63 research outputs found

    Acute bacterial prostatitis: heterogeneity in diagnostic criteria and management. Retrospective multicentric analysis of 371 patients diagnosed with acute prostatitis

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>There is currently a lack of consensus for the diagnosis, investigations and treatments of acute bacterial prostatitis (AP).</p> <p>Methods</p> <p>The symptoms, investigations and treatments of 371 inpatients diagnosed with AP were analyzed through a retrospective study conducted in four departments – Urology (U), Infectious Diseases (ID), Internal Medicine (IM), Geriatrics (G) – of two French university hospitals.</p> <p>Results</p> <p>The cause of admission, symptoms, investigations and treatments depended markedly on the department of admission but not on the hospital. In U, patients commonly presented with a bladder outlet obstruction, they had a large imaging and functional check-up, and received alpha-blockers and anti-inflammatory drugs. In ID, patients were febrile and received longer and more appropriate antibiotic treatments. In G, patients presented with cognitive disorders and commonly had post-void urine volume measurements. In IM, patients presented with a wide range of symptoms, and had very diverse investigations and antibiotic regimen.</p> <p>Overall, a 3:1 ratio of community-acquired AP (CA-AP) to nosocomial AP (N-AP) was observed. Urine culture isolated mainly <it>E. coli </it>(58% of AP, 68% of CA-AP), with venereal agents constituting less than 1%. The probabilistic antibiotic treatments were similar for N-AP and CA-AP (58% bi-therapy; 63% fluoroquinolone-based regimen). For N-AP, these treatments were more likely to be inadequate (42% <it>vs. </it>8%, p < 0.001) and had a higher rate of bacteriological failure (48% <it>vs. </it>19%, p < 0.001).</p> <p>Clinical failure at follow-up was more common than bacteriological failure (75% versus 24%, p < 0.001). Patients older than 49 had more underlying urinary tract disorders and a higher rate of clinical failure (30% versus 10%, p < 0.0001).</p> <p>Conclusion</p> <p>This study highlights the difficulties encountered on a daily basis by the physicians regarding the diagnosis and management of acute prostatitis.</p

    Les avulsions dentaires chez les patients sous antithrombotiques (enquĂŞte sur la pratique courante au C.H.U. de Rouen)

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    Il n'existe actuellement pas de consensus concernant la conduite à tenir vis à vis des traitements antithrombotiques dans le cadre des avulsions dentaires. Le terme avulsion dentaire comprend en fait un large éventail de techniques chirurgicales, dont aucune n'est formellement contre-indiquée chez le patient sous antithronibotiques. L'important est de pouvoir réaliser une bonne hémostase. L'interruption ou la poursuite des antithrombotiques sera fonction de la balance risque thromboembolique versus risque hémorragique. L'hémostase per opératoire comportera obligatoirement l'utilisation d'hémostatiques locaux, associés à une suture. Nous proposons une prise en charge standardisée en cas de maintien du traitement antihrombotique et pour les hémorragies postopératoires.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Comparaison de deux shémas d'initiation de la fluindione chez le sujet âgé (10mg versus 20mg)

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    ROUEN-BU MĂ©decine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Auto anticorps anti-facteur VIII acquis (Ă  propos de trois observations)

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    L'hémophilie acquise par auto-anticorps anti-facteur VIII est une affection certes peu fréquente, mais qui du fait d'une morbidité et d'une mortalité encore trop importante aujourd'hui, justifie une démarche diagnostique standardisée, basée sur l'élévation isolée du TCA. Parfois associée à des affections tumorales ou auto-immunes, son traitement repose sur la prise en charge des complications hémorragiques éventuelles et par la disparition de l'anticorps par une association initiale par corticoïdes et cyclophosphamide. A partir de trois observations, nous détaillons ces associations et les problèmes évolutifs et thérapeutiques spécifiques de cette anomalie biologique acquise.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Etude prospective et descriptive de l'indication et de la prescription d'un traitement anticoagulant chez des patients atteints de fibrillation auriculaire dans le service de médecine interne de Bois Guillaume

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    L'arythmie complète par fibrillation auriculaire (AC/FA) est le trouble cardiaque le plus fréquent avec une prévalence augmentant avec l'âge passant de 0.8% dans la population générale à plus de 10% au delà de 80 ans. Cette affection se définit par une activité électrique cardiaque anarchique, rapide, irrégulière et désynchronisée. Cette affection est source d'une morbidité et d'une mortalité considérables. Les complications de l'AC/FA sont l'insuffisance cardiaque, les démences dégénaratives vasculaires mais surtout de type thrombo-embolique avec une risque accru d'accident vasculaire cérébral ischémique. Les préventions des complications thrombo-emboliques passe par un retour en rythme sinusal lorsque cela est indiqué et possible. Lorsque l'AC/FA est respectée ou lors d'un échec de réduction, la prévention repose alors majoritairement sur un traitement anticoagulant type AVK avec des bénéfices considérables en terme de prévention mais aussi des risques encourus notamment hémorragiques lié au traitement lui-même. Cette balance bénéfices-risques est essentielle à considérer dans la pratique quotidienne. Notre étude et les résultats qui en découlent suggèrent que la prescription d'un traitement anticoagulant ou non est liée avant tout à la présence ou non des facteurs de risques thrombotiques et hémorragiques associés à l'AC/FA et au patient lui-même, la prescription du traitement anticoagulant semble être liée à l'âge sans que ceci ne soit statistiquement significatif, enfin que la prescription d'un traitement anticoagulant est effectuée dans des proportions bien moindres que ne le suggèrent les recommandations officielles.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge thérapeutique des maladies thromboemboliques chez les sujets de plus de 75 ans (étude rétrospective)

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    Quelle prise en charge thérapeutique pour les thromboses veineuses sous-poplitées? (étude rétrospective de 50 patients consécutifs)

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    Les données actuelles de la littérature insistent sur l'absence de recommandations satisfaisantes sur la prise en charge thérapeutique des thromboses veineuses sous-poplitées (anticoagulation ou non, durée du traitement antithrombotique). Dans une étude rétrospective de 50 cas consécutifs, observés au sein du département de médecine interne du centre hospitalier universitaire de Rouen comportant 38 femmes (âge moyen 67 ans) et 12 hommes (âge moyen 57 ans), nous avons retrouvé 38 patients avec une thrombose veineuse sous-poplitée isolée et 12 avec une thrombose veineuse sous-poplitée associée à une embolie pulmonaire. Nous avons analysé l'attitude thérapeutique envisagée, en dehors des 12 cas avec une embolie pulmonaire qui répondaient à la prise en charge habituelle. Les autres patients ont été traités avec des durées de traitement antithrombotique très variables : 10 sujets ont reçu un traitement par HBPM seule pendant une à deux semaines ; 4 un traitement par HBPM seule pendant six semaines ; 14 un traitement par HBPM avec un relais AVK pendant trois mois ; 6 un traitement HBPM pour une durée prolongée (trois à six mois minimum) sans relais AVK et enfin 1 patient a été traité par héparine non fractionnée avec un relais AVK pour 12 mois. Trois sujets n'ont reçu aucun traitement antithrombotique et ont donc bénéficié uniquement d'une contention veineuse élastique. Ce travail souligne l'importance d'essais prospectifs randomisés qui permettront de répondre à la question de la nécessité ou non d'un traitement anticoagulant et de sa durée. L'étude CACTUS, mise en place en France et en Suisse dans le cadre d'un programme hospitalier de recerche clinique devrait répodre à cette question.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Evaluation des pratiques médicales de prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse à l'entrée en moyen séjour de patients âgés de plus de 65 ans

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    Ce travail débute par un rappel sur l'évaluation des pratiques médicales et sur les différentes méthodes de prophylaxie de la maladie thromboembolique veineuse. Il se poursuit par une étude évaluative prospective sur les méthodes de la prophylaxie utilisées en milieu médical et chirurgical pour des sujets âgés de plus de 65 ans entrant en moyen séjour. Il en ressort que la prophylaxie médicamenteuse est globalement bien utilisée en chirurgie où elle est standardisée. En médecine, la tendance est à trop traiter. Pour les deux milieux, les moyens mécaniques prophylactiques sont à développer. La prophylaxie est d'autant plus difficile chez le sujet âgé.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Complications vasculaires au décours des fécondations in vitro (à propos d'un cas de thrombose jugulaire interne)

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    La fécondation in vitro, technique de procréation médicale assistée, nécessite une stimulation ovarienne hormonale par inducteurs puissants sous contrôle clinique, échographique et biologique. La principale complication est le syndrome d'hyperstimulation ovarienne, dont le mécanisme physiopathologique n'est pas totalement connu. L'hyperoestrogénie induite semble en être l'un des principaux acteurs, générant un état d'hypercoagulabilité, propice à la survenue d'accidents thrombo-emboliques. Une revue de la littérature a recensé 51 cas de thromboses (artérielles et veineuses) survenues au décours de stimulations ovariennes. Ces thromboses sont surtout originales par leurs localisations atypiques : le système cave supérieur et notament la veine jugulaire interne. Se pose le problème de la prévention de ces accidents au cours des fécondations in vitro, par le dépistage des facteurs de risques thrombotiques, des troubles de l'hémostase (thrombophilies constitutionnelle ou acquise), la prévention du syndrome d'hyperstimulation ovarienne et l'instauration d'un traitement anticoagulant prophylactique dont les modalités restent à déterminer.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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