43 research outputs found

    Lien social et égalité : un défi des nuits urbaines

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    Cerebral vascular accidents in Martinique : Epidemiological, etiological and therapeutic aspects

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    L’objet de cette thèse est de présenter les spécificités épidémiologiques, étiologiques et thérapeutiques de la pathologie neurovasculaire dans la population noire spécifique que constitue la population martiniquaise. En 1998, l’étude ERMANCIA I a permis de mettre en évidence une surincidence des accidents vasculaires cérébraux (AVC) en Martinique d’environ 40% par rapport à la métropole avec une haute prévalence de l’hypertension artérielle et du diabète. Ces résultats ont participé à la création en 2003 de la 1ère unité neurovasculaire aux Antilles. Le suivi à 5 ans des patients ERMANCIA I a révélé que la moitié était décédée et que 50% des survivants présentaient une démence vasculaire (soit le double des cohortes métropolitaines), probablement favorisé par une microangiopathie cérébrale sous-jacente souvent sévère amplifiant l’impact cognitif de l’AVC. Ce suivi a également permis d’identifier les faiblesses de la prévention secondaire en Martinique avec près de 80% des hypertendus qui restent mal équilibrés justifiant la création en 2006 d’un réseau de prévention. L’efficacité de ce réseau a été évaluée montrant un taux élevé de bon contrôle tensionnel (74% vs 39%, p=0,01) et une morbi-mortalité vasculaire moindre à 2,5 ans (8,3% vs 24%, p<0,001) que chez les patients contrôles. En 2012, ERMANCIA II a permis de révéler une diminution majeure (en moyenne 30%) de l’incidence des AVC dans la population martiniquaise et de la mortalité à 1 mois pour les patients ≤55 ans (20% vs 8%, p=0,03) probablement en raison d’une meilleure implémentation des mesures de prévention primaire et de la prise en charge en UNV respectivement. Nos données ont également permis de décrire certaines spécificités étiologiques des AVC chez les Martiniquais : grande fréquence de l’athérome intracrânien (pour lequel nous apportons des arguments en faveur d’une nouvelle classification), infarctus choroïdiens antérieurs dont nous décrivons le profil évolutif particulier, infarctus lacunaires multiples sévères. Deux étiologies plus « classiques » comme la drépanocytose et les IC sur morsure de serpent sont devenues anecdotiques. En revanche, une dysplasie carotidienne focale, étiologie déjà décrite mais supposée rare , pourrait être responsable d’un tiers des infarctus carotidiens d’origine indéterminée chez les Afro-Caribéens ≤55 ans exposant à un risque élevé de récidive sous traitement antiagrégant (28% à 14 mois), contre aucun pour les patients traités par endartériectomie. Sur le plan thérapeutique, nos résultats sont en faveur d’un surrisque hémorragique de la thrombolyse standard chez les patients martiniquais les plus âgés, probablement en rapport avec un cumul de lésions microangiopathiques plus important. En l’absence de neuroradiologie interventionnelle en Martinique, nos travaux montrent que certains patients avec occlusion artérielle proximale résistante à la thrombolyse IV standard peuvent bénéficier d’un complément de thrombolytique (0,1mg/Kg de tenecteplase). Une étude randomisée est prévue afin de mieux mesurer le potentiel thérapeutique de cette stratégie. Pour conclure, l’intérêt de ces données est que la population martiniquaise partage très probablement beaucoup de ses « particularités » avec d’autres populations noires encore peu décrites et pour lesquelles l’occidentalisation progressive du mode de vie risque d’accentuer le fardeau représenté par les AVC.Our work presented herein aimed to describe the epidemiological, etiological and therapeutic features of the stroke pathology in the Martinican Afro-Caribbean population. In 1998, the first population-based epidemiological study, ERMANCIA I, showed a 40% greater firstever stroke incidence in Martinique compared to those observed in continental France, with a high prevalence of hypertension and diabetes. These results contributed to the creation, in 2003, of the first stroke unit in the Caribbean area. In the 5_year follow-up study, we found that half of the patients had died and that 50% of survivors were affected from vascular dementia (twice compared with continental French cohorts): this figure was probably favored by severe underlying cerebral microangiopathy that amplified the cognitive impact of stroke. We also identified a failure in the secondary prevention in Martinique, certified by nearly 80% of hypertensive patients still insufficiently controlled. As a result, in 2006, we developed a well-structured stroke prevention network. The efficiency of this network was attested by the high rate of good blood pressure control (74% vs. 39%, p=0.01) and the reduced vascular morbidity and mortality rate (8.3% vs. 24%, p <0.001) after a 30-month period of activity, in comparison with control “historic” patients. In 2012, ERMANCIA II study revealed a 30% reduction of first-ever stroke incidence and a reduced mortality rate at 1 month for patients ≤55 years (8% vs. 20%, p = 0.03), compared to these observed in ERMANCIA I, likely due to improvement of primary stroke prevention and the best stroke unit management at the acute phase, respectively. Based on our etiological data, we underline: 1) the relatively high frequency of symptomatic intracranial atherosclerosis, for which we propose a new definition; 2) the clinic-radiological features of stroke in the anterior choroidal artery; 3) the atypical picture of “malignant” multilacunar syndrome. On the other hand, stroke due to sickle cell disease or “trigonocephale” snakebite were only anecdotal. However, we found that carotid-bulb atypical fibromuscular dysplasia (CAFD), a very unusual previously described cause of stroke, could be responsible for up to the third of carotidterritory stroke of so-called undetermined etiology among patients ≤55 years. In addition, the relatively high rate of recurrence under antiplatelet (28% at 14 months), was dramatically reduced by endarterectomy in patients with CAFD. From a therapeutic point of view, our results showed an excess rate of post-thrombolysis symptomatic intracerebral hemorrhages in older patients, a figure probably linked to the severe underlying hypertension-triggered cerebral microangiopathy. Owing to the lack of neurointerventionnal option in Martinique, we tested a new therapeutic strategy in patients with a proximal arterial occlusion not responsive to standard IV thrombolysis, consisting in an additional administration of IV tenecteplase, 0.1mg/kg. Our preliminary results were promising, leading us to plan a randomized study. Finally, most of the characteristics of stroke in this Afro-Caribbean population are probably shared by the majority of black people. Thus, our results could have a universal impact in the understanding of stroke burden in blacks

    Lien social et égalité : un défi des nuits urbaines

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    National audienc

    La nuit, l'autre facette de la ville

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    International audiencePendant longtemps, les nuits de nos villes ont été associées au calme, à l’obscurité, au repos et à l’arrêt des activités. Pourtant les temps changent et la nuit opère sa mue. Entraînée par le mouvement de la société contemporaine, la nuit urbaine se transforme et s’affirme progressivement comme un nouvel espace-temps au sein duquel s’expriment de nouvelles formes d’opportunités économiques et sociales. Nous connaissons peu la nuit. Pourtant, alors que la majorité de la population est en sommeil, c’est une autre facette de la ville qui se présente à nous

    De la cartographie à l'observation spatio-temporelle. Une première approche des nuits de la métropole lyonnaise

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    International audienceSi pendant longtemps, la nuit fut une "dimension oubliée de la ville" (Gwiazdzinski, 2002), depuis une vingtaine d’années les choses changent. Dans le mouvement de la société hypermoderne, la nuit s’est affirmée comme un temps de vie à part entière qui interroge de manière multiple les relations au territoire.Cette communication se donne pour objectif de faire le point sur les différentes représentations des territoires de la nuit lyonnaise, en se basant sur une décomposition du système urbain. Les représentations de la nuit à travers la presse, la localisation des activités nocturnes, les pratiques effectives de la population, les projets politiques (...) offrent une lecture différenciée et complémentaire de la nuit et permettent d’en saisir la complexité. Au final, la pluralité de la nuit apparait. Il n’y a plus une nuit, mais des nuits de la métropole lyonnaise. En périphérie, les nuits sont davantage laborieuses, confidentielles et sombres. A l’échelle de l’hypercentre, elles sont plutôt animées, festives, illuminées, conflictuelles et organisées en petites polarités.Généralement, l’analyse de la nuit consiste à réaliser des cartographies de spatialisation des activités nocturnes. Toutefois, que ce passe-t-il réellement au sein des territoires identifiés ? Au-delà de la compréhension générale du système urbain, l’ambition de ce travail de recherche est de saisir plus finement le fonctionnement des quartiers de la nuit : qui les fréquente ? Où se concentrent les populations ? Que font-elles ? A travers des parcours d’observation expérimentaux, cette seconde approche ambitionne d’aller plus loin dans l’analyse des nuits lyonnaises. Il s’agit de dépasser la cartographie spatio-temporelle objective en observant dans l’espace et le temps les pratiques des noctambules. Cette approche expérimentale est réalisée durant le mois de juin 2014. Il est par conséquent envisageable de présenter les premiers résultats lors de la communication

    Au cœur de la face cachée de la ville : observer, comprendre et penser la nuit

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    International audienc

    Reflecting on "night metropolis" : among tensions, risks and opportunities : a primary approach of Lyon urban nights through quality of life concept

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    Temps de l’obscurité et du repos social, la nuit urbaine a longtemps été considérée comme une discontinuité dans le rythme global de la société. Cependant, les temps changent. Entraînées par le mouvement de la société contemporaine, les nuits de nos villes s’animent et deviennent un nouvel espace-temps de la vie quotidienne.Aujourd’hui, qu’on le veuille ou non, une ville qui se veut internationale, attractive et dynamique, est représentée comme vivant intensément la nuit. Cette dernière autorise effectivement le fonctionnement en continu de l’économie mondialisée. Elle répond également au désir de vivre intensément éprouvé par les individus contemporains pour qui le « tout, tout le temps, tout de suite » devient une norme de la vie hypermoderne.Si la nuit cristallise de nombreux enjeux de la société contemporaine, elle est de plus en plus tiraillée entre deux forces antagonistes. D’un côté, la nuit doit être animée pour répondre aux exigences économiques et à l’envie de divertissement des habitants. Mais de l’autre, elle doit rester une temporalité apaisée pour assurer le nécessaire repos de la société.Entre temps global et temps local, animation et apaisement, divertissement et repos, les nuits de nos villes apparaissent comme un nouveau champ de tension où les notions de conflits et de régulation sont souvent présentées comme des données centrales des politiques publiques locales. Mais en étant régulièrement analysée au prisme des conflits et de la régulation de ses activités, la nuit reste finalement peu considérée comme une dimension singulière de nos villes. Pourtant, en se référant à d’autres territoires, mais aussi à des activités, des économies, des populations ou encore, des pratiques reconfigurées, la nuit illustre finalement la recomposition temporaire de tout un système urbain.Entre enjeu d’animation et enjeu d’apaisement de la ville, cette thèse de doctorat se propose de mieux comprendre le fonctionnement de la nuit urbaine. En nous appuyant sur le cas des nuits de la métropole lyonnaise en France, nous analyserons notre objet de recherche du point de vue de sa symbolique, de ses représentations, de son organisation spatiale et temporelle ou encore de ses activités. Afin de dépasser la notion de conflit, nous proposons également d’aborder la nuit sous un angle renouvelé. Pour opérer ce changement, nous avons choisi d’aborder la nuit à travers le concept de qualité de vie qui suppose de mettre en regard les potentialités d’un cadre de vie donné - celui de la nuit urbaine - avec les aspirations de celles et ceux qui le fréquentent de manière constante ou temporaire.Entre animation et apaisement de la ville, nos investigations nous conduiront à formuler des pistes de réflexion afin d’imaginer des nuits urbaines plus accueillantes, inclusives et soucieuses de la qualité de vie des individus. Nous proposerons notamment de mieux intégrer la dimension nocturne des territoires dans la pratique de l’urbanisme et de l’aménagement urbain ou encore de repenser les aménités de la ville à travers l’élaboration d’une politique publique de la nuit. Pour ce faire, il nous semble indispensable de placer les individus au centre de la démarche pour faire de la nuit le sujet d’un vaste projet urbain pensé par et pour la qualité de vie.Time of darkness and social rest, the urban night has for a long time been considered as a pause in the overall pace of society. However, times are changing. Driven by the movement of contemporary society, the nights of our cities have come alive and become a new space-time of everyday life.Today, whether we like it or not, a city that wants to be international, attractive and dynamic, is represented with an intensely lively nightlife. The latter effectively allows the continuous operation of the globalized economy. It also fulfills the desire of an intense life shared by contemporary individuals for whom "everything, all the time, immediately" becomes a standard of hypermodern life.If the night crystallizes many stakes of the contemporary society, it is more and more torn between two antagonistic forces. On the one hand, nights must be lively to meet the economic requirements and the people’s desire of entertainment. But on the other hand, it must remain a quiet time to ensure the necessary rest of society.Among global and local time, vibrancy and calm, entertainment and rest, the nights of our cities appear as a new field of tensions where the concepts of conflict and regulation are often presented as central in local public policies. But because the night is often analyzed through conflicts and nighttime activity regulation, it remains little considered as a singular time within our cities. Still, since referring to other territories, but also activities, economies, populations, or altered practices, in the end nights exemplifies a time-framed reorganization of an entire urban system.Facing the issues of vibrant and calm city nights, this PhD thesis aims to understand better how the urban night works. Based on the example of the Lyon metropolis nights in France, we will analyze the subject with emphasis on symbolism, representations, space and time organization, and activities. To investigate beyond the notion of conflict, we also propose to study nights from a renewed angle. To make this change, we have chosen to address the night through the concept of quality of life, leading us to compare the offer of a given living environment - that of the urban night - with the aspirations of those who are constantly or temporarily involved in it.Among vibrancy and calm of the city, our investigations will lead us to propose lines of thought in order to design urban nights that are more welcoming, inclusive and concerned about the quality of life of individuals. Among other things, we will propose a better integration of territories night aspect in town planning and urban area development, and to redesign the city appeals through the development of a night-oriented public policy. To do this, placing people at the heart of the process seems essential to make nights a subject within a vast urban project designed by and for the quality of life

    Penser la "métropole nocturne" : entre tensions, risques et opportunités : une première approche des nuits de la métropole lyonnaise à travers le concept de qualité de vie

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    Time of darkness and social rest, the urban night has for a long time been considered as a pause in the overall pace of society. However, times are changing. Driven by the movement of contemporary society, the nights of our cities have come alive and become a new space-time of everyday life.Today, whether we like it or not, a city that wants to be international, attractive and dynamic, is represented with an intensely lively nightlife. The latter effectively allows the continuous operation of the globalized economy. It also fulfills the desire of an intense life shared by contemporary individuals for whom "everything, all the time, immediately" becomes a standard of hypermodern life.If the night crystallizes many stakes of the contemporary society, it is more and more torn between two antagonistic forces. On the one hand, nights must be lively to meet the economic requirements and the people’s desire of entertainment. But on the other hand, it must remain a quiet time to ensure the necessary rest of society.Among global and local time, vibrancy and calm, entertainment and rest, the nights of our cities appear as a new field of tensions where the concepts of conflict and regulation are often presented as central in local public policies. But because the night is often analyzed through conflicts and nighttime activity regulation, it remains little considered as a singular time within our cities. Still, since referring to other territories, but also activities, economies, populations, or altered practices, in the end nights exemplifies a time-framed reorganization of an entire urban system.Facing the issues of vibrant and calm city nights, this PhD thesis aims to understand better how the urban night works. Based on the example of the Lyon metropolis nights in France, we will analyze the subject with emphasis on symbolism, representations, space and time organization, and activities. To investigate beyond the notion of conflict, we also propose to study nights from a renewed angle. To make this change, we have chosen to address the night through the concept of quality of life, leading us to compare the offer of a given living environment - that of the urban night - with the aspirations of those who are constantly or temporarily involved in it.Among vibrancy and calm of the city, our investigations will lead us to propose lines of thought in order to design urban nights that are more welcoming, inclusive and concerned about the quality of life of individuals. Among other things, we will propose a better integration of territories night aspect in town planning and urban area development, and to redesign the city appeals through the development of a night-oriented public policy. To do this, placing people at the heart of the process seems essential to make nights a subject within a vast urban project designed by and for the quality of life.Temps de l’obscurité et du repos social, la nuit urbaine a longtemps été considérée comme une discontinuité dans le rythme global de la société. Cependant, les temps changent. Entraînées par le mouvement de la société contemporaine, les nuits de nos villes s’animent et deviennent un nouvel espace-temps de la vie quotidienne.Aujourd’hui, qu’on le veuille ou non, une ville qui se veut internationale, attractive et dynamique, est représentée comme vivant intensément la nuit. Cette dernière autorise effectivement le fonctionnement en continu de l’économie mondialisée. Elle répond également au désir de vivre intensément éprouvé par les individus contemporains pour qui le « tout, tout le temps, tout de suite » devient une norme de la vie hypermoderne.Si la nuit cristallise de nombreux enjeux de la société contemporaine, elle est de plus en plus tiraillée entre deux forces antagonistes. D’un côté, la nuit doit être animée pour répondre aux exigences économiques et à l’envie de divertissement des habitants. Mais de l’autre, elle doit rester une temporalité apaisée pour assurer le nécessaire repos de la société.Entre temps global et temps local, animation et apaisement, divertissement et repos, les nuits de nos villes apparaissent comme un nouveau champ de tension où les notions de conflits et de régulation sont souvent présentées comme des données centrales des politiques publiques locales. Mais en étant régulièrement analysée au prisme des conflits et de la régulation de ses activités, la nuit reste finalement peu considérée comme une dimension singulière de nos villes. Pourtant, en se référant à d’autres territoires, mais aussi à des activités, des économies, des populations ou encore, des pratiques reconfigurées, la nuit illustre finalement la recomposition temporaire de tout un système urbain.Entre enjeu d’animation et enjeu d’apaisement de la ville, cette thèse de doctorat se propose de mieux comprendre le fonctionnement de la nuit urbaine. En nous appuyant sur le cas des nuits de la métropole lyonnaise en France, nous analyserons notre objet de recherche du point de vue de sa symbolique, de ses représentations, de son organisation spatiale et temporelle ou encore de ses activités. Afin de dépasser la notion de conflit, nous proposons également d’aborder la nuit sous un angle renouvelé. Pour opérer ce changement, nous avons choisi d’aborder la nuit à travers le concept de qualité de vie qui suppose de mettre en regard les potentialités d’un cadre de vie donné - celui de la nuit urbaine - avec les aspirations de celles et ceux qui le fréquentent de manière constante ou temporaire.Entre animation et apaisement de la ville, nos investigations nous conduiront à formuler des pistes de réflexion afin d’imaginer des nuits urbaines plus accueillantes, inclusives et soucieuses de la qualité de vie des individus. Nous proposerons notamment de mieux intégrer la dimension nocturne des territoires dans la pratique de l’urbanisme et de l’aménagement urbain ou encore de repenser les aménités de la ville à travers l’élaboration d’une politique publique de la nuit. Pour ce faire, il nous semble indispensable de placer les individus au centre de la démarche pour faire de la nuit le sujet d’un vaste projet urbain pensé par et pour la qualité de vie
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