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    LumiĂšre sur les coopĂ©ratives de solidaritĂ©! OriginalitĂ© et potentiel de contribution des coopĂ©ratives multisociĂ©tariat Ă  l’approche des parties prenantes

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    Texte prĂ©sentĂ© dans le cadre de la 22e confĂ©rence internationale de recherche coopĂ©rative, Dourdan, octobre 2006.Alors que la gestion des parties prenantes (ou stakeholders) apparaĂźt comme le nouveau credo de la littĂ©rature en gestion, dans le monde coopĂ©ratif, des coopĂ©ratives multistakeholder Ă©mergent, d’abord en Europe, et depuis 1997, en AmĂ©rique du Nord, avec les coopĂ©ratives de solidaritĂ© quĂ©bĂ©coises. Dans le cadre d’une thĂšse doctorale portant sur les processus de gouvernance multistakeholder au sein des coopĂ©ratives de solidaritĂ©, nous avons comparĂ© ces derniĂšres Ă  d’autres initiatives multipartites similaires, du moins Ă  premiĂšre vue. Le contexte d’émergence de la coopĂ©rative de solidaritĂ©, ses acteurs, de mĂȘme que certaines de ses principales caractĂ©ristiques institutionnelles et organisationnelles sont comparĂ©es Ă  celles d’autres initiatives, dont certaines sont coopĂ©ratives (la SCIC française ou la coopĂ©rative sociale italienne, par exemple), d’autres pas (tables rondes, tables de concertation ou programmes de participation des travailleurs, entre autres). À la lumiĂšre de cette comparaison, nous soutenons que les coopĂ©ratives multistakeholder sont les seules Ă  institutionnaliser le multistakeholderisme tout en offrant Ă  leurs parties prenantes une potentielle triple participation au pouvoir, au capital et Ă  l’activitĂ©. Enfin, face au constat du peu de recherches ayant Ă©tĂ© menĂ©es au sujet de l’émergence organisationnelle et des processus de gouvernance des initiatives multistakeholder, nous avançons que de telles Ă©tudes pourraient enrichir la gestion des parties prenantes et la thĂ©orie associĂ©e.While stakeholder management appears to be a new credo in the management literature, in the cooperative world, multistakeholder cooperatives are also emerging first in Europe, and more recently (1997) in North America with the QuĂ©bec “solidarity cooperatives” (coopĂ©ratives de solidaritĂ©). Our doctoral research interest - multistakeholder governance processes in the solidarity cooperatives - has led us to compare the latter with other initiatives to which they are similar, at least at first sight. The solidarity cooperative’s context of emergence, actors, as well as some of its main institutional and organisational characteristics are compared to those of other multistakeholder initiatives, whether cooperatives (the French SCIC or the Italian social cooperatives, for instance), or non-cooperatives (national roundtables, coalitions, employee participation schemes). In the light of this comparison, we argue that multistakeholder cooperatives appear to be the only initiatives that institutionalize multistakeholderism while potentially offering their stakeholders a triple participation to power, capital and activity. Finally, noticing the lack of studies of multistakeholder initiatives development and governance processes, we suggest that such studies could contribute to stakeholder management and theory

    Lorsque l'imaginaire migratoire rencontre les réalités de la migration : parcours de migrants volontaires et qualifiés de l'Afrique de l'Ouest au Québec

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    DiffĂ©rentes rĂ©alitĂ©s et contextes actuels mondiaux font en sorte que de plus en plus de gens envisagent la migration comme projet de vie. La prĂ©sente recherche s’intĂ©resse Ă  l’imaginaire migratoire comme facteur de mobilitĂ©, mais Ă©galement comme facteur de modulation des rĂ©actions et du regard qu’entretiendra le migrant en rapport avec son vĂ©cu migratoire. Ainsi, la rĂ©flexion s’amorce en Afrique de l’Ouest, tandis que de jeunes Africains instruits et qualifiĂ©s Ă©laborent un projet de migration volontaire vers le Canada, plus prĂ©cisĂ©ment dans la rĂ©gion du QuĂ©bec. C’est investi de leur dĂ©sir de l’Ailleurs, des reprĂ©sentations de l’Occident, de leur besoin de se rĂ©aliser et de l’impossibilitĂ© qu’ils rencontrent Ă  accĂ©der Ă  la vie professionnelle souhaitĂ©e en Afrique qu’ils migrent vers le Canada. Quoiqu’ils soient dotĂ©s d’une dĂ©termination et d’un optimisme considĂ©rable, la rencontre entre l’imaginĂ© et le quotidien de la vie au QuĂ©bec comme immigrant et comme Ă©migrant n’est pas toujours facile. Elle viendra rĂ©vĂ©ler la profondeur du rĂȘve, des mythes et des ambitions; les failles intĂ©rieures individuelles, les valeurs et les ambivalences de chacun, mais surtout la capacitĂ© qu’aura l’individu Ă  revoir son imaginaire, Ă  effectuer la rĂ©appropriation de son expĂ©rience migratoire et Ă  Ă©laborer de nouveaux projets. L’écart vĂ©cu par le sujet entre l’imaginĂ© et le rencontrĂ© nous questionnera sur ce que vĂ©hiculent les messages et les images en circulation sur le Canada et l’Occident. Aussi, il tĂ©moignera de la prĂ©dominance de la prĂ©paration factuelle et psychologique de l’individu pour anticiper et mieux accueillir les rĂ©alitĂ©s du parcours migratoire.Different realities and contexts in today’s world are causing more and more people to consider migration as a life plan. This study is interested in their imagined migration as a mobility factor, but also as a modulation factor in the reactions and views of migrants in relation to their migration experience. Thus, this study begins in West Africa, where young educated and qualified Africans eagerly plan their migration to Canada, and Quebec in particular. Their migration to Canada is fuelled by a longing to go abroad, representations of the West, their quest for self-fulfillment and the impossibility of achieving their desired career plans in Africa. Although they are filled with a great deal of determination and optimism, the clash between what they imagined and the reality of daily life in Quebec as immigrants and emigrants is not always easy. This study will not only reveal the depth of their dreams, myths and ambitions, but their individual flaws, values and uncertainties, and above all, their ability to re-examine their imagined migration, reclaim the migration experience and make new plans. The difference between the imagined experience and the actual experience will lead us to question what conveys the messages and images that circulate about Canada and the West. Moreover, it will demonstrate the predominance of the factual and psychological preparation undertaken by individuals to anticipate and more readily accept the realities of the migration experience

    The Green Melon Co-op Case

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    La CoopĂ©rative Green Melon est une coopĂ©rative de solidaritĂ©, i.e. une coopĂ©rative multipartite (multistakeholder), du secteur de l’environnement. Ce cas documente une innovation particuliĂšre : une politique de sĂ©lection de produits mise de l’avant dĂšs la crĂ©ation de l’organisation Ă  la fin des annĂ©es 90, et donc bien avant que de telles politiques deviennent monnaie courante dans les entreprises en gĂ©nĂ©ral. Si la politique permet d’énoncer clairement les critĂšres retenus pour choisir les produits Ă  offrir Ă  la CoopĂ©rative Green Melon et de faciliter le processus de sĂ©lection des produits, elle exprime aussi un certain nombre de tensions. Ces tensions sont associĂ©es aux dimensions du dĂ©veloppement durable (piliers social, environnemental et Ă©conomique) de mĂȘme qu’aux diffĂ©rentes parties prenantes de la coopĂ©rative (membres utilisateurs, travailleurs et de soutien). Le cas suggĂšre que l’inclusion de parties prenantes multiples Ă  la gouvernance organisationnelle peut mener Ă  des innovations sociales liĂ©es au dĂ©veloppement durable et Ă  la responsabilitĂ© sociale des entreprises. Enfin, le cas permet de cerner les dĂ©fis de gestion de la dynamique association-entreprise coopĂ©rative.The Green Melon Co-op is a solidarity co-operative, i.e. a multistakeholder co-operative, of the environmental sector. This case presents a specific innovation: the Co-op’s product selection policy. This policy was developed from the organization’s foundation in the late ‘90s, and thus well before such policies became more mainstream. The policy allows to clearly state the criteria used to select the products to be carried by the Green Melon Co-op and to ease the workers’ product selection process. But it also expresses a number of tensions associated to the different dimensions of sustainable development (social, environmental and economic) and to the Coop’s different stakeholders (user, worker and support members). The case suggests that multistakeholder governance may lead to social innovations with regards to sustainable development and corporate social responsibility. It also allows to seize the challenges of sustaining both the democratic and business dimensions of co-operatives

    Étude de trois stratĂ©gies pour la formation de formateurs en entreprise

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    Médiation des tensions dans une coopérative de solidarité : des chiffres et des lettres

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    Cette thĂšse s'intĂ©resse aux dĂ©fis de la gestion des tensions au sein d'une organisation pluraliste de l'Ă©conomie sociale et solidaire : la coopĂ©rative de solidaritĂ©. La coopĂ©rative de solidaritĂ© est un nouveau type d'organisation lĂ©galement crĂ©Ă© au QuĂ©bec en 1997 et qui innove par son multisociĂ©tariat institutionnalisĂ©. En effet, la coopĂ©rative de solidaritĂ© doit inclure parmi ses membres ainsi qu'Ă  son conseil d'administration au moins deux des trois catĂ©gories de membres suivantes : membres utilisateurs, travailleurs ou de soutien. Cette structure de gouvernance multipartite met en prĂ©sence des parties prenantes aux besoins et intĂ©rĂȘts divers, mais qui ont un pouvoir Ă©gal au sein de l'instance. La question au cƓur de notre dĂ©marche est celle de la gestion des tensions (ou plutĂŽt, dirons-nous plus loin, de la gestion « malgrĂ© les tensions ») dans le contexte d'une coopĂ©rative de solidaritĂ© en environnement. Nous avons choisi d'Ă©tudier une telle organisation en adoptant une perspective du paradoxe, c'est-Ă -dire dans l'acceptation et le maintien des tensions. Nous nous inscrivons dans la perspective de la pratique et proposons que certains outils sociomatĂ©riels mĂ©diatisent les tensions dans l'organisation. Le premier article de la thĂšse prĂ©sente une approche conceptuelle et mĂ©thodologique pour aborder les tensions dans la double perspective du paradoxe et de la pratique. Dans la premiĂšre partie de l'article, nous recensons les Ă©crits principaux ayant traitĂ© de la gestion de la tension entre autonomie et contrĂŽle dans les organisations et en dĂ©gageons les tendances, notamment quant au manque de considĂ©ration des outils sociomatĂ©riels et de leur rĂŽle dans les tensions. À la lumiĂšre de ces constats, nous proposons une approche inspirĂ©e de la sociologie des Ă©preuves, plus spĂ©cifiquement des apports de la sociologie de l'acteur-rĂ©seau et des Ă©conomies de la grandeur. L'approche permet de poser un nouveau regard sur les tensions dans la pratique qui accorde aux outils sociomatĂ©riels une place d'acteur tout en permettant de maintenir et d'accepter les tensions, et ce, tant sur le terrain que dans l'analyse. C'est cette approche qui a guidĂ© le travail de collecte et d'analyse des donnĂ©es empiriques pour les deux articles suivants. Dans l'article 2, Ă  travers l'Ă©tude longitudinale de certains enjeux de gouvernance de la coopĂ©rative, nous mettons en lumiĂšre le rĂŽle changeant et surprenant de divers chiffres (associĂ©s Ă  la comptabilitĂ©, Ă  la dĂ©mocratie, etc.) dans les tensions rencontrĂ©es au sein du conseil d'administration sur une pĂ©riode de dix ans. Ce suivi dans le temps permet de constater que les chiffres peuvent exacerber, apaiser et maintenir le paradoxe « contrĂŽle-collaboration ». L'analyse permet aussi de saisir l'action paradoxale des chiffres et des outils chiffrĂ©s Ă  travers diverses micro-pratiques stratĂ©giques. Cet article alimente les connaissances des pratiques concrĂštes permettant de maintenir et d'accepter le paradoxe « contrĂŽle-collaboration » de la gouvernance : il propose que les chiffres mĂ©diatisent cette tension en modifiant la distance entre le conseil d'administration et la direction de la coopĂ©rative et en fournissant un langage qui simplifie, standardise et dĂ©personnalise des enjeux complexes. Dans l'article 3, nous Ă©tudions les pratiques textuelles par lesquelles est abordĂ©e la tension entre « le social » et « l'Ă©conomique », tension qui s'exprime entre ancrage communautaire et dĂ©veloppement commercial dans la coopĂ©rative Ă©tudiĂ©e. La mĂ©thode d'analyse textuelle dĂ©veloppĂ©e permet la constitution d'une grille de repĂ©rage basĂ©e sur les tensions constitutives de l'organisation, telles qu'exprimĂ©es dans sa mission. L'analyse des sites 1nternet (rĂ©gulier et de ventes en ligne) de l'organisation Ă  partir cette grille est inspirĂ©e par les stratĂ©gies gĂ©nĂ©riques de gestion des tensions et paradoxes (Poole et van de Ven, 1989). Alors qu'une analyse formelle suggĂšre une sĂ©paration des deux pĂŽles en deux sites Internet distincts (le social dans le site rĂ©gulier; l'Ă©conomique dans le site de ventes en ligne), l'analyse en profondeur des textes montre comment ceux-ci permettent de reformuler et reconnecter les pĂŽles. En particulier, l'analyse dĂ©montre comment le social et l'Ă©conomique sont textuellement associĂ©s, mais aussi comment chacun des pĂŽles est marquĂ© par des tensions internes. Les sites Internet apparaissent comme des « sites d'action » permettant Ă  la fois d'exprimer (en sĂ©parant les pĂŽles en deux espaces) et d'accepter la tension (en reliant les deux pĂŽles dans les textes et entre les textes) en constituant une organisation aux visĂ©es Ă  la fois sociales et Ă©conomiques. Les rĂ©sultats de la recherche indiquent que bien que la gestion « malgrĂ© les tensions » soit un dĂ©fi constant, l'organisation Ă©tudiĂ©e ne peut Ă©voluer sans ces tensions. Divers outils sociomatĂ©riels interviennent dans leur mĂ©diation en modifiant la distance entre les pĂŽles en tension. Notre thĂšse propose une contribution : 1) Ă  la littĂ©rature sur les tensions organisationnelles, en l'alimentant d'observations, empiriques, de pratiques concrĂštes inscrites dans une perspective du paradoxe; 2) Ă  la littĂ©rature sur les pratiques, par l'attention portĂ©e aux outils sociomatĂ©riels inscrits dans ces pratiques, tout en 3) bouclant la bouche « tensions-pratiques-sociomatĂ©rialitĂ© » en proposant et en dĂ©montrant que certains outils sociomatĂ©riels jouent un rĂŽle d'acteurs dans la mĂ©diation des tensions organisationnelles, dans la pratique. \ud ______________________________________________________________________________ \ud MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : tensions, paradoxes, sociomatĂ©rialitĂ©, coopĂ©rative, organisation pluraliste, pratique, acteur-rĂ©seau, Ă©conomies de la grandeur, outils, mĂ©diatio

    Proposition pour l’étude des tensions dans le mouvement, la sociomatĂ©rialitĂ© et le paradoxe

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    Les tensions et paradoxes sont des mouvements inhĂ©rents aux organisations. Pourtant, nous en savons peu sur la façon dont les tensions organisationnelles sont gĂ©rĂ©es dans la pratique, et encore moins au sujet des non-humains impliquĂ©s dans ces pratiques. Cet article pose que les non-humains ne sont pas de simples intermĂ©diaires d’interactions (strictement) humaines : ils modifient les relations, mĂ©diatisent les situations (Hennion et Latour, 1993) et sont des acteurs qui « font une diffĂ©rence » (Cooren, 2006) dans les tensions. Or, pour diverses raisons, ils sont gĂ©nĂ©ralement absents des analyses. Qui plus est, alors que, dans une approche du paradoxe, les tensions sont acceptĂ©es, dans les Ă©crits, on dĂ©note un biais frĂ©quent pour l’un ou l’autre des pĂŽles en tension. Partant de ces constats, une approche conceptuelle et mĂ©thodologique est proposĂ©e pour saisir l’action des non-humains dans les tensions. Fortement inspirĂ©e par la sociologie des Ă©preuves, elle permet d’aborder les tensions dans une perspective de la pratique sensible Ă  leur sociomatĂ©rialitĂ© et Ă  leur acceptation.Tensions and paradoxes are inherent organizational moves. However, we know very little about how they are dealt with, in practice, and even lesser about the sociomateriality of such practices, especially with regards to the sociomaterial tools involved. The central argument of this paper is that non-humans are not mere intermediaries of (strictly) human interactions: they modify relations; they mĂ©diate situations (Hennion et Latour, 1993) and they are actors in the sense that they “make a difference” (Cooren, 2006, p. 82) in tensions. Due to various reasons, such tools are not being fully considered in the study of tensions. Moreover, many writings are biased toward one pole of the tension, ignoring the other. As a response to these observations, a framework is proposed to capture non-humans’ actions with regards to tensions. Greatly inspired by the “sociologie des Ă©preuves”, it allows for the study of tensions with a sociomateriality- sensitive, practice perspective that allows for their acceptance

    Correlations between electrochemical behaviors and DNA photooxidative properties of non-steroĂŻdal anti-inflammatory drugs and their photoproducts

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    Alkali-labile lesion to DNA photosensitized, via an electron transfer mechanism, by three non-steroidalanti-inflammatorydrugs (NSAIDs), ketoprofen, tiaprofenic acid and naproxen and their photoproducts during drug photolysis, was investigated using 32P-end labelled synthetic oligonucleotide. These photooxidative damages were correlated with the photophysical and electrochemicalproperties of drugs, appearing as the photosensitizer PS. Photophysical studies provided the excited state energies of the photosensitizer while their redox potentials and the relative stabilities of the PSradical dot− radical-anions were determined by cyclic voltammetry. On the basis of these data, we have calculated the Gibbs energy of photoinduced electron-transfer and evaluated the exergonicity of the oxidative photodamage. Moreover, kinetic control may be invoked according to the stabilities of PSradical dot−. Applied to this NSAIDs family, the photoxidative damages through electron transfer mechanism were analyzed and a good correlation with photoredox and photobiological properties was established

    Bases de donnĂ©es sur les organisations d’économie sociale, la classification des activitĂ©s Ă©conomiques

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    Can be found here online...http://www.chaire.ecosoc.uqam.ca/Portals/ChaireEcoSoc/docs/pdf/cahiers/R-2008-01.pdfLa Chaire de recherche du Canada en Ă©conomie sociale analyse le rĂŽle de l'innovation sociale dans les organisations d’économie sociale. L'objectif des travaux de la Chaire est de bien cerner le potentiel et les spĂ©cificitĂ©s de l’économie sociale. Trois axes de recherche sont privilĂ©giĂ©s: la gouvernance, le financement et l’évaluation. À cette fin, la Chaire s’est donnĂ© pour moyen de dĂ©velopper un SystĂšme d’information sur les organisations d’économie sociale (SIOES). Ce systĂšme permettra de rĂ©aliser des Ă©tudes quantitatives fines sur les axes de recherches de la Chaire. Pour ce faire, la Chaire conduit un travail thĂ©orique et mĂ©thodologique portant sur la qualification des organisations et sur la classification des activitĂ©s d’économie sociale. Un premier document de recherche a prĂ©sentĂ© une mĂ©thode de qualification des organisations et entreprises au sein du champ de l’économie sociale, permettant de couvrir diffĂ©rentes dĂ©finitions qui en sont faites (Bouchard, Ferraton et Michaud, 2006a et 2006b). Le prĂ©sent cahier prĂ©sente une mĂ©thode de la classification Ă©conomique des activitĂ©s d’économie sociale. Afin de permettre de mieux documenter la place de l’économie sociale dans l’économie, le systĂšme de classification dĂ©veloppĂ© ici tente de respecter une continuitĂ© avec les autres systĂšmes d’information sur l’économie sociale, et s’inspire aussi du SystĂšme de classification des industries de l’AmĂ©rique du Nord (SCIAN). Ces deux rĂ©alisations, la premiĂšre sur la qualification des organisations et la seconde sur la classification des activitĂ©s d’économie sociale, font partie du SystĂšme d’information sur les organisations d’économie sociale (SIOES), une oeuvre de crĂ©ation qui a fait l’objet d’un enregistrement de droits d’auteurs auprĂšs de l’Office de la propriĂ©tĂ© intellectuelle du Canad

    Base de donnĂ©es sur les organisations d’économie sociale, les critĂšres de qualification des organisations

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    Si l’économie sociale a une histoire dĂ©jĂ  riche, sa dĂ©finition ne fait pas aujourd’hui l’unanimitĂ© rendant difficile sa dĂ©limitation et le suivi de son Ă©volution Ă  des fins statistiques. Certaines dĂ©finitions n’intĂšgrent que les composantes non marchandes dans le champ de l’économie sociale, d’autres, Ă  l’inverse, uniquement les composantes marchandes. Ce texte propose une nouvelle approche regroupant les composantes non marchandes et marchandes de l’économie sociale. Quatre critĂšres de qualification sont proposĂ©s, ce qui permet de situer, sur quatre continuums, le degrĂ© de correspondance des organisations Ă  ces critĂšres.Although it has a rich history, the social economy does not have a clear definition that brings unanimity. This makes it difficult to delimit and follow the evolution of the social economy through statistics. Some definitions only integrate the market-based components. Some others, on the contrary, only take into account the non-market components. This text proposes a new approach, which groups together market and non-market components of the social economy. Four criteria for qualification are being proposed, which permits us to situate, over four continuums, the degree of correspondence of organizations to these criteria

    Database on social economy organizations: The qualification criteria

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    With support from Philippe Leclerc.Translated by Donna Riley.Although it has a rich history, the social economy does not yet have a clear, unanimously supported definition. This makes it difficult to delineate and follow the evolution of the social economy for statistical purposes. Some definitions of the social economy only incorporate the non-market components, and others, only market-based ones. This text proposes a new approach which groups together both the non-market and market components of the social economy. Four qualification criteria are proposed which allow us to situate, along four continuums, the degree to which organizations correspond to these criteria.Si l’économie sociale a une histoire dĂ©jĂ  riche, sa dĂ©finition ne fait pas aujourd’hui l’unanimitĂ©, rendant difficiles sa dĂ©limitation et le suivi de son Ă©volution Ă  des fins statistiques. Certaines dĂ©finitions n’intĂšgrent que les composantes non marchandes dans le champ de l’économie sociale ; d’autres, Ă  l’inverse, uniquement les composantes marchandes. Ce texte propose une nouvelle approche regroupant les composantes non marchandes et marchandes de l’économie sociale . Quatre critĂšres de qualification sont proposĂ©s, ce qui permet de situer, sur quatre continuums, le degrĂ© de correspondance des organisations Ă  ces critĂšres.This research was undertaken thanks in part to the financial support of the Canada Research Chairs Program, SSHR
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