49 research outputs found

    Evolution of Total and Integrated HIV-1 DNA and Change in DNA Sequences in Patients with Sustained Plasma Virus Suppression

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    AbstractBlood samples from patients with plasma HIV-1 RNA <20 copies/ml for more than 2 years were studied. Significant decreases in total and integrated HIV-1 DNA were observed during the first 15 months of suppressive therapy before the concentrations became stable. Clonal analysis of HIV-1 pol demonstrated that the proportions of resistance mutations in DNA sequences after 2 years were lower than those in baseline DNA and RNA sequences. The changes in the clonal composition of HIV-1 env populations in three patients with evidence of changes in HIV-1 pol populations indicated a shift from predominantly R5-like viruses to predominantly X4-like viruses in two patients and the persistence of predominantly X4-like viruses in the third. Our analyses indicate the reemergence of ancestral sequences from long-lived cells or the residual production of wild-type virus from anatomic sites with limited access to antiretroviral drugs and the preferential infection of cells expressing CXCR4

    Ten-year incidence and risk factors of bone fractures in a cohort of treated HIV1-infected adults.: Bone fractures in HIV1 infected patients.

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    International audienceIn the ANRS CO8 APROCO-COPILOTE cohort of patients treated with combination antiretroviral therapy since 1997-1999, the incidence density of bone fractures was 3.3 for 1000 patient-years [95% confidence interval (CI) = 2.0-4.6]. The rate was 2.9-fold (95% CI = 1.3-6.5) higher among patients with excessive alcohol consumption and 3.6-fold (95% CI = 1.6-8.1) higher in those with hepatitis C virus (HCV) coinfection. Specific monitoring of HCV/HIV-coinfected patients and active promotion of alcohol cessation should be recommended for the prevention of bone fractures

    HIV-1 Residual Viremia Correlates with Persistent T-Cell Activation in Poor Immunological Responders to Combination Antiretroviral Therapy

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    BACKGROUND:The clinical significance and cellular sources of residual human immunodeficiency virus type 1 (HIV-1) production despite suppressive combination antiretroviral therapy (cART) remain unclear and the effect of low-level viremia on T-cell homeostasis is still debated. METHODOLOGY/PRINCIPAL FINDINGS:We characterized the recently produced residual viruses in the plasma and short-lived blood monocytes of 23 patients with various immunological responses to sustained suppressive cART. We quantified the residual HIV-1 in the plasma below 50 copies/ml, and in the CD14(high) CD16(-) and CD16+ monocyte subsets sorted by flow cytometry, and predicted coreceptor usage by genotyping V3 env sequences. We detected residual viremia in the plasma of 8 of 10 patients with poor CD4+ T-cell reconstitution in response to cART and in only 5 of 13 patients with good CD4+ T-cell reconstitution. CXCR4-using viruses were frequent among the recently produced viruses in the plasma and in the main CD14(high) CD16(-) monocyte subset. Finally, the residual viremia was correlated with persistent CD4+ and CD8+ T-cell activation in patients with poor immune reconstitution. CONCLUSIONS:Low-level viremia could result from the release of archived viruses from cellular reservoirs and/or from ongoing virus replication in some patients. The compartmentalization of the viruses between the plasma and the blood monocytes suggests at least two origins of residual virus production during effective cART. CXCR4-using viruses might be produced preferentially in patients on cART. Our results also suggest that low-level HIV-1 production in some patients may contribute to persistent immune dysfunction despite cART

    Analogues nucléosidiques et acidose lactique (à propos de huit observations)

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    Nous sommes actuellement dans une nouvelle ère de la thérapeutique contre le VIH. Des schémas variés et de nouvelles molécules sont proposés dans la pratique courante. Le pronostic des patients VIH s'est considérablement amélioré. En contrepartie, des complications inhérentes aux analogues nucléosidiques se sont manifestées. Nous détaillons huit observations d'acidose lactique ou d'hyperlactatémie symptomatique survenues chez des patients séropositifs à différents stades de la maladie. Ils ont tous bénéficié d'analogues nucléosidiques. L'issue a été fatale pour deux de ces patients malgré l'arrêt de la thérapie antivirale. La symptomatologie était très variable. Plusieurs ont présenté une stéatose hépatique avec ou sans dyslipidémie. La molécule la plus utilisée par nos patients était la stavudine. Sa toxicité mitochondriale est bien décrite dans la littérature. D'autres analogues nucléosidiques ont provoqué des situations similaires dont la zidovudine. L'incidence de l'hyperlactatémie symptomatique ou non reste encore à préciser. La conduite pratique à tenir est bien établie. La mesure du lactate en dépistage primaire est dénuée d'intérêt. L'attention clinique est la base du diagnosticTOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Allées (315552109) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Accidents d'exposition au VIH (prise en charge, chimioprophylaxie et suivi)

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    Traitement antirétroviral (quel rôle pour le pharmacien d officine, quelles attentes de la part des patients)

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    Depuis la découverte de l'épidémie de VIH-sida au début des années 80, de nombreux progrès ont été faits. L'apparition de traitements comme l'AZT en 1987 et surtout les inhibiteurs de protéases à partir de 1996, ont significativement modifié le pronostic de la maladie qui devient alors chronique. Une politique récente de sortie massive de la réserve hospitalière a eu pour conséquence un changement dans les pratiques officinales du pharmacien. Désormais toutes les molécules antirétrovirales sont disponibles à l'officine et pourtant les patients continuent de prendre leur traitement à l'hôpital. Les objectifs de cette enquête seront donc de comprendre pourquoi les patients ne viennent pas s'approvisionner en ville d'une part, et de déterminer le rôle du pharmacien dans la délivrance des antirétroviraux d'autre part. Elle mettra notamment en évidence l'importance de l'instauration d'une relation de confiance entre le patient et le pharmacien dans l'observance et la réussite du traitementTOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF

    Etude du devenir de 38 patients VIH+ en échec thérapeutique après une interruption du traitement de 3 mois

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    Education thérapeutique et VIH, bases, expérience du service des maladies infectieuses et tropicales du CHU de Toulouse (place du pharmacien)

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    L'éducation thérapeutique du patient est une étape incontournable dans la gestion des maladies chroniques. Elle a fait ses preuves avec de nombreuses pathologies comme le diabète, l'asthme, et depuis quelques années, le VIH. Avec l'arrivée sans cesse de nouvelles molécules, et de schémas thérapeutiques lourds, un soutien thérapeutique s'impose. L'objectif des consultations d'éducation thérapeutique est de soutenir le patient dans le vécu de la maladie et dans sa démarche thérapeutique. Après avoir établi avec lui une relation de confiance, il est nécessaire d'élargir ses compétences sur la connaissance de la maladie, de son traitement, définir des objectifs et un projet de vie, tout ceci dans le but de permettre au patient d'aller vers une autonomie complète. Le pharmacien pourra renforcer de par ses connaissances sur le médicament, les messages médicaux, apporter des informations pratiques et théoriques afin de faciliter l'adhésion au traitement.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF

    Recrudescence de la tularémie en Midi-Pyrénées (à propos de 7 cas observés entre octobre 2006 et octobre 2007)

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    La tularémie est une anthropozoonose rare en France (environ 0,04 cas /100 000 habitants), endémique sur quasiment l'ensemble du territoire et responsable de cas humains sporadiques. Francisella tularensis, l'agent pathogène responsable, est un coccobacille Gram négatif à tropisme intracellulaire d'une très grande virulence. En 2007, dix diagnostics ont été réalisés en Midi-Pyrénées, ce qui représente une forte augmentation par rapport aux années précédentes. Nous rapportons ici 7 observations qui rendent compte de la diversité des présentations cliniques de cette maladie. Un des patients a présenté une forme ganglionnaire tout à fait atypique, sans jamais de syndrome infectieux. Cette recrudescence de la tularémie dans notre aire d'influence nous a incité à faire le point de la littérature récente sur cette pathologie et à y confronter nos pratiques. Nous nous sommes aussi intéressé au contexte international puisqu'au même moment sévissait en Espagne une nouvelle épidémie et que cette bactérie est potentiellement utilisable comme arme bioterroriste.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Epidémiologie de la morbi-mortalité des infections nosocomiales au Long séjour de Lannemezan de 1996 à 1999

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    TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Allées (315552109) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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