11 research outputs found

    Pancreatitis associated with the use of GLP-1 analogs and DPP-4 inhibitors: a case/non-case study from the French Pharmacovigilance Database.

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    International audienceIn the recent past, concerns have raised regarding the potential risk of acute pancreatitis among type 2 diabetic patients using incretin-based drugs such as glucagon-like peptide 1 (GLP-1) analogs and dipeptidyl peptidase 4 (DPP-4) inhibitors. The aim of this study is to investigate the association between exposure to incretin-based drugs and the occurrence of pancreatitis reported in the French Pharmacovigilance Database. The case/non-case method was performed from serious adverse drug reactions (ADRs) involving antihyperglycemic agents (except insulin alone) reported to the French pharmacovigilance system between March 2008 (first marketing of an incretin-based drug in France) and March 2013. Cases were defined as reports of pancreatitis, and all other serious ADRs were considered non-cases. Disproportionality was assessed by calculating reporting odds ratios (ROR) adjusted for age, gender, history of pancreatitis, other antihyperglycemic drugs and other drugs associated with a higher risk of pancreatitis. Among 3,109 serious ADRs, 147 (4.7 %) reports of pancreatitis were identified as cases and 2,962 reports (95.3 %) of other ADRs as non-cases. Among the cases, 122 (83.0 %) involved incretin-based drugs. Disproportionality was found for all incretin-based drugs (adjusted ROR: 15.7 [95 % CI 9.8-24.9]), all GLP-1 analogs (29.4 [16.0-53.8]), exenatide (28.3 [12.8-62.3]), liraglutide (30.4 [15.4-60.0]), all DPP-4 inhibitors (12.1 [7.3-20.0]), sitagliptin (12.4 [7.3-21.0]), saxagliptin (15.1 [4.3-52.7]), and vildagliptin (7.4 [3.1-17.6]). Temporal analysis found disproportionality for incretin-based drugs since their first year of marketing in France. Compared with other antihyperglycemic agents, use of incretin-based drugs is associated with an increased risk of reported pancreatitis in France

    Evolution de l'exposition des professionnels de santé aux rayonnements ionisants en France

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    International audienceLes professionnels de santé exposés aux rayonnements ionisants (RI) représentent plus de la moitié de l’ensemble des travailleurs exposés aux RI en France (IRSN, 2019) . Parmi l’ensemble des domaines d’activités professionnelles dont les personnels bénéficient d’une surveillance dosimétrique, le secteur de la santé est le premier secteur qui présente des dépassements de limites réglementaires : en 2019, quatre des cinq cas rapportés de doses supérieures à 20 milliSievert (mSv) l’étaient dans le domaine des activités médicales et vétérinaires (IRSN, 2019). Au cours des 10 dernières années, l’utilisation des RI en médecine s’est développée rapidement en raison de l’introduction de nouvelles pratiques diagnostiques et thérapeutiques dans certains domaines spécifiques comme la médecine nucléaire ou les procédures interventionnelles. L’étude des effets sanitaires d’une exposition aux faibles doses de RI chez les professionnels de santé passe tout d’abord par la caractérisation précise de l’évolution de l’exposition aux RI selon le poste de travail, le service de l’activité professionnelle, l’âge, le sexe, laquelle n’a jamais été faite en France à grande échelle. Depuis 2005, l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) est en charge du recueil et du suivi des données de surveillance dosimétrique des travailleurs exposés aux RI en France. Cette mission est assurée par la tenue du Système d'information de la surveillance de l'exposition aux rayonnements ionisants (SISERI) et permet d’étudier les expositions des travailleurs en fonction de leur activité. Dans ce contexte, l’étude EXPERTS propose d’évaluer et de caractériser de manière détaillée l’évolution de l’exposition aux RI des professionnels de santé en France entre 2009 et 2019 en s’appuyant sur les données issues de plusieurs CHU de l'Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) et de Bordeaux

    Evolution de l'exposition des professionnels de santé aux rayonnements ionisants en France

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    International audienceLes professionnels de santé exposés aux rayonnements ionisants (RI) représentent plus de la moitié de l’ensemble des travailleurs exposés aux RI en France (IRSN, 2019) . Parmi l’ensemble des domaines d’activités professionnelles dont les personnels bénéficient d’une surveillance dosimétrique, le secteur de la santé est le premier secteur qui présente des dépassements de limites réglementaires : en 2019, quatre des cinq cas rapportés de doses supérieures à 20 milliSievert (mSv) l’étaient dans le domaine des activités médicales et vétérinaires (IRSN, 2019). Au cours des 10 dernières années, l’utilisation des RI en médecine s’est développée rapidement en raison de l’introduction de nouvelles pratiques diagnostiques et thérapeutiques dans certains domaines spécifiques comme la médecine nucléaire ou les procédures interventionnelles. L’étude des effets sanitaires d’une exposition aux faibles doses de RI chez les professionnels de santé passe tout d’abord par la caractérisation précise de l’évolution de l’exposition aux RI selon le poste de travail, le service de l’activité professionnelle, l’âge, le sexe, laquelle n’a jamais été faite en France à grande échelle. Depuis 2005, l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) est en charge du recueil et du suivi des données de surveillance dosimétrique des travailleurs exposés aux RI en France. Cette mission est assurée par la tenue du Système d'information de la surveillance de l'exposition aux rayonnements ionisants (SISERI) et permet d’étudier les expositions des travailleurs en fonction de leur activité. Dans ce contexte, l’étude EXPERTS propose d’évaluer et de caractériser de manière détaillée l’évolution de l’exposition aux RI des professionnels de santé en France entre 2009 et 2019 en s’appuyant sur les données issues de plusieurs CHU de l'Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) et de Bordeaux
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