La figure de Jésus

The theologian is not primarily concerned with historical facts in themselves when treating the figure of Jesus. His reflexion works on the level of Christian faith. The story of Jesus gains greater breadth for him: it is born of the factual past, only to go beyond it and spread through the proclamation and life of the Church over the course of time. The theologian portrays Jesus without being limited to his human behaviour. He also looks for what emerges from this as traits of divinity.He sees in Him who so humanly struggled with God someone who freed himself from his historical specificity through the paschal mystery, to become the universal means of access to God. He understands how, by disappearing through the heavens of ascension, Jesus became the Lord who anonymously crosses with peoples’ lives. He believes that Jesus keeps on discreetly disquieting people everywhere, while all does not live in accordance with God.O teólogo não tem como primeira preocupação os factos históricos em si, quando trata a figura de Jesus. A sua reflexão situa-se no plano da fé cristã. A história de Jesus adquire para ele uma outra amplitude: brota do passado factual, para depois o ultrapassar e propagar-se na proclamação e na vida da Igreja através dos tempos. O teólogo retrata Jesus sem se limitar ao que nele é comportamento humano. Procura também o que deste transparece como traços de divindade. Vê naquele que tão humanamente se debateu com Deus, alguém que se libertou da sua particularidade histórica através do mistério pascal, para se converter em caminho universal de acesso a Deus. Percebe como é que Jesus, ofuscando-se nos céus da ascensão, passou a ser o Senhor que cruza anonimamente a vida das pessoas. Crê que as vai inquietando discretamente por todo o lado, enquanto não viver tudo ao ritmo de Deus

Fin de la théologie ? Relecture d'un itinéraire

Asked to reassess his writings, the author of L'homme qui venait de Dieu and Dieu qui vient à l'homme does so in the perspective of a new way of doing theology marked by the search for a method of theological interprétation of Scripture destined to fill in the distance between dogmatic theology and exegesis and also the search for an enunciation of faith within a culture where God is absent. His writings which have take the form of a huge narrative of the God's révélation, is turned towards the «end» of theology understood as a threat of extinction, a search for its essential fînality and above ail the aim of the final point of history where «God will be ail in ail». Freed from the ruts of religion through the singularity of Jésus Christ, theology, according to the author, takes on the responsibility of thought and belief worthy of humanity.Invité à relire son itinéraire d'écriture, l'auteur de L'homme qui venait de Dieu et de Dieu qui vient à l'homme l'inscrit dans la perspective d'une nouvelle manière de faire de la théologie, marquée par la recherche d'une méthode d'interprétation théologique de l'Écriture destinée à combler la distance entre dogmatique et exégèse, et la recherche d'une énonciation de la foi au sein d'une culture où Dieu est absent. Son œuvre, qui a pris la forme du grand récit de la révélation de Dieu, est orientée vers la «fin» de la théologie comprise comme menace de son extinction, quête de sa finalité essentielle, et surtout visée du terme de l'histoire où «Dieu sera tout en tous». Libérée des ornières du religieux par la singularité de Jésus Christ, la théologie assume selon l'auteur la responsabilité d'un penser et d'un croire dignes de l'humain.Moingt Joseph. Fin de la théologie ? Relecture d'un itinéraire. In: Revue théologique de Louvain, 39ᵉ année, fasc. 4, 2008. pp. 465-475

Pierre Goudreault,Chemins d’espérance pour l’avenir de l’Église(coll. Pédagogie pastorale, 7), 2010

Moingt Joseph. Pierre Goudreault,Chemins d’espérance pour l’avenir de l’Église(coll. Pédagogie pastorale, 7), 2010. In: Revue théologique de Louvain, 42ᵉ année, fasc. 4, 2011. pp. 614-615

Fin de la théologie ? Relecture d'un itinéraire

Asked to reassess his writings, the author of L'homme qui venait de Dieu and Dieu qui vient à l'homme does so in the perspective of a new way of doing theology marked by the search for a method of theological interprétation of Scripture destined to fill in the distance between dogmatic theology and exegesis and also the search for an enunciation of faith within a culture where God is absent. His writings which have take the form of a huge narrative of the God's révélation, is turned towards the «end» of theology understood as a threat of extinction, a search for its essential fînality and above ail the aim of the final point of history where «God will be ail in ail». Freed from the ruts of religion through the singularity of Jésus Christ, theology, according to the author, takes on the responsibility of thought and belief worthy of humanity.Invité à relire son itinéraire d'écriture, l'auteur de L'homme qui venait de Dieu et de Dieu qui vient à l'homme l'inscrit dans la perspective d'une nouvelle manière de faire de la théologie, marquée par la recherche d'une méthode d'interprétation théologique de l'Écriture destinée à combler la distance entre dogmatique et exégèse, et la recherche d'une énonciation de la foi au sein d'une culture où Dieu est absent. Son œuvre, qui a pris la forme du grand récit de la révélation de Dieu, est orientée vers la «fin» de la théologie comprise comme menace de son extinction, quête de sa finalité essentielle, et surtout visée du terme de l'histoire où «Dieu sera tout en tous». Libérée des ornières du religieux par la singularité de Jésus Christ, la théologie assume selon l'auteur la responsabilité d'un penser et d'un croire dignes de l'humain.Moingt Joseph. Fin de la théologie ? Relecture d'un itinéraire. In: Revue théologique de Louvain, 39ᵉ année, fasc. 4, 2008. pp. 465-475

Le problème du Dieu unique chez Tertullien

La défense de la « monarchie » divine contre les païens et les dualistes avait amené Tertullien à définir la divinité par la singularité de la grandeur souveraine (In partie). Quand les modalistes en vertu du même principe dénoncent une division de la divinité dans la distinction trinitaire, il leur répond par une double argumentation sur le statua de la puissance et de la substance divine (IIe partie).Moingt Joseph. Le problème du Dieu unique chez Tertullien. In: Revue des Sciences Religieuses, tome 44, fascicule 4, 1970. pp. 337-362

Pierre Goudreault,Chemins d’espérance pour l’avenir de l’Église(coll. Pédagogie pastorale, 7), 2010

Moingt Joseph. Pierre Goudreault,Chemins d’espérance pour l’avenir de l’Église(coll. Pédagogie pastorale, 7), 2010. In: Revue théologique de Louvain, 42ᵉ année, fasc. 4, 2011. pp. 614-615

Pardonner

L'“impardonnable” dont ont été qualifiés des événements de notre histoire récente nous oblige à repenser le “devoir” de pardonner, le “droit” au pardon. Les approches anthropologique, exégétique, philosophique et théologique de ce volume issu d'une session théologique tenue en 1994 à l'École des sciences philosophiques et religieuses des Facultés universitaires Saint-Louis à Bruxelles montrent à la fois la nécessité du pardon comme fondement de l'histoire, personnelle et collective, et son imprescriptibilité. Le paradoxe culminant dans le pardon donné une fois pour toutes et à tous par Jésus sur la croix

Mort pour nos péchés

« Mort pour nos péchés ». Cette antique formule exprime le sens que prend pour la foi l'événement historique de la mort de Jésus. Elle est liée à un ensemble de catégories archaïques (sacrifice, expiation, substitution, rachat, rédemption, etc.) dont l'homme contemporain ne semble plus pouvoir faire usage. Comment faut-il donc la comprendre aujourd'hui ? C'est à cette question que tente de répondre ce volume, résultant d'une session théologique pour enseignants et universitaires, tenue en 1975 à l'Ecole des sciences philosophiques et religieuses des Facultés universitaires Saint-Louis à Bruxelles. La démarche est pluridisciplinaire et comporte quatre moments : enquête exégétique, analyse anthropologique, ethnosociologie des religions et réflexion théologique