27 research outputs found

    Aurières, Cisternes-la-Forêt, Gelles, Heumes-l'Église, Prondines, Saint-Sulpice, Sauvagnat et Tortebesse

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    Identifiant de l'opération archéologique : 84 Date de l'opération : 2007 (PI) Les résultats les plus probants de ces quatre années de prospection-inventaire (BSR 2004, p. 104-105 ; BSR 2005, p. 115-116 ; BSR 2006, p. 126-127, Guy Massounie) concernent les communes traversées par l’autoroute A 89 avec les travaux connexes du remembrement (Briffons, Bromont-Lamothe, Cisternes-la-Forêt, Gelles, Heume-l’Église, Prondines et Tortebesse), de même que celles dans lesquelles se pratiquent encore des ..

    Bourg-Lastic, Perpezat, Saint-Julien-Puy-Lavèze, Saint-Sulpice, Saulzet-le-Froid, Rochefort-Montagne, Orcival, Vernines, Aurrières, Saint-Pierre-Roche, Saint-Bonnet-près-Orcival, Nébouzat, Olby, Saint-Pierre-le-Chastel, Mazaye et Pontgibaud

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    Identifiant de l'opération archéologique : 142 Date de l'opération : 2006 (PI) Dans le cadre d’un doctorat d’histoire ancienne (option archéologie) intitulé « Peuplement et paysages dans les Combrailles, de la Protohistoire au Moyen Âge (Puy-de-Dôme) », conduit sous la direction de Frédéric Trément, j’ai effectué des prospections dans les Combrailles-sud (communes de Bourg-Lastic, Perpezat, Saint-Julien-Puy-Lavèze et Saint-Sulpice-Laurière) et dans le bassin amont de la Sioule (communes de Au..

    Les minières dans les Combrailles

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    Identifiant de l'opération archéologique : OA6422 Date de l'opération : 2008 - 2009 (PT) Des prospections sont menées depuis plusieurs années dans une quinzaine de communes de la Haute-Combraille, à la recherche de mines antiques, en se basant sur les toponymes pouvant évoquer ce type d’activité. C’est seulement une douzaine de minières qui ont été repérées sur un total de 19 sites. Malgré tout, la présence de l’or est effective sur deux de ces sites (b..

    Tortebesse – Entre les Deux Bois, site de la voie de Bois Clair/Bois du Clergeat

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    Identifiant de l'opération archéologique : 102 Date de l'opération : 2007 (SD) Un sondage archéologique a été réalisé entre le 20 août et le 1er  septembre 2007 sur un tronçon de voie, localisé à l’extrémité sud-est de la commune de Tortebesse, dans la forêt communale de l’Éclache, plus précisément au lieu-dit « bois Clair » ou « bois de Clergeat ». La surface totale sondée atteint les 19 m2 . Cette voie, qui a l’aspect d’une levée de terre sur environ 600 m, exceptionnellement conservée d..

    Peuplements et paysages aux confins occidentaux du territoire des Arvernes de la protohistoire au moyen âge

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    The opening of the window of study of Combrailles provides new insights into the power and the wealth of the city of Arvernes.The occupacy of the territory is continuous from the Protohistory to the Middle Ages, with a great development at the time of the Roman Empire.The layout of two major ways is established : the density of population along their path proves the role they played.The settlement of the habitat (including those of the elites) on the whole territory shows the economic complementarity between rural areas and the cities.The density of mining spaces and the exploitation of gold during the Gallic period certainly contribute to the richness of Arvernes.L’ouverture de la fenêtre des Combrailles apporte des enseignements nouveaux sur la puissance et la richesse de la cité des Arvernes.L’occupation du territoire est continue, de la Protohistoire au Moyen Âge, avec un très grand développement au moment de l’Empire romain.Le tracé des deux voies romaines majeures est établi : la densité de la population le long de leur passage prouve le rôle qu’elles ont joué.L’installation des habitats (avec la présence des élites) sur la totalité du territoire montre la complémentarité économique entre la capitale et la moyenne montagne.La densité des espaces miniers et l’exploitation de l’or à la période gauloise ont certainement contribué à la richesse des Arvernes

    Combrailles-sud et Val de Sioule-amont (Puy-de-DĂ´me).

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    Dans le cadre d’un doctorat d’histoire ancienne sur « Peuplement et paysages dans les Combrailles, de la protohistoire au Moyen Âge (Puy-de-Dôme) », des prospections menées dans les Combrailles-sud ont mis en évidence le potentiel archéologique de la commune de Cisternes-la-Forêt, dans un espace qui a conservé une grande partie du parcellaire médiéval. Ainsi a-t-on pu repérer une cinquantaine de sites nouveaux, dans une commune où seulement trois étaient connus. Ces prospections viennent conf..

    Settlements and landscapes on the western borders of the territory of the Arvernes from protohistory to the Middle Ages

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    L’ouverture de la fenêtre des Combrailles apporte des enseignements nouveaux sur la puissance et la richesse de la cité des Arvernes.L’occupation du territoire est continue, de la Protohistoire au Moyen Âge, avec un très grand développement au moment de l’Empire romain.Le tracé des deux voies romaines majeures est établi : la densité de la population le long de leur passage prouve le rôle qu’elles ont joué.L’installation des habitats (avec la présence des élites) sur la totalité du territoire montre la complémentarité économique entre la capitale et la moyenne montagne.La densité des espaces miniers et l’exploitation de l’or à la période gauloise ont certainement contribué à la richesse des Arvernes.The opening of the window of study of Combrailles provides new insights into the power and the wealth of the city of Arvernes.The occupacy of the territory is continuous from the Protohistory to the Middle Ages, with a great development at the time of the Roman Empire.The layout of two major ways is established : the density of population along their path proves the role they played.The settlement of the habitat (including those of the elites) on the whole territory shows the economic complementarity between rural areas and the cities.The density of mining spaces and the exploitation of gold during the Gallic period certainly contribute to the richness of Arvernes

    Centres et périphéries dans les cités antiques du Massif Central. Occupation, mise en valeur et intégration des territoires de montagne dans la cité des Arvernes (fin de l’Âge du Fer – début du Moyen Âge)

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    International audienceArchaeo-environmental researches conducted over the past fifteen years in the territory of the city of Arverni have highlighted the role played by the basin of Clermont-Ferrand and the plain of Limagne in the dynamics of regional development since the Iron Age. More recently, several micro-regional study windows were opened in the mid-mountain areas, which occupy two-thirds the size of this territory (Combraille, Cézallier, Cantal, Livradois, Forez). The DYSPATER program's objective is to initiate an interdisciplinary and diachronic reading of the spatial dynamics of regional development from the Iron Age to the Middle Ages by extending this approach to five other cities in the Massif Central, bordering Arverni (Lemovices, Cadurci, Ruteni, Gabali and Vellavii). The acquisition, in each window, of archaeological and palaeoenvironmental data using a common protocol should ensure comparability of results and allow their interpretation at the regional level. At this scale, mountain areas, previously considered as "peripheral" (relative to the focuses of development observed in basins and valleys), appear central. It is now necessary to characterize the rhythms and forms of land use, and to identify the resources exploited. The communication will present the progress of this research program and attempt to highlight the heterochrony and geographical disparities in the development of mountain areas between the 2nd c. BC and the 5th c. AD. The analysis will implement several markers of development currently under study: small towns, villae, sanctuaries, roads, agropastoral management, crafts, epigraphic evidence of aristocratic presence. Reflection will also address the relevance of the concepts of "frontier" and "integrated margin" to account for the phenomena of development locally observed. It will attempt to answer the question: does the heterogeneity of mountain areas in Roman times result from an uneven development, or at the contrary from a better integration within an economic system based on resource complementarity?Les recherches archéo-environnementales conduites depuis une quinzaine d’années sur le territoire de la cité des Arvernes ont mis en évidence le rôle moteur joué par le bassin de Clermont-Ferrand et plus largement la plaine de la Limagne dans les dynamiques du développement régional depuis l’Âge du Fer. Plus récemment, plusieurs fenêtres d’étude microrégionales ont été ouvertes dans les espaces de moyenne montagne, qui occupent les deux tiers de la superficie de ce territoire (Combraille, Cézallier, Cantal, Livradois, Forez). L’objectif du programme DYSPATER est d’initier une lecture interdisciplinaire et diachronique des dynamiques spatiales du développement des territoires entre l’Âge du Fer et le Moyen Age en élargissant ce type d’approche à cinq autres cités du Massif Central, limitrophes des Arvernes (Lémovices, Cadurques, Rutènes, Gabales et Vellaves). L’acquisition, dans chaque fenêtre, de données archéologiques et paléoenvironnementales selon un protocole commun doit assurer la comparabilité des résultats et autoriser leur interprétation à l’échelle régionale. A cette échelle, les zones de montagnes, considérées jusqu’alors comme « périphériques » (par rapport aux foyers de peuplement que constituent les bassins et les vallées), occupent une place centrale. Il convient d’en caractériser les rythmes et les formes de l’occupation du sol, et d’identifier les ressources exploitées. La communication présentera l’état d’avancement de ce programme de recherche et tentera de mettre en lumière l’hétérochronie et les disparités géographiques du développement des territoires de montagne entre le IIe s. av. J.-C. et le IIe s. de n.è. L’analyse mettra en œuvre plusieurs marqueurs de développement actuellement en cours d’étude : agglomérations « secondaires », villae, sanctuaires, voies de communication terrestres, gestion agropastorale, activités artisanales, indices épigraphiques de la présence aristocratique. La réflexion portera également sur la pertinence des concepts de « front pionnier » et de « marge intégrée » pour rendre compte des phénomènes de développement observés localement. Elle tentera de répondre à la question suivante : l’hétérogénéité des espaces de moyenne montagne à l’époque romaine résulte-t-elle d’éventuelles inégalités de développement ou bien d’une meilleure intégration au sein d’un système économique basé sur la complémentarité des ressources

    Voies de communications, réseaux urbains et dynamiques de développement dans le territoire des Arvernes à l’époque romaine

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    International audienceThe aim of this paper is to examine the relationship between road networks, small towns and development in the Arverni’s territory in Roman times, based on the data acquired through the DYSPATER program, which aims to model spatial dynamics of territorial development in the French Massif Central from the Iron Age to the Middle Ages. Emphasis is placed on the spatial dimension of development: through the identification, mapping and GIS combination of specific markers, it is a question of highlighting the poles of development and their capacity to structure space over time, in order to assess the degree of integration and interdependence of territories.One of the main achievements of this program is to highlight significant disparities in the levels, pace and modalities of development according to the geographical sectors. In order to account for these regional inequalities of development, the use of the “core/periphery” model developed by John Friedmann (1966) and its typology of regional development appeared pertinent. This model shows how and why different parts of a territory develop at different rhythms and how they evolve over time as a function of spatial interactions. The application of this model to the case of the Arverni’s city suggests that four factors seem to have strongly influenced the settlement pattern: the hydro-topography, the resources available, the density of the road network, and the distance from urban centers (chief town of the city and small towns). To these factors must be added the decisive role played by the situation inherited from the pre-Roman period.However, the limits of the application of this model are rapidly reached, since it is difficult to assess the degree of economic dependence of these spaces with respect to the core region. In particular, this approach raises the crucial problem of the role of small towns in the structuring of the territory and in local development processes.Cette contribution a pour ambition d’examiner les relations entre réseau routier, petites villes et développement dans le territoire des Arvernes à l’époque romaine, sur la base des données acquises dans le cadre du programme DYSPATER, qui vise à modéliser les Dynamiques spatiales du développement des territoires dans le Massif Central de l’Âge du Fer au Moyen Âge. L’accent est porté sur la dimension spatiale du développement : il s’agit, à travers l’identification, la cartographie et la combinaison sous SIG de marqueurs spécifiques, de mettre en évidence les pôles de développement et leur capacité à structurer l’espace dans le temps, de manière à évaluer le degré d’intégration et d’interdépendance des territoires.L’un des principaux résultats obtenus dans le cadre de ce programme réside dans la mise en lumière d’importantes disparités dans les niveaux, les rythmes et les modalités de développement en fonction des secteurs géographiques. Pour rendre compte de ces inégalités régionales de développement, il est apparu pertinent de recourir au modèle « centre/périphérie » mis au point par John Friedmann (1966), et à sa typologie du développement régional. Ce modèle montre comment et pourquoi les différentes parties d’un territoire se développent à des rythmes différents, et comment elles évoluent dans le temps en fonction des interactions spatiales. L’application de ce modèle au cas de la cité des Arvernes suggère que quatre facteurs semblent avoir fortement conditionné l’organisation de l’habitat : la nature du relief, les ressources disponibles, la densité du réseau viaire, enfin la distance par rapport aux centres urbains, chef-lieu de cité et agglomérations secondaires. À ces facteurs, il faut ajouter le rôle décisif joué par la situation héritée de la période préromaine.Les limites de l’application du modèle « centre/périphérie » sont toutefois rapidement atteintes, dans la mesure où il est difficile d’apprécier le degré de dépendance économique de ces espaces par rapport au centre. La démarche mise en œuvre pose en particulier le problème crucial du rôle des agglomérations secondaires dans la structuration du territoire et dans les processus locaux de développement

    Towns, roads and development dynamics in the Arverni’s territory in Roman times (Auvergne, France)

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    International audienceThe aim of this paper is to examine the relationship between road networks, small towns and development in the Arverni’s territory in Roman times, based on the data acquired through the DYSPATER program, which aims to model spatial dynamics of territorial development in the French Massif Central from the Iron Age to the Middle Ages. Emphasis is placed on the spatial dimension of development: through the identification, mapping and GIS combination of specific markers, it is a question of highlighting the poles of development and their capacity to structure space over time, in order to assess the degree of integration and interdependence of territories.One of the main achievements of this program is to highlight significant disparities in the levels, pace and modalities of development according to the geographical sectors. In order to account for these regional inequalities, the use of the “core/periphery” model developed by John Friedmann (1966) and its typology of regional development appeared pertinent. This model shows how and why different parts of a territory develop at different rhythms and how they evolve over time as a function of spatial interactions. The application of this model to the case of the Arverni’s city suggests that four factors seem to have strongly influenced the settlement pattern: the hydro-topography, the resources available, the density of the road network, and the distance from urban centers (chief town of the city and small towns). To these factors must be added the decisive role played by the situation inherited from the pre-Roman period.However, the limits of the application of this model are rapidly reached, since it is difficult to assess the degree of economic dependence of these spaces with respect to the core region. In particular, this approach raises the crucial problem of the role of small towns in the structuring of the territory and in local development processes.Cette contribution a pour ambition d’examiner les relations entre réseau routier, petites villes et développement dans le territoire des Arvernes à l’époque romaine, sur la base des données acquises dans le cadre du programme DYSPATER, qui vise à modéliser les Dynamiques spatiales du développement des territoires dans le Massif Central de l’Âge du Fer au Moyen Âge. L’accent est porté sur la dimension spatiale du développement : il s’agit, à travers l’identification, la cartographie et la combinaison sous SIG de marqueurs spécifiques, de mettre en évidence les pôles de développement et leur capacité à structurer l’espace dans le temps, de manière à évaluer le degré d’intégration et d’interdépendance des territoires. L’un des principaux résultats obtenus dans le cadre de ce programme réside dans la mise en lumière d’importantes disparités dans les niveaux, les rythmes et les modalités de développement en fonction des secteurs géographiques. Pour rendre compte de ces inégalités régionales de développement, il est apparu pertinent de recourir au modèle « centre/périphérie » mis au point par John Friedmann (1966), et à sa typologie du développement régional. Ce modèle montre comment et pourquoi les différentes parties d’un territoire se développent à des rythmes différents, et comment elles évoluent dans le temps en fonction des interactions spatiales. L’application de ce modèle au cas de la cité des Arvernes suggère que quatre facteurs semblent avoir fortement conditionné l’organisation de l’habitat : la nature du relief, les ressources disponibles, la densité du réseau viaire, enfin la distance par rapport aux centres urbains, chef-lieu de cité et agglomérations secondaires. À ces facteurs, il faut ajouter le rôle décisif joué par la situation héritée de la période préromaine. Les limites de l’application du modèle « centre/périphérie » sont toutefois rapidement atteintes, dans la mesure où il est difficile d’apprécier le degré de dépendance économique de ces espaces par rapport au centre. La démarche mise en œuvre pose en particulier le problème crucial du rôle des agglomérations secondaires dans la structuration du territoire et dans les processus locaux de développement
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