37 research outputs found

    Non-parametric liquidity-adjusted VaR model: a stochastic programming approach

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    This paper proposes a Stochastic Programming (SP) approach for the calculation of the liquidity-adjusted Value-at-Risk (LVaR). The model presented in this paper offers an alternative to Almgren and Chriss’s mean-variance approach (1999 and 2000). In this research, a two-stage stochastic programming model is developed with the intention of deriving the optimal trading strategies that respond dynamically to a given market situation. The sample paths approach is adopted for scenario generation. The scenarios are thus represented by a collection of simulated sample paths rather than the ‘tree structure’ usually employed in stochastic programming. Consequently, the SP LVaR presented in this paper can be considered as a non-parametric approach, which is in contrast to Almgren and Chriss’s parametric solution. Initially, a set of numerical experiments indicates that the LVaR figures are quite similar for both approaches when all the underlying financial assumptions are identical. Following this sanity check, a second set of numerical experiments shows how the randomness of the different types (i.e., Bid and Ask spread) can be easily incorporated into the problem due to the stochastic programming formulation and how optimal and adaptive trading strategies can be derived through a two-stage structure (i.e., a ‘recourse’ problem). Hence, the results presented in this paper allow the introduction of new dimensionalities into the computation of LVaR by incorporating different market conditions.Liquidity adjusted Value at Risk (LVaR); Liquidation Cost; Stochastic programming; Optimal trading strategy; Non-parametric approach; Sample paths.

    Non-parametric liquidity adjusted VaR model: A stochastic programming approach

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    This paper proposes a Stochastic Programming (SP) approach for the calculation of the Liquidity adjusted Value at Risk (LVaR). The model presented in this paper offers an alternative to Almgren and Chriss’s mean-variance approach (1999 and 2000). In this research, a two-stage stochastic programming model is developed with the intention of deriving the optimal trading strategies that respond dynamically to a given market situation. The sample paths approach is adopted for scenario generation. The scenarios are thus represented by a collection of simulated sample paths rather than the “tree structure ” usually employed in stochastic programming. Consequently, the SP LVaR presented in this paper can be considered as a non-parametric approach, which is in contrast to Almgren and Chriss’s parametric solution. Initially, a set of numerical experiments indicates that the LVaR figures are quite similar for both approaches when all the underlying financial assumptions are identical. Following this sanity check, a second set of numerical experiments shows how the randomness of the different types (e.g., Bid and Ask spread) can be easily incorporated into the problem due to the stochastic programming formulation and how optimal and adaptive trading strategies can be derived through a two-stage structure (i.e., a “recourse ” problem). Hence, the results presented in this paper allow the introduction of new dimensionalities into the computation of LVaR b

    Fusion des bourses : analyse de cas

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    Dans le cadre de mon travail de Bachelor, je vais tenter de dĂ©terminer les raisons et consĂ©quences des importantes fusions actuelles entre bourses historiques mondiales. Les bourses, reprĂ©sentĂ©es par leurs diffĂ©rents indices, reprĂ©sentent le niveau actuel de l’économie des pays par le biais des nombreuses sociĂ©tĂ©s y Ă©tant cotĂ©es. Le regroupement des activitĂ©s entre bourses traditionnelles s’est dessinĂ© avec pour objectif de contrer la nouvelle concurrence, apparue suite Ă  la nouvelle directive sur les marchĂ©s financiers (MIFID), autorisant les institutions financiĂšres comme les banques Ă  dĂ©velopper leurs propres systĂšmes de plates-formes d’échanges Ă  travers le globe. Suite Ă  la directive, des centaines de nouvelles places d’échanges ont vu naissance, diminuant fortement les quasi-monopoles des bourses classiques. L’évolution de la technologie informatique ainsi qu’un positionnement de coĂ»ts divers rĂ©duits pour les investisseurs, a permis aux nouveaux concurrents Ă©voluant dans moins de transparence, de grappiller de nombreuses parts de marchĂ©s aux bourses traditionnelles. Durant le courant de cette annĂ©e, de nombreux groupes boursiers ont tentĂ© de fusionner afin de regrouper leurs activitĂ©s pour faire face Ă  la nouvelle concurrence. Les stratĂ©gies de diversification ou de spĂ©cialisation des activitĂ©s s’avĂšrent dĂ©cisives pour la croissance des groupes boursiers. En effet, des projets entre Singapour et Sydney, Londres et Toronto, ainsi que New York et Francfort pour ne citer que les plus importants accords possibles, ont vu naissance et font lieu d’une analyse approfondie dans la suite de mon rapport. De nombreuses questions se posent quant aux raisons des regroupements actuels de plusieurs groupes boursiers, ainsi que les consĂ©quences probables pour le marchĂ© financier et ses acteurs. Il en rĂ©sulte que la pĂ©riode actuelle d’acquisition-fusion entre grands acteurs boursiers est loin d’ĂȘtre finie et s’intensifiera durant ces prochaines annĂ©es Ă©tant donnĂ© les pressions Ă©conomiques actuelles. Les entitĂ©s boursiĂšres tendent Ă  se regrouper dans un but d’etendre leurs activitĂ©s, leurs parts de marchĂ©s et de diminuer leurs coĂ»ts. Il est vrai que de s’allier avec un partenaire stratĂ©gique dans cette actuelle derniĂšre dĂ©cennie de fusion semble quasi-nĂ©cessaire, malgrĂ© les difficultĂ©s Ă  obtenir par la suite les accords des actionnaires et surtout des autoritĂ©s des pays concernĂ©s

    Fonds indiciels traditionnels ou Exchange traded fund, quel investissement passif choisir ?

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    Constatant que les gĂ©rants actifs avaient de grandes difficultĂ©s Ă  atteindre leurs objectifs, les clients, tant privĂ©s qu’institutionnels, se sont tournĂ©s de plus en plus vers la gestion passive, et ce dĂšs le dĂ©but des annĂ©es septante. Si le choix de son vĂ©hicule d’investissement passif Ă©tait aisĂ© par le passĂ© puisqu’il n’existait que le fonds indiciel, cette dĂ©cision d’investissement se rĂ©vĂšle ĂȘtre plus difficile de nos jours Ă  cause de l’émergence de relatifs nouveaux venus : les Exchange Traded Fund (ETFs). Nous avons donc dĂ©cidĂ© de mener la prĂ©sente Ă©tude afin de dĂ©terminer lequel de ces deux produits est le plus avantageux pour un investisseur. L’étude a Ă©tĂ© menĂ©e en deux phases, premiĂšrement, nous nous sommes intĂ©ressĂ©s aux diffĂ©rences qualitatives des produits. Nous avons donc Ă©valuĂ© les risques spĂ©cifiques de chaque produit, leur structuration
 Dans un deuxiĂšme temps, nous avons composĂ© un certain nombre de paires d’ETFs et de fonds indiciels que nous avons comparĂ©s avec leur indice respectif. Nous sommes finalement arrivĂ©s Ă  la conclusion qu’aucun des deux produits ne surpassait l’autre en termes de qualitĂ© intrinsĂšque ou de rĂ©plication. Nous avons par contre constatĂ© que le fonds indiciel Ă©tait moins cher que l’ETF. Cette diffĂ©rence expliquant Ă  elle seule la survivance des fonds indiciels aux ETFs qui, eux, prĂ©sentent un avantage certain en termes de flexibilitĂ© d’usage. Nous recommandons donc de « faire au plus simple », c'est-Ă -dire utiliser un fonds indiciel traditionnel si l’investissement est traditionnel (stratĂ©gie buy and hold par exemple) et de n’utiliser les ETFs que s’il n’est pas possible de faire autrement

    Alpha or Not Alpha: The Case of the Hedge Fund Industry

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    Since the Markowitz mean-variance framework of 1952 and the subsequent discoveries of the CAPM and the APT, finance researchers have always strived to produce a reference performance measure adjusted for risk. With such a measure, any supplemental return would be denominated as “alpha”. But is this nectar real? How reliable is it when it comes to individual hedge funds and funds of hedge funds? Risk does not just measure variability. Volatility and correlations are certainly reductive. Investors are not necessarily lognormal. Leptokurtosis exists and market frictions prevail. On top of that, the existence of alpha is intimately related to its benchmark and the latter is particularly delicate in the hedge fund industry. This paper addresses the topic by reviewing the related research and challenging its results and the relevance of the existing pricing models when it comes to hedge funds and funds of hedge funds.info:eu-repo/semantics/publishe

    Modification du secret bancaire suisse et compétitivité du secteur financier

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    Le secret bancaire suisse, malgrĂ© son inscription dans l’article 47 de la Loi fĂ©dĂ©rale sur les banques et les caisses d’épargne, n’est pas une donnĂ©e immuable, mais un processus changeant, comme le dĂ©montre l’histoire. Tributaire des fluctuations, s’adaptant en fonction des crises et des conjonctures Ă©conomiques, de la rĂ©alitĂ© du marchĂ© et des rumeurs qui gravitent autour de celui-ci, il a connu plusieurs formes au cours de son existence. La littĂ©rature concernant le secret bancaire tĂ©moigne d’attaques, d’exigences et de menaces constantes remettant chaque fois en cause ses fondements. Pendant de longues dĂ©cennies, le travail conjuguĂ© des secteurs politiques et Ă©conomiques a permis Ă  chaque fois de lui amĂ©nager les plages nĂ©cessaires Ă  son existence. Cependant, la rĂ©cente crise Ă©conomique et financiĂšre, de mĂȘme qu’un Conseil fĂ©dĂ©ral divisĂ©, ont affectĂ© la politique Ă©trangĂšre suisse de maniĂšre contraire Ă  ses intĂ©rĂȘts. Les attaques exercĂ©es contre le secret bancaire en tĂ©moignent. Ainsi, comprendre l’histoire du secret bancaire peut Ă©galement servir Ă  rechercher des Ă©lĂ©ments de comparaison et de diffĂ©renciation entre la gestion des nombreuses pressions exercĂ©es Ă  son encontre et les dĂ©cisions rĂ©centes qui ont menĂ© Ă  son assouplissement. Cette mise en perspective indique la gestion des faits en matiĂšre de nĂ©gociation, de rĂ©ponses et de demandes, structurĂ©es ou pas et gĂ©nĂ©rĂ©es par l’administration politique du moment. Ceci est important, car le maintien du secret bancaire dĂ©pend largement de la gestion politique qui en sera faite et moins des rĂ©ponses venant de la place financiĂšre. C’est Ă  travers les instances politiques qu’il faut chercher les voies possibles ouvertes Ă  sa survie. Ce mĂ©moire abordera aussi les principaux enjeux de la place financiĂšre helvĂ©tique ainsi que les solutions proposĂ©es par les experts dans le but de prĂ©server la compĂ©titivitĂ© du secteur financier

    Conséquences de l'assouplissement ou la disparition du secret bancaire en Suisse

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    Pendant des dĂ©cennies, la Suisse a connu un secret bancaire fort, couplĂ© d'une solide expĂ©rience et d'un savoir faire reconnu. Ce sont ces Ă©lĂ©ments qui ont conduit la place financiĂšre suisse au sommet, qui ont permis Ă  notre pays de devenir une rĂ©fĂ©rence indiscutable dans le monde bancaire et le premier centre mondial de gestion de fortune. Bien qu’inscrit dans l’article 47 de la Loi fĂ©dĂ©rale sur les banques et les caisses d’épargne, force est de constater qu'aujourd'hui, les pressions internationales font vaciller cette institution historique de notre pays, le secret bancaire. L’objet de ce travail est d’analyser les consĂ©quences que pourraient avoir. l'assouplissement, voir la disparition du secret bancaire en Suisse. Aujourd'hui les enjeux auxquels la Suisse fait face sont trĂšs sĂ©rieux. En effet, l’importance de la place financiĂšre suisse au sein de notre Ă©conomie est loin d'ĂȘtre nĂ©gligeable. Le PIB, notre propre fiscalitĂ©, l'emploi pourraient en ĂȘtre affectĂ©s. Il faut donc agir et mettre en place des solutions. Tout d’abord, j’effectuerai une introduction gĂ©nĂ©rale sur le secret bancaire, suivie de ses modifications au cours des derniĂšres annĂ©es. Ensuite, je parlerai de la stratĂ©gie de restructuration de la place financiĂšre. Plusieurs pistes sont envisagĂ©es pour soutenir l'Ă©conomie: la suppression du droit de timbre, Ă©tendre le systĂšme d’impĂŽt Ă  la source ou encore implanter des filiales Ă  l’étranger. Dans le mĂȘme temps, il faut aussi mettre en place une stratĂ©gie qui nous permette de prĂ©server le secret bancaire pour toute personne faisant des affaires en respectant les lois nationales et internationales. Actuellement, nous sommes devant trois diffĂ©rentes options qui, selon les diffĂ©rents experts, allĂ©geraient la pression internationale : le projet Rubik, proposĂ© par l’Association Suisse des Banquiers, le certificat fiscal (perçu comme un complĂ©ment de Rubik) et le troisiĂšme n’étant pas vraiment une solution, l'Ă©change automatique d’informations, voulu par l’OCDE. La proposition du projet Rubik, avec le prĂ©lĂšvement d’impĂŽt Ă  la source, semble actuellement ĂȘtre la meilleure solution. De plus, l’Allemagne vient de signer cet accord. En attendant, la Suisse doit protĂ©ger notre secret bancaire en assurant aux Ă©tats voisins une fiscalisation des avoirs dĂ©posĂ©s par leurs ressortissants et doit se concentrer sur l’amĂ©lioration de sa compĂ©titivitĂ©

    Can hedge fund-like returns be replicated in a regulated environment ?

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    Ucits were a series of directives issued by the European Commission whose aim was the facilitation of cross-border marketing and selling of collective investment schemes. This regulatory framework has recently gained popularity as an investment vehicle for hedge fund strategies. This trend can be explained in part by customers shying away from direct investments into hedge funds and their lack of transparency. For some, the importance of Ucits is inevitable and the competition will grow over time. For others, the constraints imposed by the Ucits regulatory environment will prevent these investment vehicles from seriously competing with hedge funds. In this chapter, we analyze the advantages and disadvantages of the Ucits framework. In particular, we study the different solutions that are proposed and analyze how adequate they are to offer hedge fund-like returns. For each strategy or hedge fund style, we then emphasize the strengths and weaknesses of the Alternative Ucits solution

    Facebook’s digital currency venture “Diem” ::the new frontier ... or a galaxy far, far away?

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    This article focuses on Facebook's new digital currency, initially called "Libra" and renamed in December 2020 "Diem", that has been designed and proposed by the Diem Association (formerly the Libra Association). It briefly reflects on the historical meaning of money and currency, as well as "local currencies" viewed as precursors to the new "digital currencies" or "cryptocurrencies". The paper presents a general overview of the Diem project, particularly from the perspective of financial theory and practise. It looks specifically into Diem's business model and analyzes the project's planned and potential revenue streams, according to official documents published by the Diem Association. The research identifies potential obstacles and hurdles this digital currency would (since it has not happened yet) face on launch day and assesses whether the project is feasible in its current form. In the authors' view, although some early concerns were addressed in the Diem White Paper 2.0, the Diem project is only questionably ready for commercial launch in its current state. Speaking directly to the financial aspects of the Diem Association's project, the current regulatory hurdles and institutional pressures seem difficult to bypass without making some additional noticeable and meaningful changes to Diem
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