34 research outputs found
Le sanctuaire de Mar Girios al-Azraq à Yanouh : notes préliminaires
Nordiguian Lévon. Le sanctuaire de Mar Girios al-Azraq à Yanouh : notes préliminaires. In: Topoi, volume 9/2, 1999. pp. 579-594
Chapelles médiévales de Kfour al-Aarbi (pays de Batroun)
The article presents and analyzes three medieval chapels of Kfour el-Aarbi, a village located in the upper valley of Nahr Joz, in the district of Batroun in Lebanon. The ruins of Mar Elias and Mar Doumit offer the example of a church with two naves and two transversely paired apses, one belonging to the Greek Orthodox and the other to the Maronites. Saydet Saqi, now mostly buried under rubble, probably had three naves with traces of murals in the apses; it was probably a monastic chapel. Mar Girios is a relatively well-preserved rupestrian church nestled in the rocky escarpment that dominates the village to the north. It is formed of four vaulted bays which end on the east with an apse hidden by an iconostasis wall. Its function is difficult to identify: was it a hermitage or a place of pilgrimage?L’article présente et analyse trois chapelles médiévales de Kfour el-Aarbi, village situé dans la haute vallée de du Nahr Joz, dans le district de Batroun au Liban. Les ruines de Mar Elias et Mar Doumit nous offre l’exemple d’une église à deux nefs et deux absides transversalement jumelées, l’une appartenant aux grecs-orthodoxes l’autre aux maronites. Saydet Saqi, en grande partie ensevelie sous les décombres, avait probablement trois nefs avec des traces de peintures murales dans les absides. Il s’agissait probablement d’une chapelle monastique. Mar Girios est en revanche une installation rupestre relativement bien conservée et nichée dans l’escarpement rocheux qui domine le village au nord. Elle est formée de quatre travées voûtées d’arête qui se terminent à l’est par une abside cachée par un mur d’iconostase. Sa fonction est difficile à préciser : ermitage ou lieu de pèlerinage
Saint-Élie de Deir khouna dans le Mont Liban
Deir Khouna est un petit hameau situé sur le versant septentrional de la vallée du Nahr Metn, juste en contrebas du bourg de Ras el-Matn (Fig. I). D'après Ibrahim al-Assouad, il comportait au début du XXe siècle 100 habitants grecs-orthodoxes2, essentiellement de la famille Abou Rjeilé3. L'huile d'olive constituait alors la principale production. Progressivement dépeuplé par ses habitants, il fut entièrement saccagé au tout début de la guerre civile du Liban en 19754. La chapelle Saint-Élie, qui domine les quelques habitations du village, avait subi le même sort quant à son mobilier intérieur (Fig. 2). Son mur de chevet est étonnement tourné vers le nord-est, alors que généralement les églises sont bien orientées, avec une marge d'erreur négligeables. Sa structure extérieure, presque intacte, présente un aspect massif (L : II, 50 m, I : 7,85 m), sans aucun élément saillant, semblable en tout point aux nombreuses chapelles rurales de la montagne libanaise. Elle s'en distingue cependant par son plan intérieur qui offe une disposition assez caractéristique pour un petit groupe de chapelles, formant ainsi un type à part. Dans la majorité des cas en effet, I 'espace intérieur de ces édifices mononefs est formé de deux travées voûtées d'arêtes, portées par trois paires de piliers, quatre placés aux angles et les deux autres au milieu des murs latérau
Le temple de Marjiyyat (Chhîm) à la faveur de nouvelles fouilles
Nordiguian Lévon. Le temple de Marjiyyat (Chhîm) à la faveur de nouvelles fouilles. In: Topoi, volume 7/2, 1997. pp. 945-964
Deir el-Qalaa : un sanctuaire rural près de Beyrouth
International audienc
L'Ă©glise de Maad et ses inscriptions
Chausson François, Nordiguian Lévon. L'église de Maad et ses inscriptions. In: Syria. Tome 73 fascicule 1-4, 1996. pp. 37-46