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Preliminary thoughts upon the policies of the Ottoman State in the 16th century Indian Ocean
This article aims to sketch concisely about the relationships between the Ottomans and the Portuguese pertaining to the developments in the Indian Ocean in the first half of the 16th century. The purpose of the Portuguese Kingdom to establish hegemony in the eastern seas occurred in an era when Ottoman State’s borders reached nearly the central Europe. After annexing the Mamluk Sultanate, the Ottomans expanded its borders and became adjacent to the Indian Ocean. After having great efforts to be a vigorous power in the Black, Aegean and Mediterrenean Seas from the mid of the 15th century onwards, the Ottomans gave prominence on the advancement of the navy which was considered as complementary to the conventional army in the expansion of the state. Nonetheless, there are disputed accounts among the academicians pertaining to assessment of the Ottoman sea-power against its challenge to the Portuguese sea power in terms of the developments in the Indian Ocean
The issue of Bahasa Malayu from colonial to decolonial era
This paper illustrates a general picture of development of Bahasa Melayu in terms of its socializati on through out the colonial and de-colonial periods. Colonialism ought to be regarded to a larger extent, a reconstruction of the languages of the natives in their homeland. On the other hand, de-colonialism has witnessed the process of de- con str uction of existing language policies an d practices in n ewl y established nation -states. This is a process that cannot be alienated from the efforts of the colonial scholarly rulers, since they played a paramount role and functioned well pertaining to the use of Bahasa Melayu, though they did not plan for what appeared during the de- colonial era.
To map the position of Bahasa Melayu during the different colonial periods, the investigation has been narrowed to certain fields focusing on the use of the language in an education system. Henceforth, it would be naïve to expect that the language issue would be settled in a short time after the independence. Wh en all steps and phases are traced, it would become clear that how the process was stressful and is still in evitably, at least to some extent, a national issue.
It was during the British era and most of the post -in dependence era, that various types of policies were designed to rediscover the phenomen on of Bahasa Melayu in terms of history, sociology, culture and civilization. All the policies have played paramount roles and functioned as tools in the construction of cultural unity and nation -state formation in a successive manner. These transformations have led Bahasa Melayu to be brought into full existence normatively from a mere position of vernacular system wh ich was described as a malfunction during the colonial era.
The attempts to design a national and official language are claimed as the cement of socio-political unity in the newly established nation-state. The language transformation process was smooth , in stead, it in cluded extremely challenging situations and contradictory encounters. The nation-state building during the decolonization has witnessed the growing competitiven ess between languages, not only the English and Bahasa Malayu but also Bahasa Malayu and minority languages as an expression of exoglossic policy and endoglossic policies
A Critical Appraisal of the Economics Rationale of Government-Subsidized Manpower Training
Les programmes gouvernementaux de formation de la main-d'oeuvre ont connu depuis quelques années une expansion rapide. Les économistes entreprennent sans hésiter des recherches empiriques visant à évaluer le rendement des fonds publics utilisés à cette fin, sans s'attacher outre mesure, cependant, aux théories de base qui motivent une politique de formation de la main-d'oeuvre.Comment expliquer la politique de formation de la main-d'oeuvre ?Est-il justifiable de financer les programmes de formation de la main-d'oeuvre au moyen de fonds publics ? Quelles sont les limites d'une politique de formation de la main-d'oeuvre ?Nous analysons ces questions à la lumière de trois aspects économiques importants, issus respectivement de la macro- et de la micro-économique, et de l'économique du bien-être.Premièrement, l'hypothèse du chômage structurel justifie théoriquement ces programmes de formation en supposant qu'elles rendront plus faciles les échanges nécessaires pour obtenir à la fois une stabilité des prix et un niveau élevé d'emploi ; deuxièmement, l'hypothèse d'un marché du travail structuré en confirme le bien-fondé en affirmant que le secteur privé ne veut pas ou ne peut pas satisfaire à la demande de formation de la main-d'oeuvre requise par le taux de croissance économique.Troisièmement, l'hypothèse des bénéfices sociaux justifie ces programmes par le fait qu'une telle politique gouvernementale produit, au niveau social, des économies nettement supérieures aux coûts impliqués.Une évaluation de ces trois approches permet d'y voir d'importantes limites. Pour ce qui est de l'argument au niveau structurel, il est prouvé que la formation de la main-d'oeuvre ne joue qu'un rôle restreint dans la stimulation de la demande, puisque l'offre de travailleurs plus qualifiés ne peut pas d'elle-même créer une demande pour ces travailleurs qualifiés. L'argument structuraliste ne tient pas compte des difficultés qui existent à évaluer l'ampleur et le type de la formation déjà fournie par l'entreprise privée et par les travailleurs eux-mêmes, ainsi que la quantité résiduelle de formation que le gouvernement devra fournir pour combler le déficit. Pour ce qui est des bénéfices sociaux de ces programmes, il est tout indiqué d'affirmer qu'ils échappent à toute mesure monétaire, de sorte qu'il demeure impossible d'évaluer financièrement l'avantage social de ces programmes, ainsi que le coût qu'ils impliquent.On peut donc justifier la politique gouvernementale de financement des programmes de formation de la main-d'oeuvre, en s'appuyant sur la théorie économique, sans pouvoir toutefois fixer le point d'ampleur que doit prendre ces programmes. Les problèmes théoriques et pratiques qui l'empêchent font voir aussi le danger qui existe de dépasser ce point maximal et de dépenser inutilement les fonds publics, sous prétexte qu'il est motivé par un raisonnement logique.Il est facile de pousser très loin un tel raisonnement et d'en exagérer l'importanceThe author endeavors to present a detailed analysis of the economic rationale of a manpower training policy, and provides useful insights on its limits through a selective study of macro-, micro-, and welfare economic theory
Job Vacancy Survey as a Tool of Labour Market Information in Developing Countries
Cet article présente une méthode pour inventorier les emplois disponibles dans un contexte de roulement de main-d'oeuvre. Cette méthode est originaire de la Malaisie où elle sert maintenant pour des relevés trimestriaux. Cependant cette approche a la qualité d'être assez générale pour pouvoir servir dans d'autres pays.Dans un premier temps sont examinés les usages opérationnels des données sur les emplois disponibles. Une information régulière et uniforme sur la demande actuelle de main-d'oeuvre aiderait les services d'emploi ou les centres de main-d'oeuvre à accroître son taux de placement, à améliorer ses programmes de mobilité de main-d'oeuvre et ses programmes de formation. En plus, un certain nombre d'inventaires des emplois disponibles faciliterait les prévisions de main-d'oeuvre en longue période.Quant au cadre technique de l'inventaire, le nombre des emplois disponibles non remplis à un moment donné n'est pas un guide fiable et suffisant pour la formation, la mobilité et les autres politiques de main-d'oeuvre. La méthode proposée a pour but de mesurer le changementtotal dans la demande de main-d'oeuvre pendant une période de temps plutôt que de faire référence aux emplois disponibles non remplis à une date spécifique. Le volume total de la demande de main-d'oeuvre à la date initiale, D0, est égal au volume d'emploi E0, plus les emplois disponibles non remplis, U0: D0 = E0 + U0 (1)De la même façon, à une date subséquente, (notée par le souscrit 1), nous obtenons : D1= D0+ F - S - U0+ U1 (2)où F représente les placements (ou les vacances remplies) et S les pertes d'emploi. Alors le changement dans la demande de main-d'oeuvre, AD, du temps 0 au temps 1 est: ∆ D = D1- D0= F - S - U0- U1 (3)Vu que dans les pays en voie de développement les emplois disponibles difficiles à remplir sont rares à n'importe lequel moment dans le temps, la nécessité d'introduire l'aspect temps semble ici moins importante que dans les pays industrialisés. Alors même si U0peut avoir un signe positif, il semble être utile de grouper toutes les vacances non remplies et d'y référer comme si c'était à la date terminale de l'inventaire. Dans ce cas, nous obtenerions : ∆D = F - S + U1 (4)Il est plus facile de travailler avec l'équation (4) que l'équation (3). C'est cette équation (4) qui à la base du travail fait en Malaisie sur ce sujet. Cependant il peut être souhaitable d'introduire la différentiation de temps dans le traitement de ce problème dans d'autres pays.The purpose of this article is to present an operational method for collecting systematic data about current manpower demand. This method was originally developed in Malaysia, where it is now being implemented as a regular programme in the Ministry of Labour
Economic Returns on Under-Graduate Fields of Study in Canadian Universities, 1961 to 1972
Dans cet article, l'auteur tente d'évaluer le taux de rendement de 21 disciplines scolaires dans les universités canadiennes.Certaines études ont été faites sur le sujet dans le passé, mais elles avaient une portée générale. Ce que l'auteur cherche à cerner ici, c'est l'écart qui peut exister d'une discipline à une autre.À cette fin, il a divisé son étude en trois parties. Dans une première partie, il évalue le rendement pécuniaire que peut rapporter au diplômé son travail dans une discipline donnée compte tenu des investissements qu'il a dû engager. Pour y arriver, il se place à trois moments différents: 1961, date du point de départ du mouvement d'investissements dans les études universitaires; 1969, date qui marque le sommet d'une expansion sans précédent dans la course au « haut savoir » ; 1972, finalement, début d'une période de régression économique susceptible d'influer sur les taux de rendement futurs.Les données obtenues indiquent les taux de rendement qu'un diplômé d'une discipline donnée peut espérer réaliser au cours de sa carrière, s'il persévère dans la profession qu'il a choisie.La deuxième partie, qui présente un modèle simple de détermination des salaires sur les marchés du travail au Canada, veut aider à évaluer les conséquences de l'offre et de la demande d'emploi sur la détermination des salaires des diplômés débutants entre 1961 et 1972, ce qui permet de voir s'il y a ou non « surproduction » de diplômés suivant les disciplines.Dans la troisième partie, l'auteur fait ressortir les principales observations qu'il a faites ainsi que leurs implications pour l'avenir.Relativement à la première partie de l'étude, l'auteur note d'abord que très peu d'études ont été faites sur le taux de rendement des études universitaires depuis 1960 et aucune en ce qui concerne une discipline déterminée. Si la formation universitaire constitue une forme d'investissement dans l'acquisition d'un diplôme on peut la comparer à l'investissement d'un capital dans une entreprise. Au départ d'un pareil calcul, il faut considérer un facteur risque qui réside dans la possibilité d'accéder au diplôme convoité. S'y ajoutent certaines hypothèses qui entrent en ligne de compte: l'entrée à l'université commence à 18 ans, le coût de la scolarité s'établit à la fin de chaque année d'étude: les gains obtenus après le diplôme sont calculés à la fin de chaque année.L'auteur établit le coût des études universitaires de la façon suivante: les frais de scolarité, ce que le sujet aurait vraisemblablement gagné s'il était entré sur le marché du travail à la fin de son cours secondaire, les dépenses relatives à l'achat de livres, les bourses qu'il a pu obtenir et certaines dépenses incidentes qu'il est difficile d'apprécier. Au sujet des revenus qu'il a ainsi perdus, l'auteur signale spécialement leur importance: celles-ci équivalaient à 85 pour cent des dépenses en 1961 et elles étaient un peu moins élevées en 1972. D'où il résulte que la principale dépense qu'il faille attribuer à la formation universitaire consiste dans la perte de gains.Quant au rendement des capitaux ainsi engagés, l'auteur l'a estimé à 14 pour cent en 1961. Il a grimpé jusqu'à 22 pour cent en 1972. À ce propos, quand l'on veut comparer les fluctuations entre les taux de rendement des différentes disciplines, il faut étudier attentivement le tableau no 1 ; ce tableau est ensuite analysé dans les pages suivantes de l'article. Les taux de rendement comparés à ceux qui existent aux États-Unis apparaissent relativement plus élevés.L'auteur note aussi que, de 1961 à 1972, le coût de la formation universitaire s'est accrue en moyenne de 6.5 pour cent par année.En ce qui touche le taux de départ des traitements des diplômés, le tableau 2 démontre que, de 1961 à 1969, toutes les disciplines ont connu des augmentations, non seulement en dollars courants, mais aussi en dollars constants. Dans toutes les disciplines, sauf trois, cette augmentation a été plus marquée que dans le cas des majorations de salaire en général. Depuis 1969, cependant, la situation s'est inversée. Pendant cette période (1969-1972), une seule discipline, celle du travailleur social, a connu des taux de salaire de départ qui dépassait l'augmentation des salaires en général.De fait, sur les 21 disciplines, huit seulement ont connu des gains dans les taux de salaires réels. Les salaires réels ont diminué dans le cas des 13 autres, pour certaines d'une façon substantielle, mais en moyenne de 1 pour cent par année.L'auteur attribue cet état de choses aux changements survenus dans l'économie d'abord, mais il ne peut s'empêcher de noter en même temps que pendant cette période le nombre des inscriptions a doublé dans les six universités qui ont fait le sujet de son étude, ce qui l'amène à penser que le déclin peut s'expliquer aussi par un accroissement de l'offre par rapport à la demande. L'auteur analyse ensuite la situation du marché du travail selon qu'il s'agit des disciplines professionnelles et des diplômes de formation générale.De cette étude, il tire finalement trois conclusions. Premièrement, si les conditions économiques générales de la décennie 1960 avaient persisté, le marché aurait sans doute absorbé les diplômés. La deuxième conclusion à laquelle en arrive l'auteur, c'est qu'il s'est créé une espèce de marché de substitution en provenance des collèges d'enseignement professionnel. La troisième conclusion, c'est que, malgré un déclin depuis 1969, le taux de rendement, qui se situait en 1972 à 18 pour cent par rapport à 22 pour cent>en 1969, demeure encore très attrayant.This paper provides comparable estimates of private rates of return on a set of21 undergraduate courses of study at Canadian Universities in 1961, 1969 and 1972, and then attempts to explain observed shifts in the college labour market using a simple multiple regression model
The Ontario University System as Wealth-Creator: Who Benefits? Who Pays?
This study is based on the assumption that university, inter alia, functions as a wealth- creator; as a result, it can effectively influence the distribution of income among groups and individuals. Since the Ontario university system is heavily financed out of general tax revenues, and supplied as a leading form of "public good," considerations of equity require that the system should serve both the principle of equality of opportunity as well as that of equality of results for all groups. An empirical evaluation of the system, based on the class of 1974 full-time male undergraduates, found that the present university education in the province is significantly regressive, tending to create wealth for, and shift income distribution in favour of, the higher income groups.Le présent travail prémume au départ que l'université a entre autres rôles, celui d'assurer à ses étudiants de bons revenus et comme conséquence peut influencer la distribution de revenus entre les groupes et les individus. Comme les universités de l'Ontario reçoivent leurs fonds en grande partie des revenus publics, une répartition équitable supposerait que tout groupe a droit aux mêmes chances et occasions de succès. Cependant une enquête basée sur l'année scolaire 1974 parmi un groupe d'étudiants à temps pleins, tous mâles, révéla que l'éducation universitaire en Ontario a des effets rétrogrades, et a tendance à stimuler l'acquisition de gros revenus surtout chez les étudiants venant de classes favorisées
The Turco-Armenian Tragedy, 1915
Taha Toros Arşivi, Dosya No: 77/A-Ermenilerİstanbul Kalkınma Ajansı (TR10/14/YEN/0033) İstanbul Development Agency (TR10/14/YEN/0033
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