34 research outputs found

    Germaine Tortel : une anthropologue Ă  l'Ă©cole primaire ? Une voie de communication graphique pour l'enfant

    Get PDF
    The teaching and educational work of Germaine Tortel (1896-1975), Inspector of Primary and Elementary Schools, is a picture of her time: archived child’s drawings and talkings give to see a conception of childhood dated from the post 1945 war period in connection with the school programs and the cultural environment of that time. Student’s works produced under her aegis reflect their daily lives, their daily landscape. But beyond this historic lighting, would there not be a new perspective on education? Would Germaine Tortel be an anthropologist of graphic art and of childhood in primary school? Nowadays, the observation of the child, the implementation of a children's exposure in schools and local cultural context and classes workshops offer the opportunity to validate the working hypotheses that had issued the pedagogue on terms of appropriation of space-time benchmarks by the graphic narration or figurative story. The knowledge of writing and reading would directly be related to this conceptualization performed most often in elementary school by the graphic media chosen by the student as interlocution mode; it is not otherwise limited to the drawing but encompasses the trace in graphics and thus opens the path for a multi-modal communication always exploring the configuration of multiple identities.L’œuvre pédagogique et éducative de Germaine Tortel (1896-1975), Inspectrice des Écoles Maternelles et Élémentaires est une photographie de son époque, les dessins et propos enfantins archivés donnent à voir une conception de l’enfance datée de la période d’après-guerre 1945 en lien avec les programmes scolaires et l’environnement culturel de cette époque. Les travaux d’élèves produits sous son égide reflètent leur vie quotidienne, leur paysage journalier. Mais au-delà de cet éclairage historique, n’y aurait-il pas un regard nouveau sur l’éducation ? Germaine Tortel ne serait-elle pas une anthropologue de l’art graphique et de l’enfance dans l’école primaire ? Aujourd’hui, l’observation de l’enfant, la mise en œuvre d’une exposition enfantine en contexte scolaire et culturel de proximité et des ateliers en classes offrent la possibilité de valider des hypothèses de travail qu’avait émises la pédagogue sur les modalités d’appropriation des repères spatio-temporels par la narration graphique ou l’histoire figurée. La maîtrise de l’écriture et de la lecture seraient directement liée à cette conceptualisation réalisée le plus souvent à l’école maternelle par le média graphique choisi par l’élève comme mode d’interlocution ; celui-ci ne se limite d’ailleurs pas au dessin mais englobe dans le graphisme la trace et ouvre ainsi la voie à une communication plurimodale toujours à explorer dans la configuration des identités plurielles

    Etude de la dispersion particulaire dans une turbulence de grille : influence de forces de volume

    No full text
    SIGLECNRS T Bordereau / INIST-CNRS - Institut de l'Information Scientifique et TechniqueFRFranc

    Formation au handicap à l’école maternelle : regards portés par l’enfant sur l’enfant

    No full text
    Thanks to the educational legacy of Germaine Tortel (1896-1975) and to the clinic legacy of Maria Torok (1925-1998) we evaluate the French elementary school training practices and compare them to the current approach to animation from departmental resources to educate students with disabilities. The dialogic relationship established during workshops in mediation and animation films build the person in constructing a common representation of the world, indebted to some form of graphic child culture. Does the inclusion of relational modalities of disabled children in the school institution favor the co-construction of identities to explore ways of plural existences and inclusive education ?À la lumière de l’héritage pédagogique de Germaine Tortel (1896-1975) et clinique de Maria Torok (1925-1998) nous interrogeons les pratiques de formation de l’école maternelle française et les comparons à l’approche actuelle d’animation à partir des ressources ministérielles pour scolariser les élèves en situation de handicap. La relation dialogique qui s’instaure lors des ateliers de médiation et dans les films d’animation fonde la personne dans la construction d’une représentation commune du monde, redevable à une certaine forme de culture enfantine graphique. La prise en compte des modalités relationnelles de l’enfant handicapé dans l’institution scolaire favorise-t-elle la co-construction des identités pour explorer des modes d’existences pluriels et une éducation inclusive ?Maizonnier-Payelle Élisabeth. Formation au handicap à l’école maternelle : regards portés par l’enfant sur l’enfant. In: Spirale. Revue de recherches en éducation, n°57, 2016. Petite enfance et politique inclusive : quelle prise en compte du handicap ? sous la direction de Martine Janner Raimondi. pp. 13-25

    Coopérer sur un territoire : l'espace d'exposition de dessins d'enfants comme espace d'ouverture à l'interlocution hors de l'école primaire ?

    No full text
    International audienceHow to look at the Other with the childhood curiosity, its astonishment and its desire to belong to this world? The organization of this training project takes place in a patrimonial territory of a mountain valley. The purpose of the experiment is to examine the process of educational stakeholders of five elementary schools, students, parents, teachers, youth workers, local cultural officials and the Ministry of Education to act in common, to train together. This is about milestones, tracks, movements and human path. How much space interlocution is it? How to observe, argue, question common educational and cultural practices to understand the world(s)?Comment se former ensemble pour se reconnaître, regarder l'Autre avec la curiosité de l'enfance, son étonnement et son désir d'être au monde ? L'organisation du projet de formation est ciblée sur un territoire patrimonial d'une vallée de montagne. L'objet de l'expérience est de s'interroger sur le cheminement des acteurs éducatifs de cinq écoles primaires, élèves, parents, enseignants, animateurs, responsables culturels locaux et de l'Éducation Nationale pour agir en commun, se former avec. Il est question ici de jalons, de tracés, de déplacements et de marche humaine. De quel espace d'interlocution s'agit-il ? Comment observer, faire valoir, interroger les pratiques scolaires et culturelles communes pour comprendre le(s) monde(s)

    Coopérer sur un territoire : l'espace d'exposition de dessins d'enfants comme espace d'ouverture à l'interlocution hors de l'école primaire ?

    No full text
    International audienceHow to look at the Other with the childhood curiosity, its astonishment and its desire to belong to this world? The organization of this training project takes place in a patrimonial territory of a mountain valley. The purpose of the experiment is to examine the process of educational stakeholders of five elementary schools, students, parents, teachers, youth workers, local cultural officials and the Ministry of Education to act in common, to train together. This is about milestones, tracks, movements and human path. How much space interlocution is it? How to observe, argue, question common educational and cultural practices to understand the world(s)?Comment se former ensemble pour se reconnaître, regarder l'Autre avec la curiosité de l'enfance, son étonnement et son désir d'être au monde ? L'organisation du projet de formation est ciblée sur un territoire patrimonial d'une vallée de montagne. L'objet de l'expérience est de s'interroger sur le cheminement des acteurs éducatifs de cinq écoles primaires, élèves, parents, enseignants, animateurs, responsables culturels locaux et de l'Éducation Nationale pour agir en commun, se former avec. Il est question ici de jalons, de tracés, de déplacements et de marche humaine. De quel espace d'interlocution s'agit-il ? Comment observer, faire valoir, interroger les pratiques scolaires et culturelles communes pour comprendre le(s) monde(s)

    Variation of ribosomal DNA and inheritance of polymorphisms in 6 Petunia hybrida hort lines

    No full text
    Ribosomal DNA polymorphisms were studied in 6 lines of Petunia hybrida using EcoRI, BamHI, HindIII, Kpnl, SacI or Xhol. Each line carries several unit types, and 13 types were found in lines, which was not expected. We characterized the unit types and we determined the number of loci. Two kinds of unit types carrying no or several HindIII sites were revealed. The longest EcoRI and BamHI fragments in St43 correspond to a 11.4 kb unit type. Moreover, a 2.6 kb EcoRI fragment cannot be mapped in the 11.4 kb unit. It was found to be equivalent to the 2.45 kb EcoRI fragment carrying the 25 S rRNA coding sequence. Consequently, it was mapped in another unit 11.7 kb long. In TIh1 the corresponding EcoRI and BamHI fragments enabled us to construct 8.8, 9.2 and 10.8 kb segments. These fragments are therefore considered to be part of the 11.4 kb unit length. Other lines display combinations of these length units. The inheritance of polymorphic fragments of lines (St43 and TIh1) for 50 individuals of the 2 possible backcrosses [(St43 x TIh1) x St43] and [(St43 x TIh1) x TIh1] indicated at least 2 loci. The presence in Sk176 of 6.2, 5.7 and 5.4 EcoRI fragments suggested 3 loci. The haploid plants obtained from the hybrid (St43 x TIh1) display 1 individual carrying the 3 unit types present in the hybrid which proves the presence of 3 rDNA loci in TIh1. Moreover, the segregation in the backcrosses corresponds to only 2 loci in St43. It carries a nulli-allele. Evidence for such hypotheses were obtained by in situ hybridization with a biotinylated probe. The TIh1 and TIh7 dihaploid lines display more unit types and, consequently, more polymorphisms than other lines.Variation de l'ADN ribosomique et hérédité du polymorphisme dans 6 lignées de Petunia hybrida Hort. Dans 6 lignées de Petunia hybrida dont l'ADN a été hydrolysé par EcoRI, BamHI, HindIII, KpnI, SacI ou XhoI, l'ADN ribosomique est apparu très polymorphe. Chaque lignée porte plusieurs types d'unités ; ainsi 13 types différents sont révélés dans les lignées, ce qui est surprenant. Nous avons caractérisé les différents types et déterminé le nombre de loci. Deux types d'unités avec et sans sites HindIII sont révélés. Pour la lignée St43 les fragments EcoRI et BamHI permettent de construire une unité de 11,4 kb. En outre un fragment EcoRI de 2,6 kb ne peut être placé dans l'unité de 11,4 kb. II est en effet équivalent au fragment de 2,4 kb portant la séquence codante du gène 25 S. Il est donc placé dans une unité de 11,7 kb. Dans la lignée TIh1 les fragments correspondants ne permettent de construire que des unités de 8,8 kb, 9,2 kb, et 10,8 kb, donc considérées comme une partie d'unités de 11,4 kb. Les autres lignées montrent une combinaison des fragments précédents. L'hérédité du polymorphisme dans 50 descendants du couple de lignées (St43 et TIh1) et les 2 rétrocroisements possibles [(St43 x TIh1) x St43] et [(St43 x TIh1) x TIh1] indique au moins 2 loci. La présence dans Sk176 des fragments EcoRI 6,2, 5,7 et 5,4 suggère 3 loci. Parmi les plantes haploïdes obtenues de l'hybride F1 (St43 x TIh1), un descendant porte les 3 types d'unité présents dans l'hybride, ce qui ne peut s'expliquer que s'ils sont répartis sur 3 loci. De plus la ségrégation dans les rétrocroisements correspond à 2 loci pour St43, il porte donc un nuiliallèle. La confirmation des hypothèses est apportée par hybridation in situ avec une sonde ribosomique biotinylée. Les 2 lignées dihaploïdes TIh1 et TIh7 montrent le plus d'unités et par conséquent le polymorphisme le plus élevé

    Variation of ribosomal DNA and inheritance of polymorphisms in 6 Petunia hybrida hort lines

    No full text
    Ribosomal DNA polymorphisms were studied in 6 lines of Petunia hybrida using EcoRI, BamHI, HindIII, KpnI, SacI or XhoI. Each line carries several unit types, and 13 types were found in lines, which was not expected. We characterized the unit types and we determined the number of loci. Two kinds of unit types carrying no or several HindIII sites were revealed. The longest EcoRI and BamHI fragments in St43 correspond to a 11.4 kb unit type. Moreover, a 2.6 kb EcoRI fragment cannot be mapped in the 11.4 kb unit. It was found to be equivalent to the 2.45 kb EcoRI fragment carrying the 25 S rRNA coding sequence. Consequently, it was mapped in another unit 11.7 kb long. In TIh1 the corresponding EcoRI and BamHI fragments enabled us to construct 8.8, 9.2 and 10.8 kb segments. These fragments are therefore considered to be part of the 11.4 kb unit length. Other lines display combinations of these length units. The inheritance of polymorphic fragments of lines (St43 and TIh1) for 50 individuals of the 2 possible backcrosses [(St43 x TIh1) x St43] and [(St43 x TIh1) x TIh1] indicated at least 2 loci. The presence in Sk176 of 6.2, 5.7 and 5.4 EcoRI fragments suggested 3 loci. The haploid plants obtained from the hybrid (St43 x TIh1) display 1 individual carrying the 3 unit types present in the hybrid which proves the presence of 3 rDNA loci in TIh1. Moreover, the segregation in the backcrosses corresponds to only 2 loci in St43. It carries a nulli-allele. Evidence for such hypotheses were obtained by in situ hybridization with a biotinylated probe. The TIh1 and TIh7 dihaploid lines display more unit types and, consequently, more polymorphisms than other lines.Dans 6 lignées de Petunia hybrida dont l’ADN a été hydrolysé par EcoRI, BamHI, HindIII, KpnI, SacI ou XhoI, l’ADN ribosomique est apparu très polymorphe. Chaque lignée porte plusieurs types d’unités ; ainsi 13 types différents sont révélés dans les lignées, ce qui est surprenant. Nous avons caractérisé les différents types et déterminé le nombre de loci. Deux types d’unités avec et sans sites HindIII sont révélés. Pour la lignée St43 les fragments EcoRI et BamHI permettent de construire une unité de 11,4 kb. En outre un fragment EcoRI de 2,6 kb ne peut être placé dans l’unité de 11,4 kb. II est en effet équivalent au fragment de 2,4 kb portant la séquence codante du gène 25 S. Il est donc placé dans une unité de 11,7 kb. Dans la lignée TIh1 les fragments correspondants ne permettent de construire que des unités de 8,8 kb, 9,2 kb, et 10,8 kb, donc considérées comme une partie d’unités de 11,4 kb. Les autres lignées montrent une combinaison des fragments précédents. L’hérédité du polymorphisme dans 50 descendants du couple de lignées (St43 et TIh1) et les 2 rétrocroisements possibles [(St43 x TIh1) x St43] et [(St43 x TIh1) x TIh1] indique au moins 2 loci. La présence dans Sk176 des fragments EcoRI 6,2, 5,7 et 5,4 suggère 3 loci. Parmi les plantes haploïdes obtenues de l’hybride F1 (St43 x TIh1), un descendant porte les 3 types d’unité présents dans l’hybride, ce qui ne peut s’expliquer que s’ils sont répartis sur 3 loci. De plus la ségrégation dans les rétrocroisements correspond à 2 loci pour St43, il porte donc un nuiliallèle. La confirmation des hypothèses est apportée par hybridation in situ avec une sonde ribosomique biotinylée. Les 2 lignées dihaploïdes TIh1 et TIh7 montrent le plus d’unités et par conséquent le polymorphisme le plus élevé
    corecore