14 research outputs found

    A propos de la « trahison » de l'inca Yupanqui, commissaire de guerre de la place de Jaca (mars-avril 1809), d'après des documents inédits

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    Rieu-Millan Marie-Laure. A propos de la « trahison » de l'inca Yupanqui, commissaire de guerre de la place de Jaca (mars-avril 1809), d'après des documents inédits. In: Cahiers du monde hispanique et luso-brésilien, n°33, 1979. pp. 49-75

    Los diputados americanos en las Cortes de Cádiz: Elecciones y representatividad

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    Territoire et histoire : à la veille des indépendances

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    Quatre représentants américains aux Cortès de Cadix ont publié un mémoire, entre 1811 et 1813, pour présenter, de façon plus détaillée qu’en session parlementaire, leur province et obtenir l’approbation des remèdes réclamés. Ces textes insistent sur les réalités de l’espace américain, largement ignorées par les Péninsulaires et dont les caractéristiques conditionnaient en particulier l’organisation politico-administrative. L’espace de référence était ici la « province », un territoire qu’il fallait connaître, donc délimiter, investir pleinement, protéger contre les agressions extérieures, mieux occuper et maîtriser, mais aussi ouvrir à l’extérieur. C’était une logique territoriale propre, déjà, à une construction pré-nationale. La présentation historique de la province servait, elle aussi, des objectifs parlementaires et, malgré deux interprétations contrastées de la conquête, ne semble pas annoncer l’écriture d’une histoire nationale américaine

    La suppléance des députes d'outre-mer aux Cortes de Cadix. Une laborieuse préparartion

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    Rieu-Millán Marie-Laure. La suppléance des députes d'outre-mer aux Cortes de Cadix. Une laborieuse préparartion. In: Mélanges de la Casa de Velázquez, tome 17, 1981. pp. 263-289

    Projets de formation des élites créoles dans la Péninsule, à la fin du XVIIIe siècle

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    Rieu-Millán Marie-Laure. Projets de formation des élites créoles dans la Péninsule, à la fin du XVIIIe siècle. In: Mélanges de la Casa de Velázquez, tome 18-1, 1982. pp. 199-214

    Une lettre inédite de Fray Servando de Mier (1810)

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    Rieu-Millan Marie-Laure. Une lettre inédite de Fray Servando de Mier (1810). In: Cahiers du monde hispanique et luso-brésilien, n°39, 1982. pp. 65-73

    Les Cortès de Cadix face à la dissidence américaine : les raisons d'un échec (1810-1814)

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    L'échec des Cortés de Cadix face à la dissidence des provinces américaines est souvent attribué à la myopie politique d'une métropole qui ne renonçait pas à ses intérêts coloniaux. Cet article rappelle les diverses analyses qui ont été faites de cet échec, en insistant sur les obstacles fonctionnels, tant à la compréhension de la réalité américaine qu'à l'application d'une politique suivie. Bien qu'erronée, l'analyse des Péninsulaires n'était pas incohérente et savait prendre en compte la complexité des situations.El fracaso de las Cortes de Cádiz frente a la disidencia de las provincias americanas se suele atribuir a la ceguera política de una metrópoli todavía colonial. El artículo resume algunas interpretaciones de este fracaso, insistiendo en los obstáculos funcionales que, desde España, impedían comprender la realidad ultramarina y aplicar una política adecuada. El análisis de los peninsulares resultó equivocado pero no era incoherente y tomaba en cuenta la complejidad del mundo americano.Rieu-Millan Marie-Laure. Les Cortès de Cadix face à la dissidence américaine : les raisons d'un échec (1810-1814). In: Caravelle, n°68, 1997. pp. 5-18

    Rasgos distintivos de la representación peruana en las Cortes de Cádiz y Madrid (1810-1814)

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    The Peruvian delegates assumed the common defence of American interest as opposed to metropolitan ones, but they also tried to defend specifically Peruvian attitudes conceming geographic, economic, political and administrative matters, revealing their latent pre-nationalist tendencies. The delegates from the Peruvian provinces arrived late, and the representatives from Lima habitually spoke on behalf of the "kingdom of Peru": there was little expression of "provincialism". The delegates reflected the reality of a colonial society based on the opposition of "castes", while the union with Spain, never questioned, would guarantee the permanence of a precarious balance in a non-integrated plural society.Los diputados peruanos asumieron la defensa solidaria de los intereses americanos frente a la metrópoli; pero procuraron también defender al Peru en su especificidad (geográfica, económica, político-administrativa) frente a la España europea y frente a los demás reinos americanos, manifestando así un sentimiento pre-nacionalista latente. Los diputados de las provincias peruanas llegaron tarde y los limeños solían hablar en nombre del "reino del Peru": el 'provincialismo" se expresó poco. Los diputados reflejaban la realidad de una sociedad colonial fundada sobre la oposición de "castas"; la unión con la metrópoli, nunca cuestionada, garantizaría la permanencia de equilibrios precarios en una sociedad plural no integrada

    Territoire et histoire : à la veille des indépendances

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    Quatre représentants américains aux Cortès de Cadix ont publié un mémoire, entre 1811 et 1813, pour présenter, de façon plus détaillée qu’en session parlementaire, leur province et obtenir l’approbation des remèdes réclamés. Ces textes insistent sur les réalités de l’espace américain, largement ignorées par les Péninsulaires et dont les caractéristiques conditionnaient en particulier l’organisation politico-administrative. L’espace de référence était ici la « province », un territoire qu’il fallait connaître, donc délimiter, investir pleinement, protéger contre les agressions extérieures, mieux occuper et maîtriser, mais aussi ouvrir à l’extérieur. C’était une logique territoriale propre, déjà, à une construction pré-nationale. La présentation historique de la province servait, elle aussi, des objectifs parlementaires et, malgré deux interprétations contrastées de la conquête, ne semble pas annoncer l’écriture d’une histoire nationale américaine

    Historia de ideas e historia de lenguajes políticas: acerca del debate en torno a los usos de los términos "pueblo" y "pueblos" History of ideas and history of political languages: on the discussion about the "pueblo" and "pueblos" concepts

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    Los últimos veinte años han sido testigos de una transformación crucial en nuestros modos de concebir el proceso que llevaría a la quiebra del vínculo colonial con España. La visión dicotómica clásica que oponía el liberalismo latinoamericano al proverbial tradicionalismo y despotismo peninsular se habría tornado ya insostenible. Según han demostrado autores como François-Xavier Guerra, la crisis que conduciría a la independencia se trató de un proceso único, que comprendía de conjunto al Imperio, y que tenía, precisamente, su centro en la península, que será la más directamente afectada por la acefalía que entonces se produjo. Tal perspectiva nos abrirá una visión mucho más rica y compleja del proceso revolucionario hispanoamericano. Sin embargo, la quiebra de la oposición clásica liberalismo latinoamericano - tradicionalismo hispano se terminará resolviendo en una dicotomía inversa que opondrá ahora el liberalismo hispano al tradicionalismo latinoamericano. La persistencia de patrones sociales organicistas heredados de la Colonia, que harían de los "pueblos" (en plural), una vez caído el régimen monárquico, el depositario natural de la soberanía, impedirían aquí la emergencia de un concepto "moderno" de la nacionalidad como una entidad abstracta, homogénea y unificada. Como se intenta demostrar en el presente ensayo, esta visión deber ía, a su vez, revisarse a fin de desplegar las potencialidades implícitas para la escritura histórica en la profunda renovación teórico-metodológica que estos mismos autores produjeron en el campo.<br>The last twenty years witnessed a radical transformation in our ways of conceiving of the process leading to the break of the colonial tie with Spain. Classical dichotomous perspectives that opposed Latin American liberalism to Spanish despotism have proven untenable. As many authors, following François-Xavier Guerra, have showed, the crisis that resulted in independence was a single process, which comprised the Empire as a whole, and had its center, precisely, in the Spanish peninsula, which was more directly affected by the fall of the monarchy. Such a perspective opened the doors to a much richer and more replete view of the revolutionary process of independence in Latin America. However, the break of the classical opposition between Latin America liberalism and Spanish American despotism would ultimately resolve itself into the emergence of a converse dichotomy now opposing Spanish liberalism to Latin American traditionalism. The persistence of organic social patterns, inherited from the Colony, which made the pueblos (in the plural) of the Ancient Regime to become, after the fall of the monarchical system, the natural recipients of sovereignty, would prevent in the region the emergence of a modern concept of nationality as an abstract, homogeneous and unified entity. As the present essay intends to show, this view should be, in turn, revised in order to unfold all the potentialities for historical research implicit in the theoretical revolution that these very authors introduced in the field
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