23 research outputs found

    Imagerie paramétrique en angiographie numérique

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    L'imagerie fonctionnelle angiographique a pour but de présenter les caractéristiques quantifiées de fonctionnement du systÚme vasculaire ou cardiaque, sur une image de synthÚse déduite d'une séquence d'images radiologiques numérisées. La régression sur un modÚle temporel d'atténuation des rayons X par un vaisseau est le moyen de paramétrer la fonctionnalité vasculaire étudiée ; une distance quadratique pondérée entre mesures sur pixels et modÚle analytique est minimisée, à chaque itération, par un choix entre paramÚtres optimaux calculés par la méthode du gradient et par la méthode de Gauss-Newton. La régression sur un modÚle cardiaque sinusoïdal se ramÚne à une analyse en série de Fourier. On examine l'application de ces techniques sur des images vasculaires et sur des images cardiaques

    Surgery of lung, brain and digestive tract melanoma metastases

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    The authors review the literature and their own experience of surgery for the treatment of melanoma metastases located in the lung, in the brain and in the digestive tract. Criteria for resection of lung metastases include: (a) effective control of the primary, (b) good general condition, (c) resectability and number of metastases, (d) absence of other metastatic sites. The autors' preferred technique has been wedge resection. Long-term survivors have been reported after complete removal, but no prognostic factors seem to be available. At the Bordet institut three of six patients survived longer than 2 years after removal of a mean of 2.8 nodules each. Brain metastases are amenable to neurosurgery and allow long-term survival provided the following criteria are fulfilled: long disease-free intervals, presence of a single metastasis only, and no evidence of extracranial metastases. Severe morbidity with aphasia, hemiparesia and abscess was infrequent and the mortality rate low. Digestive tract melanoma metastases are difficult to diagnose clinically. The authors recommend an aggressive full digestive tract work-up when patients develop any minimal or atypical abdominal symptoms. Bordet's series incudes eight patients. Survivals of more than 14 months were obtained after complete removal of metastases from the stomach, gallbladder, choledochus and small intestine. There seems to be general agreement that the resection of distant metastases is helpful in selected melanoma cases.SCOPUS: re.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    Avis de l'Anses relatif Ă  l’évaluation des stratĂ©gies de lutte anti-vectorielle (LAV)

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. (2022). Avis relatif Ă  l’évaluation des stratĂ©gies de lutte anti-vectorielle (LAV). (Saisine n°2019-SA-0039). Maisons-Alfort : Anses, 19 p.Les virus de la dengue, du chikungunya et du Zika ont Ă©tĂ© Ă  l’origine d’importantes Ă©pidĂ©mies dans les territoires ultra-marins français ces derniĂšres annĂ©es. La mĂ©tropole est Ă©galement concernĂ©e du fait de l’extension de l’implantation du moustique Aedes albopictus, par la survenue rĂ©currente depuis 2010, de cas autochtones de dengue ou de chikungunya dans le sud de la France ainsi que, pour la premiĂšre fois en Europe, par la mise en Ă©vidence en 2019 de cas autochtones de Zika dans le Var. Les moustiques Culex sont Ă©galement responsables de la survenue rĂ©guliĂšre de cas de West Nile Virus (WNV). DĂ©sormais, le risque d’infection liĂ© aux agents pathogĂšnes transmis par les moustiques vecteurs est gĂ©nĂ©ralisĂ© sur l’ensemble des territoires français.Menaces pour la santĂ© publique, ces Ă©pidĂ©mies ont Ă©galement un impact sur l’offre de soins et plus globalement, sur l’ensemble de la sociĂ©tĂ©. Avec les changements globaux (changements climatiques, d’usage des sols et augmentation des transports de biens et de personnes notamment), les arboviroses sont devenues un sujet majeur de sĂ©curitĂ© sanitaire et font l’objet de fortes attentes sociĂ©tales.Pour faire face Ă  ces enjeux et mieux s’y prĂ©parer, en l’absence de traitements spĂ©cifiques et de vaccins contre ces arboviroses, il est nĂ©cessaire de lutter contre les moustiques vecteurs et de limiter les contacts entre les ĂȘtres humains et les vecteurs (voire les animaux rĂ©servoirs d’agents pathogĂšnes dans le cas de zoonoses), en mettant en place des stratĂ©gies efficaces de lutte anti-vectorielle (LAV), adaptĂ©es aux contextes locaux.Selon l’Organisation mondiale de la santĂ© (OMS), la LAV doit reposer sur une dĂ©marche de gestion intĂ©grĂ©e, dĂ©finie comme un processus rationnel de prise de dĂ©cisions pour l’utilisation optimale des moyens de lutte. Cette dĂ©marche doit viser Ă  amĂ©liorer l’efficacitĂ©, l’efficience, l’acceptabilitĂ©, la pertinence Ă©cologique et la durabilitĂ© de la lutte.La LAV repose sur l’utilisation d’un panel d’outils et le recours Ă  diffĂ©rentes techniques selon le couple vecteur-agent pathogĂšne ciblĂ©, le stade de vie du moustique (larve ou adulte), ainsi que les objectifs poursuivis. Elle peut viser : 1) la diminution des populations de vecteurs en dessous des seuils nĂ©cessaires Ă  une transmission virale ; 2) l’évitement du contact hĂŽte/vecteur pour empĂȘcher la transmission de l’agent pathogĂšne ; et/ou 3) l’élimination des populations vectrices dans une zone gĂ©ographique donnĂ©e.Pour que la LAV soit efficace, les acteurs en charge de celle-ci doivent Ă©laborer une stratĂ©gie tenant compte du contexte local et des ressources disponibles. Cette stratĂ©gie, orientĂ©e par la rĂ©glementation et parfois formalisĂ©e dans un « rĂ©fĂ©rentiel », est la combinaison de diverses actions (formation des professionnels, information de la population, mobilisation sociale, surveillance Ă©pidĂ©miologique...) et de plusieurs outils et techniques : amĂ©nagements de l’environnement, lutte mĂ©canique, lutte biologique, lutte chimique (insecticides et rĂ©pulsifs), voire lutte gĂ©nĂ©tique (technique de l’insecte stĂ©rile, technique de l’insecte incompatible...).Le dĂ©cret n° 2019-258 du 29 mars 2019 relatif Ă  la prĂ©vention des maladies vectorielles a confiĂ© aux Agences RĂ©gionales de SantĂ© (ARS) les missions de surveillance entomologique et d’intervention autour des nouvelles implantations de moustiques vecteurs et des cas suspects d’arboviroses, afin de prĂ©venir les Ă©pidĂ©mies. Depuis le 1er janvier 2020 pour la mĂ©tropole, les ARS doivent conduire les actions de LAV ou bien les confier Ă  des opĂ©rateurs qu’elles ont habilitĂ©s (via un marchĂ© public), et dont elles assurent le financement. De plus, cette rĂ©forme fait dĂ©sormais reposer la gestion des Ă©pidĂ©mies de maladies vectorielles sur le dispositif Orsec.Avec cette nouvelle rĂ©glementation, les opĂ©rateurs publics et privĂ©s susceptibles d’intervenir dans le champ de la LAV sont dĂ©sormais plus nombreux et plus diversifiĂ©s qu’auparavant.Dans ce contexte, la notion de bonnes pratiques de LAV devient un enjeu majeur, afin que l’ensemble des acteurs de la LAV (ARS, opĂ©rateurs, collectivitĂ©s, prĂ©fectures, services de l’État...) adoptent des stratĂ©gies efficaces, cohĂ©rentes et harmonisĂ©es.C’est dans ce contexte que l’Anses a Ă©tĂ© saisie le 28 fĂ©vrier 2019 par la DGS pour travailler sur l’évaluation des stratĂ©gies de LAV en France, conduisant Ă  dĂ©velopper un outil d’évaluation de la LAV Ă  l’échelle territoriale (dit « EvLAV »), Ă  destination des acteurs de la LAV

    Isolated limb perfusion with tumor necrosis factor and melphalan for limb salvage in 186 patients with locally advanced soft tissue extremity sarcomas: The cumulative multicenter European experience

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    Objective: The objective of the study was to achieve limb salvage in patients with locally advanced soft tissue sarcomas that can only be treated by amputation or functionally mutilating surgery by performing an isolated limb perfusion (ILP) with tumor necrosis factor (TNF) + melphalan (M) as induction biochemotherapy to obtain local control and make limb-sparing surgery possible. Summary Background Data: To increase the number of limb- sparing resections in the treatment of locally advanced extremity soft tissue sarcoma, preoperative radiation therapy or chemotherapy or a combination of the two often are applied. The ILP with cytostatic agents alone is another option but rarely is used because of rather poor results. The efficacy of the application of TNF in ILP markedly has changed this situation. Methods: In 8 cancer centers, 186 patients were treated over a period of almost 4.5 years. There were 107 (57%) primary and 79 (43%) recurrent sarcomas, mostly high grade (110 grade III; 51 grade II; and 25 very large, recurrent, or multiple grade I sarcomas). The composition of this series of patients is unusual: 42 patients (23%) had multifocal primary or multiple recurrent tumors; median tumor size was very large (16 cm); 25 patients (13%) had known systemic metastases at the time of the ILP. Patients underwent a 90-minute ILP at 39 to 40 C with TNF + melphalan. The first 55 patients also received interferon- τ. A delayed marginal resection of the tumor remnant was done 2 to 4 months after ILP. Results: A major tumor response was seen in 82% of the patients rendering these large sarcomas resectable in most cases. Clinical response rates were: 33 complete response (CR) (18%), 106 partial response (PR) (57%), 42 no change (NC) (22%), and 5 progressive disease (PD) (3%). Final outcome was defined by clinical and pathologic response: 54 CR (29%), 99 PR (53%), 29 NC (16%), and 4 PD (2%). At a median follow up of almost 2 years (22 months; range, 6-58 months), limb salvage was achieved in 82%. Regional toxicity was limited and systemic toxicity minimal to moderate, easily managed, with no toxic deaths. Conclusions: In the setting of isolated limb perfusion, TNF is an active anticancer drug in patients. The ILP with TNF + melphalan can be performed safely in many centers and is an effective induction treatment with a high response rate that can achieve limb salvage in patients with locally advanced extremity soft tissue sarcoma.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    Avis de l'Anses relatif Ă  l’évaluation des stratĂ©gies de lutte anti-vectorielle (LAV)

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. (2022). Avis relatif Ă  l’évaluation des stratĂ©gies de lutte anti-vectorielle (LAV). (Saisine n°2019-SA-0039). Maisons-Alfort : Anses, 19 p.Les virus de la dengue, du chikungunya et du Zika ont Ă©tĂ© Ă  l’origine d’importantes Ă©pidĂ©mies dans les territoires ultra-marins français ces derniĂšres annĂ©es. La mĂ©tropole est Ă©galement concernĂ©e du fait de l’extension de l’implantation du moustique Aedes albopictus, par la survenue rĂ©currente depuis 2010, de cas autochtones de dengue ou de chikungunya dans le sud de la France ainsi que, pour la premiĂšre fois en Europe, par la mise en Ă©vidence en 2019 de cas autochtones de Zika dans le Var. Les moustiques Culex sont Ă©galement responsables de la survenue rĂ©guliĂšre de cas de West Nile Virus (WNV). DĂ©sormais, le risque d’infection liĂ© aux agents pathogĂšnes transmis par les moustiques vecteurs est gĂ©nĂ©ralisĂ© sur l’ensemble des territoires français.Menaces pour la santĂ© publique, ces Ă©pidĂ©mies ont Ă©galement un impact sur l’offre de soins et plus globalement, sur l’ensemble de la sociĂ©tĂ©. Avec les changements globaux (changements climatiques, d’usage des sols et augmentation des transports de biens et de personnes notamment), les arboviroses sont devenues un sujet majeur de sĂ©curitĂ© sanitaire et font l’objet de fortes attentes sociĂ©tales.Pour faire face Ă  ces enjeux et mieux s’y prĂ©parer, en l’absence de traitements spĂ©cifiques et de vaccins contre ces arboviroses, il est nĂ©cessaire de lutter contre les moustiques vecteurs et de limiter les contacts entre les ĂȘtres humains et les vecteurs (voire les animaux rĂ©servoirs d’agents pathogĂšnes dans le cas de zoonoses), en mettant en place des stratĂ©gies efficaces de lutte anti-vectorielle (LAV), adaptĂ©es aux contextes locaux.Selon l’Organisation mondiale de la santĂ© (OMS), la LAV doit reposer sur une dĂ©marche de gestion intĂ©grĂ©e, dĂ©finie comme un processus rationnel de prise de dĂ©cisions pour l’utilisation optimale des moyens de lutte. Cette dĂ©marche doit viser Ă  amĂ©liorer l’efficacitĂ©, l’efficience, l’acceptabilitĂ©, la pertinence Ă©cologique et la durabilitĂ© de la lutte.La LAV repose sur l’utilisation d’un panel d’outils et le recours Ă  diffĂ©rentes techniques selon le couple vecteur-agent pathogĂšne ciblĂ©, le stade de vie du moustique (larve ou adulte), ainsi que les objectifs poursuivis. Elle peut viser : 1) la diminution des populations de vecteurs en dessous des seuils nĂ©cessaires Ă  une transmission virale ; 2) l’évitement du contact hĂŽte/vecteur pour empĂȘcher la transmission de l’agent pathogĂšne ; et/ou 3) l’élimination des populations vectrices dans une zone gĂ©ographique donnĂ©e.Pour que la LAV soit efficace, les acteurs en charge de celle-ci doivent Ă©laborer une stratĂ©gie tenant compte du contexte local et des ressources disponibles. Cette stratĂ©gie, orientĂ©e par la rĂ©glementation et parfois formalisĂ©e dans un « rĂ©fĂ©rentiel », est la combinaison de diverses actions (formation des professionnels, information de la population, mobilisation sociale, surveillance Ă©pidĂ©miologique...) et de plusieurs outils et techniques : amĂ©nagements de l’environnement, lutte mĂ©canique, lutte biologique, lutte chimique (insecticides et rĂ©pulsifs), voire lutte gĂ©nĂ©tique (technique de l’insecte stĂ©rile, technique de l’insecte incompatible...).Le dĂ©cret n° 2019-258 du 29 mars 2019 relatif Ă  la prĂ©vention des maladies vectorielles a confiĂ© aux Agences RĂ©gionales de SantĂ© (ARS) les missions de surveillance entomologique et d’intervention autour des nouvelles implantations de moustiques vecteurs et des cas suspects d’arboviroses, afin de prĂ©venir les Ă©pidĂ©mies. Depuis le 1er janvier 2020 pour la mĂ©tropole, les ARS doivent conduire les actions de LAV ou bien les confier Ă  des opĂ©rateurs qu’elles ont habilitĂ©s (via un marchĂ© public), et dont elles assurent le financement. De plus, cette rĂ©forme fait dĂ©sormais reposer la gestion des Ă©pidĂ©mies de maladies vectorielles sur le dispositif Orsec.Avec cette nouvelle rĂ©glementation, les opĂ©rateurs publics et privĂ©s susceptibles d’intervenir dans le champ de la LAV sont dĂ©sormais plus nombreux et plus diversifiĂ©s qu’auparavant.Dans ce contexte, la notion de bonnes pratiques de LAV devient un enjeu majeur, afin que l’ensemble des acteurs de la LAV (ARS, opĂ©rateurs, collectivitĂ©s, prĂ©fectures, services de l’État...) adoptent des stratĂ©gies efficaces, cohĂ©rentes et harmonisĂ©es.C’est dans ce contexte que l’Anses a Ă©tĂ© saisie le 28 fĂ©vrier 2019 par la DGS pour travailler sur l’évaluation des stratĂ©gies de LAV en France, conduisant Ă  dĂ©velopper un outil d’évaluation de la LAV Ă  l’échelle territoriale (dit « EvLAV »), Ă  destination des acteurs de la LAV
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