espèces sont d’ailleurs guinéocongolaises. Cet inventaire a concerné les aires classées et protégées situées dans le secteur Sudsoudanien. Les richesses floristiques se retrouvent concentrées dans ces aires classées et protégées car ce sont des formations qui jouissent d’une relative bonne gestion par rapport aux autres aires non protégées qui ont été fortement dégradées par l’homme. L’objectif de cette communication est de donner les informations issues de ces différentes investigations sur l’état de connaissance de la diversité végétale du Burkina Faso avec un accent particulier sur le mode de gestion et les utilisations de quelques espèces de la zone sud soudanienne

    Détermination d’une couche superficielle de sol favorable au transfert du Trichloréthylène (TCE) vers l’atmosphère

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    L’intérêt de cet article est de montrer qu’il existe une couche superficielle dans la zone non saturée du sol à l’intérieur de laquelle les mécanismes de transport du trichloréthylène (TCE) vers l’atmosphère sont favorables. En prenant en compte dans un modèle de simulation certains paramètres clés du sol déterminés expérimentalement, on a pu non seulement montrer que les effets hygroscopiques modifient le comportement du TCE mais aussi et surtout que ces mécanismes de transfert sont plus favorables dans une couche limite qu’on a appelée couche superficielle. Les résultats montrent clairement que les transferts sont plus importants dans une couche limite du sol au de-là de laquelle ce transfert s’amenuise. En d’autres termes, l’atmosphère ambiante influence les mécanismes d’évaporation par l’intermédiaire de la température et de l’humidité relative lorsque celui-ci se trouve dans la couche dite couche superficielle. En revanche, cette influence de l’atmosphère ambiante se réduit à mesure que le TCE s’infiltre en profondeur. Au de-là de 0,8 mètre de profondeur, le milieu ambiant semble jouer un rôle moins important et les mécanismes d’atténuation naturelles sont d’avantage très faibles favorisant ainsi la persistance du TCE dans le sol.Mots-clés : couche superficielle, trichloréthylène, transfert, sol, atténuation naturelle

    Capital humain des femmes et utilisation de la biomasse verte : Ă©vidence de l'Afrique subsaharienne

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    Ce mémoire analyse les facteurs déterminants de l’utilisation de la biomasse verte en Afrique subsaharienne (ASS), particulièrement en Ouganda et en Éthiopie. Pour ce faire, l’étude se focalise sur l’aspect endogène du capital humain avec comme proxy l’éducation. En effet, la littérature existante occulte le caractère endogène de l’éducation qui pourrait biaiser les résultats. Les données utilisées proviennent des Enquêtes démographiques et sanitaires (EDS) 2015-2016 pour l’Ouganda, et 2008 pour l’Éthiopie. Afin d’éliminer tout biais lié à la non-prise en compte du caractère endogène de l’éducation, nous nous basons sur la variabilité de la participation à l’école introduite par la réforme au niveau du primaire dans ces deux pays. Nos résultats confirment la majorité des études empiriques en montrant que l’éducation a un effet positif sur le choix de la biomasse verte comme source d’énergie. Ces résultats rappellent l’importance de faire de l’éducation des filles un instrument de politique publique pour faire face aux enjeux climatiques en Afrique

    Régénération assistée du karité (Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn.) dans les parcs agroforestiers au Burkina Faso

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    Le karité (Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn.) présente une importance sociale, culturelle, économique et alimentaire pour le Burkina Faso où il occupe la quatrième place dans les produits d’exportation. La pérennité de cette espèce dont les populations rurales sont tributaires, est compromise par de multiples phénomènes dont le manque de régénération, les pratiques culturales et la coupe abusive du bois pour satisfaire les besoins énergétiques. L’objectif de cette étude est de proposer des méthodes adéquates pour rajeunir les parcs à karité au Burkina Faso. Cinq sites de recherche ont été choisis suivant un gradient phytogéographique : Sobaka, Noumoudara et Kakoumana (secteur sud soudanien), Gonsé (secteur nord soudanien) et Bouria (secteur sub sahélien). Les essais effectués dans chaque parcelle choisie, ont comporté trois répétitions et 7 traitements, représentés par les différentes techniques de régénération (plantation, transplantation, semis direct libre, semis dans les buissons, régénération naturelle assistéeRNA-, induction de drageon, induction de pousse adventive). Les résultats indiquent que le taux de survie de la régénération naturelle assistée est audessus de 70% après deux années de suivi. Les plantations et les semis directs dans les buissons sont aussi des techniques efficaces pour la régénération/restauration des parcs à karité, avec respectivement des taux de survie de 13,33% et 6,67% dans le secteur sub sahélien, 12,22% et 6% dans le nord soudanien, et 55,56% et 25,33% dans le sud soudanien après la troisième année de suivi. En conclusion, la régénération assistée est la technique la plus efficiente pour restaurer les parcs à karité. The Shea (Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn.) is of enormous social, cultural, economic and nutritional importance for Burkina Faso where it ranks fourth in exports. The sustainability of this species on which rural populations depend is compromised by multiple phenomena, including the lack of regeneration of shea tree and the abusive cutting of wood to meet energy needs. This work aimed to propose adequate methods for rejuvenating shea parkland in Burkina Faso. Five sites distributed along a phytogeographic gradient were selected for tests : Sobaka, Noumoudara and Kakoumana (South-Sudanian phytogeographic zone), Gonsé (NorthSudanian phytogeographic zone) and Bouria (sub-Sahelian phytogeographic zone). The field trials included three repetitions by regeneration technique (planting, transplanting, direct sowing free, sowing in bushes and assisted natural regeneration -ANR-, sucker induction, induction of adventitious growth). The results indicate that the survival rate of assisted natural regeneration is above 70% after two years of follow-up. Planting and direct seeding in bushes are also effective techniques for the regeneration / restoration of shea tree parks with respectively survival rates of 13.33% and 6.67% in the sub sahelian sector, 12.22% and 6% in north sudanian, and 55.56% and 25.33% in south sudanian, after the third year of monitoring. In conclusion, in order to restore the shea parks, all seedlings regardless of their origins, will need to be assisted i

    Potentialités agroforestières de Maranthes polyandra (Benth.) Prance au sud-ouest du Burkina Faso

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    Objectif: Le maintien d’arbres et d’arbustes dans les champs, en association avec les cultures est certes lié à leur utilité alimentaire, médicinale, mais aussi à leurs aptitudes à améliorer la fertilité des sols. Des observations ont révélé une flore ligneuse abondante qui pousse préférentiellement au pied de Maranthes polyandra (Benth.) Prance. Elles ont suscité l’hypothèse que M. polyandra a des propriétés agro-écologiques intéressantes. L’objectif de l’étude est d’évaluer les relations entre M. polyandra et les propriétés physiques et chimiques du sol.Méthodes et résultats: La quantité de litière foliaire sous le houppier de M. polyandra a été collectée et pesée. Des échantillons de sol ont été prélevés sous le houppier et hors du houppier de M. polyandra pour des analyses physico-chimiques. Les mêmes travaux ont été réalisés à titre comparatif avec Vitellaria paradoxa C.F.Gaertn., qui est une espèce agroforestière connue.La quantité moyenne de litière foliaire sous M. polyandra est de 28,82 ± 16,08 kg par individu contre 5,92 ± 3,07 kg pour V. paradoxa. Nous avons trouvé des teneurs significativement plus élevées en carbone total, en azote total, en phosphore total, en potassium total et en somme des bases échangeables sous M. polyandra, comparativement à V. paradoxa. Les paramètres de texture sont significativement meilleurs pour le sol sous houppier de M. polyandra.Conclusion et application des résultats: Ce travail à permis d’étudier les relations entre M. polyandra et les propriétés physiques et chimiques du sol. Il a montré que l’espèce a un potentiel à améliorer la fertilité physique et chimique du sol. Maranthes polyandra pourrait être adoptée comme espèce agroforestière pour améliorer la fertilité du sol. Au Burkina Faso, plus de la moitié des terres sont pauvres en matière organique, en phosphore et en azote. Ces niveaux bas constituent la contrainte majeure pour la production agricole. Ainsi, M. polyandra pourrait être adoptée comme espèce agroforestière pour améliorer la fertilité du sol en plus de son exploitation pour l’alimentation et comme bois d’énergie ; Cela pourrait constituer une raison supplémentaire pour sa conservation.Mots clés: Agroforesterie, Maranthes polyandra, Fertilité du sol, Burkina Faso, Domestication, ConservationEnglish Title: Agroforestry potentials of Maranthes polyandra (Benth.) Prance in the south-west of Burkina FasoEnglish AbstractObjective: Maintaining trees and shrubs in fields in association with crops is linked to their use as food, firewood and pharmacopoeia, but also to their ability to improve physicochemical properties of soils. Observations revealed the presence of many plant species that grow preferentially at the foot of Maranthes polyandra (Benth.) Prance. These observations led to the hypothesis that M. polyandra has interesting agroecological properties. The objective of the study is to assess the relationship between M. polyandra and the physical and chemical properties of soil.Method and Results. The leaf litter under the crown of M. polyandra was collected and weighed. Soil samples were collected under the crown and outside the crown of M. polyandra for physicochemical analyses. The same work was carried out with Vitellaria paradoxa C.F. Gaertn. which is a known agroforestry species.The litter under M. polyandra is 28.82 ± 16.08 kg per individual plant compared to 5.92 ± 3.07 kg for V. paradoxa. Physicochemical analysis of the soil revealed, higher contents of organic carbon, total nitrogen, total phosphorus, total potassium and values in the sum of exchangeable bases under M. polyandra compared withthose obtained under V. paradoxa. These texture parameters are significantly better for the soil under crowns of M. polyandra.Conclusion and application of results: This work studied the relations between M. polyandra and the physical and chemical properties of the soil. It has shown that the species has potential to improve the physical and chemical fertility of the soil. Maranthes polyandra could be adopted as an agroforestry specie to improve soil fertility by its ability to enhance organic matter, phosphorus, nitrogen and potassium of the soils. In Burkina Faso, more than half of the land is poor in organic matter, in phosphorus and in nitrogen. This low levels are the major constraint for agricultural production. Thus, M. polyandra can be used to improve soils fertility in addition to its exploitation as food and firewood. This may be an additional reason for its conservation.Keywords: Agroforestry, Maranthes polyandra, Soil fertility, Burkina Faso,Domestication, Conservatio

    Medicinal Plants used in the Treatment of Hepatitis in BoboDioulasso: Studying the Availability and Analyzing the Phytochemical Properties of Combretum micranthum G. Don and Entada africana Guill. et Perr.

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    This paper focuses on studying the inventory of the medicinal plants used in hepatitis care in Bobo-Dioulasso and evaluating their availability in local vegetation and their phytochemical properties. To achieve this objective, several approaches were developed which include: (1) an ethnobotanical survey among 111 traditional health practitioners (THP); (2) a dendrometric study to evaluate the abundance and spatial distribution of these species in Dindérésso Classified Forest; and (3) an evaluation of polyphenolic compounds and antioxidant activity of the two most quoted species roots using three methods such as anti-DPPH*, anti-FRAP, and antiABTS. The results show that Entada africana and Combretum micranthum were the most quoted species among 40 species used in the treatment of liver disease. The availability study revealed that juvenile and adult individuals of E. africana are frequent in woody savannah, shrubby savannah, and grassy savannah. As for juvenile and adult C. micranthum individuals, they are only frequent in wooded savannah (RI<60%). These populations are therefore declining due to anthropogenic pressure. Phytochemical analysis reveal polyphenols contents of 37.91 and 20.71 mg EAG/100 mg respectively for C. micranthum and E. africana and flavonoids contents of 0.85 ± 0.09 and 0.66 ± 0.05 mg EQ/100 mg respectively for C. micranthum and E. africana. Finally, the results show that there is an anti-oxidant activity for the two species. There were about 198 and 13 μmol EAA/g for the two species i.e., ABTS and DPPH, respectively. The results show that the antioxidant activity could partially justify the traditional use of this plant

    Survie et performances de croissance des pintadeaux en milieu contrôlé au nord du Burkina Faso

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    Au Burkina Faso, les pintadeaux connaissent une très forte mortalité liée à des causes multifactorielles, et leur vitesse de croissance reste encore méconnue par les techniciens, tant de la recherche que du développement. Cette étude vise à évaluer les performances de croissance et le taux de mortalité des pintadeaux dans les conditions d’élevage améliorées. Le maximum du poids des oeufs incubés est compris dans la catégorie de 40-45 g. Les de mensurations des oeufs ont révélé une longueur moyenne de 47,4 ± 1,428 mm et 38,65 ± 1,08 mm en moyenne pour le grand diamètre. Le taux de mortalité a été de 9,10%, 7,00% et 9,80%  respectivement chez le producteur I, II et III avec une moyenne de 8,63%. Le poids vifs des pintadeaux à l’éclosion est de 26,59 ± 2,77 g pour les deux sexes. Pour les femelles, il est de 27,69 ± 2,18g et de 25,48 ± 3,35 g pour les mâles. La courbe de croissance des femelles est largement au dessus de celle des mâles. Les pintadeaux femelles ont un GMQ de 2,84 g et les pintadeaux mâles de 2,27 g pendant les deux premières semaines. Le Gain Moyen Quotidien est de 3,78 g pendant les quatre mois. Le test révèle un effet positif du protocole sur la mortalité des pintadeaux.Mots-clés : Pintadeaux, mortalité, croissance, Burkina Faso

    Présentations de l’adénite tuberculeuse de la tête et du cou au CHU de Bobo- Dioulasso, Burkina Faso

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    Les ganglions de la tête et du cou sont parmi les localisations les plus fréquentes de la tuberculose, un problème de santé publique dans le monde. Une étude rétrospective conduite entre 2001 et 2010 rapporte les caractéristiques épidémiologiques et cliniques de l'adénite tuberculeuse de la tête et du cou, au CHU Sanou Souro, au Burkina Faso. Au total, 115 patients ont été observés dont l'âge était compris entre 2 ans et 64 ans (moyenne 31,46 ans). Il y avait 53 patients de sexe masculin (46,1%) et 62 de sexe féminin (53,9%). Un pic de fréquence de 39,8 % était observé entre 30 et 39 ans. Les adénopathies cervicales étaient multiples chez 96,5% des patients et abcédées chez 30%. Elles étaient associées à des adénopathies extra cervicales chez 16,6% des patients. Chez 83,4% des patients, il a été noté un ou plusieurs signes à type d'asthénie et ou d'amaigrissement (70,8%), de fièvre 25% ou de toux (20,8%). L'infection associée la plus fréquente était celle par le VIH, observée chez 43,3% des patients. Les résultats de cette étude commandent la recherche systématique de l'infection par le VIH chez tout patient porteur d'adénite cervicale tuberculeuse dans un contexte de double endémicité de la tuberculose et de l'infection à VIH.Key words: Adénite, Tête et cou, Tuberculose, VI
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