58 research outputs found

    Neutrophil Elastase Activity Imaging: Recent Approaches in the Design and Applications of Activity-Based Probes and Substrate-Based Probes

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    International audienceThe last few decades of protease research has con rmed that a number of important biological processes are strictly dependent on proteolysis. Neutrophil elastase (NE) is a critical protease in immune response and host defense mechanisms in both physiological and disease-associated conditions. Particularly, NE has been identi ed as a promising biomarker for early diagnosis of lung in ammation. Recent studies have shown an increasing interest in developing methods for NE activity imaging both in vitro and in vivo. Unlike anatomical imaging modalities, functional molecular imaging, including enzymatic activities, enables disease detection at a very early stage and thus constitutes a much more accurate approach. When combined with advanced imaging technologies, opportunities arise for measuring imbalanced proteolytic activities with unprecedented details. Such technologies consist in building the highest resolved and sensitive instruments as well as the most speci c probes based either on peptide substrates or on covalent inhibitors. is review outlines strengths and weaknesses of these technologies and discuss their applications to investigate NE activity as biomarker of pulmonary in ammatory diseases by imaging

    Implementation of drift velocities and currents in SOLEDGE2D-EIRENE

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    International audienceIn order to improve cross-field transport description, drifts and currents have been implemented in SOLEDGE2D-EIRENE. The derivation of an equation for the electric potential is recalled. The resolution of current equation is tested in a simple slab case. WEST divertor simulations in forward-B and reverse-B fields are also discussed. A significant increase of ExB shear is observed in the forward-B configuration that could explain a favorable L-H transition in this case

    Reactivite du nitrite dans les produits carnes : action sur les acides amines, proteines et lipides

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    SIGLECNRS T Bordereau / INIST-CNRS - Institut de l'Information Scientifique et TechniqueFRFranc

    Politiques de développement de l'entrepreneuriat par la microfinance ::importance ou négligence du capital social ?

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    Un volet de la microfinance est destiné à stimuler la création d’activités micro - entrepreneuriales génératrices d’emplois et de revenus parmi les couches sociales défavorisées dans les pays en développement. Comme les études entrepreneuriales accordent un e certaine importance à l’organisation de la société et notamment au capital social, cette communication s’interroge sur le rôle accordé à celui - ci parmi les institutions de microfinance. En partant d’une analyse comparative des approches de la Grameen Ban k et de la Banque Mondiale, il est suggéré que les institutions de microfinance à but solidaire lui accordent une place importante, sinon déterminante, alors que les institutions de microfinance à but commercial l’ont ignoré ou négligé au moins jusqu’à la crise financière mondiale de 2008 - 09

    A mobile revolution in sub-Saharan Africa?

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    L’essor du mobile en Afrique a suscité un enthousiasme fort, dont témoignent tant les rapports et programmes des institutions de l’aide au développement, que la constitution récente d’une « communauté » rassemblant chercheurs, ONG, bailleurs et entreprises autour des nouvelles technologies pour le développement (Information and communication technologies for development ou ICTD). En ouverture de ce numéro qui rassemble des recherches récentes sur les usages des technologies mobiles en Afrique subsaharienne, nous proposons un état des lieux. Le mobile a-t-il tenu ses promesses ? Que sait-on de ses usages concrets en Afrique subsaharienne ? L’article rend compte d’un décalage important entre les promesses des programmes internationaux ou des prévisions économiques, et la réalité des pratiques et des usages. Il introduit les articles du dossier qui mettent en évidence tant l’importance qu’occupe le téléphone mobile dans le quotidien des populations, que la pluralité, et la complexité, des modalités d’appropriations effectives et des enjeux qu’il soulève pour le continent.The rapid growth of mobile phones in Africa has generated widespread enthusiasm. This is evidenced by the reports and programmes of development aid institutions and by the recent creation of a “community” bringing together researchers, NGOs, donors and companies around new technologies for development (Information and Communication Technologies for Development or ICTD). In the first article of this issue of Réseaux devoted to recent research on the use of mobile technologies in sub-Saharan Africa, we review the situation. Has the mobile kept its promises? What do we know about its actual uses in sub-Saharan Africa? The article reports on a significant gap between the promises of international programmes or economic forecasts, and the reality of practices and usage. It presents the articles in the special issue, which highlight the importance of mobile phones in the daily lives of populations, as well as the plurality and complexity of the actual take up of this technology and its significance for the continent

    Les petites entreprises informelles africaines au défi des technologies numériques

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    Carnet de recherche LAMenparleMaître de conférences en économie à Sciences Po Bordeaux et chercheur au LAM Kevin Mellet Sociologue au département de recherches en sciences sociales d'Orange La diffusion rapide du mobile et des usages d'internet sont-ils susceptibles de contribuer au développement des entreprises informelles dans les pays en développement et émergents ? Le laboratoire « Les Afriques dans le Monde » (Sciences Po Bordeaux) et Orange ont lancé en 2016 un projet de recherche ambitieux dont l'objectif principal est de renforcer la compréhension des usages numériques des entrepreneurs informels en Afrique Sub-Saharienne. Le projet prévoit plusieurs études, dont une enquête par questionnaire auprès de 500 micro et petites entreprises informelles dans l'agglomération de Dakar, et une enquête ethnographique complémentaire. En amont de ces enquêtes en cours de réalisation, nous avons réalisé un état de l'art détaillé de la littérature portant sur l'usage des TIC dans le monde en développement afin d'identifier les canaux à travers lesquelles ces dernières peuvent avoir un impact sur la dynamique et les performances de micro et petites entreprises informelles. Nous en présentons ici les principaux résultats. Le continent africain connaît depuis 15 ans des transformations économiques et sociales rapides. Avec sur cette période des taux de croissance économique annuels moyens de plus de 5%, le continent a suscité de nombreux espoirs quant à ses perspectives d'émergence. Pour autant, l'essoufflement récent de cette croissance révèle la persistance de vulnérabilités structurelles importantes dans nombre de ces économies. La place occupée par le secteur informel constitue l'un des aspects les plus visibles et emblématiques de cette fragilité caractéristique des économies des pays en développement. Définir l'économie ou le secteur informel est un exercice difficile, tant est grande l'hétérogénéité de cet ensemble d'acteurs et unités de production, qui varient tant par la taille, le dynamisme que le secteur d'activité (artisanat, réparation, restauration, petit commerce, etc.). Ceci-dit, il existe aujourd'hui un certain consensus au sein de la communauté scientifique pour considérer l'économie informelle comme l'ensemble des activités génératrices de revenus exercées, à des degrés divers, en dehors des règles institutionnelles ou du cadre légal (législation pénale, sociale ou fiscale, comptabilité nationale). Les activités économiques informelles ontLa diffusion rapide du mobile et des usages d’internet sont-ils susceptibles de contribuer au développement des entreprises informelles dans les pays en développement et émergents ? Le laboratoire « Les Afriques dans le Monde » (Sciences Po Bordeaux) et Orange ont lancé en 2016 un projet de recherche ambitieux dont l’objectif principal est de renforcer la compréhension des usages numériques des entrepreneurs informels en Afrique Sub-Saharienne. Le projet prévoit plusieurs études, dont une enquête par questionnaire auprès de 500 micro et petites entreprises informelles dans l’agglomération de Dakar, et une enquête ethnographique complémentaire. En amont de ces enquêtes en cours de réalisation, nous avons réalisé un état de l’art détaillé de la littérature portant sur l’usage des TIC dans le monde en développement afin d’identifier les canaux à travers lesquelles ces dernières peuvent avoir un impact sur la dynamique et les performances de micro et petites entreprises informelles. Nous en présentons ici les principaux résultats

    Téléphonie mobile et secteur informel à Dakar : diversité et polarisation des usages professionnels

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    Publié sur LamenparleLa version originale de cet article a été publiée sur The Conversation. Avec l\textquoterightaimable autorisation de reproduction de la rédaction. Berrou Jean-Philippe (Economiste à LAM, CNRS, Sciences Po Bordeaux) et Kevin Mellet (Sociologue à Orange Labs, Orange Digital Society Forum) François Combarnous (GREThA CNRS, Université de Bordeaux), Thomas Eekhout (GREThA CNRS, Université de Bordeaux) et \textellipsis Continuer la lecture de Téléphonie mobile et secteur informel à Dakar : diversité et polarisation des usages professionnels \textrightarro

    Le mobile et ses usages en Afrique subsaharienne

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    Fin 2018, l’Afrique subsaharienne comptait 456 millions de souscripteurs mobiles uniques, soit 44 % de la population du sous-continent ; un tiers d’entre eux se connectaient depuis un smartphone (GSMA, 2019). Les technologies mobiles sont ainsi très largement adoptées par les populations, y compris les plus pauvres et dans des contextes socio-économiques marqués par l’informalité. Pour leurs utilisateurs, les téléphones mobiles ne sont pas seulement un outil de communication, mais également le mode d’accès privilégié à internet et à de nombreux services – tels que les services financiers via le mobile money – dans une région où la fourniture de ces services par des moyens conventionnels est limitée par des problèmes d’investissement et d’infrastructures. L’essor du mobile en Afrique a suscité depuis une quinzaine d’années un enthousiasme fort, dont témoignent tant les rapports et programmes d’aide internationaux financés par la Banque Mondiale et les grands bailleurs du continent, que des travaux académiques, principalement en économie, réactivant la promesse du développement par la diffusion du mobile. L’expansion des technologies mobiles devrait logiquement modifier en profondeur un grand nombre de domaines de la vie sociale et économique sur le continent. Mais qu’en est-il vraiment ? La révolution mobile a-t-elle vraiment eu lieu en Afrique subsaharienne ? Quelle est sa contribution réelle au développement économique et social du sous-continent ? Ce dossier de Réseaux, consacré au téléphone mobile et à ses usages en Afrique subsaharienne, rassemble des recherches empiriques récentes qui permettent de mettre en perspective et de nuancer les discours enchanteurs (et contempteurs) de la technologie mobile et des changements qu’elle apporte. Les travaux rassemblés ici portent sur des objets et des contextes d’adoption très variés (la santé, la musique, l’économie informelle, les pratiques magico-religieuses). Ils dressent le portrait d’une technologie omniprésente dans le quotidien, mais dont les effets ne sont pas forcément les plus attendus. [Présentation de l'éditeur

    Mon mobile, mon marché. Usages du téléphone mobile et performances économiques dans le secteur informel dakarois.

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    International audienceIn sub-Saharan Africa, the vast majority of businesses belong to the so-called “informal” sector. As yet, little is known about their take up of the mobile phone, which suddenly and massively irrupted into their daily operations within less than a decade. This article, which is based on an original study of 500 entrepreneurs in the informal sector in Dakar, combines quantitative and qualitative methods. Its contribution is threefold. First, the study provides broad and detailed empirical insight into the adoption and use of mobile phones by informal entrepreneurs in sub-Saharan Africa. Second, the article draws on an original survey and analysis methodology to propose a robust and comprehensive typology of these entrepreneurs’ business uses of mobile phones. Finally, it provides a statistical analysis of the relationship between mobile phone uses and economic performance. Ultimately, this article seeks to contribute to a better understanding of the informal sector and its specific dynamics.En Afrique subsaharienne, l’immense majorité des entreprises appartiennent au secteur dit « informel ». On sait encore peu de choses sur la façon dont elles se sont emparées du téléphone mobile, qui a fait une brusque et massive irruption dans leur quotidien en moins d’une décennie. S’appuyant sur une enquête originale mêlant méthodes quantitatives et qualitatives, auprès de 500 entrepreneurs du secteur informel de Dakar, l’article apporte trois contributions principales. Premièrement, l’enquête apporte un éclairage empirique ample et détaillé sur l’adoption et les usages du mobile par les entrepreneurs informels d’Afrique subsaharienne. Deuxièmement, l’article propose une typologie robuste et compréhensive des usages professionnels du mobile par ces entrepreneurs, à partir d’une méthodologie d’enquête et d’analyse originale. Enfin, l’article restitue une analyse statistique des relations entre usages du mobile et performances économiques. Il s’agit in fine de contribuer à une meilleure connaissance du secteur informel et de ses dynamiques propres
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